تقي زاده

تقي زاده

En réaction aux déclarations anti-iraniennes avancées par le président américain, le ministre français des Affaires étrangères a souhaité la coopération avec l’Iran pour résoudre les crises dans la région.

Dans le sens du règlement des crises dans la région, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a appelé l’Iran à multiplier les dialogues politiques, a rapporté Farsnews.

Les déclarations de Jean-Yves Le Drian interviennent un jour après celles faites par le président américain, Donald Trump, contre l’Iran, a-t-on appris de Reuters.

Dans un discours à Riyad devant les représentants d’une cinquantaine de pays musulmans, dont 37 chefs d’État ou de gouvernement, Trump a accusé l’Iran de soutenir le terrorisme au Moyen-Orient et appelé à des mesures coordonnées pour isoler ce pays.

En réponse à une question pour savoir si Paris répondrait à l’appel lancé par Trump à isoler l’Iran, Le Drian a précisé que la France s’emploierait à multiplier les dialogues politiques qui devaient faire partie d’une approche constructive pour résoudre les crises régionales.

Le nouveau président français, Emmanuel Macron, a félicité dimanche Hassan Rohani pour sa réélection à la tête du pays et espéré que le gouvernement iranien applique minutieusement l’accord nucléaire.

Le président sud-soudanais, Salva Kiir, a annoncé lundi 22 mai à Juba, la capitale, un cessez-le-feu unilatéral, faisant part de la libération de l’ensemble des prisonniers politiques, simultanément à l’amorçage du dialogue national.

Selon la version française de l’agence turque Anadolu, Salva Kiir a annoncé cette nouvelle lors d’un discours lundi à l’occasion du commencement du processus de dialogue national :

« J’annonce un cessez-le-feu unilatéral à compter de ce jour [lundi 22 mai] et j’appelle le commandement de l’armée populaire à se conformer à ses directives (…) Nous savons tous qu’un cessez-le-feu unilatéral n’engage pas l'autre partie [les forces de l'opposition dirigées par l'ancien vice-président Riek Machar] et, par conséquent, nous nous réservons le droit de nous défendre en cas d’attaque.»

Il a pourtant demandé aux forces de sécurité sud-soudanaises d’éviter d’arrêter les dirigeants de l’opposition, au cas où ces derniers exprimaient leur souhait de participer au processus de dialogue à Juba.

Une ressortissante allemande a été tuée samedi soir à Kaboul lors d'une attaque contre sa résidence et une Finlandaise a été enlevée lors de l'incident particulièrement violent, nouvelle illustration de l'insécurité dans la capitale afghane.Les chancelleries concernées en Allemagne et en Finlande observent une grande discrétion comme il est d'habitude dans ce genre d'affaires mais le ministère allemand des Affaires étrangères a confirmé le décès d'une de ses ressortissantes. Et les autorités finlandaises "l'enlèvement d'une personne finlandaise", sans précision de genre.

La nouvelle a été rendue publique dans la matinée de dimanche par un message du porte-parole du ministère de l'Intérieur Najib Danish, affirmant sur son compte Twitter: "Une Allemande et un garde afghan ont été tués samedi soir vers 23H30 près du poste de police n°3 à Kaboul. Une Finlandaise a été enlevée".

Dans un communiqué, le ministère finlandais des Affaires étrangères a confirmé l'enlèvement d'un ressortissant finlandais à Kaboul sans autre précision: "Pour le moment l'identité des ravisseurs est inconnue. La Finande appelle à la libération immédiate de la personne enlevée", indique-t-il.
Sur son site internet, le gouvernement finlandais a également annoncé qu'une enquête était en cours sur "cette affaire qui a également couté la vie à des ressortissants d'autres pays".

Selon lui, "35 civils finlandais et une trentaine de soldats sont présents" en Afghanistan. Les Allemands de leur côté, outre les diplomates, ont plusieurs dizaines d'instructeurs militaires déployés, notamment dans le nord, sous bannière de l'Otan.

Dans un discours diffusé en direct, ce samedi 20 mai, par la télévision nationale, Hassan Rohani qui a été réélu, vendredi 19 mai, à sa propre succession, en tant que président de la République islamique d’Iran, s’est adressé, au peuple iranien.

« Le message de l’élection présidentielle était clair : aujourd’hui le monde entier réalise que le peuple iranien a choisi la voie de l’interaction avec le monde. Le peuple iranien veut vivre en paix et dans la sérénité, mais en même temps, n’accepte pas les menaces ni les humiliations. »

Le président Rohani a réitéré que l’Iran était disponible à étendre ses relations avec le monde sur fond des intérêts nationaux.

« Notre scrutin a transmis un message aux pays de la région, en ce sens que l’unique voie d’assurer la sécurité dans cette région consiste à y renforcer la démocratie et à respecter la voix du peuple, pas à s’appuyer sur les puissances étrangères. »

Le 12e tour des élections présidentielles en Iran a eu lieu vendredi 19 mai. Selon le ministre de l’Intérieur, Abdolreza Rahmani-Fazli, presque 41 220 000 bulletins de vote glissés aux urnes, Hassan Rohani a été élu président pour un deuxième mandat avec environ 23 600 000 votes, soit 57 % des suffrages.

L’analyste arabe de renom, Abdel Bari Atwan, s’attarde sur l’attitude du président américain Donald Trump qui n’a pas félicité à Hassan Rohani, à l’occasion de sa réélection à la présidence iranienne pour un deuxième mandat, alors que les dirigeants de beaucoup de pays de la région voire du monde, de la Chine, jusqu’à la Russie, l’ont fait.

En visite à Riyad pour participer, entre autres, à un sommet des dirigeants des pays islamiques, en tant que « leader de la démocratie libérale dans le monde », le président américain Donald Trump n’a pas félicité le président Hassan Rohani pour « sa victoire électorale à l’issue d’un scrutin reconduit à 3 reprises et avec un taux de participation élevé ». L’éditorialiste du journal Rai al-Youm affirme qu’il n’en est pas étonné et par contre, il affirme bien connaître la raison de cette attitude.

« La raison en est très simple : cet homme, c’est-à-dire, Donald Trump, et ses soi-disant hôtes démocrates, s’occupent exactement de créer une alliance qu’on pourrait aussi appeler “l’Otan arabe” avec la participation d’Israël, pour combattre l’Iran. »

Selon Abdel Bari Atwan, la victoire de Rohani au scrutin présidentiel sans qu’il y ait besoin d’un second tour montre qu’en Iran, ce sont les urnes électorales et vox populi qui déterminent le président du pays. « En choisissant Rohani, les Iraniens ont montré leur volonté de poursuivre la politique d’ouverture qui a abouti à la signature de l’accord sur le nucléaire avec les 6 grandes puissances, malgré toutes les critiques sur le bilan économique de son gouvernement », précise l’analyste arabe.

« L’élection de Rohani reflète la réaction populaire et à la fois officielle des Iraniens à la vaste campagne menée par Trump et ses alliés contre l’Iran ; et cette réaction est d’une grande importance, parce qu’elle est démocratique et moderne et puisqu’elle sort des urnes électorales. »

L’analyste arabe de renom, Abdel Bari Atwan, s’attarde sur l’attitude du président américain Donald Trump qui n’a pas félicité Hassan Rohani, à l’occasion de sa réélection à la présidence iranienne pour un deuxième mandat, alors que les dirigeants de beaucoup de pays de la région voire du monde, l’ont fait.

En visite à Riyad pour participer, entre autres, à un sommet des dirigeants des pays islamiques, en tant que « leader de la démocratie libérale dans le monde », le président américain Donald Trump n’a pas félicité le président Hassan Rohani pour « sa victoire électorale à l’issue d’un scrutin reconduit à 3 reprises et avec un taux de participation élevé ». L’éditorialiste du journal Rai al-Youm affirme qu’il n’en est pas étonné et par contre, il affirme bien connaître la raison de cette attitude.

« La raison en est très simple : cet homme, c’est-à-dire, Donald Trump, et ses soi-disant hôtes démocrates, s’occupent exactement de créer une alliance qu’on pourrait aussi appeler “l’Otan arabe” avec la participation d’Israël, pour combattre l’Iran. »

Selon Abdel Bari Atwan, la victoire de Rohani au scrutin présidentiel sans qu’il y ait besoin d’un second tour montre qu’en Iran, ce sont les urnes électorales et la voix du peuple qui déterminent le président du pays. « En choisissant Rohani, les Iraniens ont montré leur volonté de poursuivre la politique d’ouverture qui a abouti à la signature de l’accord sur le nucléaire avec les 6 grandes puissances, malgré toutes les critiques sur le bilan économique de son gouvernement », précise l’analyste arabe.

« L’élection de Rohani reflète la réaction populaire et à la fois officielle des Iraniens à la vaste campagne menée par Trump et ses alliés contre l’Iran ; et cette réaction est d’une grande importance, parce qu’elle est démocratique et moderne et puisqu’elle sort des urnes électorales. »

Cette approche interprète, selon l’analyste arabe, un penchant auprès des Iraniens de préférer l’équilibre et éviter l’extrémisme. « Ce qui est aux antipodes du discours du prince saoudien Mohammad ben Salmane qui bat sur le tambour de la guerre contre l’Iran », a-t-il précisé.

« Mais si le président des États-Unis a manqué de féliciter Rohani, son homologue russe, Vladimir Poutine, a compensé ce fait, surtout, là où il réitère que Moscou et Téhéran vont poursuivre leur coopération pour assurer la sécurité de la région et dans le monde, en ajoutant que tous les accords signés au cours de la récente visite de Rohani à Moscou vont être complètement réalisés y compris l’accord de construction de 45 centrales atomiques, sans oublier les missiles S-300 sophistiqués que les Russes ont prévu de fournir à l’Iran », conclut l’analyste arabe Abdel Bari Atwan.

 

Cette approche interprète, selon l’analyste arabe, un penchant auprès des Iraniens dans le sens de préférer l’équilibre et éviter l’extrémisme. « Ce qui est aux antipodes du discours du prince saoudien Mohammad ben Salmane qui bat sur le tambour de la guerre contre l’Iran », a-t-il précisé.

« Mais si le président des États-Unis a manqué de féliciter Rohani, son homologue russe, Vladimir Poutine, a tout compensé, surtout, là où il réitère que Moscou et Téhéran vont poursuivre leur coopération pour assurer la sécurité de la région et dans le monde, en ajoutant que tous les accords signés au cours de la récente visite de Rohani à Moscou vont être complètement réalisés y compris l’accord de construction de 45 centrales atomique, sans oublier les missiles S-300 sophistiqués que les Russes devront fournir à l’Iran », conclut l’analyste arabe Abdel Bari Atwan.

Le représentant de la république islamique d'Iran aux compétitions internationales du Saint Coran de Malaisie, Hamed Alizadeh s'est placé premier en discipline de lecture.Selon le correspondant d'IQNA à Kuala Lumpur, les résultats de la 59e édtion des compétitions internationales du Saint Coran de Malaisie ont éte annoncés ce samedi lors d'une cérémonie en présence du roi malaisien.
 
Ces compétitions ont été organisées en deux disciplines de la mémorisation et de la lecture du Saint Coran, du 15 au 19 mai 2017.
 
Le concurrent iranien, Hamed Alizadeh a été présenté comme le premier lauréat de ces compétitions, suivi des concurrents irakien, malaisien, canadien et singapourien. 
 
En discipline de mémorisation de l'intégralité du Saint Coran, les concurrent sénégalais, malaisien et qatari ont remporté les trois premiers lauréats.
 
Les concurrentes nigeriane, palestinienne et sénégalaise ont pour leur part éte présentés et glorifiées comme les trois premières lauréates en discipline de la mémorisation des dames.
 
91 concurrents messieurs et dames, venus de 49 pays, avaient participé à la 59e édition des compétitions coraniques de Malaisie.

Le Guide suprême de la Révolution islamique a salué la vaste et fervente présence du peuple iranien aux élections présidentielles du vendredi 19 mai 2017 (29 Ordibehesht 1396 du calendrier iranien).

Selon le site leader.ir, suite à la présence grandiose et épique du peuple iranien au 12e tour des élections présidentielles et 5e tour des élections des conseils municipaux et ruraux, le Guide suprême de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei, a publié un message de remerciement à l’adresse du peuple iranien.

Au président élu et à toutes les personnes qui feront partie du futur président, l’Ayatollah Khamenei a tenu à recommander de s’atteler à résoudre les problèmes du pays.

Le message du Guide suprême ajoute :

« Par sa présence massive et en glissant plus de 40 millions de bulletins de vote dans les urnes, le peuple iranien a marqué hier un nouveau record dans l’histoire des élections présidentielles en RII, ce qui, d’ailleurs, a démontré la présence forte et grandissante du peuple iranien sur la scène politique du pays. »

Le message de l’Ayatollah Khamenei contient aussi des recommandations pour le futur gouvernement :

« Au cher M. le président et à toutes les personnes qui feront partie du futur gouvernement, je tiens à recommander qu’ils se lancent avec motivation, vitalité et réflexion, dans les efforts censés régler les problèmes du pays, sans se dévier, même un seul instant, de ce droit chemin. Et les programmes les plus importants du futur gouvernement devront consister à ménager les couches appauvries, privilégier les régions rustiques ou défavorisées, respecter les priorités et enfin, prendre des mesures nécessaires contre la corruption et les problèmes sociaux. »

Résultats officiels préliminaires annoncés samedi par le Conseil électoral (CE) de l'Iran donnent l'avantage au président iranien et candidat à sa réélection, Hasan Rohani.

Seyed Ebrahim Raisi, candidat à la présidence de l'Iran, se trouve à la deuxième place, selon la CE.

Les deux autres candidats, Seyed Mostafa Aqa Mir Salim et Seyed Mostafa Hashemi Taba, sont situés dans la troisième et la quatrième place, respectivement.

Le dépouillement des votes selon la CE présent comme suit:

Hasan Rohani: 23.549.616
Seyed Ebrahim Raisi: 15.786.449
Seyed Mostafa Aqa Mir Salim: 478.215
Seyed Mostafa Hashemi Taba: 215.450

Le vendredi 19 mai, les Iraniens, à l’intérieur du pays ainsi que dans 102 autres pays, se sont massivement rendus aux urnes pour élire leur président ainsi que leurs représentants aux conseils municipaux.

Au total 56 410 236 Iraniens étaient en mesure de voter, ce qui rend doublement important le taux de participation à un scrutin qui s’est transformé en un plébiscite populaire en faveur du régime politique islamique en Iran.
Il a enregistré un taux de participation de plus de 70%.

Les Iraniens, qui ont voté massivement et avec enthousiasme vendredi, étaient samedi dans l'attente des résultats de l'élection présidentielle.Les bureaux de vote ont fermé vendredi à minuit (19H30 GMT), lors d'un scrutin présidentiel déterminant pour l'avenir du sortant Hassan Rohani et les premiers résultats partiels devraient être dévoilés dans la matinée à Téhéran.

Le ministère de l'Intérieur a dû étendre le vote jusqu'à minuit puisque des milliers de personnes faisaient encore la queue lorsque l'heure de fermeture initiale, 20H00 locales (15h30 GMT), eut été dépassée.

Après 12 heures de vote, à 20h00, 30 millions d'électeurs sur les 56,4 millions inscrits avaient voté, selon plusieurs médias.

M. Rohani, religieux modéré de 68 ans, brigue un dernier mandat de quatre ans et affrontait Ebrahim Raissi, religieux conservateur de 56 ans.

Sauf surprise, le vainqueur devrait être élu dès le premier tour, dont les résultats définitifs sont attendus dimanche au plus tard.

En famille ou entre amis, les électeurs ont attendu patiemment, parfois pendant des heures, leur tour de voter en prenant des selfies et en discutant politique dans la courtoisie.

"J'ai toujours voté", annonçait fièrement Mahnaz Rafii, une professeure de théologie de 50 ans, qui a choisi Raissi.

"La participation enthousiaste des Iraniens à l'élection renforce la puissance et la sécurité nationales", s'est félicité le président Rohani après avoir voté à Téhéran, baignée de soleil.

Lui et son adversaire ont appelé au "respect" du choix des Iraniens, quel que soit le résultat.

L'un des premiers à avoir voté a été Ali Khamenei, qui a appelé ses compatriotes à aller aux urnes "massivement, le plus tôt possible".

Parmi les nombreux électeurs, Amir Fathollahzadeh, 51 ans, a voté pour la première fois. Je vote Rohani pour ne pas perdre aussi ma dignité et ma fierté", dit-il.

En revanche, Moshen, 32 ans, qui travaille dans le secteur culturel, a choisi M. Raissi car l'Iran "est entouré d'ennemis".
 

Israël a réprimé des manifestations de solidarité avec les détenus palestiniens en grève de faim.

70 Palestiniens ont été blessés dans des heurts opposant les militaires israéliens et les manifestants palestiniens dans diverses régions en Palestine occupée, ont annoncé les sources palestiniennes.

Cité par Russia Today, diverses régions de la Palestine occupée étaient le théâtre de manifestations en soutien aux prisonniers palestiniens en grève de faim.

Les forces de répression du régime Tel-Aviv ont tiré à balles réelles et balles en caoutchouc sur les manifestations protestataires. Ils ont également usé du gaz lacrymogène pour les disperser faisant 70 blessés parmi les Palestiniens.

Plus de 1 500 détenus palestiniens ont entamé une grève de faim illimitée depuis le lundi 17 avril, à l’appel de Marwan Barghouthi, un dirigeant du mouvement Fatah, emprisonné par le régime israélien. Victimes de tortures, de traitements dégradants, inhumains et de négligence médicale, ils se battent pour leur « dignité », pour le « respect du droit international et humanitaire » bafoué par le régime de Tel-Aviv.

Barghouthi a lancé son appel à la grève de la faim après l’échec des négociations entre les représentants des prisonniers et les autorités israéliennes sur l’amélioration des conditions de détention. Ces discussions ont commencé il y a plus d’un an et demi.

Selon l’association France-Palestine Solidarité (AFPS), alors que la santé des grévistes de la faim se dégrade, les dirigeants du mouvement sont placés en isolement, les organisations internationales comme la Croix-Rouge, les avocats et les familles sont interdits de visite aux prisonniers grévistes ! Une loi israélienne autorise l’alimentation forcée, mais les médecins refusent pour le moment, car cet acte est assimilé à la torture.

Israël a établi un système judiciaire à deux vitesses, l’un garantissant une impunité pour les Israéliens ayant commis des crimes contre des Palestiniens et l’autre criminalisant toute résistance palestinienne (99,74% des Palestiniens inculpés sont condamnés !)

Actuellement, plus de 6 500 Palestiniens, dont 62 femmes et 300 mineurs (garçons et filles), sont emprisonnés par Israël.

500 d’entre eux sont sous le régime de détention administrative qui permet une incarcération sans procès ni inculpation.

Depuis 1967, 850 000 Palestiniens ont été emprisonnés par les autorités israéliennes. L’emprisonnement massif est un outil d’oppression utilisé par le régime de Tel-Aviv sur le peuple palestinien.