
تقي زاده
Comment les USA se sont pris dans l'un des pires pièges géostratégiques de leur histoire... signé Nasrallah
Les États-Unis d’Amérique qui se targuent d'avoir les meilleurs stratèges du monde qui lui auraient offert au moins pour 20 ans, et sur un plateau d'or, le sort des États-nations du Moyen-Orient, se devrait à l'heure qu'il est se dire : Diable, il est trop fort, ce Hezbollah ! Car à mesure que le temps passe et que le coup de « pétroliers iraniens » joué par la Résistance libanaise se prolonge dans le temps et dans l'espace, le piège se referme plus hermétiquement sur l'Amérique : Après avoir mis sens dessus dessous le poulailler US au Liban, de sorte même que les plus anti- Hezbollah des Libanais en sont devenus les fervents partisans, poussant ainsi à la formation d'un gouvernement en rade depuis plus d'un an, les États-Unis sont sommés d’œuvrer, méga-paradoxe, à la levée de César. Ce faisant, c'est à la consolidation des liens Syrie-Liban que ces mêmes États-Unis devront travailler après plus de quinze ans d'efforts censés couper le point entre deux sœurs jumelles Syrie et Liban que tout absolument tout relient. Efforts commencés en 2005 avec ce « false flag » criminel signé Israël et qui a visé l'ex- PM Hariri en prélude à l'expulsion de la Syrie du Liban et partant à l'ouverture du ciel libanais à titre d'arrière base sur l'aviation sioniste qui n'a pas tardé quelques six ans plus tard en 2011, à s'en servir contre la Syrie.
Ont-ils déjà franchi les frontières nord?
Deux des quatre combattants palestiniens qui ont défié plus de 60 ans de mythe d’invulnérabilité sécuritaire d’Israël courent toujours et chaque heure qu’ils passent hors Gilboa c’est l’étau qui se resserre sur l’entité : en liberté...
En « liberté », les deux combattants où qu’ils soient, incitent les foules en Cisjordanie ou à Gaza et pire pour Israël à Qods ou encore en Palestine historique. Morts, ils embraseront toutes les prisons même si 500 « détenus du Jihad islamique » ont été rapatriés pour empêcher des émeutes. Bref, c’est l’irréparable qui a été commis et le pire dans tout cela c’est que Qods, la Palestine historique et Ramallah suivent pas à pas Gaza. Et dire que l’entité a cherché à contrer cette vague croissante en accusant les Palestiniens de Nazareth d’avoir trahi les « évadés » !
Il y a unanimité dans les médias sionistes qui mettent en garde contre l'aggravation de la situation en Cisjordanie et dans la bande de Gaza en cas de toute action contre les Palestiniens qui se sont évadés de la prison de Gilboa.
Suite à l'arrestation, la semaine dernière, de quatre des six prisonniers palestiniens qui se sont évadés de la prison de Gilboa, les responsables de la sécurité israélienne disent craindre que les évadés ne mènent des attaques et se montrent inquiets des conséquences que cet échec pourrait entraîner, a rapporté l’agence de presse iranienne Tasnim, citant les médias israéliens.
Les médias ont souligné que si les prisonniers fugitifs étaient tués par les forces de sécurité, une nouvelle vague d'attaques violentes pourrait éclater en Cisjordanie et dans la bande de Gaza ; en particulier, la récente guerre de Gaza a clairement montré à l’appareil sécuritaire israélien que le Hamas a réussi à connecter la Cisjordanie et Gaza.
Les médias sionistes ont réitéré que toute opération sanglante et meurtrière contre ces prisonniers conduirait à une explosion de la situation sur les deux fronts.
Pourquoi les ennemis ont-ils peur des missiles iraniens ?
En cas d’une confrontation directe avec l’Iran, Riyad se trouvera dans une situation bien pire qu’Israël.
Aujourd'hui, le Hezbollah dispose d'un arsenal de 130 000 missiles de précision et de longue portée. Il possède également des missiles de type Fateh, Fajr et même Scud. De son côté, l’Iran a développé son propre arsenal de missiles dans une géographie plus large, en particulier en Syrie, ce dernier abritant des missiles iraniens à moyenne portée ainsi que des usines d'assemblage de missiles iraniens.
La capacité de l’Iran en matière de missile est telle qu’il est en mesure de cibler directement ses ennemis dans la région, s'il le souhaite. En attendant, Israël est confronté à un défi majeur notamment en raison de sa superficie peu vaste, de son manque de profondeur stratégique, de l'emplacement de ses infrastructures de base et de ses installations pétrolières, électriques et hydrauliques, et même de ses dépôts d'armes chimiques.
"McKenzie a raison; nos armées de l'air ont perdu face aux drones d'en face" (Gantz)
Le dimanche 12 septembre, à peine quelques heures après une tonitruante frappe drone-missile contre le QG du Mossad, enfouie quelque part au cœur de la base US à Erbil, un QG ciblé pour la première fois au mois d’avril, et partant fortifié depuis, et surtout mis en connexion par satellite interposé avec les « agents kurdes » du Mossad surnommé PEJAK, les mêmes agents que le CGRI a pulvérisé ce jeudi lors d’une opération éclair près de ses frontières avec l’Irak à coup de sept missiles sol-sol et une belle nuée de drones à sens unique, Benny Gantz, ministre israélien de la Guerre a craqué : il est vrai que depuis six jours, date à laquelle les six combattants du Jihad islamique de la Palestine et du Fatah ont réussi à ratatiner à « coup de cuillère », une citadelle sécuritaire sioniste, Gilbao, que les Allemands ont dressés à l’intention d’Israël, manière se racheter d’Auschwitz sur le dos des Palestiniens, Gantz a bien les nerfs à fleur de peau surtout qu’en dépit de la mobilisation de toute son armée, de la Jordanie voisine, de l’Autorité autonome voire des unités du CentCom basées désormais à Tel-Aviv pour scanner quelque 27000 km carrés sur quoi s’étalent les territoires occupés de la Palestine, deux des six héros courent toujours.
Base US avec le QG du Mossad à l'intérieur à Erbil en Irak criblés de drones à base intelligence artificielle... La Task Force 59 du Pentagone, morte née
Dans la nuit de 11 à 12 septembre, à peine deux jours après une tonitruante frappe du CGRI contre le QG des agents kurdes du Mossad à Chouman, dans le nord kurde de l’Irak et ce, au terme d’une opération bien complexe qui a duré plusieurs heures et qui a impliqué outre l’artillerie à Fajr-5 C, des drone de reconnaissance et d’attaque tout comme des missiles tactique sol-sol de courte portée, soit un cocktail extraordinairement efficace puisque selon les médias kurdes, il a réussi à pulvériser un camp d’entrainement de terroristes de PEJAC, ses stocks d’armes et de munitions, ses unités de télécommunication, puis de mettre sens dessus dessous un plan d’infiltration massif en territoire iranien puisque l’axe US/Israël croyait que l’actualité afghane et le spectre de Daech-K (Khorassan, NDLR) avaient distrait les iraniens de leurs frontières orientales et qu’il jugeait le moment propice pour faire saigner le flanc ouest iranien, Erbil a une fois de plus tremblé et les troupes US/Israël avec !
Sa Majesté pourra-t-elle espionner les câbles sous-marins yéménites ?
Moins d’un mois après l’arrivée des troupes britanniques au Yémen, leur mission secrète dans la province d’al-Mahra (est) a été révélée. Il a été déterminé que la tâche de ces forces ne se limitait pas à soutenir l’armée saoudienne ou à fournir une assistance logistique, mais aussi à mener des activités d’espionnage dans les réseaux de télécommunication du pays.
La divulgation des informations sur le but principal de la mission des forces britanniques au Yémen intervient alors que la coalition saoudienne et le gouvernement démissionnaire d’Abd Rabbo Mansour Hadi, malgré tous leurs efforts au cours des dernières années n’ont pas été en mesure d’utiliser les télécommunications yéménites pour traquer des commandos houthis.
Quelques semaines après l’arrivée des forces britanniques dans la province d’al-Mahra sous prétexte de poursuivre les auteurs de l’attaque du 29 juillet contre le navire israélien Mercer Street visé au large des côtes d’Oman, elles ont procédé à effectuer une série d’actions conduisant à la fermeture d’un certain nombre de ports d’al-Mahra, mais il a été révélé que ces forces cherchaient à mener des activités d’espionnage au Yémen.
Des sources locales ont rapporté : « Ces dernières semaines et sans présenter aucune justification, les forces britanniques n’ont pas autorisé les pêcheurs de la province d’al-Mahra à travailler dans les eaux intérieures et les zones côtières de Nastoun, Qashn et Sihout. Cette récente mesure britannique a suscité la colère des habitants et a renforcé la position du Comité du sit-in d’al-Mahra, qui a récemment organisé des manifestations contre la présence de la Grande-Bretagne et de l’Arabie saoudite. »
"La Russie a fini par nous rouler dans la farine et à aider le Hezbollah à prendre Deraa tout comme elle l'a fait au Golan "(Jerusalem Post)
Est-ce un remake du Golan que la Russie de Poutine faire voir là aux israéliens? Depuis le coup de colère du MAE de l'entité, lors de son point de presse conjoint avec Lavrov à Moscou, où Lapid a presque crié "Israël ne restitue pas le Golan à la Syrie", une crainte croissante semble s'emparer des milieux militaires en Israël. Surtout par tout ce qui se passe à Deraa. Ce dimanche et pour la troisième journée consécutive, l'armée russe s'est affichée en parade avec l'armée syrienne à Deraa al-Balad, une armée syrienne, accompagnée par ses unités de forces populaires. Or Israël n'est pas aussi bête pour ne pas comprendre que cette force volontaire créée, entraînée par le Hezbollah et la Résistance vient de remporter là une victoire stratégique sur Israël puisque désormais maître de Deraa al-Balad et ce, sur le dos des "rebelles armés" que l'entité, via ses réseaux au Golan, finançaient à l'effet d'insécuriser le sud de la Syrie. Un peu pour enfoncer le clou, le centre de réconciliation russe a tenu à souligner ce changement radicale de la donne, en affirmant que les forces syriennes et russes ont hissé le drapeau national syrien en haut des bâtiments officiels comme pour signer la fin de "la rébellion".
Grossi a quitté Téhéran sans avoir des images «nucléaires»
Alors que les menaces verbales des États-Unis et de leurs alliés européens concernant une saisine du Conseil des gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique pour y faire adopter une résolution anti-iranienne semblent d’ores et déjà échouer, le directeur général de l’AIEA a effectué une visite à Téhéran afin de s’entretenir avec des responsables iraniens concernés. Cette visite pourra-t-elle assurer les résultats convoités par le camp occidental ?
L’AIEA n’aura pas accès aux données nucléaires de l’Iran lors de la visite de Rafael Grossi, a déclaré à PressTV une source bien informée.
Il n’y aura aucun changement dans le fait que l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) n’a pas d’accès aux caméras installées sur les sites nucléaires iraniens, a déclaré une source concordante à PressTV.
Israël s'enfonce ou quand "Freedom Tunnel" devient l'acte II de l'Epée de Qods
27.009 mètres carrés de terres occupés plates, sans forêt ni montagne, 261 postes de contrôles dressés à la hâte du nord au sud, l'état d'urgence à tous les niveaux, et pourtant l'armée et la police sionistes ont mis 5 jours avant de mettre le grappin sur les quatre des six combattants palestiniens ayant évadé la "citadelle ultra sécuritaire de Gilboa", quitte à ridiculiser aux yeux du monde entier l'appareil sécuritaire sioniste et le mythe entretenu à coup de pub mensonger tout autour. Avouons que le compte n'y est pas pour une entité sioniste qui s'est faite aider de surcroît dans cette affaire de "cavale" par la Jordanie d'Abdellah II et évidemment par le vieux dinosaure qu'est Mahmoud Abbas qui engraissé aux pétrodollars saoudo-émiratis consiste à vendre ses compatriotes pour quelques dollars de plus. A l'heure qu'il deux des "six combattants courent" toujours, et on insiste sur le mot "combattant" car de toute évidence "Freedom tunnel" a été et continue à être une "opération militaire d'envergure, voire même l'acte II de l’Épée de Qods.
Le panier de crabes commence à phagocyter l'armée turque
En Syrie, les Kurdes ont détruit trois chars et deux blindés de transport appartenant à l’armée turque, rapporte Avia-Pro.
Selon l’agence de presse russe, « les Kurdes syriens ont de nouveau attaqué les positions de l’armée turque dans la province d’Alep, détruisant plusieurs véhicules blindés et fortifications ».
Lors d’une attaque plutôt inhabituelle, lancée samedi 11 septembre, les Kurdes ont dû creuser un long tunnel souterrain pour faire exploser une puissante bombe qui aurait fait des morts et des blessés parmi les soldats turcs, selon Avia-Pro.