
تقي زاده
Sept missiles sol-sol de courte portée tirés le 8 septembre contre un camp d'entrainement de terroristes dans le Nord de l'Irak
A peine 48 heures après la mise en garde du commandant en chef de la force terrestre du CGRI, le général de brigade Pakpour, une base des terroristes séparatistes kurdes a été ciblée dans les hauteurs du nord de l’Irak. Il s’agit d’une offensive particulièrement violente impliquant à la fois des unités de drones et l’artillerie lourde du CGRI et qui a débuté vers 6 H heures locales ce jeudi matin. Selon cette information, les chasseurs du CGRI bombardent en ce moment même les localités de "Sidkan", de "Tchouman" et de "Haji Omran" où est visée plus particulièrement une base d’entrainement des terroristes séparatistes de « Hedka ». C’est à partir de cette base située dans la ville de "Jalala" que ces derniers projetaient de lancer d’ici les jours à venir des attaques contre le territoire iranien.
DCA-choc de l'Iran!
Le développement des systèmes de défense aérienne de l'Iran a, depuis longtemps atteint le stade de l'autosuffisance. Le prochain défi, c'est d'atteindre les sommets, dans la technologie défensive, et l'Iran est sur la bonne voie !
Une profondeur stratégique de 3000 km pour l'axe de la Résistance
Le conseiller du Leader iranien pour les Affaires militaires, le général de division Yahya Rahim Safavi, a déclaré lors d'une récente rencontre avec des officiers et des commandants de l'armée de l'air que la profondeur stratégique de la Résistance devrait s'élargir et que l'Iran à titre de noyau de cet axe devrait pouvoir surveiller les moindres agissements de l'ennemi sur une distance de trois mille kilomètres à compter de ces frontières. Il a ajouté que pour que la République islamique d'Iran et ses alliés deviennent puissants, il est impératif qu'ils développent leur force aérienne.
En passant en revue les points les plus importants qui ont été mentionnés dans le discours du général de division Safavi, un constat s'impose: l'Iran se concentrera, dans ses programmes de développement sur ses propres capacités militaires et celles de ses alliés autour de deux aspects principaux :
1) Développer la puissance aérienne, en augmentant la portée de ses avions de combat et d'attaque, à une portée d'au moins 3000 km. L'Iran se paira-t-il des avions de combat classique? On l'ignore, mais une chose est sûre. L'Iran continuera à développer la portée de ses drones dont certains atteignent les 4000 kms, mais aussi celle de ses missiles et puisqu'il possède la technologie de satellite militaire, ICBM pourrait être de la partie.
2) Mais il y a aussi la capacité de surveillance aérienne et d'alerte précoce, à élargir grâce à des radars qui puissent détecter des cibles à une distance de 3000 km et suivre leur mouvement à partir de cette distance. C'est ce que les autorités iraniennes de l'industrie de la défense ont pu réaliser, en fabriquant plusieurs types de radars avancés, qui détectent des cibles aériennes à plusieurs portées, aboutissant au radar « Sepehr », qui peut détecter des cibles de très courte section-radar et furtives. Ce radar intercepte également une grande variété de cibles à basse moyenne et haute altitude et tous les types de cibles telles que les avions, les missiles balistiques et semi-balistiques, ainsi que les missiles de croisière.
"Le moindre agissement dans le ciel syrien et les F-16 tomberont"
Des sources bien informées à Moscou ont déclaré que les responsables russes avaient l'intention de mettre en garde le ministre israélien des Affaires étrangères contre une nouvelle attaque visant la Syrie.
Selon Rai Al-Youm, des sources russes ont déclaré que le ministre israélien des Affaires étrangères Yaïr Lapid était arrivé à Moscou pour rencontrer son homologue russe Sergueï Lavrov.
Pétroliers iraniens: la Résistance libanaise instrumentalise les USA et entre de plein pied dans le jeu "méditerranéen" au détriment d'Israël
C'est la course contre la montre : les 29 millions litres de fioul iraniens attendus dans les prochains jours au Liban sur fond de nouvelles concernant le passage du troisième pétrolier iranien via le canal de Suez, son arrivée en Méditerranée orientale, un troisième pétrolier chargé, lui, d'essence. En effet, les trois premiers navires iraniens arrivent au large du Liban alors même que le camp US, pris dans le tourment, a poussé Amman à accueillir à huis clos, une conférence à quatre, avec la participation effective de l'Egypte, de la Syrie et du Liban, conférence qui aurait accouché d'une feuille de route, propre à "ressusciter le gazoduc arabe" : " nous sommes tombés d'accord sur l'examen des infrastructures nécessaires au transit du gaz égyptien à la Jordanie pour que de l'électricité jordanienne supplémentaire puisse injecter via le territoire syrien au Liban, rapporte SkyNews qui cite le ministre égyptien du pétrole en ces termes : " Nous espérons pouvoir exporter du gaz au Liban dans les plus brefs délais".
La Turquie éliminée du jeu; le coup à la libyenne impossible
Aucun progrès n’a été jusqu’ici enregistré dans les négociations portant sur la présence de forces turques à l’aéroport de Kaboul. Ankara « n’a pas hâte de reconnaître le gouvernement des talibans ».
Tout comme les autres membres de l’OTAN, la Turquie, elle aussi, a été obligée de retirer ses forces de l’Afghanistan. Bien que se poursuivent les efforts diplomatiques d’Ankara pour se redéployer à Kaboul, les signes de déception se voient déjà.
C’est peut-être en raison de l’absence de tout progrès dans les négociations portant sur la présence de forces turques à l’aéroport des talibans qu’Ankara a déclaré qu’il n’avait aucune hâte de reconnaître le gouvernement des talibans.
Lire aussi: Aéroport de Kaboul bientôt aux mains des takfiristes?
Les propos que Recep Tayyip Erdogan a prononcés hier insinuent que les talibans restent toujours campés sur leur position selon laquelle les affaires défensives et sécuritaires de l’Afghanistan doivent être gérées par les membres des talibans et sans ingérence des étrangers.
" A eu lieu l'échec US: Daech est incapable de prendre quelque localité que ce soit"
Récemment, les États-Unis ont activement redistribué leur puissance financière et militaire en les transférant du Moyen-Orient à la région Asie-Pacifique, recentrant toutes leurs forces contre la Chine. Washington considère ce pays comme son principal concurrent et rival dans sa lutte future pour assurer un leadership mondial sans restriction.
Pour cette raison, et sur fond de protestation accrue au Moyen-Orient contre la présence des troupes américaines, Washington a été contraint de se retirer entièrement d'Afghanistan fin août. Les prochaines étapes de ce retrait régional seront d’abord l’Irak, ensuite la Syrie.
Washington a annoncé le retrait des troupes américaines d'Irak après que le président américain Joe Biden a rencontré le Premier ministre irakien Mustafa al-Kadhimi le 26 juillet 2021.
D’ici le 31 décembre, Washington a promis de mettre fin à toutes les opérations de combat dans ce pays, après près de 20 ans d'intervention armée en Irak comme en Afghanistan. Mais en même temps, Washington a déclaré que la coopération militaire ne prendrait pas fin en Irak bien que Bagdad ait affirmé précédemment que le pays n’avait pas besoin d'une présence étrangère.
Dans ce contexte, rappelons que des bases militaires américaines sont maintenues dans les monarchies arabes du littoral sud du golfe Persique. La marine américaine et d’autres marines de l’OTAN, ainsi que des porte-avions, patrouillent constamment dans les eaux de la mer Méditerranée et du golfe Persique. Ainsi, le territoire de l’Irak reste sous une surveillance américaine « fiable », même après le retrait prévu de 2500 soldats américains.
En outre, certains d'entre eux sont susceptibles de rester après le retrait sous prétexte de conseiller et former les soldats et officiers irakiens et participer à l'échange de renseignements.
Le retrait des forces étrangères d’Irak a déjà commencé dans la première quinzaine d’août 2021. Il est prévu que les troupes des États-Unis et de leurs alliés occidentaux seront remplacées par des Casques bleus de l’ONU pour assurer la sécurité sur le territoire irakien.
Des gardiens de Gilboa pourraient être impliqués dans l’évasion de prisonniers palestiniens
Des surprises encore plus grandes attendent Israël, a déclaré un analyste libanais, évoquant l’évasion héroïque de six prisonniers palestiniens du centre pénitentiaire de haute sécurité de Gilboa.
Mohammed Sadeq al-Husseini, écrivain et analyste libanais et journaliste du quotidien Al-Binaa, souligne dans un récent article, quelques points concernant cette grande évasion.
1- C’est uniquement à l’aide de quelques cuillères que ces six prisonniers palestiniens ont réussi à s’évader alors que le budget annuel du Mossad dépasse les 15 milliards de dollars.
2- Le plan de l’évasion est plus sophistiqué, en son genre, que celui des opérations du Mossad pour assassiner les scientifiques.
Lire aussi: Natanz saboté: Ia méga bourde d'Israël?
3- Les prisonniers palestiniens se sont évadés d’une prison de très haute sécurité, qui ressemblait plutôt à une forteresse, dont la conception et la construction n’ont été accomplies sans aide et assistance des ingénieurs européens les plus renommés.
Pourquoi les terroristes pro-Israël ont fini par reculer?
Après l’entrée des unités de l’armée syrienne dans la zone Deraa al-Balad (sud), l’agence de presse iranienne Tasnim a reçu des informations selon lesquelles, l’application de l’accord précédemment conclu entre les groupes armés et l’armée syrienne a été relancée. Cet accord portait également sur l’établissement du cessez-le-feu entre les deux parties dans le gouvernorat de Deraa.
En effet, c’est dans le cadre de l’application de cet accord que les unités de l’armée syrienne sont entrées, mercredi 8 septembre, dans la localité stratégique de Deraa al-Balad où elles ont hissé le drapeau national, se sont installées dans de nouvelles positions et ont nettoyé la zone de la présence des groupes armés.
À ce propos, l’analyste libanais des affaires militaires, Amin Huteit, a accordé une interview exclusive à l’agence Tasnim, dans laquelle il a déclaré qu’après les coordinations faites entre une commission gouvernementale et le comité central des groupes armés à Deraa, les deux parties se sont mises d’accord sur le début des négociations à Deraa al-Balad.
Comment l'attaque du 6 septembre a sonné le glas des contrats de vente d'arme british avec Riyad?
Après la spectaculaire frappe aux 16 missiles et drones de type Zolfaqar, Badr et Samad-3 contre la méga cité pétro-portuaire de Ras Tanoura sur la côte est saoudienne, Dominique Rob, le MAE de Sa Majesté a lancé : " ces attaques, les Houthis le font à l'aide de l'Iran ..." puis de promettre de se venger . Peu d'analyste se sont penchés sur cette rage soudaine et son mobile croyant avoir à faire là encore à un bombage de torse british, identique à celui qui a eu lieu au lendemain de la frappe au drone contre le Mercer Street anglo-israélien qui en dépit d'une vaste campagne de menace n'a débouché sur aucune riposte anti Ansarallah. Pourquoi Londres est encore? Il y a évidemment cette méga colonie anglo-saxonne, Ras Tanoura avec ses 20 000 employés britanniques et américains qui a été mortellement touchée par un seul missile Zolfaqar et des drones Samad-3. Ttouchés sans pouvoir se défendre. En effet , c'est ce qui semble provoquer la colère de Londres, l'Arabie des Salmane a procédé depuis des mois à une rénovation de sa DCA en remplaçant les batteries de Patriot par des batteries de conception britanniques. Des milliards de dollars de contrats avec sa Majesté qui assurait le roi Salmane de la fiabilité de son bouclier antimissile, "une bonne alternative" aux Patriot. Et MBS y a cru.