تقي زاده

تقي زاده

A peine 72 heures après l'annonce d'un premier exercice naval US Navy/Israël que la crainte d'avoir à subir de l'imprévu avait placé curieusement en mer Rouge, alors même que la manœuvre se voulait une tentative d'intimidation à l'encontre de l'Iran et du Hezbollah à l'initiative de qui un premier convoi maritime de fioul et d'essence iranien est en partance pour Beyrouth, l'ambassadeur iranien au Liban, Firouznia qui comparé à Dorothey Shéa est largement moins prolixe, a fait une sortie anti US /anti Israël d'une rare violence : "l'Iran ne permettra pas que les USA affament les peuples entiers et qu'ils les fassent chanter et qu'ils leur imposent des sanctions illégales, a-t-il  avant de revendiquer le noir sur blanc ceci  "ce ne seront pas des tankers quelconques mais bien les pétroliers iraniens qui accosteront à Beyrouth, et personne ne pourrait les en empêcher".

Dans la nuit de 2 à 3 septembre, et alors même que le dernier « contingent terrestre » de l’entité sioniste en territoire syrien, dit « rebelles de Deraa » se rendait à Canossa, acceptant sous menace d’une action militaire éclaire Armée syrienne-Hezbollah, à rendre des armes ou à quitter cette province stratégique du sud de la Syrie, longeant le Golan occupé et le royaume jordanien, pour Idlib, un séisme se produisait dans le ciel syro-libano-« israélien ». Trop remonté à l’idée de se retrouver désormais au sein du CentCom en lieu et place de l’Eurocom, un CentCom qui se déploie, selon Defense news dans l’une des bases militaires israéliennew non loin de Tel-Aviv, équipée comme il se doit de Patriot et de THAAD et d’autres gadgets du genre, l’armée sioniste qui, a ces jours-ci les yeux sans cesse tournés vers les rivages de Beyrouth, en attendant que les quatre pétroliers iraniens bourrés de fioul et d’essence n’y arrivent, eux-mêmes ou leur cargaison et ne foulent ainsi au pied près de deux ans de complots lâches de blocus inhumain contre le Liban, s’est permise une nouvelle frappe aérienne contre la Syrie.

Ces dernières années, la République islamique d'Iran et ses forces armées ont réussi à concrétiser des réalisations importantes dans la fabrication des équipements militaires et des capacités de combat. 

L'autosuffisance et la création d'une puissance endogène par la fabrication et la concrétisation de divers types d'équipements militaires de fabrication nationale se sont accélérées ces dernières années, ce qui a stupéfait de nombreux observateurs internationaux.

Le développement des systèmes de défense aérienne de l'Iran a, depuis longtemps atteint le stade de l'autosuffisance. Le prochain défi, c'est d'atteindre les sommets, dans la technologie défensive, et l'Iran est sur la bonne voie !

 

Ces dernières années, la République islamique d'Iran et ses forces armées ont réussi à concrétiser des réalisations importantes dans la fabrication des équipements militaires et des capacités de combat. 

L'autosuffisance et la création d'une puissance endogène par la fabrication et la concrétisation de divers types d'équipements militaires de fabrication nationale se sont accélérées ces dernières années, ce qui a stupéfait de nombreux observateurs internationaux.

Le développement des systèmes de défense aérienne de l'Iran a, depuis longtemps atteint le stade de l'autosuffisance. Le prochain défi, c'est d'atteindre les sommets, dans la technologie défensive, et l'Iran est sur la bonne voie !

 
La flotte opérationnelle et de renseignement 76 de la marine de l'armée iranienne a accosté au port de Bandar Abbas après une mission de 87 jours en mer Rouge.
A son arrivée, la flotte opérationnelle et de renseignement 76 de la marine de l'armée iranienne a été accueillie par les commandants et le personnel de la marine de l'armée dans la province de Bandad Abbas dans la province d'Hormozgan sur le golfe Persique.

La 76e flotte de la marine de l'armée de terre avait été dépêchée pour escorter les pétroliers et les navires commerciaux iraniens en mer Rouge et dans le golfe d'Aden.

La flotte a passé plus de 78 jours dans sa mission dans les eaux internationales, parcourant une distance de plus de 7600 miles nautiques.

Lors de la cérémonie d'accueil, l'amiral Aria Shafqat Rudsari, commandant du district 1 de la marine de l'armée dans le golfe Persique, a déclaré que la 77e flotte navale de la marine de l'armée  avait été envoyée en mer Rouge et dans le golfe d'Aden pour poursuivre la mission d'escorte.
Le secrétaire général du Hezbollah, Seyyed Hassan Nasrallah, doit prononcer un discours vendredi, à l'occasion de l'anniversaire de la deuxième libération du Liban.
Selon les médias libanais, le discours sera prononcé à l'occasion du quatrième anniversaire de la libération des hauts plateaux libanais, connue sous le nom de "Deuxième libération".

Selon le rapport, Nasrallah prononcera le discours à 20h30 heure locale.

Seyyed Hassan Nasrallah devrait également aborder une série de développements nationaux, régionaux et internationaux au cours de ce discours.
jeudi, 26 août 2021 20:19

L'US Army fuit le sud d'Irak!

Un responsable irakien a fait état de l'arrivée suspecte d'un grand convoi militaire américain de la province de Bassora vers celle d'al-Anbar, dans la base aérienne d'Aïn al-Asad.

Le convoi militaire américain, transportant du matériel et des véhicules militaires, se dirige vers la base aérienne d'Aïn al-Asad dans l'ouest de la province d'al-Anbar.

Le convoi militaire américain entrant sur le territoire irakien a été durant tout son trajet escorté par des avions américains jusqu'à ce qu'il atteigne sa destination dans la province d'al-Anbar, a déclaré la source.

Par ailleurs, des troupes américaines se sont rendues à Aïn al-Asad pour être ensuite transférées dans les zones tenues par les États-Unis en Irak.

Tous les postes-frontières de la province de Bassora, à l'exception de Jarishan, sont contrôlés par Bagdad. 18 ans après la guerre entre l'Irak et le Koweït, le poste de Jarishan est toujours sous le contrôle des forces d'occupation américaines. Il n’y a que des gardes-frontières irakiens qui y sont stationnés. Le gouvernement irakien n’a aucune mainmise sur le point de contrôle. Les forces américaines sont donc libres de faire entrer ou sortir leurs troupes et leurs équipements du territoire.

Il y a dix jours, une source de sécurité bien informée dans la province irakienne d'al-Anbar a révélé que les forces américaines avaient dépensé d'importantes sommes d'argent pour développer des bâtiments dans la base aérienne d'Aïn al-Asad dans le district d'al-Baghdadi de la ville de Heet.

La source a ajouté que les forces américaines ont construit des dizaines de nouveaux halls et bâtiments pour leurs forces à l'intérieur de la base d’Aïn al-Asad, et y ont installé un système de défense anti-missile pour assurer la sécurité.

« Ces aménagements à Aïn al-Asad ne se font pas sous la supervision des commandants de la sécurité en charge du dossier de sécurité d'al-Anbar. La présence des forces américaines sur la base concerne le bureau de Mustafa al-Kadhimi, le commandant en chef des forces armées irakiennes. La base continue de s'étendre, Bagdad et Washington annonçant que les forces américaines se retireront bientôt complètement d'Irak.

La base aérienne d'Aïn al-Asad est située à 160 km à l'ouest de Bagdad, dans la province d'al-Anbar, plus précisément dans la ville de Heet, et à 8 km d'un village appelé Khan al-Baghdadi. Elle s’étend sur une superficie de 10 kilomètres, soit à peu près la taille de la Zone verte de Bagdad. Elle est actuellement la plus grande base militaire américaine en Irak.

Des actions suspectes contre la souveraineté nationale y sont programmées, et selon les observateurs politiques, la base d'Aïn al-Asad est le centre des opérations militaires américaines en Irak.

Malgré les déclarations de responsables américains et irakiens selon lesquelles la mission des troupes étrangères se limitait à former et conseiller les forces irakiennes, les groupes de résistance irakiens ont signalé l'entrée généralisée de convois logistiques américains.

Niger: les plans de Barkhane déjoués:

Depuis le double coup d’état au Mali et l’assassinat du président Déby, les pays voisins dont le Niger et le Burkina Faso semblent avoir mis les bouchés doubles afin de renforcer la sécurité de leur pays, en s’appuyant aussi bien sur leurs forces nationales que sur cette coalition interafricaine qui fait tant peur à l’axe US-OTAN.

À part les tentatives de l’armée nigérienne de garder le contrôle sur son espace aérien en se dotant des drones locaux et en provenance de l’axe de l’Est, et non pas de l’axe occidental, de créer sa force de défense et de sécurité populaire et de se désengager de plus en plus de l’axe occidental, le Niger a essayé de reconduire les réfugiés ayant fui leur village et habitation suite aux attaques terroristes, vers leur foyers, une prise de position qui va totalement à l’encontre des velléités occidentales qui cherchent à travers ces attaques menées par terroristes interposés de provoquer l’exode de la population, afin de pouvoir ensuite s’installer plus facilement dans ces zones et mener ces plans contre les pays concernés.

En effet, entre juin et juillet, 26.573 personnes ayant fui ces violences ont été reconduites dans 19 villages, dont Baroua. La sécurité avait été «renforcée» autour de ces villages, avaient alors affirmé les autorités. «Compte tenu de l'évolution positive de la situation (sécuritaire) sur le terrain, le gouvernement» a décidé «de donner son feu vert aux populations déplacées pour retourner dans leurs villages d'origine», avait alors déclaré Issa Lémine, gouverneur de la région de Diffa, qui avait accueilli les premiers arrivants à Baroua. Avant leur rapatriement, ces déplacés avaient trouvé refuge dans des sites autour de villages plus sécurisés, des camps de l'ONU ou encore chez des proches à travers toute la région.

Mais, ce retour de la population étant une pilule très difficile pour l’axe US-OTAN, le plan B a été mis en œuvre, et cette région a été attaquée le 24 août.

« L'armée du Niger a repoussé mardi 24 août au soir une attaque contre Baroua, une localité du sud-est proche du Nigeria, où s'étaient réinstallés des milliers d'habitants qui avaient fui de précédentes attaques terroristes, a appris l'AFP mercredi de sources humanitaires et locales. «Il y a eu une attaque contre Baroua mardi soir et des pertes en vies humaines, même parmi les FDS (Forces de défense et de sécurité)», a indiqué à l'AFP une source humanitaire à Diffa, capitale régionale du sud-est, sans être en mesure de donner un bilan».

Quand on sait que Baroua situé dans la région de Diffa a été complètement vidé de ses habitants et c’est le 20 juin dernier, après presque six années, que les populations déplacées du village et installées dans les alentours de Diffa, ont pu retourner chez eux à l’occasion du nouveau programme de réinstallation des déplacés de la région mis en œuvre par les autorités sur instruction du chef de l’État, l’annonce faite par le Niger sur son intention de construire construire une base aérienne dans la région de Diffa clarifie mieux la raison pour laquelle l’attaque a été menée.

L’axe US-OTAN attendait depuis des années que cette région soit vidée de population, pour qu’elle puisse enfin s’y installer, mais manque de bol, la population y est retournée et l’armée nigérienne a décidé de construire elle-même une base sans pour autant avoir besoin de la puissance néo-colonialiste.

En fin de compte, le fait que le Niger construise sa propre base militaire aérienne constitue le déclenchement d’un effet domino que l’Occident n’arrive plus à arrêter. C’est pourquoi on assiste à des déploiements massifs de militaires dans le Sahel, qui reflètent la panique dans le camp occidental. Le Sahel reste une région que les Occidentaux n’arrivent pas à gérer ni à contrôler, pour la simple et bonne raison que les populations ne sont pas dupes et rejettent maintenant tout ce qui vient de l’Occident néocolonialiste, mais en plus, elles les poussent de plus en plus vers la sortie de l’Afrique.

Tanzanie: le peuple se venge de l'Occident: 

Il n’est plus caché à personne que les présidents d'Haïti, de Tanzanie et du Burundi ont été "assassinés" parce qu'ils s'opposaient aux vaccins contre le Covid-19.

«Les présidents de trois nations différentes sont morts peu après avoir refusé la distribution du vaccin contre le COVID-19», assure une publication postée le 19 juillet sur Facebook. Ce message est accompagné de photos des présidents Jovenel Moïse (Haïti), John Magufuli (Tanzanie) et Pierre Nkurunziza (Burundi), tous trois décédés au cours de l'année écoulée. «Après leur mort, les trois pays distribuent désormais les vaccins contre le COVID à leurs citoyens», insiste l'auteur de la publication, qui s'interroge sur cette "coïncidence".

Les médias occidentaux insistent sur le fait que le président tanzanien et même burundais n’ont pas été assassinés, mais morts suite à des « maladies » et ce sont les velléités anti-vaccins et surtout anti-vaccin occidental de ces présidents qui leur ont coûté la vie.

Mais il est quand même assez bizarre de voir qu’exactement les trois présidents opposés aux vaccins anti-covid19 ont été tués les uns après les autres et bien que les médias mainstream tentent de mettre ces décès sur le dos d’un « arrêt cardiaque », le peuple africain est beaucoup plus intelligent que ceci et en Tanzanie, il passe même à l’acte :

«Un individu dont les motivations sont encore inconnues a tué trois policiers et un agent de sécurité près de l'ambassade de France à Dar es Salaam en Tanzanie. L'homme a été ensuite abattu par les forces de l'ordre. Trois policiers et un agent de sécurité privée ont été tués ce 25 août dans une fusillade à proximité de l'ambassade de France dans la capitale économique tanzanienne Dar es Salaam», a annoncé un responsable de la police.

L'agresseur, dont les motivations sont pour l'instant inconnues, a été abattu par les forces de police. Ces échanges de tirs ont eu lieu à la mi-journée sur Ali Hassan Mwinyi Road, où se trouvent plusieurs ambassades et représentations étrangères. Des vidéos diffusées par un média local montrent un homme armé d'un fusil automatique, vêtu d'une chemisette à carreaux et portant un kufi (calotte de prière musulmane) blanc, marchant sur un trottoir, longeant notamment un bus et un tuk-tuk. On le voit ensuite être abattu alors qu'il se trouvait devant l'ambassade de France.Bien que les responsables français essaient de justifier cette attaque par «le rôle de la Tanzanie au Mozambique qui y a envoyé des soldats combattre les insurgés terroristes », il semble plutôt que cet acte a été une protestation du peuple tanzanien contre les complots concocté par l’axe US-OTAN contre leur pays…La bio arme Covid-19 n'a pas trop fonctionné en Afrique, comme l'espéraient ses concepteurs : c'est dû sans doute à la vigilance des Africains qui, pour avoir été pendant des décennies victimes des colonialistes blancs, savent comment s'y prendre.

Certes, les médias mainstream ne cessent de parler de la résurgence de la maladie dans tel ou tel pays africain, mais comparé aux États-Unis et à l'Europe, l'Afrique a merveilleusement réussi l'endiguement de la maladie. Mais cela n'a pas empêché le cynique lobbyiste pharmaceutique, Bille Gates, de chercher à faire encore une fois de l’Afrique un terrain d'expérimentation du vaccin anti-Covid.

Tchad: mort de Hissène Habré, analyse:

Hissène Habré est décédé des suites du Covid-19, mardi 24 août, à 79 ans, a annoncé le consulat du Tchad à l'AFP. L'ancien président de ce pays d'Afrique centrale était emprisonné depuis 2016 au Sénégal, où il avait été condamné à la prison à vie « pour crimes contre l'humanité ».  Luc Michel, géopoliticien nous en dit plus à ce sujet.

Tous les Libanais, même les opposants au Hezbollah, pensent que l’importation du carburant d'Iran par la Résistance est une action intelligente, porteuse de messages importants aux États-Unis. À cet égard un analyste libanais estime que l'importation de dérivés pétroliers au Liban en provenance d'Iran entraînera de profonds changements au Liban et renforcera la position des courants politiques qui appellent à tourner l'attention vers l'Est et pour coopérer avec l’Iran, la Chine et la Russie.

Dans sa note éditoriale publiée par le journal Al-Quds Al-Arabi basé Londres, l’analyste libanais Essam Noman a fait état de deux événements qui, ayant eu lieu ces dernières semaines, ont contribué à changer l’équation de force  dans les pays d'Asie de l’Ouest : l’un étant le retrait désordonné des États-Unis d'Afghanistan et l'autre, l'importation de dérivés du pétrole depuis l’Iran à destination du Liban, évoqué par le secrétaire général du Hezbollah, Seyyed Hassan Nasrallah.

Le retrait des troupes américaines d’Afghanistan aurait des conséquences politiques et stratégiques, qui pourraient bien affecter tous les pays de la région, en particulier le régime sioniste ; en termes de sécurité, la récente mesure du Hezbollah libanais a soulevé des questions sur l’éventuelle réaction d'Israël.