تقي زاده

تقي زاده

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Esmaïl Baghaï, a fermement condamné les frappes aériennes américaines « brutales » sur le Yémen, qui ont visé un port pétrolier et tué des dizaines de personnes.

M. Baghaï a qualifié vendredi l’attaque américaine d’« exemple clair » de violation flagrante de la Charte des Nations unies et du droit international.

« Les agressions américaines contre le Yémen, menées dans le cadre du soutien total à l’occupation et au génocide perpétré par le régime sioniste dans les territoires occupés palestiniens, ont fait des États-Unis un complice et un partenaire des crimes d’Israël en Palestine et dans la région », a déclaré le porte-parole de la diplomatie iranienne.

 

Alors que l’Iran célèbre la Journée de l’armée, le président Pezeshkian a pris la parole avant le début d’un défilé militaire à Téhéran, ce vendredi 18 avril, pour féliciter les forces armées du pays pour leur « force et leur préparation » et pour avoir atteint « l’autosuffisance » en matière de capacités de défense.

S’exprimant lors de cette cérémonie nationale à laquelle ont participé de hauts responsables iraniens, Massoud Pezshkian a salué le rôle joué par l’armée dans l’instauration de la paix et de la sécurité dans le pays et dans toute la région.

Les forces terrestres du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) ont porté un coup fatal au groupe terroriste Jaish al-Adl lors d’une opération militaire antiterroriste dans la province du Sistan-et-Baloutchistan, tuant un chef du groupe.

L’opération, menée par des militaires de la base Qods des forces terrestres du CGRI, s’appuyait sur des renseignements fournis par le Service du renseignement de la police de la République islamique d’Iran et le soutien de la population locale.

L’opération s’est déroulée ce vendredi 18 avril, dans le district de Kurin et s’inscrivait dans le cadre de la campagne « Martyrs de la sécurité », ayant lieu depuis plusieurs mois.

Un chef important du groupe terroriste Jaish al-Adl, identifié comme Wali Muhammad Shahbakhsh, a ainsi été éliminé. Il était recherché pour une série d’attentats terroristes perpétrés dans la région l’année dernière.

 

Musab Hassan Adili, un Palestinien de vingt ans, enlevé par Israël, est décédé à l’hôpital Soroka dans les territoires occupés. Il est le 64e Palestinien mort en détention depuis le 7 octobre 2023.

Selon la Commission des affaires des détenus et des anciens prisonniers ainsi que le Club des prisonniers palestiniens, le décès de Musab est survenu seulement trois jours avant sa libération prévue.

Musab, habitant du village d’Osarin en Cisjordanie, a été enlevé par des soldats israéliens le 22 mars 2024. Il a été par la suite condamné à un an et demi de prison.

Ces organisations de défense des droits des prisonniers palestiniens ont renouvelé leur appel aux organisations internationales des droits de l’homme pour qu’elles prennent des mesures efficaces afin de tenir les dirigeants du régime israélien responsables des crimes de guerre qu’ils commettent contre le peuple palestinien, et pour qu’elles imposent des sanctions au régime de Tel-Aviv.

Depuis le déclenchent de la guerre génocidaire d’Israël contre la bande de Gaza, au moins 64 personnes enlevées par les sionistes sont mortes en prison, dont beaucoup sous la torture.

Ce chiffre ne concerne cependant que les Palestiniens enlevés dont les noms sont connus. De nombreux autres Palestiniens non identifiés auraient été tués après avoir été enlevés par les militaires israéliens à Gaza ou en Cisjordanie.

De nombreux Palestiniens sont morts après avoir subi d’intenses tortures physiques aux mains de leurs ravisseurs israéliens.

 

Cette année encore, la Journée de l'armée de la République islamique d'Iran a été célébrée en ce vendredi 18 avril. À cette occasion, un grand défilé au cours duquel une importante présence de drones militaires a attiré l'attention, a été organisé près du mausolée de l’imam Khomeini, dans le sud de Téhéran en présence du président Massoud Pezeshkian. L'événement national a également eu lieu simultanément dans les capitales provinciales du pays.

Parmi les officiels présents lors de la cérémonie, figuraient des commandants de haut rang des forces armées.

Les différentes unités motorisées et d'infanterie des forces armées, incluant les branches terrestre, aérienne, maritime et de défense, ont mené une démonstration de force.

Une frappe aérienne de l’armée américaine a touché le port pétrolier de Ras Isa, dans le nord-ouest du Yémen, tuant des dizaines de personnes dont des ouvriers et des membres du personnel paramédical, provoquant également la blessure d’une centaine d’autres.

L’installation en question, dans le gouvernorat de Hudaydah, a été la cible d’au moins deux attaques dans la nuit du jeudi 17 au vendredi 18 avril. La deuxième attaque a eu lieu alors que les équipes de la Défense civile et les secouristes luttaient contre les incendies et s’occupaient des victimes. Cette deuxième frappe a coûté la vie à au moins cinq membres du personnel paramédical.

Selon la chaîne d’information libanaise Al-Mayadeen, au moins 38 personnes ont été tuées lors de cette attaque, tandis qu’environ 102 autres ont été blessées.

 

Israël n’a plus l’intention de se retirer des territoires qu’il occupe actuellement dans la bande de Gaza, le sud du Liban et le sud de la Syrie, a annoncé le ministre israélien de la Guerre, Israël Katz, signe de la politique de présence militaire prolongée, voire permanente du régime sioniste dans des territoires reconnus internationalement comme n’étant pas sous sa souveraineté.

Dans un communiqué récent, Katz a déclaré que l’armée du régime allait rester déployée dans les zones dites de sécurité pour soi-disant assurer la sécurité des colons dans la région.

« Contrairement au passé, l’armée israélienne n’évacue pas les zones qui ont été nettoyées et saisies », a-t-il lancé.

Cette position met à mal les mécanismes de cessez-le-feu négociés et rouvre la question de l’occupation illégale du régime dans une région déjà déchirée par les conflits.

À paris, des centaines de journalistes se sont symboliquement allongés sur les marches de l'Opéra Bastille pour rendre hommage aux plus de 200 de leurs confrères palestiniens tués à Gaza depuis le début de la guerre génocidaire du régime israélien contre la bande assiégée en octobre 2023.

Vêtus de gilets de presse marqués de taches rouges symboliques, des journalistes ont formé le mercredi 16 avril un die-in simulant la mort en plein cœur de la capitale française. À mesure que les noms des journalistes tués par l’armée israélienne étaient annoncés, une rangée de journalistes français s’allongeaient. Ils étaient ainsi plus de deux cents, étendus sur les marches de l’Opéra Bastille. Un journaliste français pour un journaliste palestinien assassiné.

Cette protestation dénonce en effet les assassinats ciblés sans précédent de ceux qui tentent de documenter et de relater les événements survenant dans la zone assiégée palestinienne de Gaza où plus de 51 000 personnes ont été tuées.

Une journaliste a partagé avec Middle East Eye l'évolution des perceptions au sein des rédactions françaises concernant la couverture médiatique de la guerre à Gaza.

« Je fais partie d'un groupe de journalistes de couleur, et le silence qui entoure le génocide à Gaza nous touche profondément. C'est un sujet que nous avons longtemps refusé d'aborder dans notre travail », a déclaré Célia Gueuti, journaliste à Radio France.

« Parler de Gaza était devenu quelque peu tabou. Quand on veut en parler, on est perçu comme un militant et non comme un journaliste, et on nous accuse de ne parler de la guerre que sous l'angle racial. C'est un sujet sur lequel on nous a souvent passé sous silence », a-t-elle ajouté.

 

Au Nom d'Allah, le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux

 

Louange à Allah, Seigneur de l'univers, et paix et salutations à notre Maître Muhammad et à sa Lignée pure.

 

Je souhaite soulever quelques points au sujet d’Hazrat Hamza qui est vraiment un des compagnons les moins connus du Messager de Dieu (as), malgré le rôle qu'il a joué lorsqu'il a annoncé sa foi. La façon dont il a annoncé sa foi était également très étonnante, il a publiquement crié qu'il était devenu musulman après avoir sévèrement battu Abu-Jahl, comme le cite Ibn Athir dans son Assad al-Ghabah. C'était sa manière de croire et lors de son émigration à Médine – dans cette glorieuse forteresse islamique que le Saint Prophète(pslf) voulait construire – ​​sa présence a été très efficace. Selon un récit également, la première Saryah (petite armée que le Prophète a envoyée sans y participer lui-même) que le Saint Prophète a envoyée était dirigée par Hazrat Hamza. Le prophète (as) lui a donné une bannière et l'a envoyé au combat. Son rôle a également été remarquable dans la bataille de Badr, avec deux autres grandes personnalités, et dans la bataille d'Uhud. Apparemment, c'est après la bataille de Badr qu'un des captifs a demandé qui était celui qui s'était battu aussi courageusement et avait un emblème cousu sur ces vêtements. Chaque fois qu’Hazrat Hamza combattait, il avait un emblème sur ses vêtements. Ils ont répondu : « C’est Hamza ibn Abdul-Mutallib ». Le captif a dit : « C'est lui qui nous a écrasés et le responsable de tout ce qui nous est arrivé ». Il a anéanti l'armée des mécréants lors de la bataille de Badr. C’était une telle personnalité mais malgré cela, c'est une personnalité méconnue. Il n'est pas connu comme il le mérite et il n'y a pas de bonnes biographies sur lui ni de livres sur ses qualités.

Que Dieu fasse miséricorde à Mustafa Aqqad qui a dépeint cette grande personnalité dans une magnifique œuvre d'art intitulée « Le Message » - c'était vraiment magnifique, en particulier la partie sur Hamza. L'acteur [Anthony Quinn] qui jouait le rôle de Hamza était connu et renommé. Nous devrions encore le remercier d'avoir réalisé un film aussi intéressant. Il a réussi à dépeindre la vie de cette grande personnalité, dans une certaine mesure bien sûr. Ce genre de travail devrait être poursuivi et également fait, sur d’autres compagnons du Saint Prophète(pslf), comme Ammar et Salman. Quant à Meghdad, qui le connaît comme il le mérite ? Qui sait ce qu'il a fait ? Il y a une narration sur les compagnons de premier rang du Saint Prophète(pslf). Ces personnalités sont très importantes et leur nom devrait être ravivé. Il en est de même pour Ja'far ibn Abi-Talib dont la vie renferme un grand potentiel de travail artistique et dramatique. Son voyage en Abyssinie, les événements qui s'y sont déroulés et son retour sont d'excellents matériaux pour un travail artistique. La première chose que l'on peut donc dire à propos de cette grande personnalité, est qu'il n'est pas connu comme il le mérite.

Le Commandeur des Croyants [L’Imam Ali] (as) l'a également mentionné dans une narration de Nour al-Thaghalain tirée d’une narration d'al-Khissâl.

 L'Imam Bagher (as) cite Le Commandeur des Croyants (as) qui dit : « Moi, mon oncle Hamza, mon frère Ja'far et mon cousin Ubaidah » avons fait une alliance avec Dieu sur un ordre, et nous nous sommes engagés envers Dieu et Son Messager (pslf)». Ils se sont mis d'accord sur une question et ont conclu un accord : le Commandeur des Croyants (as), son frère qui avait deux ans de plus que le Saint Prophète (as), selon une narration, et Hazrat Hamza qui avait deux ou quatre ans de plus que le Saint Prophète et était aussi le frère de lait du Saint Prophète(pslf). Le Commandeur des Croyants (as) a conclu une alliance avec son oncle, son frère et son cousin sur une question qui était naturellement le «Djihad jusqu'au martyre». Cela signifie qu'ils continueraient sur cette voie jusqu'à la fin. Ensuite, le Commandeur des Croyants (as) dit : « Nous nous sommes engagés envers Dieu et Son Messager (as), mais ces trois-là m'ont dépassé » et m'ont précédé dans le martyre :« J'ai été abandonné jusqu'à ce que Dieu, Tout-Puissant, m’accepte:

 « Parmi les Croyants, il y a des hommes qui ont été fidèles à leur alliance avec Dieu. Parmi eux, certains ont accompli leur vœu, et certains attendent encore»,  (le Commandeur des Croyants cite le verset 23 de la sourate 33 du Saint Coran).

 Hamza, Ja'far et Ubaidah sont les trois personnes concernées par cette partie du verset : « Parmi eux, certains ont accompli leur vœu ». Ce sont des personnalités très importantes. Le Commandeur des Croyants (as) les mentionne en termes élogieux. Ces personnalités doivent être mises en valeur, commémorées et louées. De telles narrations montrent l'importance d’Hazrat Hamza.

Après le martyre de Hamza, le Saint Prophète (as) a décidé de faire de lui un modèle et l’a surnommé  « Le Maître des Martyrs ». 

Lorsqu'il(pslf) est revenu à Médine après la bataille de Uhud, il a vu que les femmes de Médine pleuraient pour les martyrs. Quatre des martyrs faisaient partie des immigrés et 68, des Ansâr. Leurs femmes pleuraient et gémissaient. Le Saint Prophète (pslf) les a écoutées pendant un moment, puis a demandé : « Il n'y a personne pour pleurer Hamza ? » Lorsque la nouvelle du martyre de Hamza est parvenue aux femmes de Médine, elles ont dit qu'elles pleureraient pour Hamza avant de pleurer pour leurs proches. En d'autres termes, le Saint Prophète (pslf) a encouragé tout Médine à pleurer pour lui. Il s'agissait de la création d'un modèle non seulement pour ceux qui vivaient à cette époque, mais pour toute l'histoire et tous les musulmans. 

 

Maintenant, ce qu'il faut faire, c'est déterminer les éléments qui constituent la personnalité de Hamza et montrer les qualités qui lui ont donné une telle grandeur. À mon avis, c'est une des tâches importantes. Ces qualités doivent devenir un modèle pour nous et pour les autres. À mon avis, il y a deux qualités importantes qui constituaient sa personnalité : l'une est sa ferme détermination et l'autre, sa perspicacité. Nous devons présenter ces deux qualités autant que possible. L'une est la ferme détermination. 

Hazrat Hamza est devenu musulman huit ans après le début de la mission du Saint Prophète. Ceci est cité dans le « Assad al-Ghabah » d’Ibn Athir. Ces jours étaient les jours les plus difficiles pour le Saint Prophète (pslf) parce que l'Islam venait juste d'être annoncé publiquement et le Saint Prophète (pslf) et ses compagnons étaient attaqués de toutes parts. Bien sûr, Hamza a défendu le Prophète (pslf) avant de devenir musulman, dès le premier jour. Lorsque Hazrat Abu Talib a eu des problèmes pécuniaires et que le prophète (pslf) a accepté d’héberger Amir al-Mu'minin [L’Imam Ali] chez lui, Hamza(selon certains sources) a aussi hébergé Ja'far, l’autre enfant d’Abu Talib, chez lui, tout cela bien avant l’avènement de l’islam. Les difficultés dont nous avons entendu parler concernent ces années. Dans ces circonstances très difficiles pour les musulmans, il a annoncé en criant à la mosquée Masdjid al-Haram à côté de la Kaaba, qu'il était devenu musulman et qu'il croyait à la religion du Saint Prophète (pslf).

Tels étaient son courage, sa ferme détermination et sa perspicacité. Comprendre correctement les choses est très important. Nous devrions apprendre, ainsi qu'à notre peuple, à réfléchir attentivement à diverses questions et à prendre des décisions correctes :

« Et ils dirent : "Si nous avions écouté ou raisonné, nous ne serions pas parmi les gens de la Fournaise". Ils ont reconnu leur péché » [Coran 67 : 10-11].

 Ne pas écouter et ne pas réfléchir attentivement sont des péchés. Le Saint Coran le dit clairement. Selon le Commandeur des Croyants (as), cité par l'Imam Bagher (as), Hazrat Hamza était le symbole du verset :

« Parmi les Croyants, il y a des hommes qui ont été fidèles à leur alliance avec Dieu ».

Comment être « fidèle à son alliance avec Dieu » ? La façon la plus complète est de devenir un modèle de respect des enseignements et des commandements divins, et d'avancer sur le chemin que Dieu a montré. Autrement dit, de telles personnalités deviennent une manifestation de ces qualités. Nous devrions apprendre cela, In Sha Allah.

Si des élites dans la société, essaient de former de telles personnalités, chacune d'entre elles pourra sauver la société aux moments sensibles. C'est vraiment le cas. Il ne faut pas se contenter de former des gens ou de prêcher, pour qu'ils croient en quelque chose, d'une manière ou d'une autre. Non, les organisations doivent concentrer leurs efforts sur la formation de telles personnalités....

Extrait de discours d'Imam Khamenei aux responsables de la conférence internationale sur Hazrat Hamza(as)

Jeudi 17 avril 2025, le ministre saoudien de la Défense, Khaled ben Salmane, a été reçu à Téhéran par le Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Seyyed Ali Khamenei. Au cours de cette rencontre, le prince Khaled ben Salmane a remis la lettre du roi d’Arabie saoudite, Salmane ben Abdelaziz au Leader de la Révolution islamique.

Lors de cette rencontre, le Leader de la Révolution islamique a affirmé que le développement des relations entre la République islamique d’Iran et l’Arabie saoudite seraient constructif pour les deux pays qui - dans l’optique de l’Ayatollah Khamenei - peuvent se compléter l’un l’autre.

Faisant part des hostilités qui existent envers le renforcement des relations bilatérales Téhéran-Riyad, le Leader de la Révolution islamique a souligné que les deux pays doivent surmonter les obstacles dressés par les intentions malveillantes, et a affirmé que la République islamique d’Iran était prête à le faire.

En outre, le Leader de la Révolution islamique a fait allusion aux « progrès réalisés par l’Iran » dans divers domaines, et a déclaré au ministre saoudien de la Défense que la République islamique d’Iran était prête à les partager avec le royaume. 

« Il vaut mieux que les [pays] frères de la région coopèrent et s’entraident plutôt que de dépendre des autres », a précisé le Leader de la Révolution islamique.

Pour sa part, le ministre saoudien de la Défense s’est déclaré très satisfait de la réunion à laquelle a également participé le chef d’état-major des forces armées iraniennes, le général de division Mohammad Bagheri.

« Je suis venu à Téhéran avec l’intention de contribuer au développement des relations avec l’Iran et de notre coopération dans tous les domaines », a déclaré le prince Khaled ben Salmane.

« Nous espérons que les discussions constructives permettront de renforcer les relations entre l’Arabie saoudite et la République islamique d’Iran par rapport au passé », a-t-il ajouté.

À noter que le ministre saoudien de la Défense s’est rendu ce jeudi matin à Téhéran. Dès son arrivée, il a été officiellement accueilli par le chef d’état-major des forces armées iraniennes, le général de division Mohammad Bagheri.

Lors de son déplacement en Iran, Khaled ben Salmane va s’entretenir avec le général Bagheri, ainsi qu’avec de hauts responsables politiques et sécuritaires de la République islamique d’Iran.

Le développement des relations en matière de défense, la coopération régionale dans le but de renforcer la paix et la sécurité et de lutter contre le terrorisme seront au cœur des discussions de hauts responsables iraniens et saoudiens.

En images : Le Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, a reçu le ministre saoudien de la Défense, Khaled ben Salmane, jeudi 17 avril à Téhéran.