تقي زاده

تقي زاده

Il s'agit du deuxième discours post-électoral bien codifié de Nasrallah, qu'il a prononcé le vendredi 20 mai, à l'occasion du sixième anniversaire de l'assassinat de l'un des principaux commandants du Hezbollah en Syrie, Mustafa Badreddine.

"La Nakba de 1948 a été une catastrophe pour tous les Arabes et les peuples de la région qui souffrent encore de ses conséquences. Cela fait 74 ans, depuis la Nakba de 1948, que notre région vit avec des guerres. Le Liban aurait été confronté à une catastrophe similaire à celle de la Palestine si l'occupation israélienne n'avait pas été chassée du Liban".

Les propos tenus par le ministre syrien des Affaires étrangères, ce mercredi, sont uniques dans la mesure où ils sont non seulement un avertissement à l'adresse des troupes d'occupation américaines, mais bien plus une déclaration de guerre : la présence US en Syrie touche à sa fin, a dit le ministre. La Syrie prépare-t-elle une méga offensive ? Qu'a dit Meqdad ?

Fayçal Meqdad a déclaré, jeudi 19 mai, que les régions syriennes occupées par les Américains seraient bientôt sous le contrôle du gouvernement d’Assad.

Lors d’un entretien accordé à la chaîne de télévision al-Ikhbaria, le ministre syrien des Affaires étrangères a souligné que la présence illégale des États-Unis dans le nord de la Syrie toucherait bientôt à sa fin et que toutes les régions actuellement occupées par les Américains seraient prochainement sous le contrôle du gouvernement syrien.

Le changement de tactique de Daech à mener des opérations terroristes est inextricablement lié à la nouvelle stratégie américaine visant à relancer ses projets ratés dans la région.

Cinq ans après la fin du soi-disant califat de Daech, des éléments de ce groupe terroriste takfiriste opèrent toujours, sous forme de cellules dormantes, en divers points notamment en Irak et en Syrie et au fil des années, ils ont profité de la moindre petite occasion pour faire une démonstration de force.

Depuis le début de l'année 2021 et simultanément avec les développements qui ont eu lieu dans la région, notamment après le changement du gouvernement américain, qui s'est accompagné d'un changement de sa politique apparente au Moyen-Orient, les actions des éléments de Daech ont augmenté de manière significative. Et les éléments de ce groupe takfiriste ont commis plusieurs crimes en Irak et en Syrie, dont le plus marquant a été les explosions sanglantes à Bagdad en janvier 2021.

 

Selon Russia Today, la Chine souhaite élargir le groupe d'économies émergentes connu sous le nom de BRICS, dans le cadre du premier remaniement du bloc depuis plus de dix ans, a déclaré jeudi un haut diplomate chinois.

Le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine ont initialement formé le bloc en 2009, l'Afrique du Sud l'ayant rejoint en 2010.

"La Chine propose de lancer le processus d'expansion des BRICS, d'explorer les critères et les procédures d'expansion et de former progressivement un consensus", a déclaré Wang Yi, conseiller d'État et ministre des affaires étrangères chinois.

Le conflit actuel en Ukraine a un fort aspect financier international. La Russie, l'un des cinq pays "BRICS" (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), est confrontée à de nouvelles séries de sanctions. Selon le rapport, les BRICS représentent plus de 16 % du commerce mondial.

 

Dans un discours, le leader d'Ansarallah a souligné la nécessité de poursuivre la voie de la résistance contre les occupants pour parvenir à l'indépendance et à la liberté au Yémen.

Selon la chaîne Al-Masirah, le chef du mouvement Ansarallah, Abdul Malik Badruddin al-Houthi, a vivement critiqué le conseil "présidentiel" qui remplace le gouvernement du président yéménite déchu et fugitif Abd Rabbo Mansour Hadi.

Bas les masques ! Annonce officielle de l'envoi d'armes israéliennes en Ukraine et la Russie qui se trouve face à un choix, celui d'enrayer Israël en Syrie en abattant ses avions dans le ciel syrien, voire israélien, ou de s'attendre à voir ses navires être visés en mer Noire par les missiles Blue Spear israéliens et ses avions par la DCA Barak 8 embarqués.

Le ministre israélien des Affaires militaires a officiellement annoncé la fourniture d'armes à l'Ukraine.

Selon Benny Gantz, « en plus d’octroyer une aide humanitaire à l'Ukraine, Israël lui fournira également une assistance militaire ».

« Nous soutenons l'Ukraine et lui fournissons une assistance humanitaire et militaire, tout en tenant compte des aspects les plus larges des intérêts d'Israël », a déclaré le ministre israélien des Affaires militaires, Benny Gantz, lors d'une conférence à l'Université Reichmann à Herzliya.

Selon des informations non confirmées, Israël pourrait transférer à l'Ukraine plusieurs lots d'armes légères, de matériel de reconnaissance, ainsi que les missiles Spike.

 

Interrompant sa série d’articles sur la guerre en Ukraine, Thierry Meyssan livre quelques réflexions sur l’évolution de la dimension humaine de la guerre. La fin du capitalisme industriel et la globalisation des échanges ne transforment pas seulement nos sociétés et nos manières de penser, mais la signification de toutes nos activités, dont les guerres. 

 

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, il y a 77 ans, les Européens (sauf les ex-Yougoslaves) connaissent la paix sur leur sol. Ils ont oublié ce lointain souvenir et découvrent la guerre avec horreur en Ukraine. Les Africains des Grands lacs, les ex-Yougoslaves et les musulmans d’Afghanistan à la Libye en passant par la corne de l’Afrique, les observent avec dégoût : durant de longues décennies, les Européens ont ignoré leurs souffrances et les accusaient d’être responsables des malheurs qu’ils subissaient.

La guerre d’Ukraine a débuté avec le nazisme selon les uns, il y a huit ans selon d’autres, mais elle n’a que deux mois dans la conscience des Occidentaux. Ils constatent une partie des souffrances qu’elle cause, mais n’en perçoivent pas encore toutes les dimensions. Surtout, ils l’interprètent à tort en fonction de l’expérience de leurs arrières grands-parents et pas ce qu’ils vivent.

LES GUERRES NE SONT QUE DES SUCCESSIONS DE CRIMES

 Dès qu’elle s’enclenche, la guerre interdit les nuances. Elle somme chacun de se positionner dans un des deux camps. Ceux qui n’obtempèrent pas sont immédiatement broyés par les deux mâchoires de la bête.
 L’interdiction des nuances contraint chacun à réécrire les événements. Il n’y a plus que des « bons », nous, et des « méchants », ceux d’en face. La propagande de guerre est tellement puissante qu’au bout d’un moment, plus personne ne distingue les faits de la manière dont ils sont décrits. Nous sommes tous plongés dans le noir et nul ne sait plus comment allumer la lumière.
 La guerre fait souffrir et tue sans distinction. Peu importe à quel camp on appartient. Peu importe que l’on soit coupable ou innocent. On souffre et meurt non seulement des coups de ceux d’en face, mais aussi collatéralement de ceux de son propre camp. La guerre, ce n’est pas seulement la souffrance et la mort, mais aussi l’injustice, beaucoup plus difficile à supporter.
 Aucune des règles des nations civilisées ne subsiste. Beaucoup cèdent à la folie et ne se comportent plus comme des humains. Il n’y a plus d’autorité pour placer chacun en face des conséquences de ses actes. On ne peut plus compter sur la plupart des gens. L’homme est devenu un loup pour l’homme.

Il se passe alors quelque chose de fascinant. Si des gens se transforment en bêtes cruelles, d’autres deviennent lumineux et leur regard nous éclaire.

J’ai passé une décennie sur les champs de bataille sans jamais rentrer chez moi. Si je fuis aujourd’hui la souffrance et la mort, je reste irrésistiblement attiré par ces regards. C’est pourquoi je déteste la guerre et pourtant, elle me manque. Car dans cet enchevêtrement d’horreurs luit toujours une forme sublime d’humanité.

LES GUERRES DU XXIÈME SIÈCLE

Je voudrais maintenant vous présenter quelques réflexions qui ne vous engagent pas dans tel ou tel conflit, et encore moins pour tel ou tel camp. Je vais juste soulever un voile et vous inviter à regarder ce qu’il cachait. Ce que je vais évoquer va peut-être vous choquer, mais nous ne pourrons trouver la paix qu’en acceptant la réalité.

Les guerres évoluent. Je ne parle pas ici des armes et des stratégies militaires, mais des raisons des conflits, de leur dimension humaine. De même que le passage du capitalisme industriel à la globalisation financière transforme nos sociétés et pulvérise les principes qui les organisaient, de même cette évolution change les guerres. Le problème c’est que nous sommes déjà incapables d’adapter nos sociétés à ce changement structurel et donc encore moins capables de penser l’évolution de la guerre.

 La guerre cherche toujours à résoudre les problèmes que la politique a échoué à régler. Elle ne survient pas quand on y est prêt, mais quand on a éliminé toutes les autres solutions.

C’est très exactement ce qui se passe aujourd’hui. Les Straussiens états-uniens ont inexorablement acculé la Russie en Ukraine ne lui laissant pas d’autre option que d’entrer en guerre. Si les Alliés s’entêtent à la pousser dans ses retranchements, ils provoqueront une Guerre Mondiale.

Les périodes entre deux époques, lorsqu’il faut repenser les rapports humains, sont propices à ce genre de catastrophes. Certains continuent à raisonner selon des principes qui prouvèrent leur efficacité, mais ne sont plus adaptés au monde. Ils avancent pourtant et peuvent provoquer des guerres sans le vouloir.

Dans la nuit du 9 mai 1945, l’aviation états-unienne bombarda Tokyo. En une nuit plus de 100 000 personnes furent tuées et plus d’1 million se retrouvèrent sans abri. C’est le plus grand massacre de civils de l’histoire.

 Si, en temps de paix, on distingue les civils des militaires, cette manière de raisonner n’a plus de sens durant les guerres modernes. Les démocraties ont balayé l’organisation des sociétés en castes ou en ordres. Chacun peut devenir un combattant. Les levées en masse et les guerres totales ont brouillé les cartes. Désormais ce sont les civils qui commandent les militaires. Ils ne sont plus d’innocentes victimes, mais sont devenus les premiers responsables du malheur général dont les militaires ne sont que les exécutants.

Au Moyen-Âge occidental, la guerre était l’affaire des nobles et d’eux seuls. En aucun cas les populations n’y participaient. L’Église catholique avait édicté des lois de la guerre afin de limiter l’impact des conflits sur les civils. Tout cela ne correspond plus à ce que nous vivons et ne repose plus sur rien.

L’égalité homme-femme a elle aussi renversé les paradigmes. Non seulement désormais des soldats sont des femmes, mais elles peuvent être des commandants civils aussi. Le fanatisme n’est plus l’exclusivité d’un sexe réputé fort. Certaines femmes s’avèrent plus dangereuses et cruelles que certains hommes.

Nous ne sommes pas conscients de ces changements. En tous cas nous n’en tirons aucune conclusion. Il s’en suit des positions bizarres comme le refus des Occidentaux de rapatrier les familles des jihadistes qu’ils ont laissé partir sur les champs de bataille et de les juger. Chacun sait que beaucoup de ces femmes sont bien plus fanatisées que ne l’étaient leurs époux. Chacun sait qu’elles représentent un danger bien plus grand. Mais personne ne le dit. On préfère payer des mercenaires kurdes pour les garder avec leurs enfants dans des camps, le plus loin possible.

Seuls les Russes ont rapatrié les enfants, pourtant déjà contaminés par cette idéologie. Ils les ont confiés à leurs grands-parents en espérant que ceux-ci parviendraient à les aimer et à les soigner.

Depuis deux mois, nous accueillons des civils ukrainiens qui fuient les combats. Ce ne sont que des femmes et des enfants qui souffrent. Nous ne prenons donc pas de précautions. Pourtant un tiers de ces enfants ont été formés dans les camps de vacances des bandéristes. Ils y ont appris le maniement des armes et l’admiration du criminel contre l’humanité Stepan Bandera. Les Conventions de Genève ne sont qu’un vestige du moment où nous raisonnions en humains. Elles ne collent à aucune réalité. Ceux qui les appliquent ne le font pas parce qu’ils s’y croient obligés, mais parce qu’ils espèrent ainsi rester humains et ne pas sombrer dans un océan de crimes. La notion de « crime de guerre » n’a aucun sens puisque le but de la guerre est de commettre des successions de crimes pour emporter la victoire que l’on n’a pas pu obtenir par des moyens civilisés et qu’en démocratie, chaque électeur est responsable.

Jadis, l’Église catholique avait interdit les stratégies dirigées contre les civils, comme le siège des villes sous peine d’excommunication. Outre qu’aujourd’hui il n’y a plus d’autorité morale pour faire respecter de règles, personne n’est choqué par les « sanctions économiques » touchant des peuples entiers, jusqu’à provoquer des famines meurtrières comme ce fut le cas contre la Corée du Nord.

Vu le temps dont nous avons besoin pour tirer les conclusions de ce que nous faisons, nous continuons à considérer certaines armes comme interdites tout en les utilisant nous-mêmes. Par exemple, le président Barack Obama avait expliqué que l’usage des armes chimiques ou biologiques est une ligne rouge à ne pas franchir, mais son vice-président Joe Biden a installé un vaste système de recherche en la matière en Ukraine. Les seuls à s’interdire à eux-mêmes toute arme de destruction massive sont les Iraniens depuis que l’imam Ruhollah Khomeini les a moralement condamnées. Précisément, ce sont eux, qui ne font rien de la sorte, que nous accusons de vouloir fabriquer une bombe atomique.

 Par le passé, on déclarait des guerres pour s’emparer de territoires. À la fin, on signait un Traité de paix pour modifier le cadastre. À l’heure des réseaux sociaux, l’enjeu est moins territorial et plus idéologique. La guerre ne peut se terminer que par le discrédit s’abattant sur une manière de penser. Bien que des territoires aient changé de mains, certaines guerre récentes ont donné lieu à des armistices, mais aucune à un Traité de paix et à des réparations.

Nous voyons bien que, malgré le discours dominant en Occident, la guerre d’Ukraine n’est pas territoriale, mais idéologique. D’ailleurs le président Volodymyr Zelensky est le premier chef de guerre de l’histoire à s’exprimer plusieurs fois par jour. Il passe beaucoup plus de temps à parler qu’à commander son armée. Il rédige ses interventions autour de références historiques. Nous réagissons aux souvenirs qu’il évoque et ignorons ce que nous ne comprenons pas. Aux Anglais, il parle comme Winston Churchill, ils l’applaudissent ; aux Français, il rappelle Charles De Gaulle, ils l’applaudissent ; etc… À tous, il conclut « Gloire à l’Ukraine ! », ils ne comprennent pas l’allusion qu’ils trouvent jolie.

Ceux qui connaissent l’histoire de l’Ukraine reconnaissent le cri de guerre des bandéristes. Celui qu’ils hurlaient en massacrant 1,6 million de leurs concitoyens dont au moins 1 million de juifs. Mais comment un Ukrainien pourrait-il appeler à massacre d’autres Ukrainiens et un juif à massacrer des juifs ?

Notre innocence nous rend sourds et aveugles.

Pour la première fois dans un conflit, l’une des parties a censuré les médias ennemis avant que la guerre ne commence. RT et Sputnik ont été fermés dans l’Union européenne parce qu’ils auraient pu contester ce qui allait suivre. Après les médias russes, des médias d’opposition commencent à être censurés. Le site du Réseau Voltaire, Voltairenet.org, est censuré en Pologne depuis un mois sur décision du Conseil de sécurité nationale.

 La guerre ne se limite plus au champ de bataille. Il devient indispensable de conquérir les spectateurs. Durant la guerre d’Afghanistan, le président états-unien George W. Bush et le Premier ministre britannique, Tony Blair, ont envisagé de détruire la chaîne de télévision par satellite, Al-Jazeera. Elle n’avait aucun impact sur les belligérants, mais donnait à penser aux spectateurs du monde arabe.

Notez bien qu’après la guerre de 2003 en Iraq, des chercheurs français ont imaginé que la guerre militaire se muerait peut-être en guerre cognitive. Si la faribole des armes de destruction massives de Saddam Hussein n’a tenu que quelques mois, la manière dont les États-Unis et le Royaume-Uni étaient parvenus à la faire admettre par tous était parfaite. En définitive, l’Otan a fini par ajouter à ses cinq domaines d’intervention habituels (air, terre, mer, espace et cybernétique), un sixième : le cerveau humain. Si l’Alliance évite actuellement de s’affronter à la Russie dans les quatre premiers, elle est déjà en guerre dans les deux derniers domaines.

Au fur et à mesure que les domaines d’intervention s’élargissent, la notion de belligérant s’efface. Ce ne sont plus des hommes qui s’affrontent, mais des systèmes de pensée. La guerre se globalise donc. Durant la guerre de Syrie, plus d’une soixantaine d’État n’ayant aucun rapport avec ce conflit y envoyèrent des armes et aujourd’hui, une vingtaine d’État en envoient en Ukraine. Comme nous ne comprenons pas les événements en direct, mais les interprétons au regard du monde ancien, nous avons cru que les armes occidentales étaient utilisées par l’opposition démocratique syrienne alors qu’elles allaient aux jihadistes et nous sommes persuadés qu’elles vont à l’armée ukrainienne et pas aux bandéristes.

L’enfer est pavé de bonnes intentions.

 
samedi, 21 mai 2022 10:17

IMAM ALI ET LES ORPHELINS

Imam Ali et les orphelins
L’Imam Ali (p) était très bienfaisant envers les enfants, en particulier envers les orphelins. S’il voyait un orphelin pleurer, il arrêtait tout ce qu’il faisait, se baissait, et saluait l’enfant. Il essuyait les larmes de ce petit être, mettait sa main sur l’épaule de l’enfant et disait : « Mon enfant, pourquoi pleures-tu ? quelqu’un t’a-t-il blessé ? viens, laisse-moi te ramener à la maison. L’Imam emmenait l’enfant et le traitait mieux que tout père. Il apportait des sucreries, des gâteaux et du miel et s’occupait lui-même de nourrir l’enfant par ses propres mains. 
L’imam Ali (p) avait pour habitude de dire à ses partisans d’aimer et d’être bon envers les orphelins, spécialement les orphelins des martyrs morts sur le chemin d’Allah. « Ils ont perdu leurs pères bien aimés » disait-il. « Remontez-leur donc le moral et prenez soin d’eux comme un père. Leurs pères sont tombés en martyrs dans le Jihad pour le bien de l’islam, ils ont donc des droits sur vous. Rendez leurs âmes heureuses avec vous en acclamant leurs enfants et prenez soin d’eux. »
L’imam Ali (p) était toujours attentif aux orphelins, en particulier ceux des martyrs. Il avait pour habitudes de les visiter, s’asseoir, discuter et jouer avec eux. Il avait pour habitude de prendre soin de leur éducation et de leur formation. Il s’efforçait de résoudre leurs difficultés, et leur offrait toujours la guidance ainsi que des conseils. Il leur apportait des cadeaux, et s’ils étaient pauvres il prévoyait leurs dépenses.
L’Imam Ali (p) était si bon envers les orphelins et dépensait tellement d’effort pour eux dans ses enseignements et ses actions que l’un de ses compagnons dit un jour : « Comme j’aimerais moi aussi être un jeune orphelin afin de recevoir la bonté et l’amour de l’Imam Ali (p) »
*Aimez et soyez bon envers les enfants, spécialement envers les orphelins*
Nous retrouvons beaucoup de narration montrant l’importance des soins envers les orphelins. Voici quelques-uns :
Abul Tufayl dit : « Je vis Ali (p) nourrissant les orphelins de miel lorsqu’un compagnon s’exclama : « comme je souhaiterai moi aussi être un orphelin ». (1)
Abu -Basir dit : « L’imam Sadiq (p) dit : « Ali (p) avait l’habitude de déclarer : « je suis le guide et le bien guidé. Je suis un père pour les orphelins, une aide pour les veuves et les démunis. Je suis le refuge des pauvres et des faibles et un asile pour tous les peuples opprimés. » (2)
Imam Ali (as) : « Celui qui prend en charge les soins des orphelins est favorisé aux yeux d’Allah. » (3)
« Celui qui prend soin des orphelins, ses enfants seront pris en charge. » (4)
« Celui qui oppresse un orphelin a rompu ses liens avec ses enfants. » (5)
Ô Ali (p) ! Qu’on perdu les orphelins lorsque tu as été frappé par Ibn Muljim (la) avec son épée empoisonnée…
Note:
(1) Bihar al-Anwar , Vol .41 , P. 29 : لوددت انی کنت یتیما
(2) Al-Ikhtisas , P. 242 : انا الهادی، انا المهدی، انا ابوالیتامی و المساکین، و زوج الارامل، و انا ملجأ کل ضعیف، و مأمن کل خائف
(3) Tasnif Ghurar al-Hikam , P. 409 : كَافِلُ الْيَتِيمِ‏ وَ الْمِسْكِينِ عِنْدَ اللَّهِ‏ مِنَ‏ الْمُكَرَّمِينَ
(4) Tasnif Ghurar al-Hikam , P. 410 : مَنْ‏ رَعَى الْأَيْتَامَ‏ رُوعِي فِي بَنِيهِ
(5) Tasnif Ghurar al-Hikam , P. 410 : مَنْ ظَلَمَ يَتِيماً عَقَّ أَوْلَادُهُ
 
Lorsque l’Imam Hassan et l’Imam Hussain enterrèrent l’Imam Ali et retournèrent chez eux, ils entendirent les plaintes d’un mendiant paralysé et aveugle dans un fossé, l’Imam Hassan s’approcha alors du mendiant et lui demanda :

- De quoi te plains-tu ?

Le mendiant répondit :

- Cela fait 3 jours que je suis affamé.

L’Imam Hassan lui demanda :

- Qui te nourrissait ?

Le mendiant répondit :

- Un homme venait tous les soirs me voir et s’asseyait à côté de moi, il mettait de la nourriture dans ma bouche et me consolait.

L’Imam Hassan lui demanda :

- Connaissais-tu cet homme ?

Le mendiant répondit :

- A chaque fois que je lui demandai son nom il me disait qu’il n’était qu’un simple serviteur d’Allah assis à côté d’un autre serviteur d’Allah.

L’Imam Hassan lui dit :

- Cet homme était mon père Ali, il a été assassiné et nous venons de l’enterrer.

Le mendiant demanda à l’Imam Hassan de l’emmener jusqu’à la tombe de l’Imam Ali et lorsqu’il arriva, il pleura à chaudes larmes et rendit l’âme.
samedi, 21 mai 2022 10:13

Yusuf_Versues_102_To_111

Yusuf_Versues_102_To_111
ذَٰلِكَ مِنْ أَنبَاءِ الْغَيْبِ نُوحِيهِ إِلَيْكَ ۖ وَمَا كُنتَ لَدَيْهِمْ إِذْ أَجْمَعُوا أَمْرَهُمْ وَهُمْ يَمْكُرُونَ ﴿١٠٢﴾  الی...? لقَدْ كَانَ فِي قَصَصِهِمْ عِبْرَةٌ لِّأُولِي الْأَلْبَابِ ۗ مَا كَانَ حَدِيثًا يُفْتَرَىٰ وَلَـٰكِن تَصْدِيقَ الَّذِي بَيْنَ يَدَيْهِ وَتَفْصِيلَ كُلِّ شَيْءٍ وَهُدًى وَرَحْمَةً لِّقَوْمٍ يُؤْمِنُونَ ﴿١١١﴾

Sourate 12, du Verset 102 ?
« Ce sont là des récits inconnus que NOUS te révélons. Et tu n'étais pas auprès d'eux quand ils se mirent d'accord pour comploter. »
Jusqu'au Verset 111 ?
« Dans leurs récits, il y a certes une leçon pour les gens doués d'intelligence. Ce n'est point là un récit fabriqué. C'est au contraire la confirmation de ce qui existait déjà avant lui, un exposé détaillé de toute chose, un Guide et une Miséricorde pour des gens qui croient. »


ALLĀH ﷻ veut que nous fassions attention à LUI et nous montre aussi les étapes vers la réapparition de l'Imam Mahdi (aj) en révélant la Sourate Youssef. Plus on parle de la religion, moins la plupart des gens ont la foi ? ومَا أَكْثَرُ النَّاسِ وَلَوْ حَرَصْتَ بِمُؤْمِنِينَ. (Pourtant, la plupart des gens n'auront pas la foi, aussi enthousiaste que vous puissiez l'être).
Selon les propos de l'Imam Ja'far Al-Sadeq (as), les gens se différencient à présent.
Beaucoup de gens étaient religieux et se sentaient en sécurité avec cela mais sont maintenant loin de la religion. Et d'autres personnes se tournent vers la religion.
Selon les dires, les conditions de la réapparition peuvent se produire immédiatement (très rapidement en un jour par ALLĀH ﷻ). Nous devons donc nous préparer à cela !

ALLĀH ﷻ dit au Prophète Mohammad (sawas) :
Dis, ceci est ma Voie. J'appelle à ALLĀH ﷻ avec perspicacité, moi et celui qui me suit ? قلْ هَـٰذِهِ سَبِيلِي أَدْعُو إِلَى اللَّهِ ۚ عَلَىٰ بَصِيرَةٍ أَنَا وَمَنِ اتَّبَعَنِي ۖ .
C'est exactement ce que l'Imam Mahdi (ajtfs) veut que nous fassions. Il veut que nous ayons de la perspicacité. Et il est impossible pour une personne dépendante du monde d'avoir de la perspicacité puisque la perspicacité signifie voir par le cœur, celui-ci devant être libre des dépendances du monde pour bien voir.

Nous devons donc continuer à implorer le pardon pour être véridique, voir la vérité par le cœur et avoir de la perspicacité.
Les frères de Youssef étaient désespérés et ont dit à leur père qu'il allait se détruire. Il en est de même aujourd'hui. De nombreux fidèles sont maintenant désespérés au sujet de la réapparition de l'Imam (ajtfs).
ALLĀH ﷻ a montré Youssef (as) à son père Yacoub (as) après que ses frères ont désespéré ? حتَّىٰ إِذَا اسْتَيْأَسَ الرُّسُلُ وَظَنُّوا أَّهُمْ قَدْ كُذِبُوا جَاءَهُمْ نَصْرُنَا فَنُجِّيَ مَن نَّشَاءُ ۖ.
In Sha ALLAH, le moment où les fidèles seront désespérés sera le moment de la réapparition.
Lorsque les apôtres ont perdu espoir et qu'ils ont pensé qu'on leur avait raconté des mensonges, L'Aide d'ALLĀH ﷻ leur est venue et IL a délivré qui IL voulait.

ALLĀH ﷻ dit que Son Châtiment sera sur les peuples coupables ? ولَا يُرَدُّ بَأْسُنَا عَنِ الْقَوْمِ الْمُجْرِمِينَ.... (Notre Châtiment ne sera pas détourné de la foule coupable).
Les gens coupables seront détruits. En général, nous sommes aussi coupables. Mais la personne qui a commis un péché, qui n'a pas plaidé le pardon et qui a intentionnellement commis son péché sera détruite. Il est dit à la fin du verset qu'il y a certainement une morale dans leurs récits pour ceux qui possèdent l'intellect ? لقَدْ كَانَ فِي قَصَصِهِمْ عِبْرَةٌ لِّأُولِي الْأَلْبَابِ.
 
Ces versets sont les moyens de notre guidance vers la réapparition de l'Imam Mahdi (ajtfs).
 
samedi, 21 mai 2022 10:05

Tafsir de la sourate al-Fatihat

*La sourate al-Fâtihat 

*سورة الفاتحة*
*بسم الله* 
*الرحمان َّ الر ِحيم*


*Bi-smi-Allâhu ar-Rahmâni ar-Rahîmi*

*Par [la grâce du] Nom de Dieu, le* *Tout-Miséricordieux, le* *Très-Miséricordieux*

*Bi « ..ب*

*Le « bi », quelle valeur a-t-il ?* *Une valeur*
*d’accompagnement de moyen,*
*de causalité,* *de manière,*
*de délégation ou de serment ?*

*Quel sens a-t-il ?*
*A quoi est-il rattaché ?*

  *«Nom* *اسم»*
  
*Un « Nom » ?*
*Le « Nom » de Dieu ?*
*Pourquoi l’insertion de ce mot entre la préposition et « Dieu » ?*

*Indique-t-il quelque chose de particulier ?* *Avons�nous un rapport spécifique avec le Nom ?*
*Si oui,*
*quel serait-il ?*

ِ *الله » Allâh »*

*Allâh !*
*Ce mot avec ces lettres « a, l, l,a, h »*
*a-t-il un sens particulier ?*

*Nous avons* *traduit ce mot en français*
*en mettant«Dieu»*
*le mot connu de tous les francophones. Pourquoi ?*
*Pour éviter que l’on perçoive,*
*si l’on mettait « Allâh »,*
*le*  *«Dieu des*
*Musulmans»*

*(comme si l’on parlait* *d’un autre dieu)*

*et non pas* *« Dieu tel vu par les Musulmans ».*
*Mais, il y a-t-il un sens particulier au mot même*
*transcrit phonétiquement* *« Allâh » ?*

*Reprenons..*

*(en nous aidant de l’interprétation d’al-Basmalah que l’Imam*
*Khomeiny(qs)* *avait présentée à la télévision iranienne*
*après la victoire de la Révolution islamique*
*et de Kashef al-ma3nâ*
*d’Ibn Arabî)*

*Le « bi » ne peut pas avoir :*
*-une valeur causale parce que le sujet,*
*en son fondement n’est pas de l’ordre de la cause à effet.*
*(Ici, nous parlons de Dieu et non de la création.*

*Les lois de la causalité ne concerne que le monde de la création* *(al-khalq).)*
*La meilleure locution que l’on peut trouver dans le Coran et qui pourrait exprimer l’ordre dans lequel on se trouve est la*
*« manifestation »* *de Dieu *({tajallâ rabbuhu}* *(143/VII))*
*ou l’« apparition »* *de Dieu* *(zhuhûr)* *({Huwa})*
*al-awwalu wa al-akhiru,* *azh-zhâhir wa al-bâtinu}*
*(3/LVII)).*
*-ni une valeur d’accompagnement*
*car ce serait faire de l’associationnisme* *(shirk)*
*en plus de faire* *preuve de* *Mécréance.*

*-ni de délégation*
*(« par délégation » de Dieu,*
*c’est-à-dire*
*« en lieu et place »* *ou de « la part » de Dieu)*
*comme laisse entendre la traduction de*
*« Au Nom de Dieu.. »*
*Nous ne sommes pas habilités*
*à parler en lieu et place de Dieu.*

*Le « bi »*
*aurait ici valeur de complément de moyen:*
*« par »* *ou « grâce à »*
*« je recherche l’aide de » ou*
*« je commence en plaçant mon action*
*sous la bénédiction de Dieu*
*par l’évocation de ces/Ses*
*deux Noms ».*

*D’où le choix d’avoir traduit par*
*« Par [la grâce du] ».*
*Ainsi, tout ce que nous faisons* *nous ne le faisons que*
*« par la ‘grâce de’ Dieu ».*
*Il ne faut pas croire que nous soyons quelque chose d’indépendant de Dieu.*
*Si nous étions coupés de Lui,*
*ne serait -ce que le temps d’un dixième de seconde,*
*nous serions sortis de l’existence,* *nous n’existerions pas.* *Et il en est de même en ce qui concerne*
*la permanence et le maintien  de notre existence.*
 
*«Nom   -   اسم»*

*D’habitude le nom est une « marque »*
*et sert à connaître,* *définir quelque chose.*
*Chaque chose a un nom,*
*une marque par lesquels elle est connue.*
*Les Noms* *de DieuTrès-Elevé* *sont aussi des « marques »*
*de Son Essence sacrée.*
*Ils permettent à l’homme de connaître Son* *Essence sacrée à travers eux,* *même si c’est de façon incomplète.*
*Car l’Essence divine,*
*Tout ce que nous faisons*
*nous ne le faisons que*
*« par la ‘grâce de Dieu ».*

*personne ne peut L’atteindre,*

*pas même le Sceau des Prophètes, le Prophète Mohammed(s).*
*--'^'^'^'^'^((♡♡♡))'^'^'^'^'^--*

*Dans un propos rapporté, l’Imam as-Sâdeq(p)*
*(le 6ème Imam) met en garde un de ses disciples les plus doués,* *Hishâm fils d’al-Hakam,*
*à propos des Noms de Dieu :*

*«.. Le nom est autre chose que le nommé.*

*Aussi celui qui a adoré le nom sans le sens (ma3nâ) a fait acte d’incroyance et n’a rien adoré ;*

*celui qui a adoré le nom et le sens (ma3nâ) a fait acte d’incroyance et a adoré deux choses ;*

*quant à celui qui a adoré le sens (ma3nâ) sans le nom,* *voilà le monothéiste.*

*(…) C’est que DieuTout-Puissant*
*et Majestueux* *aquatre-*
*vingt-dix-*
*neuf noms:*

*si le nom était le Nommé, chacun de ces noms serait une divinité.*

*Mais Dieu est Un Sens (ma3nâ) qui est indiqué par ces noms et tous sont autres que Lui. »*

*(Usûl al-Kâfî, vol.1, bâb al-ma3bûd N°2 (p87) – et bâb ma3ânî-l-asmâ3i (p114))*
*Les Noms de Dieu indiquent Dieu sans être Lui.*

*En même temps,*
*ils sont des Manifestations de Son Essence.*

*Le Nom de« Dieu »*
*est la Manifestation de l’Essence de Dieu.*
*--'^'^'^'^'^((♡♡♡))'^'^'^'^'^--*

*Dans un autre propos rapporté de l’Imam as-Sâdeq(p), il est dit :*

*« Celui qui a adoré Dieu par des conjectures, a fait acte d’incroyance ;* *celui qui a adoré le nom sans le sens (ma3nâ),a fait acte d’incroyance,* *celui qui a adoré le nom et le sens (ma3nâ), a associé*
*et celui qui a adoré le sens (ma3nâ) en faisant tomber les Noms sur soi par Ses Attributs par lesquels*
*Il s’est Lui-même décrit, a alors lié son cœur à Lui et sa langue a parlé par* *Lui dans ses secrets et dans ce qui est connu.* *Ceux-là sont les croyants en vérité*
*(ou les compagnons du Prince des croyants(p)*
*en vérité selon un autre propos).*

*(Usûl al-Kâfî, vol.1, bâb alma3bûd N°1 (p87))*

*Que veut dire*
*« faire tomber les Noms sur soi… » ?*
*--'^'^'^'^'^((♡♡♡))'^'^'^'^'^--*

*Les Noms de Dieu ont des niveaux différents :*

*il y a ceux de la Station (maqâm) de l’Essence,*
*ceux de la Station des Manifestations par les Noms et ceux de la Manifestation des actes*
*(comme le« Créateur »).*

*Certains niveaux,* *nous pouvons les atteindre, d’autres sont réservés aux Proches-Elus de Dieu et du noble Prophète Mohammed(s).*

*Et la première chose à faire pour* *«lier son cœur aux Noms de Dieu* *Très-Elevé »*
*c’est d’abord prendre conscience au niveau du cœur du besoin d’eux de façon absolue dans le sens qu’ils indiquent l’Essence.*
*Voilà pour le « Nom » en général.*
*الله » Allâh »*

*Il est rapporté de l’Imam as-Sâdeq(p)*
*(le 6èmeImam)*
*répondant à quelqu’un qui lui avait demandé*
*ce qu’est Allâh :*
*« Il est le Seigneur et l’Adoré.*
*Il est Allâh, et quand je dis Allâh,* *ce n’est pas pour établir les lettres*
*« a, l, l,a, h »*
*mais je me réfère à un sens qui est :*
*« une Réalité créatrice et un* *Artisan des choses »* *sens auquel s’appliquent ces lettres.*
*C’est le Sens qui est nommé*
*« Dieu »*
*le « Tout- Miséricordieux »*
*le «Très-Miséricordieux »*
*le « Tout-Puissant » et autres noms semblables :*

*c’est l’Adoré,*
*LeTout-Puissant et Majestueux. ».*

*( Kitâb at-Tawhîd, - bâb ar-rad 3alâ-th-thanawiyya wa-z-zanâdiqa n°1)*

*« Allâh »*
*est le Nom le plus grandiose*
*et la première Manifestation de laVérité* *Très-Elevée*
*(Dieu).* *« Allâh »*
*serait un nom*
*« regroupant »* *ou « synthétique » (jâmi3)* *pour la Station de l’Essence,*
*pas la Station de l’apparition (azh-zhuhûr).*
*Le Nom est la manifestation de celle-ci-même.*

*« Allâh » est le « regroupant » ou « synthétique »*
*(jâmi3) pour l’ensemble des Perfections au niveau de l’apparition (azh-zhuhûr).*

*Les autresNoms sont tous des manifestations du Nom le plus Grandiose*

*(al-ism al-a3zham).*

*Ainsi, se lier au Nom de « Allah »* *ce serait d’abord reconnaître le besoin de ce Nom* *du point de vue de l’ensemble*
*(et non d’un aspect particulier).*

*En conclusion..*

*Tous nos mouvements se font par la « grâce » du Nom de Dieu.*
*Nous ne pouvons pas nous isoler du Nom de Dieu.*

*Nous sommes des Noms de Dieu* *comme le monde dans son ensemble est un Nom de Dieu,*
*est une Manifestation de Dieu.*

*Quand nous recherchons l’Aide de Dieu,* *nous ne le faisons que par l’intermédiaire du Nom de Dieu,*
*par cette apparition (zhuhûr).*

*Tout est par la Grâce de cette Apparition du Nom de Dieu,*

*sous sa manifestation de la Miséricorde.*
*Personne ne peut atteindre l’Essence de Dieu ».*

*« Allâh »*
*est Sa Manifestation synthétique (« regroupante »).*

www.lumières-spirituelles.net N.0 - Janvier 2009