La Chambre des représentants des États-Unis a soutenu l’attribution de 40 milliards de dollars à l’Ukraine pour l’achat d’armes. L’Ukraine pourrait recevoir des milliers de chars, des centaines de systèmes d’artillerie, des lance-roquettes multiples, des systèmes de missiles tactiques et de nombreux systèmes de défense aérienne dans le cadre d’une aide de 40 milliards de dollars pour les achats d’armes. Selon des sources bien informées, les fonds alloués représentent environ les deux tiers du budget de la défense de la Russie l’année dernière.

Les experts notent que la remise d’un montant aussi important à l’Ukraine, ainsi que la promulgation d’une nouvelle loi par Joe Biden, créeront une menace très sérieuse pour la Russie. De plus, il ne s’agit pas seulement d’achat d’armes défensives, mais également d’acquisition d’armes offensives.

Un expert militaire cité par le site Avia-pro souligne : « Pour des raisons évidentes, personne ne fournira à l’Ukraine des avions de combat modernes. Cependant, la livraison de centaines de chars et de systèmes d’artillerie à Kiev constituera déjà une menace sérieuse. Il est clair qu’un tel soutien à l’Ukraine ne vise pas à calmer la situation, mais à intensifier le conflit avec la Russie. »

Est-ce fini le complot US-GB-Golfiens en mer Rouge? L'Arabie saoudite a organisé une réunion avec un certain nombre d’habitants d'Hadramaout, Shabwa, al-Mahra et Abyan, quatre provinces pétrolières yéménites pour leur proposer un échange argent contre terre et soulignant qu'il faudrait que la rétrocession se fasse sans délai car la décision a été prise et qu'il n'y a pas de retour en arrière.

Le commandant de la marine du CGRI dit que l’Iran donnera une réponse ferme à l’ennemi, en cas de menace en mer. Des propos tenus à un moment où les agences de presse ont fait état de la livraison du système de défense antimissile Fath 360 à l'armée de la République islamique d'Iran.

Le commandant de la marine du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), l'amiral Alireza Tangsiri, a souligné : « Nous avons atteint un tel niveau de préparation pour le combat que les ennemis savent que s'ils cherchent à menacer en mer les intérêts de la République islamique d’Iran, ils recevront une réponse ferme et regrettable à un niveau supérieur. »

Ces propos du commandant de haut rang du CGRI ont été faits à un moment où la presse fait état de la livraison du système de défense antimissile Fath 360 à l'armée de la République islamique d'Iran. Le système qui était auparavant à la disposition des forces terrestres et navales du CGRI, est désormais également entre les mains de l'armée de la RII.

Le dernier modèle du système de défense antimissile Fath 360 à six cartouches a été fourni à la marine et aux forces terrestres du CGRI avec six lance-missiles avant d'être dévoilé lors de la cérémonie de la Journée de l'armée de cette année. À l'heure actuelle, selon les besoins de l'armée de la République islamique d'Iran, trois lance-missiles Fath 360 ont été officiellement livrés à l’armée du pays par l'Organisation des industries aérospatiales, affiliée au ministère de la Défense.

Alors même que l'entité sioniste vient de connaître sa septième opération commando à l'est de Tel-Aviv avec un lourd bilan de 10 morts et blessés, marquant là l'échec total de près de deux mois de mesures dites sécuritaires, l'Égypte paraît offrir la seule issue à l'entité sioniste, entité qui fait office de médiateur entre Israël et Gaza. Sauf que cette fois les coups sont tombés non plus depuis Gaza, mais de la Cisjordanie et face à quoi ni l'Égypte ni la Jordanie ne semblent avoir une quelconque objection. Tel-Aviv s'étant mis à penser que les deux vieux normalisateurs se rangent surtout du côté des Palestiniens. Est-ce une raison suffisante pour frapper l'armée égyptienne au Sinaï ou le Mossad alimente-t-il Daech?

Onze militaires ont été tués samedi en Égypte en déjouant une attaque terroriste à proximité du canal de Suez dans le Sinaï, péninsule du nord-est du pays, a rapporté l'armée.

Dans les structures dérivées d'alliances internationales et régionales, normalement un ou plusieurs acteurs jouent le rôle de bastion ou de centre de gravité de cette structure et l’Union européenne n’y fait pas exception !

« En physique, la détermination et le calcul des coordonnées d'un centre de gravité revêtent une importance particulière. Ce centre de gravité est un point précis qui assure la stabilité et l'équilibre d'une structure, et les composants trouvent sens autour d'elle. Le centre de gravité d'un objet peut ne pas être situé à son centre géométrique et peut être identifié ailleurs. Dans les structures dérivées d'alliances internationales et régionales, normalement un ou plusieurs acteurs jouent le rôle de bastion ou de centre de gravité de cette structure et l’Union européenne n’y fait pas exception », c’est ce qu’a écrit Hanif Ghaffari, expert en relations internationales dans le journal Vatan Emrouz.

Après l'opération martyre survenue vendredi, non loin de Tel-Aviv, les responsables israéliens ne peuvent plus cacher leurs inquiétudes sur la répétition de telles opérations. Pour rattraper leur défaite, les sionistes ont de leur côté recouru à leurs vieux plans ratés, dont le scénario de l'assassinat des figures de proue de la Résistance. Mais les responsables des groupes palestiniens à Gaza et à Jénine ont souligné que de telles exactions n'auraient aucun effet sur la détermination des jeunes combattants palestiniens à poursuivre leurs opérations individuelles à Gaza et en Cisjordanie.

Les conséquences et les messages de l'opération palestinienne de jeudi soir dans la ville d’Elad, non loin de Tel-Aviv, qui s’est soldée par la mort de trois Israéliens, font toujours l'objet de discussions dans les milieux médiatiques.

Selon le site Internet Al-Ahd, les effets de l'opération d’Elad sur la sécurité du régime de Tel-Aviv ont été dévastateurs, plongeant Israël dans une phase d'insécurité continue, attisant plus que jamais les inquiétudes des Israéliens quant à la possibilité de la répétition de telles opérations. D'autant plus que ces opérations surviennent dans une situation où l'agression des forces armées israéliennes contre la mosquée Al-Aqsa et d'autres lieux sacrés de l'islam dans les territoires occupés se poursuivent.

Le chef de l'Union irakienne des érudits musulmans a annoncé que le Mossad avait quatre bureaux dans le camp syrien d'al-Hol pour propager les idées d'al-Baghdadi.

Selon le site d’information Al-Maalomah, Jabbar al-Ma'mouri a déclaré à ce propos : « Selon les informations dont nous disposons, le Mossad israélien, par le biais d'organisations de défense des droits de l'homme et d'autres organisations, a infiltré de manière significative le camp d'al-Hal à la périphérie sud de Hassaké dans le nord de la Syrie et y dispose désormais de quatre bureaux et d'un quartier général. »

Tout au long du mois d'avril les différentes agences de presse occidentales ont fait état d'une supposée reconfiguration de force en Syrie qui viserait à voir les forces russes se retirer de certaines de leurs positions stratégiques dans le nord et le centre de la Syrie au profit de la Résistance dans ce qui ressemblerait à un retrait syrien de l'armée russe post guerre en Ukraine, qui ne dirait pas son nom. Evidemment aucune source indépendante n'a confirmé ces informations qui parlent d'une délimitation de l'armée russe confinée désormais à T4, à Hmeimim et à Qamichli, soit dans des localités où la Russie dispose de trois bases aériennes de taille. 

Or, cette campagne très dirigée autour d'un supposé retrait russe en faveur d'un renforcement de la présence de "l'Iran et de ses mandataires" est loin d'être anodine: alors même que fin avril a été marquée par de très violentes attaques aux missiles contre l'occupation US des champs pétroliers syriens avec en toile de fond des tirs de missiles contre al-Omar à Deir ez-Zor ou encore des attaques à l'explosif contre les convois de pétrole syrien détourné par les Yankée depuis la Syrie en direction de l'Irak, et qu'en Irak aussi, les raffineries pro Israël du clan Barzani ont subi elles aussi des explosions, le ciel syrien a été la cible des agressions.

La Chine contre attaque ! En réponse aux multiples embargos infligés par les États-Unis aux entreprises chinoises de télécommunications, la Chine va bannir les technologies américaines de son parc informatique.

Le gouvernement chinois a ordonné aux agences gouvernementales et aux entreprises publiques de remplacer les ordinateurs de marque étrangère par du matériel informatique national dans un délai de deux ans. Cette décision concerne des dizaines de millions d'ordinateurs, rapporte Bloomberg, dans un article daté du 5 mai 2022.

Pour le seul gouvernement central, au moins 50 millions d'ordinateurs devront éventuellement être remplacés par des systèmes développés en Chine.