تقي زاده

تقي زاده

Le groupe de contact de l'Organisation de la coopération islamique tient aujourd'hui une réunion qui vise à résoudre la crise de Cachemire.
 
 
Avec l'augmentation des tensions dans la partie du Cachemire sous le contrôle de l'Inde et après l'attaque survenue dans la région de Palvameh de cet Etat, le groupe de contact de l'Organisation de la coopération islamique le 26 févriers tient une réunion extraordinaire sur la crise.

Selon la déclaration de l'Organisation de la coopération islamique, la constitution de cette réunion est à la demande du Pakistan.

Cette réunion qui vérifie la dégradation de la situation au Cachemire après l'attaque survenue à Palvaneh aura lieu au secrétariat général de l'Organisation de la coopération islamique

« Les Iraniens s’y connaissent en guerre électronique », a déclaré un ancien responsable du Pentagone partageant son point d’une vue lors d’une interview accordée à RT au sujet de la guerre électronique et les succès de l'Iran en matière de rétro-ingénierie. L'ancien responsable du Pentagone faisait allusion à la révélation faite il y a trois jours par le commandant en chef de la force aérospatiale du CGRI, le général Hajizadeh. Images à l'appui, le général a affirmé que l'Iran avait intercepté et pris le contrôle d’un drone RQ-170 US, alors que l'appareil se trouvait en pleine mission dans le ciel syrien. Ainsi Téhéran a-t-il percé non seulement le système de commandement et de contrôle du RQ-170, mais a pris également le contrôle des réseaux de communication avec les satellites militaires américains, qui ont renvoyé des ordres à la station terrestre. C'est colossal comme échec pour les Américains mais aussi pour leurs alliés israéliens. 

« Cela fait des années que les Iraniens maîtrisent la guerre électronique et qu'ils sont en mesure de dominer les drones américains », a affirmé Micheal Maloof, ancien responsable du Pentagone en précisant : « C’est une technologie et une capacité dont l’Iran dispose depuis au moins 2011. »

Capturé en 2011, grâce à une cyber-attaque, le drone ultra sophistiqué américain, RQ-170 est tombé dans le piège des forces iraniennes. Après avoir atterri depuis l’Afghanistan, sans vraiment être abîmé, l’appareil a fait l’objet de la rétro-ingénierie effectuée par les spécialistes iraniens, a évoqué Maloof cette information qui à son époque faisait la une des médias internationaux.

Selon Maloof, l’évènement est la face émergée de l’iceberg, si Téhéran parvient à effectuer des démarches encore plus complexes, il pourra s’infiltrer dans les radars, les navires ainsi que les avions américains.

Le système d’alerte des missiles israéliens a été piraté par les hackeurs iraniens en 2017, a reconnu le chef de la cyberdéfense de l’armée israélienne.

Noam Shaar a prétendu que l'armée israélienne, après avoir détecté les pirates informatiques en 2017 et les avoir surveillés pour discerner leurs intentions avait fini par les bloquer.

Le général israélien a dit que l’armée israélienne avait créé « une autre barrière et un autre système de surveillance » pour pouvoir protéger leurs missiles contre les cyberattaques.

En évoquant la cyberattaque des pirates iraniens contre le système d’alerte des missiles israélien, le chef de la cyberdéfense de l’armée israélienne reconnaît la vulnérabilité de ces systèmes.

mardi, 26 février 2019 08:58

La RII aide la Syrie à se relever!

Téhéran tient à poursuivre son soutien au peuple et au gouvernement syriens dans le rétablissement du calme et la reconstruction de leur pays.

« La RII continuer d’être aux côtés de la Syrie dans la lutte contre le terrorisme et ne ménagera aucun effort sur cette voie», a affirmé le président iranien, Hassan Rohani, le lundi 25 février lors de sa rencontre avec son homologue syrien.

« Téhéran aidera Damas à rétablir la stabilité et restera aux côtés du peuple syrien dans le processus de retour des déplacés et pour le conseiller aussi si la demande est faite, au niveau de ses politiques intérieures », a expliqué Rohani.

Le général de brigade Qassem Taghizadeh, a eu une rencontre avec le général de division, Othman al-Ghanmi le chef d’état-major des Forces armées irakiennes.

Le général Taghizadeh qui s’était déplacé en Irak à la tête d’une délégation, vient en effet d’avoir une rencontre aujourd’hui, lundi 25 février avec le général al-Ghanmi, rapporte l'agence de presse iranienne IRNA.

Lors de cette rencontre où était présent aussi, Mostafa Moradian, l’attaché militaire de l’Iran à Bagdad, les deux parties ont discuté des voies d’approfondissement des relations entre les forces armées des deux pays.

Renforcer la stabilité et la sécurité dans la région, passer en revue le dernier état de la coopération entre les deux pays, définir les horizons et les perspectives de coopération en matière de défense et annoncer la volonté d’échanger davantage avec les forces armées irakiennes contre le terrorisme dans la région ont fait parties des thèmes abordés lors de cette réunion par la délégation iranienne. 

Le vice-ministre iranien de la Défense a également rencontré séparément le ministre irakien de la Défense par intérim, le général de division, Mohammad Javad al-Abadi.

L’Iran et l’Irak collaborent également avec la Syrie et la Russie depuis trois ans dans le cadre d’un centre d’information quadripartite, basé à Bagdad et dans le but de lutter contre le terrorisme et en particulier le groupe Daech sévissant en Irak et en Syrie.

Cette rencontre se fait à un moment où les sources israéliennes rapportent qu’elles ont l’intention de cibler les Hachd al-Chaabi en Irak. Israël a peur que cette force de mobilisation populaire se dote de missiles balistiques qui mettront les équilibres militaires en cause dans la région. Washington a tenté d’éloigner les Hachd de ses bases situées à la frontière syro-irakienne et dans les régions du nord-ouest de l’Irak, mais il n’a jusque-là pas réussi dans ce dessein. Car en dépit des mises en garde américaines, les Hachd accroissent leurs activités chaque jour un peu plus dans la région irakienne d’al-Anbar, à l’ouest de Mossoul, sur la frontière syro-irakienne. Cette force de mobilisation populaire contrôle la voie internationale qui relie l’Irak, la Syrie et la Jordanie.

Depuis le début du coup d’État lancé depuis Washington par l’opposant Juan Guaido, le pouvoir du président Maduro et sa légitimité se renforcent. 

Le grand éditorialiste du journal panarabe Raï al-Youm vient d’écrire : « la fête et la joie du président colombien exprimé à l’occasion de l’arrivée dans son pays, en fugitifs, de 60 militaires de l’armée vénézuélienne et le fait que ces derniers aient rejoint les opposants soutenus par Washington et par l’Europe nous rappelle l’euphorie qui régnait chez certains leaders alors que des généraux, des ambassadeurs et même des ministres syriens mettaient fin à leur allégeance à Bachar al-Assad au début de la crise syrienne. Or, le président vénézuélien oublie que ces déserteurs ne sont rien d’autre qu’une infime partie de l’armée du pays qui compte plus d’un demi-million d’officiers et de soldats qui ont d’ores et déjà exprimé leur loyauté à Nicolas Maduro, le président élu et légitime du pays. 

Ce qui est entonnant, c’est le fait que Mike Pompeo ait déclaré, il y a peu, que les jours de Maduro étaient comptés ou comme l’a fait Barack Obama concernant al-Assad, un Obama suivi par des leaders arabes qui ont lancé des pronostics similaires sur l’avenir du président syrien. Il est utile de rappeler que des rumeurs ont même fait état du fait que le président Assad et sa famille avaient trouvé refuge en Russie où ils avaient demandé le statut de réfugié politique.

Il y a trois jours, Donald Trump a menacé que si Caracas s’opposait à l’entrée de l’aide humanitaire depuis la Colombie et le Brésil, cela serait très lourd de conséquences et qu'il y aurait éventuellement une intervention militaire pour faire entrer les paquets de couche-culotte et de riz. Mais la nation vénézuélienne qui possède les plus grandes réserves pétrolières au monde, n’a pas besoin de ces choses d’importance trompeuse. Elle a surtout besoin qu’on brise le blocus qui lui a été imposé par l’Amérique qui garde dans ses banques, et ce depuis plus de 10 ans, des millions de dollars des biens vénézuéliens. Mais la nation vénézuélienne ne mord pas à cet hameçon et aux mensonges venant de divers réseaux colombiens, brésiliens et américains. Sans oublier que l’armée a annoncé sa fidélité à Maduro dès les 1res heures du coup d’État manqué. 

Voici que Tel-Aviv fait faire des films d'animation pour prouver que l'armée israélienne est capable de détruire des équipements militaires russes : une nouvelle tendance dans la propagande israélienne. Dans des vidéos animées, les médias israéliens ont diffusé des scènes qui mettent en scène la destruction d'hélicoptères et de S-300 russes.

L’Industrie aérospatiale d’Israël a publié durant le mois en cours, deux vidéos faisant la promotion des capacités des équipements militaires produits par Israël. Une des vidéos montre comment une arme israélienne détruit un radar du système de défense antiaérienne russe S-300.

Le régime macronien persiste et signe. Au mépris de la souveraineté syrienne, il veut maintenir sa présence militaire en Syrie même au prix de faire des forces françaises un bouclier pour protéger les forces américaines.

Lors d’une conférence de presse conjointe avec son homologue irakien à Paris, le président français s'est félicité lundi de la décision des États-Unis de maintenir 200 militaires en Syrie, après avoir annoncé le retrait de toutes leurs forces sur place.

« Je ne peux que me féliciter de ce choix. Il correspond à la nécessité de rester aux côtés (...) des Forces démocratiques syriennes (FDS) et de ceux qui, sur le terrain, ont œuvré à la lutte contre les terroristes », a déclaré Emmanuel Macron s’exprimant au côté du président irakien Barham Saleh.

Alors qu'un vaste mouvement d'évacuation des forces américaines en Syrie est en cours, le président Trump décide de maintenir 400 forces spéciales américaines dans ce pays.

Lire aussi: Syrie: les USA veulent que 1 000 Européens restent pour se battre contre la Russie et l'Iran

Le vendredi 22 février, un haut responsable américain a déclaré, sous le sceau de l’anonymat, que 400 militaires US resteraient en Syrie, dont la moitié sur la base militaire des États-Unis à al-Tanf, non loin de la frontière irako-jordanienne.

Selon des sources, 200 autres militaires seront déployés dans la zone contrôlée par les forces soutenues par les États-Unis dans le nord-est de la Syrie.

 
« Les Américains et leurs alliés ont échoué en Syrie et ils sont en colère. Attention donc à leurs nouveaux complots ! », a affirmé le Leader de la Révolution islamique, lors de sa rencontre avec le président syrien.
L’Ayatollah Khamenei a affirmé : « nous avons la conviction que soutenir la Syrie est l’équivalant de soutenir la Résistance et nous sommes fiers d’avoir adopté une telle approche ».
 
« La résistance du président et du peuple syriens et leur persévérance sur le chemin de la Résistance » est, dans l’optique de l’Ayatollah Khamenei, le secret même de la victoire de la Syrie qui a su faire échec aux Américains et à leurs sbires régionaux.
 
Recevant ce lundi à Téhéran le président syrien, Bachar al-Assad, le Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Seyyed Ali Khamenei a aussi et surtout évoqué l’importance de veiller à ce que les Américains ne puissent tramer de nouveaux complots à l’avenir en Syrie.
 
L’Ayatollah Khamenei a souligné que pour la RII, soutenir le gouvernement et le peuple syriens est soutenir l’axe de la Résistance. « Nous sommes profondément fiers de soutenir le peuple et le gouvernement syriens », a ajouté le Leader de la Révolution islamique.
 
Le Leader a fait remarquer que la RII était restée dès le début de la crise en Syrie aux côtés du gouvernement et du peuple syriens.
 
« Grâce à la résistance et à l’appui de son peuple, la Syrie a vaincu une grande coalition composée des États-Unis et de leurs alliés européens et régionaux », a rappelé le Leader de la Révolution islamique.
 
La victoire de l’axe de la Résistance en Syrie a provoqué la colère des Américains et pourrait même les conduire à planifier de nouvelles conspirations, a affirmé l’Ayatollah Seyyed Ali Khamenei.
 
À titre d’exemple, le Leader a « évoqué la zone tampon » que les Américains cherchent à créer en Syrie. « Il s’agit là d’un exemple de leurs dangereux complots qu’il va falloir écarter avec force », a-t-il souligné.
 
« Le plan américain pour se réserver une présence efficace à la frontière irako-syrienne » constitue un autre exemple des complots états-uniens, d’après le Leader de la Révolution islamique.
 
À ce sujet, l’Ayatollah Seyyed Ali Khamenei a précisé :
 
« L’Iran et la Syrie représentent la profondeur stratégique, l’une de l’autre. Le pouvoir et l’identité même du courant de la Résistance dépendent de cette liaison stratégique constante et sur ce fond, l’ennemi ne pourra jamais réaliser ses plans. »
 
L’Ayatollah Khamenei a également évoqué une erreur de calcul de l’ennemi en ce qui concerne l’affaire syrienne. Dans l’optique du Leader de la Révolution islamique, l’ennemi a commis une erreur fatale en confondant la Syrie avec certains pays arabes de la région ; alors que même dans ces pays, le mouvement populaire était dans le sens de résistance et qu’il s’agissait en réalité d’un soulèvement contre les États-Unis et les régimes qui leur sont inféodés.
 
L’Ayatollah Khamenei a également plaidé pour le renforcement et l’élargissement des va-et-vient et des relations entre les Oulémas iraniens et syriens.
 
Appelant le peuple et le gouvernement syriens à préserver leur esprit de résistance, le Leader s’est adressé en ces termes au président syrien, Bachar al-Assad :
 
« Grâce à la résistance dont vous avez fait preuve, vous êtes devenu le héros du monde arabe. Grâce à vous, la Résistance a gagné en puissance et grandeur dans toute la région. »
 
L’Ayatollah Khamenei a également prié pour la réussite du peuple syrien tout entier, ainsi que pour la santé du président Assad et sa famille.
 
Pour sa part, le président syrien Bachar al-Assad a tenu à remercier « l’appui inconditionnel » de la RII à son pays. Il a fait le rapprochement entre les huit années de guerre imposées à la Syrie et les années de guerre imposée à l’Iran [par l’ancien régime baathiste irakien et son allié US].
 
« La RII a été à nos côtés durant ce temps, faisant preuve d’un immense dévouement. Je tiens donc à vous présenter mes félicitations, à vous et à tous les Iraniens, pour la victoire qui se profile aujourd’hui à l’horizon et aussi à vous présenter mes profonds remerciements », a affirmé le président syrien.
 
Le président Assad a dénoncé les hypothèses d’après lesquelles la Syrie serait arrivée au bout du rouleau. « Les peuples iranien et syrien sont deux nations fières de leur identité et ligne intellectuelle », a affirmé Bachar al-Assad, ajoutant que les « acquis obtenus aujourd’hui sont certes le fruit de la Résistance ».
 
« Nombreux sont les pays qui ont toujours fait l’objet de la colère des États-Unis et qui pensaient que l’Amérique seule pouvait déterminer le sort du monde entier. Cette fausse idée est en train de s’effondrer grâce à la résistance des peuples », a ajouté Assad, faisant allusion aux lourds dégâts que la résignation aveugle face aux États-Unis a fait subir à certains pays du monde.
 
Assad a fait aussi allusion aux efforts divisionnistes des Américains et de leurs alliés régionaux afin de semer la discorde entre différents ethnies ou religions en Syrie, pour dire :
 
« Ces agissements ont donné le résultat inverse. À l’heure actuelle en Syrie, les Kurdes et les tribus entretiennent de bonnes relations avec le gouvernement. Et même certains groupes ayant des antécédents en termes de différends voire d’affrontement avec le gouvernement prennent position aujourd’hui aux côtés du gouvernement, au grand dam des États-Unis et de l’Arabie saoudite. »
 
Pour finir, le président Assad a précisé que le renforcement des liens religieux, y compris entre les Oulémas iraniens et syriens, offrirait une opportunité de combattre les courants takfiristes. Il a également ajouté que Téhéran et Damas devraient penser à étendre en permanence leurs relations économiques ; « le renforcement des liens syro-iraniens serait certes un facteur important pouvant neutraliser les complots des ennemis des deux peuples syrien et iranien ».

Le Prophète de l'Islam (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants), alors que cinq ans s’étaient écoulés, depuis le début de sa prophétie, vivait dans les pires conditions. L'Islam était, alors, isolé, et la petite minorité de Musulmans qui s'était constituée, dès le départ, subissait de violentes pressions.

 

La Mecque était une ville plongée dans l’obscurantisme, dans l'athéisme, l'idolâtrie, l'ignorance et les mythes, les guerres tribales, et une extrême misère.

Le Prophète de l'Islam (pslf), quant à lui, n'avait de pensées que pour l'avenir, un avenir qui promettait d'être brillant, par-delà ces nuages noirs et ténébreux; cet avenir, qui, par le biais des moyens ordinaires et de l'apparence, ne se serait pas facilement laissé deviner, et que, même, peut-être, se serait avéré impossible.

Ce fut, en cette même année, que le Prophète fut amené à vivre un grand événement; il eut le privilège, par ascension et sur ordre de Dieu, de voir le Royaume des Cieux et, conformément au

verset 23 de la sourate T.H:"..Pour te montrer certains de nos plus grands signes",

Le plus grand signe de Dieu lui fut montré au plus haut du plus haut des Cieux. Son grand esprit devint, alors, encore plus grand, et il se proposa d'accepter une mission encore plus lourde et plus prometteuse à la fois.

 Dans un récit, rapporté, tant par les Chiites que par les Sunnites, il est dit: Le Prophète, (pslf), la nuit de son ascension, fut conduit au Paradis.L'Ange Gabriel lui donna le fruit de l'arbre du bonheur et, alors que le Prophète (SAWA) revenait sur terre, de ce fruit du Paradis, naquit Fatima Zahra (bénie soit-elle).

Dans un hadith, il est rapporté que le Prophète (SAWA), en raison de l`originede Fatima, aimait à embrasser Fatima (bénie soit-elle). Un jour, sa femme Aïcha, lui reprochant son attitude, à l'égard de Fatima, lui demanda : "Pourquoi embrasses-tu tellement ta fille ?" Le Prophète (SAWA) répondit: "À chaque fois que j’embrasse Fatima me vient d'elle le parfum du Paradis éternel".

 

C'est ainsi qu’à partir du vingtième jour de Djamadiolsâni (sixième mois de l'année lunaire des Musulmans), le monde poursuivit sa marche, dans l'attente de la grande et heureuse naissance de Fatima, fille d'un homme, comme le Prophète (SAWA), et d’une femme dévouée et généreuse, comme Khadîdja, sa mère.

C'est ainsi que furent démenties toutes les critiques et toutes les accusations lancées au Prophète, par les opposants, qui lui reprochaient de ne pas avoir de "descendant, pour la succession"; et, comme nous le révèlent- les versets de la sourate "L'Abondance", c'est ainsi que Fatima devint la source brillante, pour la continuation de la génération du Prophète et des saints Imams, et pour le meilleur et le plus grand bien des Musulmans, à travers les siècles et le temps, jusqu'au jour de la Résurrection.

 

Dans son célèbre nom, Fatima, est caché la plus grande des bonnes nouvelles pour ceux qui la suivent, sur son chemin, puisque la racine du nom "Fatima" est "fatma" qui signifie "rompre" ou "sevrer". Le noble Prophète(p) dit ma fille s'appelle Fatima: "C'est parce qu'elle et ses partisans seront exempts du feu de l'enfer".Il est indispensable, à l'occasion de l'anniversaire de la naissance de Sayyida az-Zahrâ' (p), d'affirmer l'importance de la construction de la femme musulmane, afin qu'elle soit une femme consciente, instruite, cultivée et au courant de ce qui se passe en son temps. Il en est ainsi car la construction de cette génération n'est possible qu'à travers la construction de la mère consciente et de l'épouse instruite.

Fatemeh est un modèle pour les femmes musulmanes, qui doivent travailler dans l’acquisition de la science et dans le domaine de l’initiation spirituelle et morale, qui doivent lutter et ne pas se laisser prendre par le luxe et les richesses, qui doivent repousser les regards concupiscents par leur vertu et leur pureté, et être un refuge pour leur mari et leur famille, qui doivent éduquer des enfants de valeur, grâce à leur gentillesse et leur perspicacité, former des adultes sains d’esprit et équilibrés qui constitueront la société de demain.