تقي زاده

تقي زاده

Sur fond des tensions inédites dans les relations russo-américaines, dues notamment aux sérieuses divergences sur leurs programmes balistiques, un avion militaire américain a effectué un vol d’observation sur le territoire de la Russie pour collecter des informations sur de nouvelles fabrications d’armes russes.

Immatriculé 61-2670, un Boeing OC-135B Open Skies a été repéré à 6 h 5 (heure de Moscou), dans le ciel de la ville de Komsomolsk-sur-l’Amour dans l’Extrême-Orient russe, où se trouve l’usine aéronautique fabricant les meilleurs avions militaires russes, dont le Soukhoï S-57, a indiqué le portail de surveillance aérienne PlaneRadar, cité par Sputnik.

Le site précise que l’appareil US ayant survolé à 8 h 20 la ville de Tchita se dirigeait vers Oulan-Oudé, capitale de la république de Bouriatie.

 
Les déclarations du Guide suprême de la Révolution islamique dans son rencontre avec les responsables du congrès en honneur des 6500 martyre de la province de Kerman qui a eu lieu le 6 Esfand (mois solaire iranien) ont été publiés ce matin dans la grande Musala du vénéré Imam Ali (As) de cette ville.de cette rencontre le Guide suprême a insisté qu'honorer les martyres est la continuité de leur voie. Dans la période de la défense sacrée (guerre imposée par le régime de Saddam Hussein à l'Iran), honorer les martyres avait encouragé le peuple à participer aux fronts pour défendre le pays.

Respecter et honorer les martyres renforcent les pays, le secret de la puissance du pays réside dans le courage des jeunes qui sont prêts à défendre le pays, a ajouté le Guide suprême.
 
Le ministre irakien des Affaires étrangères a dit que l'imprécision des programmes de la réunion de Varsovie et sa qualité anti-iranienne étaient les deux raisons pour l'absence de l'Irak à cette réunion.
ne peut pas séparer la sécurité du développement, la politique de l'Irak consiste à développer et renforcer les relations avec tous, a déclaré le porte-parole du ministère irakien des Affaires étrangères Ahmad al-Sahaf dans une déclaration.

La lutte contre l'idéologie extrémiste et takfiri nécessite le soutien des activités qui font développer les sociétés, indique la déclaration.

Le porte-parole a insisté que son pays soutient les efforts pour la constitution de la Palestine avec al-Qods comme la capitale. L'Irak n'a pas participé à la réunion de Varsovie parce que les programmes de la réunion n'étaient pas précis et qu'elle était anti-iranienne.la réunion n'a pas abordé la question de la Palestine, a ajouté le porte-parole.
 

Alors que plusieurs États latino-américains et des Forces spéciales US semblent se préparer à attaquer le Venezuela, Valentin Vasilescu examine le rapport de forces et la topographie. Selon lui, aucune forme d’invasion ne peut vaincre ce vaste pays défendu par une jungle, bien plus vaste qu’au Vietnam. Toute intervention ne peut avoir comme but que de déstabiliser le pays, pas de renverser son gouvernement.

 | BUCAREST (ROUMANIE)  
+
JPEG - 57.4 ko

Scénario de la guerre sud-américaine

L’invasion étrangère du Venezuela n’est possible que par le Brésil, la Colombie et le Guyana, trois États voisins du Venezuela. Théoriquement, il y a au moins trois axes d’invasion.

- Une invasion par des États sud-américains doit commencer par la conquête de la supériorité aérienne sur le Venezuela. Mais la plupart des objectifs politico-militaires du Venezuela sont hors de portée de l’aviation brésilienne, composée de F-5, d’A-4, d’AMX-1A et d’A-29 Tucano.

La Colombie a des avions Kfir, A-37 et A-29 Tucano qui n’ont aucune chance devant les systèmes anti-aériens Buk-M2, S-125, S-300 et les appareils vénézuéliens F-16 et Su-30. Il en va de même pour les avions brésiliens face à la défense anti-aérienne à moyenne et longue portée et face à l’aviation vénézuélienne.

À cause de leur plafond bas, les avions à turbopropulseurs A-29 Tucano évoluent constamment dans la portée des 5 000 missiles anti-aériens portables vénézuéliens SA-24 (Igla-S). Les F-5, A-4, AMX-1A, Kfir et A-37 ne disposent pas d’armes à guidage de précision et attaquent à une altitude de 2 000 à 3 000 m, les rendant vulnérables aux mêmes missiles SA-24 portables (Igla- S).

- Une invasion terrestre à partir du Guyana est improbable. Ce petit pays n’en ayant ni les moyens, ni la capacité physique : il n’y a pas de route à travers le fleuve et le delta de l’Orénoque, ni de possibilité de déplacer des tanks à travers la jungle.

Le Brésil est la moins susceptible de réussir. Car avant d’entrer en contact avec les principales forces vénézuéliennes, l’armée brésilienne doit parcourir elle aussi 500 km dans la jungle.

Ensuite, le fleuve Orénoque est un obstacle très difficile pour les Brésiliens qui ne disposent pas de ponts mobiles ni d’autres équipements de génie. En outre, pour la défense antiaérienne des troupes terrestres, le Brésil et la Colombie ne disposent que de missiles portatifs pour un plafond de 5 000 m, alors que les Su-30 vénézuéliens lancent des bombes à guidage laser KAB-500 et KAB -1500 ou des missiles Kh-29 à une altitude de 10 000 m

L’axe le plus probable pour l’offensive est la Colombie. Cependant, le relief ne favorise pas l’offensive colombienne, la direction de l’offensive s’arrêtant au lac Maracaibo. Il doit être contourné à l’est en suivant un corridor de 15 à 20 km, facilement défendable par l’armée vénézuélienne.

La meilleure option consisterait à ouvrir une voie de contournement avec la base aérienne colombienne qui équivaut à une brigade, et de la parachuter au sud-est par la Cordillère des Andes. Mais cette option est également impossible car la Colombie possède 5 C-130 et 8 C-295, avec lesquels seules 2 ou 3 compagnies d’infanterie peuvent être parachutées.

La Colombie possède également une force de combat bien inférieure à celle du Venezuela, car elle s’appuie sur une infanterie avec des blindés légers ; en outre, elle ne dispose pas de chars, son artillerie est dispersée et remorquée par des camions. À titre de comparaison, le Venezuela dispose de chars d’artillerie automotrice 2S19 Msta, de chars BM-30 Smerch, de BM-21 Grad, de LAR et de T-72.

- Une expédition maritime brésilienne de la 1ère Brigade d’infanterie de marine à bord de porte-hélicoptères et de navires de débarquements peut compliquer la situation des défenseurs du Venezuela. Le Venezuela peut attaquer le groupe de navires de débarquement sur 100 à 200 km de côtes avec des missiles antinavires Kh-31A1 et Kh-59ME lancés par des Su-30.

Le scénario d’une invasion états-unienne

Seule une invasion militaire US peut renverser Nicolas Maduro, comme ce fut le cas en Irak et en Libye. Mais entre-temps, la Russie a changé de politique étrangère et a démontré en Syrie qu’elle était capable de défendre ses alliés.

En raison des intérêts économiques élevés au Venezuela, la Russie et la Chine, même si elles n’enverront pas de troupes, leur fourniront des types d’armes de haut niveau et de grand rayon d’action pour empêcher une invasion US.

Les États-Unis sont la plus grande puissance navale au monde et possèdent 2 corps d’infanterie de marine. C’est pourquoi le principal axe offensif pourrait être ouvert par un débarquement états-unien.

Le naufrage de 1 à 2 porte-avions et de plusieurs navires amphibies US de débarquement signifie l’impossibilité d’obtenir la suprématie aérienne et des chances réduites de créer une tête de pont de l’infanterie de marine sur la côte du Venezuela.

Cet objectif est facilement atteint avec le missile hypersonique russe Zircon d’une portée de 1 000 km et le missile de croisière Kalibr 3M-54 d’une portée de 1 400 km. Si le Venezuela disposait de ces missiles, il pourrait toucher le groupe de navires expéditionnaires états-uniens au sud des Bahamas, à 500 km de Miami. Cependant, je ne pense pas que la Russie livrerait aux Vénézuéliens des missiles Zircon et Kalibr. Elle pourrait, en revanche, proposer des systèmes Bastion et des missiles air-air Kh-59MK2, avec un rayon d’action de 550 km, utilisables sur les avions Su-30.

Une batterie du missile littoral-navire Bastion, équipé par la Russie, utilise quatre lanceurs de missiles mobiles P-800 Oniks. Le missile a une masse de 3 tonnes, une envergure de 1,7 m et une ogive performante de 250 kg. La propulsion est réalisée par un moteur de croisière ramjet (statoréacteur supersonique), similaire à celui du missile Zircon. La portée du missile P-800 est de 350 à 600 km, sa vitesse est de Mach 2,5 (700 m/s). Sur la trajectoire, au plafond de croisière de 14 000 m, le missile est guidé par satellite. À proximité de la cible, le P-800 fixe à l’objectif, descend jusqu’à 10 m de hauteur et exécute des manœuvres de changement de direction.

Dans cette situation, le Venezuela serait en mesure de faire face au groupe du corps expéditionnaire US situé au sud des îles d’Haïti et de Porto Rico. L’écart probable de précision du missile P-800 Oniks est de 1,5 m, ce qui signifie que la cible est frappée à 100 % dans le cas d’un porte-avions, d’un porte-hélicoptère, d’un croiseur ou d’un destroyer, tous d’une longueur supérieure à 100 m.

La seule possibilité est un bombardement coordonné de l’Otan (USA, France, Pays-Bas, Royaume-Uni) et des États latino-américains (Brésil, Colombie, Guyana) sur des objectifs ciblés. Dans ce cas, il ne s’agirait pas d’une invasion, mais de la destruction de certaines structures vénézuéliennes.

Le Premier ministre algérien met en garde contre un scénario syrien dans son pays secoué par une vague de manifestations contre un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika.

En commentant au Parlement les manifestations qui secouent actuellement l'Algérie contre un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika, le Premier ministre Ahmed Ouyahia a tiré la sonnette d’alarme ce jeudi 28 février sur la répétition d'un scénario comparable à la Syrie.

 

Après plusieurs tentatives ratées contre le gouvernement de Maduro depuis un mois au Conseil de sécurité, Washington met en œuvre une fois de plus tout ce qu’il peut pour faire asseoir au pouvoir le chef de l’opposition qui lui a déjà fait allégeance. Dans ce sens, le représentant des États-Unis à l’ONU a présenté un projet de résolution inédit dans l’histoire des Nations unis sur le Venezuela. Il appelle le Conseil de sécurité à s'impliquer directement dans les affaires intérieures de l'État souverain qu’est le Venezuela, en destituant Nicolas Maduro, ce qui a contraint Moscou et Pékin à y opposer leur veto pour le bloquer.

La Russie et la Chine ont mis leur veto à la résolution sur le Venezuela que les États-Unis ont présentée au Conseil de sécurité des Nations unies, appelant la destitution par l’ONU du président légitime du Venezuela.

Le texte réclamait également que l'aide humanitaire puisse être livrée au Venezuela alors que selon certaines sources, les camions en provenance de la Colombie transportaient des armes américaines destinées aux partisans du président par intérim Juan Guaido.

Geir O. Pedersen, le nouvel envoyé spécial du Secrétaire général de l'ONU pour la Syrie, a mis l’accent sur la souveraineté du gouvernement syrien sur les hauteurs du Golan occupé.

À l’approche du huitième anniversaire de la guerre en Syrie, Geir Pedersen a présenté pour la première fois au Conseil de sécurité son rapport sur la feuille de route politique complexe menant à la fin du conflit.

 

L’armée indienne a conduit, mardi 26 février au petit matin, des raids aériens contre le Pakistan en utilisant des missiles intelligents israéliens, a-t-on appris de Haaretz.  

« L’armée de l'air indienne a conduit, mardi 26 février au petit matin, des raids aériens contre le Pakistan en utilisant des missiles intelligents israéliens », ont annoncé des sources de la sécurité indienne sur le site web The Print et d’autres médias citées par le quotidien israélien Haaretz.

Selon les mêmes sources, « cinq avions de combat Mirage, armés de missiles intelligents Spice 2000 de fabrication israélienne, ont mené des frappes contre ce que New Delhi a qualifié de "camp d'entraînement terroriste". Chaque missile pèse 1 000 kilogrammes et fonctionne selon les coordonnées GPS prévues ».

Haaretz indique qu’Israël est considéré comme un important fournisseur d’armes à l’armée indienne et leurs échanges en la matière ont été estimés à un milliard de dollars par an.

Lors de sa rencontre, mercredi 27 février, avec le président russe à Moscou, le Premier ministre israélien a eu beau vouloir aligner le président russe sur son approche anti-iranienne du dossier syrien, mais en vain. Le maître du Kremlin refuse de changer d'un iota sa position sur le rôle efficient de l’Iran en Syrie, affirme l'Associated Press. 

Les médias américains ont interprété, quasiment de la même façon, la rencontre entre Vladimir Poutine et Benjamin Netanyahu à Moscou: malgré l’insistance de Poutine sur la nécessité de préserver la sécurité d'Israël, Poutine a soutenu comme par le passé l’approche de Téhéran envers les évolutions du Moyen-Orient.

« Netanyahu a entamé des pourparlers avec le président Poutine en réaffirmant la ferme détermination d'Israël à bloquer les "efforts d'implantation" de l'Iran en Syrie : « Nous sommes déterminés à contrecarrer les efforts de l'Iran qui appelle à notre destruction et ses tentatives d'implantation militaire en Syrie », a-t-il dit.

Mais ses entretiens avec Poutine l'a-t-il avancé d'un iota dans ses plans? Pas vraiment, répond le journal. 

Alors que les États-Unis ont fait part de leur nouvelle stratégie visant à une confrontation militaire avec la Russie et la Chine, y compris une « attaque secrète » sur le sol de l’ennemi en ciblant ses points faibles, les États membres de l’OTAN se préparent à mener les manœuvres navales « Poséidon 19 » à partir du 1er jusqu’au 8 mars dans la région de la mer Noire, exactement dans l’arrière-cour de la Russie.

Plus de 11 000 militaires, 10 navires roumains, 2 frégates et 4 navires militaires bulgares, allemands, espagnols et turcs participeront à ces manœuvres. En ce qui concerne les opérations aériennes, des hélicoptères, deux MiG et deux F-16 de l’aviation roumaine y participeront.

L’objectif de ces exercices est de renforcer l’interopérationnalité entre les navires et les forces militaires des pays participants et ceux de la marine roumaine.

Le chef d’état-major de l’US Air Force, David Goldfain, a récemment annoncé la nouvelle stratégie de confrontation des États-Unis contre la Russie et la Chine, comprenant une « attaque secrète » sur le territoire ennemi et des attaques ciblant ses points faibles.

« Le coût de cette nouvelle stratégie s’élève à environ 135 milliards de dollars. Elle s’appuie essentiellement sur l’utilisation de bombardiers de cinquième génération F-35 », a précisé David Goldfain.