تقي زاده

تقي زاده

Suite à l’échec de cette conférence mort-née, qui a eu lieu mercredi 13 et jeudi 14 février à Varsovie, le think tank américain Stratfor affirme que Washington n’a pas réussi, une fois de plus, à atteindre ses objectifs anti-iraniens.

Cette agence de renseignements, basée au Texas, fournit aux journalistes et producteurs une nouvelle compréhension géopolitique des grands événements internationaux. Dans un rapport ayant pour titre « Moyen-Orient: aucun progrès pour les États-Unis sur l’Iran à la conférence de Varsovie », elle se focalise sur les résultats obtenus par Washington à l’issu de ce rendez-vous anti-iranien.

« La réunion de deux jours organisée à Varsovie par les États-Unis sur la sécurité au Moyen-Orient s'est terminée le 14 février. Des représentants de 60 pays ont discuté des stratégies du renforcement de la sécurité au Moyen-Orient. Au menu de cette conférence figuraient également des consultations sur la promesse faite par les États-Unis de dévoiler le soi-disant plan de paix israélo-palestinien (Deal du siècle, NDLR) après les élections du 9 avril d’Israël. Mais seulement un tiers des pays participants ont envoyé leur chefs de la diplomatie à la réunion. »

Autant d’absences qui soulignent les tensions grandissantes entre l’UE et les États-Unis, surtout depuis le retrait américain de l’accord international sur le nucléaire iranien et le rétablissement des sanctions unilatérales et extraterritoriales américaines contre Téhéran.

Pour le groupe de réflexion américain, l’absence d’un grand nombre de ministres des Affaires étrangères dans cette conférence était due à la nature anti-iranienne du sommet. 

Bien sûr, des progrès ont été accomplis dans l'amélioration des relations entre les pays arabes du golfe Persique et Israël, y compris la rencontre entre le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et le ministre des Affaires étrangères d'Oman.

Le ministre des Affaires étrangères de Bahreïn a également annoncé qu'il « normaliserait » les relations de Manama avec Israël.

Selon le groupe de réflexion américain, le Sommet de Varsovie, au lieu de souligner la convergence et le consensus sur les questions de sécurité au Moyen-Orient, a mis l'accent sur la divergence et le désaccord, plus particulièrement, sur les arguments des États-Unis sur la nécessité d’adopter des positions obstinées et rudes à l’égard de l’Iran. Une position qui n’a pas reçu l'approbation d'un grand nombre d'autorités européennes.

 

La participation du ministre des Affaires étrangères du gouvernement démissionnaire du Yémen, soutenu par l’Arabie saoudite aux côtés du Premier ministre israélien à la Conférence de Varsovie a provoqué la colère des Yéménites.

Le bureau politique du Mouvement yéménite Ansarallah a annoncé, vendredi 15 février dans un communiqué, que la participation du ministre des Affaires étrangères du gouvernement démissionnaire du Yémen à la solde de l’Arabie saoudite, Khaled al-Yamani, à la Conférence de Varsovie faisait partie des complots d’Israël et des États-Unis contre les nations du Moyen-Orient.

Le bureau politique d’Ansarallah s’est vivement opposé à toute tentative de normalisation avec l’ennemi israélien qui serait certes au détriment des causes du monde musulman dont et surtout celle de la Palestine.

« Le fait que Khaled al-Yamani se soit assis aux côtés du Premier ministre du régime israélien met en évidence un extrême déclin, de dépendance et de décadence éthique du gouvernement à la solde et ses alliés à Riyad et à Abou Dhabi », indique le communiqué.

Ansarallah a souligné que Khaled al-Yamani ne représentait pas la nation yéménite et qu’il violait plutôt les principes et les traditions du Yémen.

« La participation de Khaled al-Yamani à la Conférence de Varsovie incarne une trahison et constitue une honte pour tous les participants à cette réunion controversée aux motifs suspects », ajoute le texte.

vendredi, 15 février 2019 14:12

Le rapprochement de Paris et Berlin

C’est une affaire extrêmement grave : sous les apparences d’une union de leurs efforts pour la paix, Paris et Berlin rapprochent leur politique étrangère et bientôt de Défense. En réalité, cette évolution se fait par le haut, sans consultation des peuples, et détruit de l’intérieur leurs acquis démocratiques.

L’une des bases sur laquelle l’Onu est fondée est que chaque État et chaque peuple sont libres, égaux et indépendants. C’est la grande différence avec la SDN qui l’a précédée. Celle-ci a toujours refusé de reconnaître l’égalité des peuples de manière à pouvoir laisser perdurer le système de la colonisation.

Chaque État dispose d’une voix égale à celle des autres. Par conséquent, il n’a pas été possible aux États-Unis de faire adhérer leurs 50 États fédérés, ni à l’URSS de faire adhérer ses 15 Républiques unies, mais uniquement les deux États fédéraux. Il aurait été abusif que les États-Unis aient 50 voix et l’URSS 15 quand les autres n’en avaient qu’une.

Or, la France et l’Allemagne, qui doivent assurer la présidence du Conseil de sécurité respectivement en mars et en avril, viennent d’annoncer qu’elles vont exercer ensemble leur mandat. Cela semble impliquer, mais ce n’est pas précisé, que les deux délégations tiendront la même position sur tous les sujets qui se présenteront. La politique étrangère des deux États ne sera plus libre et indépendante l’une de l’autre.

 

Aucune organisation fondée sur l’égalité de ses membres ne peut survivre à ce type de coalition.

Cette question s’est déjà posée, depuis 1949 et la création de l’Otan. Les États membres se sont engagés à réagir collectivement à toute agression contre l’un d’entre eux. Mais pour ce faire, ils ont accepté une forme d’organisation placée sous l’autorité des États-Unis qui exercent systématiquement les fonctions importantes, dont celles du Suprême Commandeur (du chef d’état-major).

À l’époque l’Union soviétique dénonça la création d’un bloc dans lequel les États membres n’étaient plus libres et indépendants. Pourtant c’est ce que fit la même URSS, en 1968, en envahissant la Tchécoslovaquie au motif que les membres du Pacte de Varsovie ne pouvaient pas s’éloigner de la doctrine commune du communisme. Aujourd’hui, le totalitarisme soviétique n’est plus, mais celui des États-Unis est toujours là.

C’est précisément parce qu’il s’opposait à ce que les armées françaises se trouvent sous commandement états-unien que le président Charles De Gaulle quitta le commandement intégré de l’Otan tout en restant dans le Traité de l’Atlantique-Nord. Cette sage décision a été abrogée par le président Nicolas Sarkozy qui a ré–incorporé le commandement intégré, en 2009.

La France assure que l’exercice conjoint de la présidence du Conseil de sécurité avec l’Allemagne ne signifie pas que les deux pays s’apprêtent à fusionner leur siège à l’Onu. Pourtant, c’est à partir du mandat de Nicolas Sarkozy que le Quai d’Orsay et la Wilhelmstrasse (c’est-à-dire les deux ministères des Affaires étrangères français et allemand) ont commencé à réduire leur personnel et à charger leurs ambassades de se répartir diverses fonctions.

Ce rapprochement s’est interrompu avec les présidents François Hollande et Emmanuel Macron en vue d’une alliance militaire avec le Royaume-Uni qui avait été envisagée par Jacques Chirac. Mais il a repris lorsqu’il est apparu que Londres réaliserait le Brexit et se préparait à de nouvelles alliances.

Une éventuelle fusion des politiques étrangères française et allemande pose plusieurs problèmes : en premier lieu, elle n’est possible que si les deux armées fusionnent également, faute de quoi elle ne serait pas crédible, c’était déjà l’idée d’Alain Juppé en 1995. Dans ce cas, l’Allemagne aurait une position co-décisionnaire sur la force de frappe française. C’est ce qu’envisagea le Bundestag en 2017 et c’est désormais la position de Wolfgang Ischinger, le directeur de la Conférence sur la Sécurité de Munich qui se réunit ce week-end, [1]. C’est pourquoi Emmanuel Macron a évoqué une armée européenne dans des termes différents de ceux du projet de Communauté européenne de Défense (1954), de sorte qu’il puisse aboutir in fine à une fusion des armées franco-allemandes. En second lieu, disposer de la même politique étrangère et de Défense suppose de poursuivre les mêmes intérêts. C’est ce à quoi s’essayent Paris et Berlin en déployant des troupes jointes, légalement au Sahel et illégalement en Syrie.

Loin de créer un nouvel État, le rapprochement franco-allemand consacrera la dépendance de la nouvelle entité vis-à-vis de Washington : aujourd’hui les deux armées sont membres du commandement intégré de l’Otan et y obéissent au même Suprême Commandeur choisi par le président des États-Unis. C’est d’ailleurs uniquement ce suzerain qui a assuré la paix entre la France et l’Allemagne. Ainsi, il n’y a pas si longtemps encore, les forces spéciales de l’un et de l’autre se battaient secrètement les unes contre les autres en ex-Yougoslavie, côté serbe pour l’un et croate pour l’autre. Le combat ne prit fin que lorsque Washington imposa son point de vue.

En souhaitant fusionner à terme l’Allemagne et la France, leurs dirigeants ignorent les réalités humaines de leurs pays. Confondant la réconciliation de leurs peuples, réalisée par leurs prédécesseurs, avec le rapprochement de leurs intérêts et de leur façon de penser, ils entendent créer un nouveau système politique, sans s’astreindre au contrôle démocratique. Au demeurant, pourquoi s’encombrer de ces procédures puisque nul n’est souverain ?

[1] “Ischinger sieht bei Bundeswehr „krassen Nachholbedarf“”, Michael Backfisch, Neue Ruhr Zeitung, 9 février 2019.

Le président iranien Hassan Rouhani a condamné l'attaque terroriste sauvage perpétrée contre le bus des forces du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI), sur la route de Zahedan-Khash dans la province du Sistan et du Baluchestan, dans le sud-est de l'Iran. « L'attaque barbare perpétrée contre le bus du CGRI montre la profondeur du désespoir et de la perplexité des mercenaires criminels et des agents des ennemis du peuple iranien », a déclaré Rohani. « Nul doute que tous les agents de cet acte néfaste et cynique et leur maîtres seront bientôt identifiés et punis grâce aux efforts des forces puissantes de sécurité et de l’ordre du pays », a promis le Président Rohani.
 « L'attaque barbare perpétrée contre le bus du CGRI montre la profondeur du désespoir et de la perplexité des mercenaires criminels et des agents des ennemis du peuple iranien », a déclaré Rohani.

« Nul doute que tous les agents de cet acte néfaste et cynique et leur maîtres seront bientôt identifiés et punis grâce aux efforts des forces puissantes de sécurité et de l’ordre du pays », a promis le Président Rohani.
Le président iranien Hassan Rouhani a condamné l'attaque terroriste sauvage perpétrée contre le bus des forces du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI), sur la route de Zahedan-Khash dans la province du Sistan et du Baluchestan, dans le sud-est de l'Iran. « L'attaque barbare perpétrée contre le bus du CGRI montre la profondeur du désespoir et de la perplexité des mercenaires criminels et des agents des ennemis du peuple iranien », a déclaré Rohani. « Nul doute que tous les agents de cet acte néfaste et cynique et leur maîtres seront bientôt identifiés et punis grâce aux efforts des forces puissantes de sécurité et de l’ordre du pays », a promis le Président Rohani.
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« L'attaque barbare perpétrée contre le bus du CGRI montre la profondeur du désespoir et de la perplexité des mercenaires criminels et des agents des ennemis du peuple iranien », a déclaré Rohani.

« Nul doute que tous les agents de cet acte néfaste et cynique et leur maîtres seront bientôt identifiés et punis grâce aux efforts des forces puissantes de sécurité et de l’ordre du pays », a promis le Président Rohani.
Le ministère iranien des Affaires étrangères a réagi à l’attentat terroriste qui s’est produit dans la soirée du mercredi 13 février dans la province du Sistan-et-Baloutchistan, au sud-est de l'Iran.
 
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Bahram Qassemi, a exprimé ses vifs regrets et sa profonde indignation envers l’attentat terroriste de Sistan-et-Baloutchistan. "Les fils du peuple, les forces dévoués de l'armée et des renseignements iraniens vengeront le sang des martyrs de cet attentat", a-t-il martelé.

Bahram Qassemi a compati aux douleurs des familles des victimes et blessés et condamné l'attentat revendiqué par un groupuscule terroriste. "En procédant à de tels crimes inhumains, ce groupuscule terroriste qui profite d’ailleurs de l’appui financier, militaire et intellectuel de certains États de la région, ne fait que renforcer la volonté du peuple et du gouvernement iraniens dans sa lutte contre le terrorisme dans la région", a-t-il déclaré. 

27 effectifs du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) ont été tués et plusieurs autres blessés dans l'attentat terroriste de ce mercredi soir qui a frappé un bus sur la route reliant Khash à Zahedan dans la province du Sistan-et-Baloutchistan, au sud-est de l'Iran.

À la tribune du Parlement arménien, le Premier ministre Nikol Pachinian a déclaré, ce mardi 12 février, que son pays poursuivrait ses coopérations avec l’Iran dans divers domaines, dont l’économie, l’énergie et la politique.


« L’Union économique de l’Eurasie et l’Iran ont signé un accord commercial qui doit encore être ratifié. Lorsque cet accord entrera en vigueur, les relations économiques irano-arméniennes connaîtront d’importantes évolutions. Nous entendons approfondir notre coopération énergétique avec l’Iran », a déclaré Nikol Pachinian.
Et d’ajouter : « Nous sommes résolus à maintenir nos relations avec l’Iran à un niveau élevé de confiance mutuelle. Ces relations ne nuiront nullement à une partie tierce. »
 
Le ministère arménien des Affaires étrangères a récemment annoncé la visite imminente de Nikol Pachinian en Iran.

Le Premier ministre arménien, qui a accédé à son poste lors d’élections législatives prématurées, reste déterminé à élargir les relations Téhéran-Erevan
A peine 24 heures après la grande fête du 40ème anniversaire de la Révolution islamique en Iran, une attaque terroriste a frappé les forces qui défendent la patrie à Zahedan, chef -lieu de la province du Sistan-et-Baluchestan. Il est vrai que la présence massive des Iraniens aux cérémonies de commémoration de 40 ans de résistance iranienne à l'impérialisme US a déçu des parties qui participent en ces moments au show anti-iranien de Varsovie. Un bilan définitif de l'attaque fait état de 27 morts et de 13 blessés.hare
 
Un attentat terroriste s’est produit dans la soirée du mercredi 13 février dans la province du Sistan-et-Baloutchistan, au sud-est de l'Iran.

À peine quelques heures après le début de la conférence anti-iranienne de Varsovie, un bus transportant le personnel du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a été gravement frappé lors d'un attentat terroriste qui s'est produit sur la route reliant Khash à Zahedan.

Selon un premier bilan, 27 effectifs du CGRI sont tombés en martyr lors de cet attentat terroriste.

Selon une autre dépêche, le groupuscule terroriste Jaysh al-Adl a revendiqué l'attentat dans un communiqué.

Pour sa part, la base Qods de la Force terrestre du Corps des gardiens de la Révolution islamique a publié un communiqué: « Suite à l’échec cuisant infligé par la nation iranienne à l’Arrogance mondiale, lors de la marche grandiose du 11 février marquant le 40ème anniversaire de la victoire de la Révolution islamique, les terroristes takfiristes et les mercenaires à la solde des services de renseignement liés à l’Arrogance, ont pris pour cible un bus transportant les combattants courageux de l’islam, des gardes-frontières qui revenaient d’une mission. Le bus a été visé sur une route reliant Khash à Zahedan. » 

En France où les médias sont visiblement sommés de désinformer au lieu d'informer, personne n'en parle et pourtant, l'information est bien fiable. Des sources militaires syriennes ont fait part d'une forte explosion produite dans le QG de renseignement et d’espionnage des forces françaises, à Raqqa. Des forces spéciales françaises auraient été tués ou blessés. Il s'agirait, selon Sputnik, d'une moto piégée qui a explosé au sein même de la cellule de renseignement et d’espionnage des forces françaises à Raqqa, ville qui a été le théâtre, il y a quelques jours, des manifestations anti-américaines et anti-françaises à l'occasion desquelles les habitants ont brûlé les drapeaux de ses deux pays, en réclamant le retrait des "forces d'occupation étrangères" de leur ville et de toute de la Syrie. 

Selon Sputnik, "personne n’a réussi jusqu’à présent à pénétrer dans le lieu de l’explosion et de plus amples informations sur le niveau des dégâts causés par l’explosion se font toujours attendre".

Des camions de pompiers et des ambulances ont pourtant été aperçus sur les lieux de l'explosion où les forces de la coalition américaine ont immédiatement mis en place un périmètre de sécurité, ajoute Sputnik.

La Russie a mis en garde les États-Unis contre toute ingérence dans les affaires intérieures de Caracas. Elle s’est dite disposée à faciliter l’ouverture d’un dialogue entre le gouvernement vénézuélien et l’opposition.

« Nous avons eu des contacts très importants avec le gouvernement vénézuélien et nous sommes prêts à trouver un moyen de sortir de cette crise », a déclaré ce mardi, 12 février le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov.

Riabkov a également mis en garde les États-Unis contre l’ingérence dans les affaires intérieures de Caracas, soulignant que la Russie avait fait des propositions au Venezuela pour résoudre la crise, sans émettre plus de détail.

L'armée américaine expédie des renforts à la frontière syrienne alors que l’armée syrienne et les Hachd al-Chaabi se préparent à lancer une opération conjointe à al-Anbar, dans le sud-est de la Syrie.

L'armée américaine a envoyé un grand nombre de renforts dans la campagne occidentale du gouvernorat d'al-Anbar, qui borde les provinces syriennes de Deir ez-Zor et de Homs alors que l'armée syrienne et les Hachd al-Chaabi se préparent à lancer une offensive conjointe dans le sud-est de la Syrie.

Citant un responsable irakien, l'agence de presse publique turque, Anadolu indique que les forces militaires américaines avaient été redéployées dans cette région pour bloquer l’extension des troupes de l’armée syrienne le long de la frontière syro-irakienne.

Selon l’Anadolu, les forces armées américaines, déployées dans la base voisine al-Tanf, semblent surveiller de près la région pour s'assurer que les troupes pro-gouvernement syrien ne se déplacent pas dans leur zone d'influence, à al-Anbar.