تقي زاده

تقي زاده

Le général à la retraite Amos Gilad, ancien chef du bureau des affaires politiques du ministère israélien des Affaires militaires, reconnaît l’échec stratégique du régime israélien face à l’axe de la Résistance en Syrie.

Selon le journal Times of Israel, le général Amos Gilad a avoué qu’Israël n’avait pas réussi à dissuader l’axe de la Résistance de créer des bases militaires permanentes en Syrie, malgré les frappes successives de l’armée israélienne contre ce pays.

« Du point de vue tactique et opérationnel, les frappes israéliennes sur les positions de l’axe de la Résistance étaient efficaces, mais du point de vue stratégique, Israël n’a obtenu aucun résultat tangible », a déclaré le général Gilad, qui parlait devant les participants à une conférence sur l’implication de la Russie au Moyen-Orient au Centre interdisciplinaire à Herzliya.

Ces remarques d’Amos Gilad interviennent quelques heures après que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a confirmé que l’armée israélienne avait mené des frappes lundi soir en Syrie.

D’après Tel-Aviv, Netanyahu rencontrera le président russe Vladimir Poutine en février à Moscou dans le cadre des efforts du régime israélien pour améliorer ses relations avec Moscou.

Le site web israélien Walla a fait part de profonds désaccords entre l’armée israélienne et le Centre d’état d’urgence du régime sur la question de savoir si le front intérieur était prêt à faire face à une guerre potentielle.

Selon le site, des discordes sont apparues au sein de l’appareil de sécurité israélien, suite à la divulgation d’informations sur l’existence de profondes divergences et de fissures qui continuent de s’accroître au sein du régime en ce qui concerne la préparation du front intérieur à faire face à une situation extraordinaire et à une guerre.

Le site israélien Walla a ajouté qu’Israël craint une guerre des missiles contre le Hezbollah libanais au nord et contre la Résistance palestinienne au sud.

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a averti les États-Unis et leurs alliés qu’il serait « suicidaire » d’entrer en guerre avec l’Iran.

Zarif, qui est en Allemagne pour assister à la 55e Conférence sur la sécurité 2019 à Munich, a fait ces remarques ce vendredi 15 février lors d’une interview exclusive avec NBC News, qui lui demandait s’il y aurait une guerre entre l’Iran, les États-Unis et Israël.

Il a déclaré que le « même gang » derrière l’invasion américaine en Irak en 2003 réapparaît une fois de plus, plaidant cette fois-ci pour une guerre avec l’Iran.

 

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif (à droite), s’entretient avec le correspondant de NBC News, Richard Engel, lors d’une interview exclusive à Munich, en Allemagne, le 15 février 2019.

« L’Iran est différent des autres pays. Les États-Unis ont l’habitude d’avoir l’affaire à des pays qui puisent leur pouvoir dans des forces exogènes. Quant à nous, c’est notre peuple qui est la source de notre légitimité et de notre pouvoir », a-t-il indiqué.

Lors de la conférence anti-iranienne de Varsovie, le vice-président américain, Mike Pence, a accusé l’Iran de vouloir ressusciter un empire, de vouloir commettre un nouvel holocauste et d’agir contre les intérêts américains en Irak.

Les forces yéménites ont pris pour cible plusieurs sites militaires près de la frontière sud de l’Arabie saoudite cette semaine.

Selon les médias officiels du mouvement yéménite Ansarallah, leur unité de roquettes a tiré plusieurs missiles balistiques Zelzal-1 sur des postes militaires saoudiens dans le désert d’Ajasher, dans la province de Najran.

Ansarallah a en effet annoncé qu’un certain nombre de ses missiles avaient atteint leurs cibles le long de la frontière, faisant plusieurs victimes dans les rangs de la coalition saoudienne et de ses mercenaires.

Le secrétaire général du mouvement de résistance du Hezbollah libanais prononcera un discours samedi soir devant un événement destiné à honorer les commandants martyrisés du mouvement.

Selon le site d'information al-Nashra, la récente conférence qui s’est tenue dans la capitale polonaise sera l’un des principaux sujets abordés par Sayyed Hassan Nasrallah dans son discours.

Le 16 février est une date importante pour la résistance islamique libanaise. C'est le jour où sont honoré chaque année des commandants martyrs du Hezbollah comme le cheikh Raqeb Harb, commandant du Hezbollah, Sayed Abbas Moussaoui ancien secrétaire général du Hezbollah, Imad Moqniyeh, commandant de la branche militaire du Hezbollah.

La conférence de Varsovie a été organisée par les États-Unis dans la capitale polonaise les 13 et 14 février.

Si on prend l'exemple du Sénégal,  dont l’Islam s’est sédimentée depuis des siècles pour fonder une culture, une tradition et un enracinement islamique des  plus solides,  a été toujours marqué par des révolutions qui ont abouti à l’instauration d’Etats religieux islamiques tels que celui du Tekrour au 10ème siècle, du Boundou au16ème siècle, de Souleymane BALL précisément en 1776, à des époques où l’Europe toute entière était dans le moyen âge.

Ces  Etats avaient réussi à  élaborer un système juste et équitable basé sur l’Islam inspiré de nos valeurs socioculturelles sans l’apport culturel ou politique de la désuète civilisation occidentale.

La réalité vécue par la Ummah Islamique, dont la plupart des dirigeants politiques et religieux qui dirigent  ses différentes composantes, à des degrés divers, ont beaucoup contribué par leur combat à instaurer une vraie culture politique et démocratique et de respect sincère des Droits de l’Homme.  Ils ont pu jouer des rôles très décisifs et importants  pour encourager l’ambition et la créativité de leurs peuples et communautés pour le développement et l'amélioration de la Condition humaine. C’est ce qui explique la philosophie du mieux vivre ensemble au delà de la diversité et de la variété  des idées et des opinions. Cette réalité a engendré la prédominance de l’esprit ouvert au dialogue et à l’échange,  ainsi  de l’esprit de citoyenneté au sens réel, afin d'éviter que certains fassent amalgame entre l’Islam et le comportement actuel qui n’est pas du tout enviable des Musulmans  dont une très grande partie ignore son histoire, sa civilisation et sa culture. 

Beaucoup de savants engagés furent comme l’imam Khomeiny à l’origine d’effets d’une portée immense dans l’histoire de la Pensée et la condition humaine, mais, qui reste  voilée à des regards éblouis par la grandeur existentielle ; comme il se peut encore que l’éclat et le retentissement des phénomènes et des manifestations apparentes  du changement qui s’est produit n’enferment ceux qui veulent en juger dans une vision superficielle  et un attachement aux épiphénomènes. Et ce problème est encore plus grave  et inextricable lorsque le mouvement que conduisaient ces grands hommes a triomphé de leur vivant.

Pour parler de l’Imam Rouhoullah Moussawi Khomeiny (ra), cette personnalité de multiples facettes qui est le produit parfois d’aspects contradictoires en apparence. Un Docteur de la Loi Islamique, (Faqih) une Source de Référence,(Marj’a Taqlid) un Eminent Professeur de Philosophie , un profond Connaisseur de la Gnose spéculative (Irfaan),  un grand Maître d’Ethique islamique (Al-Akhlaaq), un Ascète (Zaahid) délivré de ce bas monde et plongé dans les profondeurs de la vallée pleine de secrets et de mystères de la voie spirituelle opérative, qui est en même temps un Penseur libre et lucide s’attaquant à l’ascète ostentatoire des bigots marchands de religion et se fâchant de la tartufferie des dévots aux idées malsaines. Un Savant qui met son savoir en pratique, un Homme de culture et de prière, un Combattant infatigable de l’injustice et de l’iniquité, Héraut d’une étroite corrélation entre Religion et Politique. Un Politicien avisé qui fut la Référence religieuse de la Nation musulmane. Celui qui combat le mal tout en  montrant le remède. Cette personnalité à ne pas comparer aux célèbres visages révolutionnaires, politiciens, religieux et scientifiques de notre ère.

Mais pour mieux le connaître ou apprécier cette personnalité, il faut disposer des moyens pour étudier en profondeur et dans toutes ces dimensions, la révolution Islamique et ses répercussions en Iran  et dans le monde durant ces 40 ans d’existence,

Pour connaître l’Imam Khomeiny, cet homme  ré vivificateur de la religion et réformateur de la Société, il ne suffit pas de l’aborder avec une conjoncture précise de sa vie ou un aspect de sa personnalité. Il faut connaître ce grand homme à travers sa conviction, sa foi, ses actes et toutes les étapes de sa vie.

Ce qui nous amenons à parler du climat politico social qui régnait durant les vingt dernières années de la Dynastie des Pahlavis, sur l’avènement de la Révolution Islamique, et sur la modernisation du Pays après la Révolution Islamique en Iran.

Tout musulman a une obligation de s’impliquer pour la réalisation des idéaux de l’Islam dans son environnement. Ce qui constitue une aventure gigantesque et exaltante comme nous enseigne ce verset du Coran Glorieux : ‘’Allah ne change rien dans les hommes tant qu’ils n’auront pas changé ce qui est en eux’’.

Cette exaltation galvanisant adressée par Allah aux hommes, l’Imam en fit un mot d’ordre mobilisateur. Avec des compagnons exaltés entièrement dévoués à la cause de la Révolution Islamique, il multiplie rassemblements et cérémonies dans tout le pays pour faire entendre appel à  son peuple. Et le peuple s’insurgea au prix de mille sacrifices chaque fois que l’absolutisme du pouvoir voulait aliéner l’indépendance aux puissances étrangères de tous bords.

Le mouvement religieux incarné par l’Imam Khomeiny  (ra) a toujours fait face à l’arrogance et à l’injustice du Chah qui alla jusqu’à traiter les religieux : « d’incultes mal intentionnés dont la pensée n’a pas évolué depuis mille quatre cents ans, qui grouillent comme des vers dans la souillure et la boue ».

C’est dans cette tyrannie impitoyable dans ce ciel lourd de menaces et de défis que s’éleva la voie rédemptrice de l’Imam qui proclame sans ambages : « Il faut renverser la Monarchie et chasser les Américains ». Le mot d’ordre fut entendu qui permit de mobiliser toutes les couches de la population.

Aux invocations du Glorieux Coran dont le discours est essentiellement égalitaire se rallièrent marxistes et laïcs. Tout le peuple fut convaincu de la nécessité de  chasser le Monarque.

C’est  sur ce socle que l’Imam Khomeiny (ra) et ses successeurs font reposer l’édifice du pouvoir, seule condition pour réussir pleinement la Révolution Islamique qui garantie l’évolution et le progrès, l’égalité, la fraternité, et le respect des Droits de l’Homme.

Fondateur, Irrigateur, Ordonnateur, l’Imam Khomeiny (ra) créa et conduisit avec fermeté la Révolution Islamique qui constitue un grand moment de l‘évolution de la Conscience Islamique mondiale, un viatique puissant, une espèce de lexique aussi bien spirituel, politique,, moral que culturel. Elle a rendu au-delà de la Ummah Islamique à tous les peuples opprimés du monde leur légitime fierté tout en permettant aux Religions Révélées (Judaïsme-Christianisme-Islam-) de réaffirmer leur présence et leur nécessité dans la vie, 
Ce est apparut aux yeux des ennemis et des détracteurs de l’Islam, comme un ébranlement cosmique.

La Révolution Islamique n’a été possible en Iran que, parce que ses Dirigeants  sont parvenus, grâce à une action soutenue jusqu’au sacrifice suprême à dégager le Coran de toute exégèse passéiste pour saisir l’appel plus véhément à la Révolution pour libérer l’homme de ses passions et de l’amour vers la félicité.

Seul, l’Islam pourra réaliser l’intégration critique et sélective des sciences et des techniques de l’occident en le subordonnant exclusivement comme moyen, au but de l’Islam qui, par définition et par essence est la religion de l’équilibre qui sauvera l’humanité à ce 3ème millénaire…
  

Selon l'Imam Khomeiny (ra),  l’Islam est un mouvement universel guidé par la lumière et la foi en Dieu. Cette religion donne un sens des responsabilités en vue de réformer la pensée et la croyance pour la promotion des principes élevés de la morale, l’établissement de bonnes relations entre les composantes de la société et du monde entier, tout en éliminant toutes les formes de discriminations fondées sur la couleur de peau, la race, la tribu, ou la classe en soutenant la Justice et l’Equité ; car elle considère que tous les humains sans distinction comme étant de la création de Dieu et ne considère que supérieure toute âme plus proche de la perfection est la plus pieuse.

  

Cette religion n’a jamais séparé le pouvoir spirituel  du  temporel, contrairement à ce que prétendent certains  inspirés par la culture occidentale post révolutionnaire  française de 1789 et influencés par la théorie de la  séparation des pouvoirs  présentées par  Hobbs et Montesquieu mais également par une certaine classe sacerdotale coupée des enseignements réels de leur religion. Ceux-là qui  s’opposent à l’application des lois islamiques et réclament le changement ou la suppression de certaines règles. Alors qu’ils sont dépouillés de toute qualification ou connaissances approfondies des sources et des éléments fondamentaux de l’Islam. Leurs desseins est de vouloir écorner  l’image de cette sublime religion en le taxant de religion qui s’oppose à la liberté et à la recherche intellectuelle, prétextant ainsi que  les efforts pour le développement de la science  sont très restreints dans le cadre religieux.

  Ces personnes sont  manipulées à outrance par la Pensée occidentale dénuée du parfum du sacré, qui veut remplacer l’Ordre Divin par un ordre d’origine et d’inspiration purement humaine. Cette vision réductionniste qui consiste à réduire l’Islam dans l’esprit de beaucoup, à une seule de ses dimensions, notamment la loi pénale (Hudud) est, bien évidemment essentielle à la tradition islamique ; elle est le sol sur lequel se tient la religion.

  Les ennemis se sont toujours employés surtout sous la domination coloniale (ancienne et nouvelle) à mobiliser  tous les moyens possibles pour éloigner les Musulmans des réalités de  leur religion et de leurs inculquer des inepties afin de créer la confusion et l’obscurantisme dans leur esprit qui leur faciliterait ainsi la falsification de leurs croyances, de leurs doctrines religieuses et leur histoire  dans le but de  briser ainsi leur unité.

  

L’Islam est la religion de la rationalité et c’est là l’une de ses particularités essentielles et l’un de ses atouts prééminents. Il est la religion au sein de laquelle tous les aspects de la vie et les domaines en rapports avec elle ont été pris en considération. L’Islam incarne à la fois une dimension juridique, politique, scientifique, intellectuelle, et culturelle… Contrairement aux autres religions, n’intervenant pas ou plus dans celles-ci et leur étant même parfois opposées.

  

L’homme a toujours essayé de se comprendre et de comprendre son milieu et son univers en forgeant des théories et des philosophies politiques diverses, comme la démocratie, le libéralisme,  le socialisme, le communisme, etc. Au nom de ces théories, il a prêché la « liberté », « l’égalité » et« la justice » de manière générale. Ces slogans devenus idéaux, l’homme a déployé toute son énergie, et a consenti tous ses efforts pour  les réalisés dans l’espoir de briser les carcans qu’il porte depuis des siècles d’accéder enfin à une vraie liberté.

Mais ces doctrines et théories politiques n’ont pas tenu toutes leurs promesses et n’ont pas, une fois mises à exécution, donné les fruits escomptés. Pire elles n’ont même pas pu la plupart du temps améliorer la situation précédente. La situation actuelle  du monde dit socialiste et libéral confirme cette thèse. Malgré leur échec amer et les résultats négatifs, ces idées et slogans demeurent toujours vrais du point de vue théorique et exercent encore leur pouvoir d’attraction. Car les concepts de liberté, d’égalité, et de justice, etc. sont inhérents à la structure même de l’intelligence humaine abstraite. Tout homme, en toute circonstance les reconnaît comme beaux, bons et utiles. Ces idéaux n’ont pas été inventés par les doctrines qui s’en réclament exclusivement à tort. Bien que la raison les accepte aisément, ils demeurent des concepts généraux flous  ayant besoin  d’être pratiquement mieux définis par les lois et valeurs  qui sont susceptibles de les transformer en concepts opérationnels, en mode de vie.  Et l’expérience a démontré que les doctrines forgées par les humains comme le libéralisme, le socialisme sont impuissantes  de par leur nature même à  traduire ces concepts généraux qu’elles ont prétendu être siens exclusivement en règles et lois pratiques et en mode de vie durable.

Cependant  à cause du vide idéologique régnant, de l’égarement général, et de l’absence au devant de la scène d’une pensée réformatrice, ces doctrines ont continué à séduire les hommes avec leurs vaines promesses et  leurs prétentions erronées,    telles qu’avancent  Huntington et Fukuyama à propos de l’inéluctabilité du « conflit des civilisations » et  la « fin de l’histoire ». Il est naturel  que ces idées se soient infiltrées dans le monde musulman affaibli, décadent  et sans conscience politique solide et qu’elles aient rendu les Musulmans encore plus éloignés des réalités et des vérités de leur religion et de leurs lois. Vaincus par  les conquêtes coloniales, militaires et culturelles et soumis à toutes sortes d’injustices , beaucoup de personnes furent induits en erreur se sont même imaginés qu’on pouvait concilier lslam avec la démocratie mécanique sans souveraineté réelle, et pensaient que l’Islam n’est opposé au marxisme  ,séduits en cela par les slogans de lutte contre la monopolisation et l’exploitation que colportaient les partisans de cette théorie qui avaient compris que l’Islam défendait  également ces idéaux, donc on pouvait carrément les confondre. Ils disaient que les notions de liberté, de justice et d’égalité proclamaient par l’Islam est un ordre ‘’démocratique’’ qui s’oppose à certaines formes d’accumulation des richesses  était du socialisme. Et c’est ainsi que la confusion générale fut instaurée et entretenue. C’est pourquoi  cette question de religion et politique devrait être traitée profondément et sérieusement pour remédier aux besoins causés à la Culture et à la Civilisation islamique. 

La supériorité de ce que propose l’Islam vient du fait qu’il n’est pas comme le monde de la science ou de la philosophie, un monde qui restreint les vérités à la matière. C’est un monde qui veut faire découvrir à l’humanité toute entière des vérités supérieures et éternelles. Le Saint Coran ne prétend pas remplacer l’attention à la nature et aux vérités matérielles de ce monde par une vigilance uniquement dirigée vers des vérités métaphysiques et spirituelles ; il désire au contraire que l’humanité tout en étant attentive à la nature n’en oublie pas pour autant le monde invisible, la spiritualité et les valeurs éternelles. Dans la philosophie politique de l’Islam, il n’existe pas  de règle  apparentée à ‘’ Rendez à Dieu ce qui Lui appartient et à César ce qui lui appartient’’ tout revient vers Dieu. Le Saint Coran dit «  Nous sommes à Dieu et c’est vers Lui que nous retournerons » Sourate 2. Verset 156.

A l’époque le Saint Prophète Mohammad (pslf) avait la charge du gouvernement, ce gouvernement qui a pris naissance avec la proclamation de la constitution de la Ummah ‘’Communauté Unique’’ et la proclamation de certains statuts après l’arrivée du Prophète à Médine. Durant cette période, les Juges, les commandants de l’armée, les fonctionnaires de la Trésorerie ainsi que d’autres fonctionnaires importants ont été nommés par Le Prophète lui-même et devaient s’acquitter de leurs devoirs dans le cadre de la Loi islamique. Leurs pouvoirs aussi étaient normalement déterminés par le Prophète (pslf). De son vivant, les agents nommés  dans le territoire qui se trouve sous son contrôle, exerçaient le pouvoir qu’il leur a accordé. Ils sont en réalité ses représentants. Ils tirent leur autorité pour gouverner de l’ordre du Prophète Mohammad (pslf) .Ils peuvent être considérés ainsi comme des agents nommés  à différents postes par les autorités centrales de n’importe quel pays.   
  

Avec un retour  à l’Islam et à son analyse systématique qui n’est ni démocratique, ni socialiste ni libéral. l’Islam a ses principes, ses lois, ses règles,  ses valeurs sa morale qui lui sont propres qui constituent sa quintessence et lui confère son identité propre en matière politique, économique, par rapport aux autres systèmes et doctrines économiques et politiques en vigueur dans le monde. Cet Islam   qui existe toujours et qui est encore capable d’agir sur la nation au niveau de chaque peuple et de mobiliser l’énergie latente dans l’esprit et la raison humaines en vue de fonder de nouvelles institutions et d’accomplir des réalisations basées sur la spiritualité, la morale, et les valeurs humaines.

vendredi, 15 février 2019 14:24

Dame Fatima zahra as

Fatima Zahra fille du saint Prophete Mohammad (paix soit sur eux tous)

Fatimatou-z-Zahra (s) est la fille du Prophète Mohammad (pslf) et Khadija bt. Khuwaylid (psl) et l’épouse de l’Imam Ali (s). Elle est née 5 ans après le commencement de la prophétie du Prophète (pslf) et mourut en martyre en l’an 11 H.
Elle fait partie de Ahl-ul-Kissa (gens du manteau) et les musulmans la considèrent parmi les quatorze immaculés (14 Ma’sum).
Le deuxième et le troisième Imam des musulmans, l’Imam Hassan al-Mujtaba (a) et l’Imam Hussein (a) sont ses fils.
Zahra (brillante), Batoul (une femme qui a le privilège de ne pas avoir de menstruation), Sayidatou-n-Nissae-l-Alamin (la Maîtresse des femmes des mondes) et Oumou Abiha (la mère de son père) sont certains de ses titres/surnoms.
Fatima fut la seule femme, en compagnie du Prophète (pslf) le jour de l’Ordalie (Al-Moubahala) avec les chrétiens de Najran.
  Au cours de l’événement de Saqifatou Bani Sa’idah, Fatima Az-Zahra (s) ne considéra pas le califat d’AbouBakr comme légitime et ne lui prêta pas le serment d’allégeance.
Lorsque le premier calife s’empara de Fadak et força l’Imam Ali (a) à lui prêter le serment d’allégeance, elle alla à la mosquée du Prophète (pslf) et y fit un sermon, qui fut nommé Al-Khoutbatou-l-Fadakiyah (le discours de Fadak).
Après le martyre de son père, le Prophète (pslf), lorsque les partisans d’AbouBakr attaquèrent la maison de l’Imam Ali (s), Fatima (s) fut blessée, tomba malade et peu de temps après, au 3 Joumada-l-Akhirah 11 H, elle décéda en martyre (dans d’autre version 13 Joumada-l-Oula 11 H). 
Elle avait demandé à son mari, l’Imam Ali (a) de l’enterrer en cachette pendant la nuit. C’est pour cette raison que personne ne sait où elle fut enterrée. 
La sourate Al-Kawthar, le verset d’At-Tat’hir, le verset d’Al-Mawaddah, le verset d’Al-It’aam et beaucoup de hadiths prophétiques prouvent les mérites nombreuses de Fatima (s) et son statut privilégié auprès d’Allah et auprès de l’Envoyé d’Allah (pslf).
D’après les hadiths du Prophète (pslf), Fatima Zahra (s) est la Maîtresse des femmes des mondes et sa colère cause celle du Prophète (pslf) et son contentement est la cause de celui du Prophète (pslf) et par conséquent ceux d’Allah SWT. 
Mous’haf Fatima (s) est un livre, contenant les paroles des anges avec Fatima (s), écrit par l’Imam Ali (a). Les imams infaillibles des musulmans gardèrent ce livre avec eux et aujourd’hui, il est auprès de l’Imam Mahdi (Ajf). Fatima (s) est un des meilleurs exemples à suivre parmi les musulmans.
L’anniversaire de son martyre est commémoré chaque année par les musulmans de ce qu’on appelé Al Ayamou-l-Fatimiyah (durant environ 20 jours).
Surnoms et titres :
Les surnoms suivants sont attribués à Fatima Zahra (a) :
•         Oumou Abihi (la mère de son père)
•         Oumou-l-A’immah (la mère des Imams)
•         Oumou-l-Hassan (a) (la mère de l’Imam al-Hassan (a))
•         Oumou-l-Hussein (a) (la mère de l’Imam al-Hussein (a))
•         Oumou-l-Mouhsin (la mère de Mouhsin fils Ali (a))
Aussi, plus de 30 titres lui sont attribués, dont les plus connus sont :
•         Zahra (Brillante)
•         Siddiqah (Véridique)
•         Mouhaddathah (Une femme qui reçoit des propos de la part des anges)
•         Batoul (Ecartée des gens/une femme qui n’a pas de menstrues)
•         Sayidato Nissae-l-Alamin (Maîtresse des femmes des mondes)
•         Mansourah (Assistée)
•         Tahirah (Pure)
•         Moutaharah (Purifiée)
•         Zakiyyah (Pure)
•         Moubarakah (Bénie)
•         Radhiyah (Satisfaite (de la volonté Divine))
•         Mardhiyyah (Une femme de laquelle, Allah est satisfait)

Jeudi, le Venezuela a annoncé la création d'une coalition réunissant l'Iran, la Russie, la Corée du Nord, la Chine et la Palestine pour contrecarrer l'ingérence des États-Unis dans les affaires intérieures d'autres pays, rapporte l'agence de presse Fars News.

Face à la tentative de renversement de Nicolas Maduro soutenue par les États-Unis, le ministre vénézuélien des Affaires étrangères, Jorge Arreaza, a déclaré dans un discours à New York, devant plusieurs délégués des Nations unies, que le groupe envisage de prendre des mesures communes pour protéger les principes fondamentaux de la Charte des Nations unies rétablie pour protéger la souveraineté des pays et qui exhorte au principe de non-ingérence dans les affaires intérieures d’autrui.

Le ministère vénézuélien des Affaires étrangères a publié une déclaration à cet égard et a noté qu'un certain nombre d'États membres de l'ONU avaient décidé d’agir via des mesures concrètes pour protéger la Charte des Nations unies et les droits de tous ses membres.

« Nous sommes convaincus que notre coalition partage les mêmes intérêts. Nous nous efforçons de défendre les principes suivants », indique une déclaration émise par Caracas:

1- Respect du principe de l'égalité des droits et de l’autodétermination des peuples

2- Respect de l’égalité souveraine de tous les membres

3- Régler les conflits internationaux par des moyens pacifiques afin que la paix et la sécurité internationales ne puissent jamais être menacées

4- Éviter le recours à la force contre d'autres pays

5- Respect de l'intégrité territoriale et de l'indépendance politique de tous les pays

6- Non-ingérence dans les affaires intérieures d'autres pays

« Nous pensons que ces principes sont en train d’être violés et cela représente une menace pour notre droit à la paix et à la sécurité, bafoue les droits des peuples et sape leurs efforts de progrès », insiste la diplomatie vénézuélienne

Les pays engagés dans la coalition anti-ingérence prendront des mesures appropriées, dans les prochains jours, pour sensibiliser le public aux dangers auxquels leurs populations sont confrontées, conclut le texte.

 

Les médias en Israël parlent de la peur des autorités de Tel-Aviv au sujet d’une guerre des missiles entre ce régime et les mouvements de la Résistance libanaise et palestinienne (Hezbollah et Hamas).

Le site web israélien Walla a fait part de profonds désaccords entre l’armée israélienne et le Centre de l’état d’urgence du régime sur la question de la préparation du front intérieur à une potentielle guerre.

Selon le site, des discordes sont apparues au sein de l'appareil de sécurité israélien, suite à la divulgation des informations sur l'existence de profondes divergences et des fissures qui continuent à accroître au sein du régime en ce qui concerne la préparation du front intérieur pour faire face à une situation extraordinaire et à une guerre future.

Le site israélien Walla a ajouté qu’Israël craint une guerre des missiles avec le Hezbollah libanais au nord ou contre la Résistance palestinienne au sud de la Palestine occupée.

Les hélicoptères de l'armée irakienne ont frappé, jeudi 14 février, des positions des terroristes de Daech dans les profondeurs de la Syrie, tuant nombre d’entre eux, a annoncé une haute autorité gouvernementale irakienne depuis la province d’al-Anbar à l’ouest, rapporte l’agence russe Sputnik.

Selon ce responsable, des hélicoptères de l'armée irakienne ont bombardé des lieux de rassemblements et des stocks d'armes et de munitions des éléments terroristes de Daech sur différentes régions syriennes dans les profondeurs et à proximité des frontières syriennes, éliminant ainsi un nombre de criminels daechistes.

Les frappes ont conditionné une épaisse fumée au-dessus des sites visés et des détonations puissantes et régulières se faisaient entendre à chaque attaque.

Le responsable irakien a souligné que les frappes aériennes de l'armée irakienne contre les positions des terroristes sur le territoire syrien visaient à affaiblir le pouvoir militaire des terroristes et à les empêcher de s'approcher des régions occidentales de la province irakienne d'al-Anbar.

Suite à une coordination entre Bagdad et Damas, les opérations de nettoyage se poursuivent dans les zones frontalières irako-syriennes.

En vertu de l'accord entre les deux voisins victimes du terrorisme, les avions de combat et les hélicoptères de l'armée irakienne sont autorisés à prendre pour cible les terroristes de Daech dans les zones adjacentes aux frontières des deux pays.

Le quotidien britannique The Independent a rapporté qu’un millier de civils sont tués tous les ans par la police américaine.

Parmi les millions de confrontations entre les policiers et les civils aux États-Unis, certaines dégénèrent en violence et en échanges de tirs mortels. L'année dernière, la police a abattu 998 personnes, soit 11 cas de plus qu'en 2017. En 2016, la police a tué 963 personnes et 995 en 2015, indique un article publié le mercredi 13 février par The Independent.  

Des années de protestations, de sensibilisation accrue du public, de réformes de la police locale et de formation des officiers ont eu peu d'effet sur le bilan annuel des personnes abattues. Tout le monde s’accorde à dire - chercheurs en justice pénale, universitaires et statisticiens - que toute l’attention n’a pas suffi à réduire les chiffres, ajoute l’article.

Le quotidien américain The Washington Post a lancé une enquête après que Michael Brown, un noir non armé, a été tué en 2014 par la police à Ferguson, dans le Missouri. L’enquête révèle que le système de suivi du FBI sous-estime de moitié environ le nombre de tirs mortels commis par la police, en raison du fait que les rapports des services de police sont volontaires et que de nombreux départements n'en fournissent pas. Le projet en cours repose sur des comptes de nouvelles, des publications sur les réseaux sociaux et des rapports de police.