تقي زاده

تقي زاده

La journaliste musulmane de la chaîne Press TV qui était détenue aux Etats-Unis a rencontré l'ayatollah Araki.
 
Selon, l'agence Taghrib(APT), Mme. Marzieh Hachemi, journaliste d'origine américain de la chaîne d'information Press TV qui était détenue aux Etats-Unis sans aucun fondement juridique a rencontré l'ayatollah Araki secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamique.

Lors de cette rencontre l'ayatollah Araki a honoré les activités de Mme, Hachemi. Certes, Dieu vous a réservé une bonne place privilégiée et l'incident dont nous sommes été témoignes est un destin décidé par Dieu pour montrer l'injustice des arrogants, a précisé l'ayatollah Araki.

Vous avez résisté. Votre patience et résistance sont appréciables où toute la situation était contre vous. Il est honorable que la voie des opprimés est entendue grâce à vous, a-t-il continué.

 Ce qui vous est arrivé montre que Dieu a planifié un plan pour vous. Donc, je propose de ne laisser votre place et de défendre les femmes opprimées de l'Europe et des Etats-Unis, a-t-il suivi.

Aujourd'hui, les femmes de l'Occidents sont les femmes les plus opprimées du monde. L'islam a donnée de la grandeur aux femmes et apprécie le système familiale, mais les Occidentaux montre une image inverse de la place des femmes dans les communautés musulmanes, a-t-il continué.

L'ayatollah Araki a également proposé à Mme. Hachemi de lier des relations avec les femmes prisonnières en Occident et de défendre leurs droits.

 Tous en espérant le succès pour Marzieh Hachemi, l'ayatollah Araki a dit: pour le moindre fait accompli pour la satisfaction de Dieu, il y a de grands résultats et nous sommes prêts à vous soutenir dans tout ce que vous voulez faire dans la voie de la justice.

A la fin de la rencontre, l'ayatollah Araki a offerts des cadeaux pour honorer l'activité de Mme. Hachemi.  
 
 
Le président français s’est attaqué aux Gilets jaunes sous prétexte de l’antisémitisme.
Gilets jaunes: l’antisémitisme est un bon prétexte pour le président français
Emmanuel Macron a dénoncé, le samedi 16 février, les Gilets jaunes sous prétexte de prétendues injures antisémites qu’ils auraient adressées au philosophe Alain Finkielkraut en marge de la manifestation parisienne qui a eu lieu le même jour dans le quartier de Montparnasse.

En milieu d’après-midi, l’académicien Alain Finkielkraut a été injurié et sifflé en marge d’une manifestation des Gilets jaunes, selon des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux. Il a été notamment qualifié de « sioniste » et de « raciste », mais aucunement de « sale juif » comme l’a prétendu mensongèrement le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux.

Le même Alain Finkielkraut, sioniste et raciste notoire, avait déclaré dans le journal Haaretz du 18 novembre 2005 : « Ce pays [la France] mérite notre haine ». Dans la même interview, il avait également vilipendé l’équipe de France de football pour ses nombreux joueurs d’origine africaine, disant que « l’équipe nationale est aujourd’hui black-black-black, ce qui en fait la risée de toute l’Europe ». Quelques années plus tôt, il avait également applaudi la pamphlétaire italienne Oriana Fallaci, lorsque cette dernière déclarait que « les musulmans se reproduisent comme des rats ».

À Varsovie, les alliés arabes d'Israël ont dévoilé leurs liens longtemps cachés avec le régime, ce qui a incité ce dernier, selon le Hamas, à profaner la mosquée Al-Aqsa et à attaquer les Palestiniens. Ce n’est pas pourtant si facile pour Israël: la colère des Palestiniens finira par déclencher la prochaine Intifada. Tel-Aviv a décrété l'état d'alerte le long des frontières avec Gaza.

À Gaza, une des tours d’observation du Hamas a été visée par l’unité d'artillerie israélienne tandis qu’en Cisjordanie, la mosquée Al-Aqsa a été profanée par les forces israéliennes. Le Hamas a mis en garde Israël contre une imminente Intifada. 

Alors que la Turquie a permis de travailler au désarmement des terroristes d'Al-Nosra à Idlib, quitte à ne plus s'opposer à la zone démilitarisée que la Syrie et la Russie veulent créer du nord de Lattaquié à l'ouest d'Alep, l'armée syrienne intensifie son action militaire à Hama. L'armée syrienne a lancé une contre-offensive en riposte à la violation par les terroristes de l’accord de la zone démilitarisée de Hama où les forces d'élite syriennes viennent aussi de découvrir des armes de fabrication israélienne et américaine. 

Certaines sources d’information syriennes ont fait part de l’opération de l’armée contre des terroristes syriens dans la banlieue d’Idlib suite à l'attaque à la roquette contre la banlieue nord de Hama.  

Les forces gouvernementales ont par ailleurs repoussé les terroristes qui tentaient de s’infiltrer dans les sites militaires de l’armée. Plusieurs terroristes ont été tués. 

L’agence de presse syrienne SANA a par ailleurs fait part de la mort de deux civils dans les tirs de missiles visant la ville de Schizer, située au nord de Hama.  

Le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a annoncé ce lundi 18 février que des membres de l'équipe responsable de l'attentat de la semaine dernière ont été arrêtés et 150 kg de charges explosives et des munitions ont été saisis.

Les forces du CGRI, agissant sur des indices des agents du renseignement, ont perquisitionné plusieurs habitations à Saravan et à Khash dimanche soir avant d'arrêter les terroristes qui s'y étaient dissimulés, a indiqué le CGRI dans un communiqué.

« Lors de cette opération réussie, trois terroristes ont été arrêtés et 150 kilos d'explosifs prêts à l'emploi, ainsi que 600 kilos de matières explosives, en préparation, ont été découverts sans compter une quantité considérable d'armes et de munitions », a-t-il déclaré.

Le texte du communiqué précise que les personnes arrêtées ont été identifiées comme étant les mêmes éléments qui ont procuré au kamikaze le véhicule dont il s'est servi lors de la récente attaque criminelle sur la route Khash-Zahedan.

Plus tôt dans la journée, le général de brigade Mohammad Baqeri, chef d'état-major des forces armées iraniennes, a averti qu'une « revanche violente » attendait le groupuscule terroriste Jaysh al-Adl et d'autres groupes terroristes financés par des régimes arabes régionaux tels que l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis.

À Varsovie, les insultes du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu au gouvernement et au peuple polonais ont déclenché une crise diplomatique qui a fait annuler le sommet de Visegrad en Israël.

La décision brusque de la Pologne d'annuler sa participation à la conférence de Visegrad prévue ce mardi en Israël en signe de protestation contre les propos de Netanyahu a porté le coup de grâce au sommet.  

La crise a été déclenchée la semaine dernière lorsque Netanyahu a déclaré aux journalistes que « les Polonais ont coopéré avec les nazis ». Ce commentaire a provoqué la colère de ses hôtes polonais, qui rejettent les suggestions d'une collaboration entre leur pays et Hitler.

Le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, a annoncé dimanche qu'il ne participerait pas au sommet de Visegrad de cette semaine, sommet auquel devaient également participer les responsables hongrois, tchèques et slovaques.

Suite à la défection polonaise, le sommet prévu des pays du groupe de Visegrad (Hongrie, Pologne, Slovaquie et République tchèque) est annulé et sera remplacé par des « discussions bilatérales », a annoncé le Premier ministre tchèque Andrej Babis cité par l’Agence France Press.

Le ministère polonais des Affaires étrangères a convoqué le vendredi 15 février l’ambassadeur israélien, après les déclarations de Benjamin Netanyahu accusant la Pologne de collaboration avec l’Allemagne nazie.

mardi, 19 février 2019 09:05

Raqqa : trois explosions ont visé les FDS

Les sources d’information ont fait état de trois explosions à Raqqa contre les Forces démocratiques syriennes (FDS) quelques heures après le flottement du drapeau national syrien dans la ville.

Selon l’agence d’information russe Sputnik, à peine quelques heures après le flottement du drapeau syrien dans divers endroits de la ville de Raqqa, ces explosions ont eu lieu sur le chemin des patrouilles des forces kurdes soutenues jusqu’à présent par les États-Unis dans la zone industrielle d’al-Sanaa.

La première explosion a laissé un mort et deux blessés parmi les FDS.

Une autre explosion qui a eu lieu à 21 h (heure locale) du dimanche 17 février près de la place al-Naïm, en centre-ville de Raqqa a fait deux morts et six blessés au rang des forces kurdes.

À la suite de cette attaque, les hélicoptères de l’armée américaine ont survolé la ville et les FDS ont encerclé le lieu de l’attaque.

Une troisième explosion a également ciblé une voiture blindée appartenant aux FDS sans faire de victime ; les forces kurdes ayant quitté l'engin au préalable.

Cette vague d’attaques à Raqqa intervient alors que les habitants de plusieurs quartiers de la ville ont hissé le drapeau national syrien suite au discours du président Bachar al-Assad le 17 février s’adressant aux présidents des conseils locaux des gouvernorats syriens à Damas.

Selon la chaîne de télévision Al-Mayadeen, l’armée israélienne s’apprête à évacuer ses bases militaires le long de la ligne côtière de la Palestine occupée et pour justifier cette décision, le régime israélien a prétendu que Tel-Aviv ne pouvait accepter davantage de monde.

Le régime israélien a aussi prétendu qu’il voulait profiter de ces plages pour de nouveaux travaux de construction.

Aucune date n’a pourtant été annoncée pour évacuer les bases Zikim (au sud d’Ashkelon), Belmakhim (au centre de la Palestine occupée), Atlit (au sud de Haïfa) et Ramat David (au sud-est de Haïfa).

Cette décision ne serait pas sans rapport avec les soucis militaro-sécuritaires de ce régime.

« Ce n’est pas qu’une seule base qui devra être évacuée ; il s’agit de plusieurs bases militaires dont les coûts de construction ont frôlé les millions de shekels.  

« Les responsables israéliens craignent que leurs bases militaires le long de la ligne côtière ne soient frappées lors d’éventuelles guerres », ajoute Al-Mayadeen.

Le régime israélien sait très bien que la moindre erreur pourrait aboutir à une nouvelle guerre. Dans le même temps, l’armée israélienne cherche à étendre vers l’Irak et le Liban sa stratégie de “guerres imbriquées” qu’il a déjà appliquée en Syrie. »

Il serait utile de rappeler que la base aérienne de Belmakhim constitue l’une des bases militaires les plus actives de la Palestine occupée. Elle recèle un grand nombre d’hélicoptères d’assauts et des lanceurs de missiles. Cette base est aussi largement utilisée pour le transfert d’effectifs et d’avions militaires.

De même, la base maritime d’Atlit est une base ultra importante de la force navale israélienne située au sud de Haïfa.

Et la base aérienne Ramat David est l’une des trois principales bases militaires de l’armée israélienne et qui est associée au Groupe d’industries militaires Rafel.

Les États-Unis vont installer le Dôme de fer en Syrie. Se référant à des sources américaines concordantes, le site web israélien Nziv écrit que les États-Unis envisagent d’acheter deux lanceurs de missiles du système Dôme de fer qu’ils vont installer là où les forces américaines se trouvent.

Par ailleurs, des sources syriennes ont estimé que l’une de ces plateformes de lancement serait installée près de l’aéroport d’al-Tanf dans le sud-est de la Syrie.

La base illégitime américaine à al-Tanf a été, entre autres, créée pour contrôler l’une des principales routes reliant la Syrie, l’Irak et l’Iran. Les Américains persistent à vouloir y maintenir leurs forces malgré l’annonce du retrait US par Donald Trump. Selon certaines sources, même si les forces américaines se retirent de cette partie de la Syrie, elles seront redéployées du côté irakien de la frontière.

 
mardi, 19 février 2019 09:00

Irak : complot US révélé par les Hachd

« Les États-Unis ne peuvent pas éloigner nos forces de la frontière syrienne », ont rétorqué les Hachd al-Chaabi.

Cité par l’agence de presse Sputnik, un haut responsable des Hachd al-Chaabi (Unités de mobilisation populaire d’Irak), Hassan al-Sari, a affirmé que les États-Unis n’étaient pas capables d’éloigner les Hachd de la frontière irako-syrienne. « La présence des forces américaines en Irak est une atteinte à la souveraineté irakienne », a-t-il ajouté.