
تقي زاده
Un journal sioniste autorise le génocide des Palestiniens
Cet article de Jonathan Gordoun mis en ligne à 17:35, appelait au génocide et déclarait que ceux qui prétendent soutenir Israël depuis six ans, lui avaient lié les mains. « Aucun moyen n’est à rejeter dans la guerre contre Gaza. L’objectif est d’installer un calme durable pour les citoyens israéliens », a-t-il déclaré.
Depuis le début de l’attaque de la meute coloniale sioniste contre la bande de Gaza, le 8 juillet 2014, 1500 Palestiniens en majorité des femmes et des enfants, ont été lâchement assassinés et plus de 8000 personnes, ont été blessées.
La résistance palestinienne et l’équation iranienne
Plus que jamais, la Résistance palestinienne se trouve en position de force face à l’ennemi sioniste et à ses coups meurtriers qui visent la population civile mais restent sans impact sur la détermination et la capacité offensive des factions de la Résistance engagées dans le combat. Au moment où le peuple de Gaza est massacré par les bombardements sauvages de l’armée sioniste qui démolit systématiquement toutes les infrastructures : maisons, hôpitaux, écoles, mosquées, centrale électrique, plongeant la Bande de Gaza dans une situation humanitaire épouvantable, sans eau ni électricité, ce n’est pas un hasard si diverses déclarations très importantes émanant des responsables iraniens s’enchaînent les unes aux autres, et brisent le silence assourdissant des dirigeants des pays « frères » arabes. Ce fut d’abord l’intervention du Guide suprême de la Révolution islamique d’Iran, l’Ayatollah Seyyed Ali-Khamenei, qui a déclaré lors de la prière de l’Aïd al-Fitr, à propos d’Israël : « Un chien enragé, un loup sauvage attaque des personnes innocentes, des enfants qui ont perdu leur vie innocemment. Ce que font les dirigeants du régime sioniste est un génocide et une catastrophe historique » et « Le président américain a émis une fatwa pour que la Résistance soit désarmée et qu’elle ne puisse pas répondre à tous ces crimes. Nous disons le contraire : le monde entier, et en particulier le monde islamique, doit armer autant qu’il le peut le peuple palestinien », a-t-il ajouté. Ensuite, tout récemment, ce fut le discours du commandant de l’unité d’élite de l’armée iranienne, la Force Al-Qods. Le Général major Qassem Suleimani, d’habitude très discret et fréquentant peu les médias, a marqué son soutien sans faille à la résistance palestinienne jusqu’à la victoire : « Le sol et le ciel de Gaza seront transformés en enfer pour les sionistes » et « le désarmement de la Résistance est une illusion qui ne se réalisera point ». « Que les meurtriers et les mercenaires sachent que nous n’épargnons aucun effort pour défendre et soutenir la Résistance ainsi que le peuple palestinien » a-t-il poursuivi. « Les images douloureuses provenant de la Palestine ensanglantent nos cœurs et nous enragent profondément, et nous allons déverser notre colère sur la tête des sionistes criminels au moment opportun ». Saluant les factions de la Résistance palestinienne, il a ajouté : « Paix aux dirigeants de la Résistance qui ne se plient pas face aux pressions et manœuvres visant leur soumission. Paix aux dirigeants de la Résistance qui ont gravé leurs noms avec les lettres de la dignité dans l’histoire de la Palestine». « Tuez-les, où que vous les rencontriez ; et chassez-les d’où ils vous ont chassés. Que Dieu maudisse tous ceux qui voient vos douleurs et souffrances et encouragent vos tueries par leur mutisme lâche. Que Dieu maudisse tous ceux qui ont fermé les voies d’approvisionnement, participant ainsi dans les crimes sionistes. Que Dieu maudisse les Etats-Unis, figurant à la tête de la tyrannie mondiale. Que Dieu maudisse tout tyran défendant et protégeant cette entité criminelle ». S’adressant aux musulmans, il a conseillé : « Votre unité et coopération pour la Palestine terrifient l’ennemi alors que vos querelles le réjouissent et affaiblissent vos capacités », a conclu le général Suleimani.
Le secrétaire général adjoint du Jihad islamique Ziad Nakhala, a communiqué que le cessez-le-feu est lié à la réouverture de tous les passages de la bande de Gaza et que le soutien de l’Iran est capital pour la Résistance. Mohammed Deïf, le Général en chef des Brigades al-Qassam a certifié quant à lui que « Les Brigades Ezzedine al-Qassam n’accepteront aucun cessez-le-feu sans l’arrêt de l’agression et la levée du siège », a-t-il déclaré dans une rarissime déclaration de la part de ce personnage caractérisé par son humilité et sa discrétion, s’exprimant peu après la déclaration du chef du Hezbollah, Seyyed Hassan Nasrallah qui a confirmé son soutien inconditionnel à la Résistance palestinienne. Ces différentes sorties qui se sont succédées vont certainement changer la donne sur le terrain des opérations et sur le plan des négociations, car les différentes déclarations sont claires et nettes : la Résistance ne désarmera pas et gardera sa capacité que ce soit en armement ou en ténacité pour porter des coups à l’armée sioniste qui n’a montré qu’un seul visage, celui d’une armée criminelle pratiquant l’assassinat collectif. La volonté du chef des Brigades al-Qassam à vouloir libérer son peuple se traduit par son refus à tout compromis ou négociation ignorant l’intérêt du peuple palestinien de Gaza qui souffre le martyre, et son discours s’avère crucial dans ce moment précis où des intermédiaires américains, arabes ou européens essaient de sauver la face de l’entité sioniste d’Israël. Ses propos prouvent que le seul maître de la situation sur le terrain est la Résistance. Dans ce cas de figure, le renforcement des alliances stratégiques de la Résistance par l’axe Hezbollah-Iran va être décisif dans le dénouement de cette situation tragique, avec le Hezbollah qui réaffirme qu’il a toujours aidé et continuera à aider la Résistance palestinienne avec ses différentes factions, et l’Iran qui, par la déclaration du Général major Suleimani, vient à point nommé mettre fin à toutes les basses manœuvres et les combines de certains traîtres arabes, des USA et de leur valet Erdogan qui veulent sortir Israël du pétrin dans lequel il s’est fourvoyé. La fermeté du général Suleimani qui connaît toutes les factions palestiniennes pour les avoir encadrées et formées militairement dans le désert iranien, montre sa résolution en affirmant que l’objectif d’Israël et des Etats-Unis de désarmer la Résistance palestinienne n’est qu’une illusion menant tout droit au cimetière. Ce discours d’une importance stratégique majeure alors qu’Israël semble vouloir négocier en imposant ses seules conditions, avertit d’un risque de confrontation régionale entre l’axe de la Résistance palestinienne appuyée par l’Iran, le Hezbollah et la Syrie, et l’axe de la trahison représenté par le Qatar, la Turquie et l’Arabie saoudite et où les bases américaines implantées dans ces trois derniers pays pourraient en faire les frais. Ajoutons l’échec de John Kerry qui a dévoilé une crise profonde au sein de l’administration Obama soumise, d’une part, aux dictats des cercles sionistes va-t-en guerre, d’autre part en plein rapprochement avec l’Iran pour les négociations sur le dossier nucléaire iranien, et face à une opinion publique de plus en plus opposée au soutien indéfectible des USA à Israël. Ce casse-tête auquel est confronté le gouvernement américain explique pourquoi Kerry a préféré prendre la fuite en Asie. Car il est évident que le conflit a désormais dépassé Gaza et s’est exporté sur le sol américain avec des mouvements de boycott et de protestation très organisés, parrainés par des personnalités de premier plan. Le débat sur le soutien américain à Israël qui a toujours été un tabou jusqu’ici est en pleine expansion. Gaza est désormais devenue l’épicentre mondial de la résistance à l’impérialisme et au sionisme avec l’implication de célébrités, comme on l’a vu avec la pétition des différents prix Nobel ou les mouvements BDS, l’implication des vedettes du cinéma et autres, et des ONG qui militent pour boycotter et désarmer Israël. Tous exercent une pression exceptionnelle sur Israël. Le sortilège s’est retourné contre le sorcier au point où une délégation israélienne est rentrée bredouille d’une tentative de médiation au Caire, avortée faute d’interlocuteur palestinien.
Après l’abnégation de la Résistance qui a gardé tout son potentiel de riposte en allant même effectuer des opérations derrière les lignes ennemies, l’apport et le soutien de la force Al-Qods du Général Suleimani place très haut la barre de toute éventuelle négociation et la Résistance a revu ses revendications à la hausse. Toutes les factions palestiniennes se félicitent du soutien iranien qui rend un souffle nouveau au mouvement de libération de la Palestine, à l’instant où, comme l’a exprimé l’un des chefs du Jihad islamique, certains pays veulent marchander le sang des Palestiniens et forcer la Résistance à négocier en position de faiblesse, sans aucun apport pour la population de Gaza. L’heure n’est plus aux gesticulations des USA, du Qatar, de la Turquie, de l’Arabie saoudite et des autres larbins du sionisme qui se sont agités pendant plusieurs jours sans résultat. Toute négociation qui ne prendra pas en charge les revendications du peuple palestinien à vivre dans la liberté et la dignité n’est pas à l’ordre du jour. Les magouilles sont balayées par ces déclarations du Hezbollah, des Brigades al-Qassam et du général major Suleimani et inscrivent la lutte qui se déroule à Gaza dans un conflit qui peut embraser toute la région. Chacun choisira son camp selon ses intérêts. La cause palestinienne n’a pas besoin des gémissements de l’ONU, organisme fantoche au service du sionisme qui a prouvé son inutilité et qui nécessite d’être soit réformé, soit dissout, car dans ce monde, seule la force compte. Les médias israéliens traduisent la peur qui s’est emparée des autorités de l’entité sioniste face à l’intervention qualitative du Hezbollah et de l’armée iranienne. Quand le vent tourne, on est parfois surpris par la tempête et l’on apprend aussi que les services de renseignements iraniens ont révélé la véritable identité du « calife à la Rolex », le chef de Daech (EIIL ou ISIL), Abou Bakr al-Baghdadi. Le pseudo que lui ont donné les Israéliens est Ibrahim ben Awad ben Ibrahim al Badri al Radhaoui al Husseini et l’on apprend qu’il n’est autre que l’agent Shimon Eiloth du Mossad, dont la mission s’inscrit dans le plan du grand Israël. Selon nos sources, Abou Moussab al-Zarqaoui a été abattu juste après une réunion à laquelle assistait al-Baghdadi, lequel avait quitté l’immeuble où se déroulait l’entrevue juste avant l’intervention américaine, et nous sommes en mesure d’affirmer que les Américains ont liquidé tous les supérieurs de Baghdadi afin de confier à ce dernier la mission qu’il accomplit actuellement en Irak en assassinant des milliers d’Irakiens chiites, sunnites, en expulsant et en pillant les communautés chrétiennes, et en détruisant des sites religieux millénaires. Il est à noter que l’offensive des terroristes de Daech (EIIL ou ISIL) coïncide avec l’attaque israélienne sur Gaza. Rappelons les propos de ce criminel, car ça ne s’invente pas : « dieu n’a pas ordonné à l’EIIL (ISIL) de combattre Israël » ! Les pays occidentaux vont-ils accueillir les dizaines de milliers de chrétiens chassés de leurs habitations par les troupes sanguinaires que l’Occident a financées et entraînées ? Car on assiste bel et bien, sur fond de guerre confessionnelle entraînant l’extermination des chiites et des sunnites, à un plan qui consiste à vider le Moyen-Orient de ses chrétiens, comme l’avait annoncé un haut dignitaire religieux russe voici deux ans. Le chaos préconisé par Condoleezza Rice et les néocons a-t-il été suffisamment « créatif » en voyant les scènes de désolation en Irak, en Syrie, en Libye, au Soudan, au Yémen, etc. ?
Au vu de tous ces éléments nouveaux, Israël risque aujourd’hui d’être pris en sandwich par de véritables armées à l’appui de la Résistance palestinienne et va certainement courir vers une trêve unilatérale. Sauver la face va être très compliqué pour le gouvernement sioniste. Il est clair qu’Israël n’a pas atteint et n’atteindra jamais aucun des objectifs stratégiques de son offensive, soit la démilitarisation de la Résistance ou la destruction hypothétique des tunnels. Ceux-ci ne seront jamais entièrement détruits puisqu’Israël est dépourvu du moyen des renseignements, d’où les tracts jetés à la population de Gaza pour l’inciter à la délation et à la collaboration avec Tsahal, ce que la population unie par la souffrance et le deuil refuse catégoriquement. L’amateurisme sidérant de cette stratégie stupide dévoile l’échec total de l’armée sioniste qui penser pouvoir retourner les citoyens de Gaza tout en les bombardant. Et l’on nous parle d’une armée puissante ! Il faudrait enseigner aux académies militaires israéliennes et américaines qu’on ne tue pas les civils si l’on veut les recruter pour le renseignement. Bref, les récents événements et l’abnégation de la Résistance palestinienne qui étend sa popularité, contrairement à Israël, même avec les scènes de désolation auxquelles nous assistons tous les jours, vont donner raison aux Justes qui se battent avec bravoure contre l’entité sioniste d’Israël et offrent une leçon de courage à toute la planète. L’aide inestimable de l’Iran conjuguée aux différents mouvements dans le monde, dont celui du président de la Bolivie qui qualifie l’Etat d’Israël d’Etat terroriste, constitue un bond qualitatif jamais atteint par la Résistance palestinienne. La libération de tous les territoires occupés par l’entité sioniste est à la portée de la Résistance, loin des jeux de salon des traîtres du monde arabe ou d’Occident à la botte d’Israël. Le rapport de force penche vers la Résistance qui ne doit rien lâcher car l’ennemi sioniste est plus que jamais à portée de main. Toutes les conditions militaires et humaines sont réunies pour abattre l’hydre sioniste et le coup de grâce à la bête blessée se fera uniquement par le combat sur le terrain. L’élan de solidarité internationale devenue un véritable leitmotiv a réuni tous les anti-impérialistes et les antisionistes du monde, et travaille dans le sens de la libération une fois pour toutes de la terre de la Palestine.
La plus grosse crainte d'Israël ?
...avoir à vivre une guerre d'usure. selon la chaine II de la TV israélienne, l'armée israélienne a peur d'être entrainée dans une guerre d'usure au cas où une trêve avec les palestiniens n'entre pas en vigueur; en d'autres termes, elle a peur à revivre un nouvel Irak ou un nouvel Afghanistan à Gaza
Israël lâché par l'Occident ?!...
le journal israélien Jérusalem post a lancé un sévère avertissement contre les autorités d'Israël à qui il rappelle " la puissance balistique et de terribles tunnels sous terrains du Hezbollah", " les drones du Hamas" et " la montée en puissance des ressentiments anti israéliens à travers le monde"!! " Si Israël veut survivre dans la région , il faut qu'il agisse avec davantage de violence (!!!) . notre prochaine guerre est une guerre par procuration sur le front nord, contre l'Iran et ce, à travers le Hezbollah libanais, un Hezbollah qui possède 10000 missiles, encore plus sophistiqués que ceux du Hamas. les tunnels du Hezb sont aussi plus complexes que ceux du Hamas. au sud du Liban et dans chaque maison, on peut trouver des missiles (!!!) . le Hezbollah surveille très étroitement la situation sur le front de combat à Gaza , c'est une surveillance stratégique de la situation de la part du Hezb. après une fermeture de 36 de l'aéroport de Ben Gourion, tout retrait de la Cisjordanie de l'armée israélienne équivaudrait à une fermeture définitive de cet aéroport. car les forces du Hamas et de Qassam sont déployées à une heure de distance de l'aéroport et sont capables donc de tirer des missiles contre . dans ce contexte l'économie israélienne se fragilisera". et le JPost d'ajouter :" le contrôle et la maitrise du Hamas au cours de la prochaine guerre seront beacoup plus difficles et périlleux. dans les mois à venir, le Hamas aura amélioré ses drones de connaissance, il en aura usé pour frapper Dimona ou Kria ( pentagone israélien). ce qui reste à découvrir ce sont les modalités de coopération du Hamas avec l'Iran et le Hezbollah" Au cours de notre future guerre, "il faudrait surveiller les médias anti israéliens , les groupes comme " sauvez la vie des enfants" basés en Grande Bretagne!! il faut aussi avoir des sismographes pour pouvoir localiser des tunnels sous terrains . il faut également faire attention aux barrages sécuritaires à Gaza pour empêcher tout creusement, tout transfert des armements et des missiles pour les palestiniens" le rapport évoque " l'avenir obscure d'Israël en Europe où la population musulmane s'élargit . " il en est ainsi de la Grande Bretagne, de la France où on parle du boycott d'Israël "...." L'Occident lâche progressivement Israël qui se doit de se trouver de nouveaux partenaires
Gaza : après l’échec militaire, Netanyahu cherche à se sauver (Atwan)
L’analyste arabe, Abdel Bari Atwan estime qu’après quatre semaines de guerre à Gaza et son échec militaire, Benyamin Netanyahu cherche une issue pour sortir honorablement de cette crise.
Dans une interview avec la chaîne de télévision al-Mayadeen, Atwan a déclaré que les sionistes cherchent à détourner l’attention de l’opinion publique du massacre de plus de 1700 civils palestiniens, en faisant campagne autour de l’enlèvement présumé de l’un de leurs soldats à Gaza. Cet analyste arabe a ajouté que la Résistance palestinienne a déjoué tous les calculs des sionistes dont l’opération psychologique a été vouée à l’échec comme leurs opérations militaires contre les combattants de la Résistance. « Les Israéliens ont d’abord parlé d’une opération pour arrêter le tir des missiles du Hamas, plus de leur tentative de détruire les tunnels, ensuite du désarmement des combattants palestiniens, et maintenant ils parlent de l’enlèvement de leur soldat », a déclaré Abdel Bari Atwan. Selon lui, la guerre de Gaza a été une véritable défaite pour le Premier ministre du régime sioniste, Benyamin Netanyahu qui, depuis une dizaine de jours, menace les Palestiniens de l’intensification des opérations terrestres dans une zone dont la profondeur n’est que de 3 à 5 kilomètres. Selon Atwan, Netanyahu ne cherche qu’une issue pour sauver la face, car il n’a réussi à réaliser aucun de ses objectifs : le tir des missiles de la Résistance se poursuit et les tunnels ne sont pas détruits.
Samedi, le Premier ministre du régime israélien a déclaré aux journalistes que l’armée poursuivra ses opérations dans la bande de Gaza. Suite à ses déclarations, le ministère israélien de la guerre a annoncé que l’opération des soldats israéliens pour détruire les tunnels va bientôt terminer. Suite à cette annonce, Netanyahu a confirmé la possibilité du retrait de l’armée sioniste de certaines zones de la bande de Gaza.
500 militaires sionistes tués à Gaza?!!
Selon le site Panorama al Chargh al Aussat , des fuites à partir de l'office du renseignement sécuritaire israélien font état de la mort de 497 militaires israéliens au cours de l'offensive sioniste lancée contre la bande de Gaza. ces fuites avancent un bilan de blessés et de morts et de suicides bien différent du bilan annoncé officiellement. sur ces 497 militaires israéliens tués, 113 étaient officiers. toujours d'après ces fuites, 879 militaires israéliens ont été blessés et ce chiffre est réparti entre les blessés légers et les blessés graves .Parmi ces blessés 362 sont officiers. 270 militaires israéliens tués étaient en possession d' un passeport étranger . 620 militaires israéliens étrangers ont été également blessés. selon les fuites , 166 soldats sionistes ont commis une tentative de suicide pour fuir les combats . 311 autres se sont tirés une balle. Les médias israéliens avaient reconnu une multiplication de cas de suicide dans les rangs de l'armée israélienne au cours de la seconde semaine de l'offensive. les soldats israéliens "suicidaires" s'étaient tirés des balles dans les pieds ! l'ordre du retrait partiel des troupes palestiniennes de Gaza a fait suite à ce rapport qui aurait mis en colère Netanyahu!!
Ammar Ibn Yasir
Il était aussi connu sous le nom de Abu yaqzan. Le nom de sa mère était Somayyah. Lui et ses parents étaient des pionniers dans l'embrassement de l'Islam, et il était la SEPTIEME personne à avoir déclarer sa foi.
Ses parents ont été torturés et exécutés par les incroyants de la Mecque, à cause de leurs conversions à l'Islam, mais Ammar a réussi à s'échapper à Médine. Ammar a lutté au côté de l'Imam Ali dans la bataille de Jamal (Chameau) et plus tard dans la guerre de Siffin où il a été tué sur-le-champ de la bataille par les soldats de Muawiyah, à l'âge de quatre-vingt-treize ans.
Le Messager d'Allah a aussi dit :
" Chaque prophète a donné par la volonté de Dieu sept vertueux compagnons. J'ai donné quatorze vertueux compagnons ". Il inclus en ceux là Ali, al - Hassan, al-Hossayn, Hamza, Ja'far, Ammar Ibn Yasir, Abu Dhar, Miqdad, et Salman.
Ibn Majah, dans son authentique Sunnan, a écrit que l'Imam Ali a dit :
"J'étais assis dans la maison du Prophète et Ammar a demandé de Le voir. Alors le Prophète a dit : " Bien venu le bon et le purifié ".
Ibn Majah a aussi écrit que Aicha a rapporté que le Messager de Dieu a dit : " Toutes les fois qu'Ammar a donné deux alternatives, il choisit toujours la plus vertueuse des deux ".
Il y a beaucoup de récits des plus authentiques dits par le Prophète (psl&sf) à propos de Ammar, tel que " Ammar est plein de foi ".
Le Prophète a aussi dit :
" Une bande de rebelles tuera Ammar ".
" Dans la Bataille de Siffin, quand la tête d'Ammar Yasir (RA) ai été coupés et prises à Muawiyah, deux personnes se disputaient sur lui, chacun clamait qu'il l'avait tué (Ammar) ".
Il a aussi été raconté que le Messager d'Allah (psl&sf) a dit :
"Le paradis désire ardemment trois hommes, Ali, Ammar et Salman ".
Références Sunnite : Sahih al-Tirmidhi, Vol. 5, p. 332, Tradition #3884,
De plus al-Tirmidhi a raconté :
Quand le Messager de Dieu a entendu que Ammar et ses parents ont été torturés dans la Mecque, il (psl&sf) a dit : " Membres de la famille de Yasir, soyez patient. Votre destination est le paradis ".
Référence Sunnite : Sahih al-Tirmidhi, Vol. 5, p. 233.
Donc, Ammar et ses parents étaient les premières personnes habitants du paradis selon les déclarations du Prophète.
Ici nous devrions dire : Quand un Musulman sait que le Prophète a recommandé ces deux importants compagnons (Abu Dhar & Ammar Ibn Yasir) si hautement, et s'il est croyant dans la véracité de Muhammad, il ne lui est pas permit d'insulter ces deux compagnons. Une telle insulte discrédite le Prophète. Comme nous l'avons vu, dans les traditions authentiques précitées dans les collections des six Sahih Sunnite, que le Prophète a dit-il à seulement quatre ou quatorze compagnons vertueux, hors de ses 1400 compagnons. De façon assez intéressante Abu Dhar et Ammar Ibn Yasir ont été mentionnés parmi ces très peu d'individus.
Nous trouvons que l'hostilité de Sayf Ibn Omar al-Tamimi, qui vivait pendant le deuxième siècle après le Prophète, et l'hostilité de ses étudiants envers les partisans des Ahl al beit, les a motivé pour étendre à bon marché de telle propagande. Sayf savait qu'en attribuant à ibn Saba la révolte contre Othman contredisait les faits historiques qui ont démontrés que les deux compagnons, Abu Dhar et Ammar, s'étaient opposés à Othman. Parce que Sayf savait que ces deux noble compagnons c'étaient opposés à Othman, il a donc essayé de salir leurs réputations en ajoutant les noms des deux compagnons les plus éminents à la liste d'étudiants de ce Juif fictif(ibn Saba).
Si Ibn Saba avait existé, il a déclaré son Islam après que Othman ai été tué. Maintenant laissez-nous supposer que nous acceptons ce que Sayf a prétendu à propos de cet Abdulhah Ibn Saba déclaré sa foi après que Othman serait venu au pouvoir. Abu Dhar et Ammar Ibn Yasir, de l'autre côté, avait été opposé au califat de Othman avant même qu'il n'ait été au pouvoir. Les deux compagnons étaient partisans de l'Imam Ali (a.s), et ils croyaient fermement que Ali avait été nommé par le Prophète pour être son successeur. Donc c'était leur croyance bien avant que Ibn Saba apparaisse dans l'histoire, il est clair que l'histoire de Sayf qui nous fait croire en l'existence d'un certain Ibn Saba, influensseur de compagnons est sans fondement et faux.
Donc pour clarifier le troisième califat de toutes les accusations de mauvaise gestion de la trésorerie Islamique, Sayf a accusé les rebelles qui étaient les étudiants d'Ibn Saba. Il a complété son histoire en ajoutant les deux nobles compagnons dans la classe des étudiants d'Ibn Saba alors que ces deux sages compagnons sont dans les premier partisan de l'école du Prophète Muhammad (psl&sf). Ils étaient parmi les compagnons les plus importants qui ont été honorés par le Prophète. En fait, Sayf par sa fausse histoire à été amené à contredire et repousser le témoignage du Prophète. Par ce, Sayf est démenti par les faits historiques et ses conte son a réfuté en entier.
Ammâr Tombe dans la Bataille
Les pertes en vies humaines, principalement dans les rangs de l'armée de Mu'âwiyeh, étaient très lourdes dans ces combats. Dans l'armée de 'Alî on enregistra notamment la perte de certains Compagnons distingués du Prophète, perte regrettée aussi bien par les partisans que par l'ennemi.
'Ammâr Ibn Yâcir était grièvement blessé lorsque Hâchim Ibn 'Otbah, le héros de Qâdiciyyah, tomba à côté de lui en combattant. En voyant Hâchim tomber, il s'écria en direction de ses compagnons: «O Hâchim, en ce moment-même, je vois le Ciel ouvert et les vierges aux yeux noirs, vêtues de robes de mariées, t'étreignant de leurs baisers affectueux». En chantant ainsi, il se rafraîchit avec sa gorgée favorite de lait coupé d'eau, et le vieux guerrier se battit à nouveau avec l'ardeur d'un jeune homme, attaquant les rangs de l'ennemi avant de tomber et de rencontrer le sort tant envié.
Pendant longtemps, on put entendre sur les lèvres de tout un chacun, aussi bien dans la ville que dans le camp, ce que le Prophète avait dit un jour à 'Ammâr: «Tu seras tué un jour par la partie rebelle et déviée, O 'Ammâr!». En d'autres termes, on interpréta la prédiction du Prophète comme voulant dire que 'Ammâr serait tué alors qu'il combattait du côté de la bonne cause.
Ainsi sa mort était la condamnation nette de la partie contre laquelle il avait combattu, et sema la discorde dans les rangs de l'armée de Mu'âwiyeh. Lorsque 'Amr Ibn al-'Aç apprit la mort de 'Ammâr, il tenta d'innocenter son camp en disant: «Et qui d'autre a tué 'Ammâr, si ce n'est 'Alî, le rebelle, en l'amenant ici?». Cette répartie intelligente courut à travers les rangs de l'armée syrienne et effaça tout de suite le mauvais présage dû à la mort de 'Ammâr. ("Annals of the Early Caiphate" de W. Muir, p. 382).
Selon d'autres versions, les dernières paroles de 'Ammâr furent les suivantes: «L'homme assoiffé désirait ardemment de l'eau, et tout près de lui une source jaillit, il descend dans la source et boit. C'est le jour joyeux de la rencontre avec les amis, avec Muhammad et ses Compagnons». (Al-Wâqidî, cité par W. Muir, dans son "Annals of ....", p. 382).
«Par Allâh! Je ne connais pas d'action qui fasse plus plaisir à Dieu que de guerroyer contre les vagabonds hors-la-loi. Je voudrais combattre même si j'étais sûr d'être emporté par une lance, car mourir en martyr et l'assurance d'aller au Paradis de cette façon ne peuvent être acquis que dans les rangs de 'Alî. Quel que soit le courage avec lequel les ennemis peuvent se battre, la justice restera de notre côté. Ils ne veulent pas vraiment venger la mort de 'Othmân, mais c'est l'ambition qui les conduit à la rébellion.
Suivez-moi, O Compagnons du Prophète! Les portes des Cieux sont ouvertes et les houris attendent de nous accueillir. Triomphons ici, ou rencontrons Muhammad et ses amis au Paradis!» Prononçant ces mots, il brandit son arme et plongea avec une violence désespérée dans le combat jusqu'à ce qu'il fût finalement cerné par les Syriens et tombât sacrifié par son propre courage. Sa mort incita les troupes de 'Alî à le venger alors que même les Syriens regrettèrent sa perte en raison de la haute estime dans laquelle le Prophète l'avait tenu». (Weil, "Geschicte der Chalifen", cité dans "History of the Saracens" de S. Ockley, p. 314).
Voyant 'Ammâr tomber, Mu'âwiyeh s'écria à l'adresse de 'Amr Ibn al-'Aç qui était assis à côté de lui: «Vois-tu quelles précieuses vies sont perdues à cause de nos dissensions?» «Oui, je vois, répondit 'Amr. J'aurais voulu que Dieu ne me laissât pas vivre jusqu'à ce que j'assiste à une pareille catastrophe».
'Ammâr Ibn Yâcir, le patriarche de la chevalerie musulmane, était âgé de quatre-vingt treize ans. Il avait combattu sous les ordres du Prophète à Badr et dans beaucoup d'autres batailles. II était dans cette dernière bataille le Commandant de la Cavalerie de l'armée de 'Alî. Il avait été révéré de son vivant et il fut pleuré après sa mort par tout le monde. Ayant été blessé mortellement par la lance de Jowayr Oskoni, il fut ramené à sa tente où se trouvait 'Alî qui le prit dans son giron, versa des larmes de deuil et pria sur lui.
Salmân al-Fârecî
Salmân, un vénérable vieillard, un commerçant d'origine persane et de confession chrétienne, mais à présent l'esclave d'un Juif de Médine.
Il attendait avec anxiété le Prophète promis dans les Ecritures, et se présentant devant lui, il l'identifia comme étant le Prophète Promis et embrassa sans hésitation sa Foi.("Salmân al-Fârecî (Salmân le Perse) était originaire d'une bonne famille d'Isfahan, et il avait abjuré, lorsqu'il était jeune, la religion de son pays pour embrasser le Christianisme.
Alors qu'il voyageait en Syrie un moine d'Amoria lui avait conseillé d'aller en Arabie où on attendait l'apparition d'un Prophète qui devrait rétablir la religion d'Ibrâhîm, et qu'il pourrait reconnaître au Sceau de Prophétie, entre ses épaules, entre autres choses.
Alors qu'il effectuait ce voyage, il rencontra Mohammad à Qobâ - où il se reposait pendant son voyage en direction de Médine, et reconnaissant en lui la personne qu'il cherchait, il se convertit tout de suite à l'Islam").
Quelques hadiths Concernant les merites de l`Imam Ali (AS)
Quelques hadiths Concernant les mérites de 'Alî, tirés de "Târîkh al-Kholafa" de Jalâl-ul-Dîn As-Suyûtî
1- Ahmad Ibn Hanbal dit: Ce qui nous a été transmis concernant les mérites de 'Alî, n'a été égalé par les mérites d'aucun des Compagnons du Messager de Dieu. (Al-Hâkim)
2- Citant Ibn 'Abbâs, Ibn 'Asâkir atteste: Le Livre de Dieu n'a révélé à propos d'aucune autre personne autant qu'il a révélé concernant 'Alî. Trois cents versets ont été révélés au sujet de 'Alî.
3- Al-Tabarâznî et Abû Hâtam rapportent qu'Ibn 'Abbâs a dit: Jamais le Seigneur n'a révélé les termes: «Ô vrais Croyants» sans que 'Alî y soit compris comme étant leur maître et leur chef. Le Seigneur a réprouvé à divers endroits les Compagnons du Prophète, mais IL n'a jamais mentionné 'Alî sans approbation.
4- Al-Tirmithî, al-Nasâ'î et Ibn Mâjah, citant Habachi Ibn Jonada, ont rapporté que le Messager de Dieu avait dit: «'Alî est de moi et je suis de 'Alî».
5- Al-Tabarânî rapporte, dans "Awsat", citant Jâbir Ibn 'Abdullâh, que le Messager de Dieu a dit: «Les gens sont de souches diverses, mais moi et 'Alî, sommes d'une seule souche».
6- Al-Tabarânî rapporte dans "Awsat" et "Çaghîr" qu'Om Salama a relaté: J'ai entendu le Messager de Dieu dire: «'Alî est avec le Coran et le Coran est avec 'Alî. Ils
ne se sépareront pas avant qu'ils arrivent à la fontaine de Kawthar au Paradis».
7- Ibn Sa'd rapporte que 'Alî a dit: «Par Allah, jamais un verset du Coran n'a été révélé sans que je voie maintenant ce qu'il a révélé et à propos de qui il a été révélé, car mon Seigneur m'a doté d'un coeur sage et d'une langue éloquente».
8- Ibn Sa'd et d'autres rapportent d'Ibn Tofayl, que 'Alî a dit: «Interrogez-moi sur le Coran, car il n'y a pas un verset dont je ne sache pas s'il a été révélé la nuit ou le jour, dans les plaines ou sur les montagnes».
9- Al-Tirmithî et al-Hâkim rapportent de 'Alî que le Prophète a dit: «Je suis la Cité du Savoir et 'Alî en est la Porte».
10- Ibn Mas'ûd rapporte que le Prophète a dit: «Regarder 'Alî est un acte de dévotion».
11- Ibn 'Asâkir, citant le témoignage d'Abû Bakr, écrit: Le Prophète dit: «Regarder 'Alî est un acte de piété».
12- Muslim rapporte que 'Alî a dit: «Par Celui qui a fendu les graines et créé l'âme, le Prophète m'a promis que ne m'aimera qu'un vrai Croyant et que ne me détestera qu'un hypocrite».
13- Al-Tirmithî rapporte qu'Abû Sa'id al-Khudrî a dit: «Nous avions l'habitude de reconnaître les hypocrites à leur haine pour 'Alî».
14- Al-Tabarânî, citant le témoignage d'Om Salma, rapporte que le Prophète a dit: «Celui qui aime 'Alî m'aura aimé et celui qui déteste 'Alî m'aura détesté, et celui qui m'aura détesté aura détesté le Seigneur».
15- Abû Ya'lâ et al-Bazzâr, citant Sa'd Ibn Abî Waqqâç, rapportent que le Messager de Dieu (P) a dit: «Celui qui injurie 'Alî, m'injurie aussi».
16- Ahmad rapporte, et al-Hâkim le confirme, qu'Om Salma a dit: J'ai entendu le Messager de Dieu dire: «Celui qui injurie 'Alî, m'injurie aussi».
17- Sa'id Ibn al-Mussyyab rapporte que 'Omar Ibn al-Khattâb avait l'habitude d'implorer Dieu de le préserver d'une situation difficile dans laquelle le père d'al-Hassan ('Alî) n'aurait pas été présent pour la résoudre, et qu'il dit un jour: «Personne parmi les Compagnons, à part Alî, n'avait l'habitude de dire "Interrogez-moi"».
18- Al-Tabarânî rapporte dans "Al-Awsat" qu'Ibn 'Abbâs a dit: «'Alî possédait dix-huit qualités éminentes qui n'étaient communes à aucun autre de ce peuple».
19- Al-Bazzâr rapporte en citant Sa'd, que le Messager de Dieu a dit à 'Alî: «Il n'est permis à personne ayant l'obligation d'accomplir l'ablution totale d'entrer dans la mosquée, excepté moi et toi».
20- Abû Ya'lâ rapporte qu'Abû Horayrah a relaté que 'Omar Ibn al-Khattâb avait dit: «'Alî a été doté de trois choses dont si je ne possédais qu'une seule, elle me serait plus précieuse que si on m'avait donné des chameaux de haute race». Lorsqu'on lui demanda quelles étaient ces trois choses, il répondit: «Son mariage avec Fâtimah, la fille du Prophète, son autorisation de rester à la mosquée dans le cas où cela me l'est interdit, et le fait d'avoir porté l'Etendard le jour de Khaybar».
21- Les deux Cheikhs (A. Bokhârî et Muslim), se référant à Sa'd Ibn Abî Waqqâç, rapportent que le Messager de Dieu, ayant décidé de laisser derrière lui 'Alî Ibn Abî Tâlib comme son Lieutenant pendant l'expédition de Tabûk, 'Alî lui dit: «Ô Messager de Dieu! Me laisses-tu derrière, parmi les femmes et les enfants?». Le Prophète répondit: «N'es-tu pas content d'être à moi ce qu'Aaron avait été à Moïse, à cette différence près qu'il n'y aura pas de Prophète après moi?»
22- Selon Sahl Ibn Sa'd, le Messager de Dieu dit, le jour de Khaybar: «Je confierai sûrement l'Etendard, demain, à un homme entre les mains duquel le Seigneur accordera la victoire, un homme qui aime Dieu et Son Prophète et que Dieu et Son Prophète aiment». Les gens passèrent la nuit à s'interroger sur l'identité de celui d'entre eux à qui l'Etendard serait confié. Une fois que l'aube se fut levée, ils se hâtèrent chez le Prophète, chacun d'eux espérant être l'heureux élu.
«Où est 'Alî le fils d'Abû Tâlib?» demanda-t-il. Ils lui dirent: «Il souffre d'un mal aux yeux». Il dit: «Faites-le venir». Ils l'amenèrent et le Messager de Dieu projeta un peu de sa salive sur ses yeux et pria pour lui. 'Alî fut rétabli parfaitement, comme s'il ne souffrait de rien, et le Prophète lui remit l'Etendard.
23- Citant Sa'd Ibn Abî Waqqâç, Muslim relate que lorsque le verset: «Venez! Appelons nos fils et vos fils, nos femmes et vos femmes, etc...» (Sourate Âle 'Imran, verset 61) fut révélé, le Messager de Dieu convoqua 'Alî, Fâtimah, al-Hassan et al-Hussayn et dit: «Ô Mon Dieu! ils sont ma Famille».
24- Al-Tirmithî et al-Hâkim confirment, en se référant à Borayda, que le Messager de Dieu dit: «Le Seigneur m'a ordonné l'amour de quatre hommes et m'a déclaré qu'IL les aime». On lui demanda: «Ô Messager de Dieu! Nomme-les». Il répondit: «'Alî en fait partie (il le répéta trois fois), Abû Thârr, al-Miqdâd et Salmân».
25- Abû No'aym rapporte dans "Al-Dalâ'il", en se référant au père de Ja'far Ibn Mohammad que: «Deux hommes ayant eu une altercation, furent amenés devant 'Alî qui s'assit au pied d'un mur». Un homme lui ayant dit: «Le mur va tomber», il répondit: «Va au ... Dieu est le Protecteur». Il jugea entre les deux parties et s'en alla. Le mur tomba après son départ.
26- Al-Tabarânî rapporte dans "Awsat", et Abû No'aym dans "Al-Dalâ'il", en citant Zaydan, que pendant que 'Alî relatait un hadith, un homme l'accusa de parler faussement. 'Alî lui dit: «Pourrais-je appeler l'anathème sur toi, si j'ai menti?». Il répondit: «Appelle-le». 'Alî le maudit, et lorsqu'il se retira de l'endroit sa vue l'avait quitté.
27- Abûl-Qâcim al-Zajjâjî relate dans ses "Dictées" que 'Alî travailla sur les principes de la langue arabe, "La Grammaire de la Langue Arabe".
Téhéran, grand rival de Washington dans les exportations pétrolières
« L’Iran risque de devancer les Etats-Unis en vendant du brut moins cher et plus qualifié à la Chine, l’un des plus grands clients du marché énergétique du monde », selon un rapport de Reuters.
Ce rapport du dimanche 27 juillet, souligne : « Après 40 ans, les Etats-Unis envisagent d’exporter pour la première fois du brut mais ils doivent d’abord tacler un grand rival : l’Iran ». Alors que certains clients du brut comme le Japon et la Corée du Sud voudraient acheter du brut iranien aux Etats-Unis, la Chine ne veut pas les préférer à l’Iran eu égard de ses contrats annuels signés avec l’Iran.
Les exportations pétrolières de l’Iran ont connu une hausse de 30% depuis l’allégement des sanctions à son encontre. A présent, entre 1,25 millions et 1,3 millions de barils de pétrole sont exportés par jour dont la plupart vont en Chine à partir du Pars-Sud.