
تقي زاده
Le Lieder iranien appelle à lutter contre les facteurs qui compromettent la sécurité
Le leader de l’Iran a exhorté à lutter contre la contrebande, l’achat et la vente d’armes et de tous les facteurs qui nuisent à la sécurité du cyberespace dans le pays de Perse.
Cependant, l'ayatollah Khamenei a déclaré qu'il n'existait aucun problème de ce type en Iran en raison de l'interdiction de possession d'armes, et il a affirmé que ce phénomène, parmi d'autres, devait être évité pour assurer la prospérité économique.
Aux États-Unis, depuis le 1er janvier 2018, plus de 11 980 personnes ont perdu la vie et 23 332 ont été blessées à la suite de la fusillade, selon les statistiques fournies par l'organisation Gun. Archives de la violence (GVA). Ces chiffres effrayants ont conduit à la célébration de plusieurs manifestations à travers les États-Unis.
En dépit de ces incidents, l'insistance de Washington sur la libre circulation des armes aboutit au point qu'en février deux projets de loi ont été présentés pour forcer tous les Américains en âge légal à acheter un fusil ou un revolver.
D'autre part, le chef de file iranien a souligné l'importance de prendre des mesures pour éliminer le trafic de marchandises afin de concrétiser le slogan qui marque cette nouvelle année perse, à savoir: "La prospérité de la production".
De même, il a demandé à la police iranienne de lutter contre l'insécurité du cyberespace, un problème à prendre en compte, car il s'est étendu à tous les domaines de la vie de la population et la nuit.
Retrait US d’Irak : Israël s’affole
Le journal israélien Maariv fait état de l’inquiétude de Tel-Aviv et Washington quant au vote au Parlement irakien du projet de loi sur le retrait des troupes américaines d’Irak, a rapporté la chaîne de télévision Al-Sumaria News.
« Compte tenu du but principal de la décision du président Trump de maintenir la présence des forces US sur le sol irakien, à savoir empêcher la création d’un corridor géopolitique passant par l’Irak, la Syrie et le Liban qui parachève l’influence de l’Iran dans la région, Washington et Tel-Aviv craignent que le Parlement irakien ne vote la loi sur le retrait des forces américaines », indique le journal Maariv.
Israël a placé l’Irak sur la liste des pays scrutés par les services de renseignement. Le renseignement militaire israélien (Amman) et le Mossad se concentrent essentiellement sur la collecte d’informations sur la présence de l’Iran en Irak.
La marine du CGRI suit de près les agissements des forces américaines dans le golfe Persique
Le début de la présence de la flotte américaine dans le golfe Persique remonte aux années de la défense sacrée, lorsque Saddam s’est livré à une guerre maritime contre les pétroliers dans le but de tarir les revenus de l’Iran.
C’est alors que la marine américaine est entrée dans cette région en vue d’appuyer l’armée irakienne.
À cette époque, la marine du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), qui en tant que puissance émergente dans la région stratégique du golfe Persique a fait son apparition en vue d’affronter la flotte US, a fondé une nouvelle méthode de combat maritime en utilisant des vedettes rapides. Dans les années suivant la fin de la Défense sacrée, avec le renforcement de la capacité de la RII, notamment de la force navale du CGRI dans le golfe Persique et le détroit d’Hormuz, la responsabilité d’assurer la sécurité dans cette région vitale a été confiée à cette force.
Les terroristes frappent l’armée syrienne à Lattaquié, les Russes exercent des représailles
L’encre de la déclaration finale de la 12e réunion sur la Syrie dans la capitale kazakhe n’a pas encore séché que les terroristes pro-turcs s’en prennent déjà aux positions de l’armée gouvernementale à Lattaquié. Les Russes ne sont pas restés indifférents, leurs hélicoptères frappant les repaires des terroristes dans la province de Hama.
Début avril, certaines sources médiatiques ont fait part de la construction éventuelle d’une base navale iranienne à Lattaquié. Depuis, les terroristes pro-turcs ont multiplié leurs assauts contre cette région côtière de l’ouest de la Syrie. Ils n’ont cependant plus aucune chance dans la province stratégique et voisine de leur dernier bastion sur le territoire syrien.
Pétrole : le président russe s’est prononcé sur les répercussions de la décision américaine
En visite à Pékin, capitale chinoise, le président russe, s’est penché sur les répercussions de la décision du président américain de « porter à zéro » les exportations iraniennes d’or noir.
Poutine a évoqué la levée, par Washington, des exemptions sur l’achat de pétrole iranien. Cette mesure vise à réduire à zéro les exportations de brut iranien.
« Il est difficile de dire ce qui arrivera au marché mondial du pétrole après cette décision de Trump. Tout le monde respecte leur engagement en tant que membre de l’OPEP+ », a ajouté Poutine en allusion l’accord conclu entre les membres de l’OPEP et d’autres pays exportateurs non membres, dont la Russie, sur la réduction de la production de pétrole en vue de stabiliser le cours mondial du pétrole.
La Turquie envoie des commandos aux frontières avec la Syrie
L’armée turque envoie un nouveau contingent de commandos des forces spéciales pour renforcer les positions turques à la frontière avec la Syrie.
Selon l’agence de presse AA, un nouveau convoi transportant des forces spéciales turques et des blindés est arrivé vendredi à Reyhanli, ville de la province d’Hatay, limitrophe avec la Syrie.
Un important dispositif de sécurité encadre les convois destinés à renforcer les positions turques à la frontière avec la Syrie.
Mi-janvier, le président américain avait haussé le ton contre Ankara au sujet des Kurdes de Syrie. Alors que Washington et Ankara traversent un nouvel épisode de tensions, les présidents américain et turc, Donald Trump et Recep Tayyip Erdogan, avaient abordé au cours d’un entretien téléphonique, le 14 janvier au soir, l’idée de la création d’une « zone de sécurité nettoyée du terrorisme » d’une trentaine de kilomètres sous contrôle turc, dans le nord-est de la Syrie, selon un communiqué de la présidence turque.
Une zone de sécurité permettrait de protéger les milices kurdes — et notamment les Unités de protection du Peuple (YPG) —, implantées dans le nord de la Syrie, et d’éloigner les armes lourdes des frontières turco-syriennes, prétend le département d’État américain.
Parrainée par les États-Unis, cette faction armée, épine dorsale des Forces démocratiques syriennes (FDS) engagées sur le terrain aux côtés des Américains dans leur prétendue « lutte contre Daech », est considérée par la Turquie comme une organisation terroriste.
Ankara et Washington ont convenu de déployer des forces locales, non pas des forces kurdes, dans les régions à majorité arabe.
Irak : les agents de Blackwater de retour sous un autre nom
Selon des documents obtenus par le site BuzzFeed News, d’anciens mercenaires de Blackwater, après avoir rejoint la société militaire privée « FSG » créée par le fondateur et ancien directeur de Blackwater, ont repris leurs actes controversés en Irak. Le fondateur de la société privée, Erik Prince, prétend que la mission de ses agents consistent à protéger les opérations pétrolières du Pakistan et de l’Irak.
En janvier dernier, le fondateur de Blackwater avait proposé le redéploiement de ses agents en Syrie pour remplacer les forces US engagées en Syrie, dont Trump avait annoncé le rapatriement le 19 décembre. Depuis, pas un seul militaire n’est sorti de Syrie. La société « FSG », composée d’anciens éléments de Blackwater, a ouvert des bureaux dans quelques pays du Moyen-Orient, l’Irak entre autres, en prétendant sécuriser les opérations pétrolières du Pakistan et de l’Irak.
Erik Prince a fondé le groupe FSG (Frontier Services Group), enregistré à Hong Kong, en tant que société de logistique en 2014. C’est ce qu’a révélé le site d’information BuzzFeed News en ajoutant qu’elle travaillait dans le sud de l’Irak.
Il s’agit d’une filiale de la société basée à Dubaï « Frontier Logistics Consultancy DMCC », enregistrée en tant que société étrangère auprès du ministère irakien du Commerce, indique un document de février 2018. Son bureau est basé à Bassora, une région riche en pétrole dans le sud du pays, a rapporté BuzzFeed News.
Des violations israéliennes de l'espace aérien et maritime du Liban risquent ne pas perdurer
Il y a deux jours le ministre libanais de la Défense s'est rendu sur les frontières avec les territoires occupés pour inspecter l'état de ses troupes. Pas loin des fermes de Chebaa, bout de territoire libanais qu'occupe Israël, le ministre a lancé un appel particulièrement significatif : le Liban frappera l'aéroport de Tel-Aviv si Israël prenait pour cible l'aéroport du Liban. Cette annonce n'a pas fait l'objet d'analyse des commentateurs sans doute à tort puisqu'elle renvoie, à vrai dire, aux capacités balistiques supposées de l'armée libanaise. Que veut dire très exactement l'annonce du ministre de la Défense alors que le régime israélien viole régulièrement le ciel du Liban dont il s'en sert comme base arrière à des frappes contre la Syrie? Cela veut dire très exactement que les missiles de la Résistance sont désormais à la portée de l'armée libanaise et que celle-ci dans tout face-à-face à venir avec le régime israélien, n'hésitera pas à prendre pour cible Israël.
Dans un communiqué publié samedi 27 avril, l’armée libanaise fait part de la violation de l’espace maritime du sud du Liban par une vedette israélienne. Dans son communiqué, l’armée libanaise a annoncé qu’une vedette d’assaut israélienne dotée d’un canon a illégalement pénétré à 7 h 49 les eaux territoriales libanaises et avancé au large libanais à 535 mètres de la localité sudiste de Ras-Naqoura.
Selon l’agence de presse officielle du Liban, la vedette d’assaut israélienne a patrouillé pendant 26 minutes dans les eaux libanaises, avant de quitter la région.
Raqqa : l’armée syrienne s'en prend aux supplétifs des USA
Dans le nord de la Syrie, plus précisément dans la province de Raqqa où se trouvent les bases des forces américaines mais aussi françaises, l'armée syrienne vient de mener une importante opération contre les supplétifs des forces US. En effet, c'est la première fois que l’armée syrienne, soutenue par l'aviation russe, vise les Forces démocratiques syriennes, supplétifs des États-Unis et au cours de cette première offensive contre les FDS, les militaires syriens ont réussi à les repousser. Le ministre syrien de la Défense a, quant à lui, fait part de la disponibilité totale de l’armée pour récupérer des régions restant toujours occupées.
L’armée régulière syrienne, soutenue par l’aviation russe, a mené sa première opération militaire contre les positions de l’armée américaine et ses éléments kurdes dans le front de Raqqa, bastion des Forces démocratiques syriennes (FDS).
Les forces de l'armée syrienne, épaulées par les avions de combat syriens et russes, ont avancé de 3 km à l’intérieur de la province de Raqqa vers les positions des FDS, soutenues par l’armée américaine, dans le village de Jaydin à l’est vers Shaïb al-Zekr à l’ouest en passant par Horat al-Jariyat, situé dans le sud-ouest de la province et ont réussi à y faire reculer les éléments armés des FDS.
La chaîne al-Mayadeen a, par ailleurs, fait état des raids de l’aviation américaine dans le district de Horat al-Jariyat.
L’agence officielle d'information syrienne, SANA, a par ailleurs fait part de la poursuite des manifestations des habitants de la province de Deïr ez-Zor, dans l'est de la Syrie contre les actions des éléments des FDS.
L'armée syrienne sort son missile balistique tactique OTR-21 Tochka
L’armée syrienne a lancé un missile balistique tactique sur un rassemblement des terroristes dans le sud d’Idlib, a rapporté le site d'information SouthFront.
L’armée syrienne a lancé, le vendredi 26 avril, un missile balistique tactique OTR-21 Tochka sur une cible non identifiée près du village de Benin, dans la banlieue sud d’Idlib, a révélé une vidéo publiée par l’agence de presse SMART, proche de l'opposition syrienne.
L’OTR-21 Tochka plus connu au niveau mondial sous le code SS-21 ou SS-21 Scarab est un missile balistique tactique soviétique à courte portée d’une masse de 2 tonnes. Transporté sur un tracteur-érecteur-lanceur 9P 129, il est ensuite positionné à la verticale pour son lancement.
Dans la vidéo, qui montre une partie du moteur du missile, l’agence de presse proche de l’opposition syrienne prétend que « le missile visait un camp de réfugiés à proximité. Cependant, aucune des tentes montrées dans la vidéo ne semble être endommagée. En outre, la source proche de l’opposition pro-occidentale a elle-même confirmé qu’aucun civil n’a été tué lors de l’attaque au missile. »