تقي زاده

تقي زاده

Alors que les États-Unis ont lancé, samedi 8 septembre, de vastes exercices militaires dans la région d'al-Tanf près des frontières syro-irakiennes et qu'ils se sont mêmes livrés à des frappes au phosphore à Hajin, non loin d'Abou Kamal, façon d'intimider la Russie et l'axe de la Résistance, l'armée syrienne vient de lancer une offensive militaire à Deir ez-Zor. Il s'agit de "nettoyer" la région d'al-Tanf des terroristes qui servent de relais aux Américains. 

Au sommet tripartite à Téhéran sur Idlib, le 7 septembre, le président turc Recep Tayyip Erdogan a bien retenu le message de son homologue russe qui avait dit que Damas « se doit de reprendre le contrôle de ses frontières avec la Turquie ».

Dans un article paru dans Rai al-Youm, l’éditorialiste Abdel Bari Atwan écrit que le communiqué officiel du commandement de la base militaire russe de Hmeimim, stipulant que l’armée russe soutiendrait les opérations de l’armée syrienne contre les troupes occidentales dont celles de la Turquie qui sont présentes en Syrie de façon illégale, soulève deux points essentiels.

 

Depuis plusieurs jours les agences de presse occidentales font état d'informations selon lesquelles l'Allemagne d'Angela Merkel serait prête à prendre part à la guerre que les Américains, les Français et les Britanniques s'apprêtent à lancer contre l'État syrien. Cette guerre que Berlin pourrait mener est "historqiue" comme le soulignait la ministre allemande de la Défense puisque dirigée "contre la Russie". Elle engagerait aussi l'Allemagne dans une confrontation directe contre l'axe de la Résistance. Les parlementaires allemands semblent avoir bien compris la gravité d'une telle décision. Reste à savoir si la chancelière les suivra ou si elle cèdera aux pressions US. En effet, pour les services d’expertise du Parlement allemand, l’intervention de l’Occident en Syrie est illégale.

Alors que le président syrien Bachar al-Assad s’apprête à livrer la « dernière bataille » à Idlib, dernier bastion des groupes terroristes, les Occidentaux sont convaincus de l’utilité de nouvelles frappes contre cette province du nord-ouest de la Syrie en représailles à une présumée attaque chimique en voie de réalisation.

Après avoir échoué dans leur tentative de coup d'État en Irak, la Maison blanche est en colère : elle vient de réitérer ses allégations infondées contre l’Iran, en l’accusant d’être responsable des menaces contre les sites américains en Irak. Le discours trahit bien les manigances américaines de ces derniers jours à Bassora qui se sont retournées contre Washington. 

La Maison Blanche a annoncé mercredi à l’aube dans un communiqué qu’elle tiendrait l’Iran pour responsable de quelconque attaque venant de ses "alliés"( les Hachd al-Chaabi, NDLR) contre les sites américains et qu'elle réagirait en conséquence.

Les relations Turquie/États-Unis ont été ruinées après qu’un pasteur américain en Turquie a été accusé d’espionnage contre la Turquie. La tentative de Washington de fermer sa base militaire d’Incirlik sur le territoire turc n’aurait pour effet que d’attiser la tension.

Alors que l’ordre des sanctions américaines de la Turquie n’a toujours pas séché après la détention de l'agent américain, accusé d’espionnage en faveur de l’opposant Fatullah Gülen, la nouvelle du remplacement de la base turque d’Incirlik par les bases militaires grecques compliquerait encore plus les relations Ankara/Washington. D’ailleurs, le chef d’État-major des armées, Joseph Dunford, avait récemment visité la Grèce mérite réflexion.

En fait, Washington a l’intention d’étendre leur sphère d’influence à l’ouest du Moyen-Orient et de diversifier pour cela ses infrastructures militaires dans la région à l’est de la Méditerranée.

La publication Military Times, citant une source inconnue, écrit que lors des discussions entre Dunford et les Autorités grecques, les bases militaires grecques – où les Marines sont censés se positionner dans les dix prochaines années – ont été déterminées.

 

Dans ce cadre, le Pentagone a annoncé le remplacement d’Incirlik par la base militaire d’Andravida.

Selon les derniers rapports, les États-Unis envisagent par ailleurs de fonder dix nouvelles bases militaires ou augmenter le niveau d’utilité des bases existant.

Dans ce contexte, le journal national grec Estia écrit :

« Washington cherche à construire deux bases militaires proches de la frontière turque ; l’une dans la zone de Cyclades au sud-est de la Grèce et l’autre proche des îlots Imia/Kardak à quelques kilomètres de la frontière grecque avec la Turquie qui font l’objet d’un différend territorial entre Ankara/Athènes ».

Une poignée de main israélo-palestinienne sur la pelouse de la Maison Blanche, Donald Trump en rêverait. Mais 25 ans après les accords d'Oslo, les Etats-Unis sont moins bien placés que jamais pour jouer les médiateurs. 
 
Le président américain lui-même semble s'être fait à l'évidence: réunir les dirigeants des deux camps pour signer un accord de paix, comme Bill Clinton en 1993 à Washington avec Yitzhak Rabin et Yasser Arafat, ou comme Jimmy Carter il y a 40 ans à Camp David avec l'Egypte et l'Etat hébreu, sera compliqué.
 

Novice en diplomatie, l'homme d'affaires républicain a promis à sa prise de fonctions de conclure "l'accord ultime" entre Israéliens et Palestiniens. Il a confié cette tâche à un petit groupe tout aussi inexpérimenté mais réputé proche des positions israéliennes, sous la houlette de son gendre et conseiller Jared Kushner.

 
Après avoir laissé le bénéfice du doute à ce président iconoclaste, les Palestiniens ont gelé tout contact dès fin 2017. Un divorce provoqué par la décision de Donald Trump de reconnaître Al-Qods (Jérusalem) comme capitale d'Israël, en rupture avec des décennies de consensus international qui veut que le statut de la Ville sainte soit confié à la négociation.
Les Etats-Unis ont annoncé lundi la fermeture du bureau de représentation palestinienne à Washington, accusant les dirigeants palestiniens de refuser de parler à l'administration de Donald Trump et d'engager des négociations de paix avec Israël. 
 
 
Mais les responsables palestiniens, qui ont gelé tout contact avec le gouvernement américain depuis que le président des Etats-Unis a unilatéralement reconnu, fin 2017, Al-Qods (Jérusalem) comme capitale d'Israël, ont aussitôt dénoncé de nouvelles "menaces américaines".
 

"L'Organisation de libération de la Palestine (OLP) n'a pris aucune mesure pour permettre le début de négociations directes et significatives avec Israël", a déclaré la porte-parole du département d'Etat américain Heather Nauert dans un communiqué.

"Au contraire, les dirigeants de l'OLP ont condamné le plan de paix américain sans même l'avoir encore vu et ont refusé de parler avec le gouvernement américain au sujet de ses efforts de paix", a-t-elle ajouté. En conséquence, "l'administration a décidé que le bureau de l'OLP à Washington allait fermer pour l'instant", a-t-elle annoncé.

La fermeture de cette mission, qui fait office d'ambassade de l'Autorité palestinienne aux Etats-Unis, est justifiée juridiquement par les démarches palestiniennes visant à traîner les dirigeants israéliens devant la Cour pénale internationale (CPI) pour "crimes de guerre".

Mais le département d'Etat a clairement fait le lien avec le processus de paix et cette décision s'ajoute à une rafale de mesures prises ces dernières semaines par l'administration Trump: annulation de plus de 200 millions de dollars d'aide bilatérale, arrêt du financement de l'agence onusienne de soutien aux réfugiés palestiniens (UNWRA), suppression de 25 millions de dollars d'assistance aux hôpitaux palestiniens d'Al-Qods (Jérusalem-Est).

Les Palestiniens ne "succomberont pas aux menaces américaines" et ne fléchiront ni dans leur attitude vis-à-vis de l'administration Trump, ni dans leurs efforts pour faire juger les crimes commis selon eux par les dirigeants israéliens, a répondu le numéro deux de l'OLP, Saëb Erakat.

Le représentant palestinien à Washington, Hossam Zomlot, informé lundi matin de cette nouvelle mesure, a dénoncé une "dangereuse escalade".
Les Irakiens placent chaque année des drapeaux noirs au-dessus des mausolées des imams chiites (as) à Najaf et à Karbala pour marquer l’arrivée du mois de Muharram.
Selon le site de la chaîne internationale alkafeel, chaque année, avec le début du mois de Muharram, des drapeaux noirs sont placés au-dessus des mausolées de l’imam Hussein (as) et de Hazrat Abbas (as) et ce, au cours d’une grande cérémonie avec la participation d’un grand nombre d’Irakiens.

Cette année, pour la 14e année consécutive, cette cérémonie s’est tenue en présence des grandes personnalités religieuses et culturelles, dans les sactuaires de l’imam Hussein (as) et de Hazrat Abbas. 

Cette cérémonie a eu lieu lundi soir, cérémonie qui a commencé par la lecture du Saint Coran par Bassem Karbalaï, suivie du discours prononcé par l’adjoint des affaires culturelles de l’Astan Qods Husseini.

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراقتصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

Les autorités turques sont en train d’évaluer la possibilité d’une participation de l’armée turque dans la grande manœuvre de Vostok en Sibérie.

La Turquie est en train d’examiner l’invitation de la Russie à son armée de se joindre à ce qui pourrait être les plus grands exercices militaires en un demi-siècle, a annoncé le ministre turc de la Défense, le général Hulusi Akar, après le retour de Téhéran.

« Si le gouvernement d’Erdogan accepte l’invitation de Moscou, cela sera interprété comme un message important à l’adresse des États-Unis et de l’OTAN », disent certains médias turcs.

Le chef d’état-major de l’armée russe, le général russe Valery Gerasimov, a déclaré que les manœuvres Vostok 2018 étaient les plus grands exercices militaires de la Russie.

Le président américain Donald Trump, qui n’a pas encore précisé s’il attaquera les forces iraniennes et russes en Syrie, cherche une excuse pour une intervention militaire dans ce pays.

Citant The Wall Street Journal, l'agence de presse russe Sputnik a rapporté que le président syrien avait confirmé l’utilisation du gaz chlore lors de la dernière attaque contre les terroristes dans la province d’Idlib.

« Cette confirmation pourrait provoquer des représailles de la part des forces américaines », lit-on dans ce rapport.

En se référant à des autorités américaines, The Wall Street Journal a écrit : « le Pentagone est en train de mettre au point un scénario militaire, mais Donald Trump n’a encore trouvé aucune excuse pour justifier une intervention militaire. Les États-Unis attaqueront-ils les forces qui soutiennent Bachar al-Assad ? »

Les autorités officielles américaines n'ont toujours pas confirmé le mode des attaques en cas d’utilisation de chlore.