تقي زاده

تقي زاده

"Daech a formé un certain nombre de cellules clandestines en Libye, un an après avoir perdu son principal bastion dans ce pays chaotique de l'Afrique du Nord. C'est vraisemblablement un effort pour se regrouper aux portes de l'Europe", écrit dans sa dernière publication le journal Wall Street journal

Ces petites cellules souterraines composées de plusieurs dizaines de [terroristes] ont été formées à l'extérieur des villes libyennes au cours des derniers mois. Au débit, elles ont commencé à détourner de l'argent des camions commerciaux sur les routes et en extorquant des réseaux de trafic de migrants, rapporte le journal américain citant les responsables de sécurité libyens et européens.

 

Les chefs de Daech auraient par la suite contraint leurs combattants en Syrie et en Irak à aller en Libye. "La Libye est considérée comme la principale porte d'entrée en Europe", confie au journal Abu Baara al-Ansari, un ancien membre syrien de Daech à Raqqa qui s'est désormais installé en Turquie.

Un autre ex-daechiste révèle que le groupe terroriste formait ses combattants libyens, dans les bases de Raqqa, à la fabrication et à la maintenance des matières explosives.

Les efforts de Daech pour regagner la Libye après avoir perdu le contrôle de la ville côtière de Syrte l'année dernière, ont suscité la profonde inquiétude des responsables européens. Les éléments qui ont voyagé de Syrie à l'Europe, ont participé à de nombreuses attaques terroristes, y compris à Paris et à Bruxelles.

L'officier de renseignement de la ville de Misrata qui travaille avec des forces fidèles à Tripoli, a affirmé au Wall Street Journal: "Bien que les combattants de Daech aient quitté Syrte à destination de Bani-Walid, ils sont récemment sortie de leurs cachettes pour détourner de l'argent des camions commerciaux sur les routes proches de la ville. Ils convoitent par ailleurs les champs pétroliers du pays." Selon lui, "Daech devient définitivement un problème pour la Libye."

Les responsables de la sécurité européenne croient que les terroristes, y compris les Syriens, les Irakiens ainsi que les Libyens, tentent d'entrer en Libye dans l'espoir d'atteindre l'Europe et y perpétrer des attentats. "Dans ce cas, ils sont déjà passés par la Turquie et le Soudan avant d'atteindre le sol libyen", dit le journal. 

Une patrouille de l'armé libyenne à la périphérie de Syrte, en août 2017. ©Reuters

"Bien conscient que certains daechistes ont profité de sa frontière poreuse à l'ouest pour s'infiltrer en Libye, le gouvernement y a par conséquent déployé des forces pour endiguer leur accès illégal", indique Rabie Abdelati, qui dirige le bureau politique du Parti national du Congrès du Soudan.

De tout cela, on pourrait conclure que depuis la mort du colonel Mouammar Kadhafi en 2011, plusieurs factions belligérantes et des cellules de Daech parmi tant d'autres groupes terroristes ont vu le jour en Libye pour en faire leur nouveau bastion.

Mais que cherchent-ils vraiment là-bas ? De prime abord, ils semblent combattre pour les champs de pétrole dont dépend leur survie. Malgré tout, l'économie du troisième plus grand pays de l'Afrique du Nord est en lambeaux. Mais leur forte appétence serait de se venger de l'Europe qui est la patrie d'un grand nombre de ces terroristes, qui avant même de rejoindre Daech au Moyen-Orient, avaient un passé criminel insoupçonnable.

Plusieurs centaines de manifestants se sont réunis samedi dernier dans plusieurs villes d'Afrique francophone, à l'appel du mouvement Urgences panafricanistes, pour s'opposer au franc CFA (devise officielle des huit États membres de l'union économique et monétaire de l'Afrique de l'Ouest depuis 1994).

Les manifestants africains croient que le franc CFA "empêche le développement", sur fond d'une polémique qui gagne notamment le Sénégal et le Bénin. 

Deux cents personnes se sont réunies à Cotonou, la plus grande ville économique du Bénin, quatre cents à Dakar et un grand nombre à Libreville et à Bamako, capitales du Gabon et du Mali. 

"On ne peut pas se dire souverains et dépendre d'une monnaie comme le franc CFA", a déclaré à l'AFP à Dakar, Simon Kouka, responsable de groupe de société civile sénégalaise Y'en a marre. "La souveraineté implique avoir sa propre monnaie." 

"Le franc CFA est un handicap sociologique, économique, politique et social", a déclaré Amadidjè Sèmevo Mondésir, qui se réclame comme "premier ambassadeur" au mouvement anti-CFA. "Il s'agit du combat de la jeunesse et de l'Afrique". En effet, le mouvement populaire réunit essentiellement des jeunes qui dénoncent l'héritage colonial, même si dans le milieu des économistes les avis restent partagés sur ce vieux débat. 

Le candidat échoué à la dernière présidentielle au Bénin, Lionel Zinsou, est à son égard l'un des défenseurs de la devise de l'Union monétaire de l'Afrique de l'Ouest. Le politicien béninois est pourtant accusé par ses détracteurs d'être trop proche de l'ancienne colonie française, a regretté que la question du franc CFA soit perçue comme "un tête-à-tête entre la France et l'Afrique, la dernière phase de la colonisation." 
Selon lui, la stabilité d'une monnaie "commune" est plus importante que les débats "populistes" et les questions de "narcissisme politique", citant la Côte d'Ivoire comme succès économique. 

Monnaie commune pour environ 155 millions d'habitants, le franc CFA est accusé par ses détracteurs de favoriser les intérêts de la France, ex-puissance coloniale, tandis que ses défenseurs soulignent l'importance d'une monnaie commune stable, à la différence du naira nigérian ou du rand sud-africain, monnaies flottantes, qui souffrent de la chute des cours des matières premières, calculées sur la base du dollar. 

Avec le site Alterinfo et AFP

Samedi, le président iranien Hassan Rouhani a souhaité que l'UE presserait les États-Unis de se conformer à ses engagements envers l'accord international sur le nucléaire iranien, le Plan d'action global conjoint (JCPOA), a rapporté le quotidien Tehran Times.
"Nous nous attendons à ce que l'Union européenne mette pleinement en œuvre l'accord nucléaire, JCPOA, et presse les États-Unis de respecter leurs obligations sur cet accord", a déclaré M. Rouhani.

"L'Iran s'attend également à ce que l'UE envoie ce message fort à l'administration américaine", a déclaré M. Rouhani lors d'une rencontre avec le président de la Chambre des représentants de la Belgique, Siegfried Bracke, en visite à Téhéran.

Selon M. Rouhani, l'Iran s'était engagé à respecter ses obligations, ce qui a été confirmé à maintes reprises par l'Agence internationale de l'énergie atomique, l'organisme de contrôle nucléaire de l'ONU.

L'Iran est déterminé à profiter de l'atmosphère post-JCPOA et à élargir ses relations avec les pays européens, en particulier la Belgique, a-t-il ajouté.

La Belgique attache une grande importance au respect du JCPOA et cherche à élargir ses relations avec Téhéran, a déclaré M. Bracke.

L'accord nucléaire international, signé en juillet 2015 entre l'Iran et les six puissances mondiales (Allemagne, Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni et Russie), menace de s'effondrer en raison de la politique étrangère de Trump.

Le président américain Donald Trump, qui considère que l'accord sur le programme nucléaire iranien est une "catastrophe" et "le pire jamais négocié", a approuvé de nouvelles sanctions contre l'Iran en août dernier en représailles au programme de missiles de la République islamique.

Téhéran a accusé Washington d'avoir violé le Plan d'action global conjoint, mais Washington affirme que ces sanctions ne relèvent pas de l'accord.
 
L'ONG Amnesty International évoque un nettoyage ethnique à l'encontre des Rohingyas, dans l'ouest de la Birmanie.
 
Aung San Suu Kyi a parlé, et cela ne les satisfait pas. Dans un communiqué publié peu après l'intervention télévisée de la dirigeante birmane, mardi matin, l'association Amnesty International a dénoncé une "politique de l'autruche" de sa part à propos des "horreurs" que vivent les Rohingyas, à l'ouest du pays. 

"Nettoyage ethnique". "Il existe des preuves écrasantes que les forces de sécurité sont engagées dans une campagne de nettoyage ethnique", affirme l'ONG qui regrette que la prix Nobel de la paix n'ait pas dénoncé, dans son discours mardi, le rôle de l'armée dans ces troubles qui ont poussé plus de 410.000 musulmans rohingyas à fuir au Bangladesh depuis fin août.
Le président iranien Hassan Rouhani à son arrivée au siège des Nations unies pour sa rencontre avec le secrétaire général António Guterres, le 18 septembre 2017 à New York
 
Les Européens, France en tête, veulent tenter à l'ONU de sauver l'accord nucléaire iranien de 2015, menacé par le président américain Donald Trump qui ne dissimule pas son hostilité envers un texte pourtant considéré comme crucial dans la lutte contre la prolifération.

Le président américain est sollicité de toutes parts à ce sujet. A l'occasion de l'Assemblée générale annuelle de l'ONU cette semaine, il a d'abord rencontré lundi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui a réitéré son aversion pour "l'épouvantable accord nucléaire avec l'Iran", dont il réclame l'annulation, ou a minima la révision.

M. Trump s'est ensuite entretenu avec son homologue français Emmanuel Macron, qui à l'inverse a tenté de le convaincre de ne pas remettre en cause un accord qualifié d'"historique" lors de sa signature en 2015.

Dans un contexte explosif, notamment avec la crise nord-coréenne, "cela ouvrirait une boite de Pandore", a expliqué l'entourage du président français, qui entretient une relation amicale avec le bouillant milliardaire.

L'accord de Vienne, conclu le 14 juillet 2015 entre Téhéran et les grandes puissances (Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Chine, Russie et Allemagne) est pourtant plus que jamais remis en cause par Donald Trump, qui le qualifie d'"horrible" et a promis de le "déchirer".

Arraché après plus d'une décennie de négociations sous tensions et entré en vigueur en janvier 2016, cet accord garantit la nature exclusivement pacifique du programme nucléaire iranien, en échange d'une levée progressive des sanctions internationales.

Or une échéance cruciale s'approche: Donald Trump doit "certifier" mi-octobre auprès du Congrès que Téhéran se conforme bien à ses engagements, et certaines de ses déclarations laissent penser qu'il pourrait décider de ne pas le faire.

Cette non certification, qui irait à l'encontre des conclusions de l'AIEA (Agence internationale de l'énergie atomique) selon qui Téhéran respecte ses engagements, ouvrirait la voie à une réimposition des sanctions américaines.

Et inquiète au plus au point les autres signataires du texte de 2015.

"L'accord n'appartient pas à un pays ou un autre, il appartient à la communauté internationale", a ainsi martelé la cheffe de la diplomatie européenne Federica Mogherini.
La conférence de la ''Perspective de l'unité islamique et ses défis'' a été organisée en Tunisie en présence de l'ayatollah Araki, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques et des personnalités religieux dans la capitale du pays.
 
Lorsqu'on parle de l'unité islamique ou de l'umma islamique, on parle d'un collectif ayant un leader et tous les membres de cette société se soumettent aux recommandations de ce leader, a déclaré l'ayatollah Araki lors de son discours.

Cette question n'est pas un simple slogan et en effet elle est accompagnée de la rationalité et de la volonté, a-t-il indiqué.

Notre société d'aujourd'hui est pleine de l'ignorance. Où sont achetées ces bombes qui s'explosent? Qui les paye? Les étrangères utilisent nos richesses pour nous tuer. Pourquoi l'umma islamique débloque des milliards de dollars pour acheter des armes? Pour quel objectif? Pour tuer son umma?, s'est-il interroger?

L'islam est notre arme. La culture, la science et la grandeur sont des pas que nous devons prendre pour effacer les difficultés, a-t-il ajouté.

La Turquie a expédié 80 véhicules blindés supplémentaires à la frontière commune avec la Syrie.

Les sources locales ont annoncé le déploiement de 80 nouveaux véhicules blindés de l’armée turque, dont quelques chars, sur la frontière sud de la Turquie avec la Syrie.

Les véhicules de combat ont été transportés par voie ferrée à Iskenderun, ville de la province de Hatay, frontalière avec la Syrie, selon les sources militaires citées par l’agence de presse turque Anadolu.

La Turquie avait déjà expédié, samedi dernier, des équipements lourds, des véhicules blindés et des camions de secours dans cette même région.

Le ministre turc de la Défense Fikri Işık a parlé, en juillet dernier, de la possibilité d'une offensive dans la ville d’Afrin à Alep dans le nord de la Syrie.

La Turquie renforce sa présence militaire dans le nord de la Syrie pour faire face aux Kurdes [considérés par Ankara comme terroristes] opérant dans cette zone.

lundi, 18 septembre 2017 09:19

Une autre bataille Israël/Hezbollah

Israël et le Hezbollah s’apprêtent à une éventuelle confrontation. Le champ de bataille est aussi bien réel que virtuel.

Que ce soit dans le monde réel que dans le monde virtuel, le Hezbollah libanais et Israël se livrent bataille. 

Zahir Andraous s’est penché sur le sujet, dans une analyse pour le quotidien Rai al-Youm, rappelant qu’Israël et le Hezbollah ont atteint, que ce soit en réalité que dans le monde virtuel, le plus haut niveau de préparation militaire pour une éventuelle confrontation.

Le régime israélien et les forces du Hezbollah se sont entraînés sur des champs concrets.

Tel-Aviv a achevé, vendredi 15 septembre, son exercice militaire d’envergure dans le nord d’Israël (Palestine occupée NDRL) sur l’axe de confrontation avec le Hezbollah. C’était, d’ailleurs, le premier exercice militaire de ce régime depuis 1998.

De l’autre côté, le Hezbollah a acquis d’importantes expériences militaires sur les champs de bataille en Syrie tout en renforçant ses capacités en armement.

Mis à part le monde réel, les deux parties s’en prennent l’une à l’autre dans les milieux virtuels. Le centre de propagande d’Israël, dirigé par Afikhai Adrai, un porte-parole de l’armée israélienne, et le QG d’information du Hezbollah s'attaquent mutuellement via images et commentaires diffusés sur les réseaux sociaux.

Afikhai Adrai a posté sur son compte Twitter la photo d’une pancarte libellée d’une phrase à l’adresse du Hezbollah « Si vous osez, nous vous surprendrons ! », en réponse à un post du Hezbollah disant « Si vous revenez, nous aussi, nous reviendrons ! ». Alors qu'en réalité, le Hezbollah s’adressait au groupe terroriste Daech.

Afikhai Adrai, porte-parole de l'armée israélienne. (Archives)

Le QG du Hezbollah n’a pas tardé à répondre, en postant les phrases suivantes: « Ne vous imaginez jamais de nous attaquer, nous vous anéantirons ! » ou encore « Stop ! … Hezbollah ! ».

Aussitôt, le site israélien a diffusé une photo sur Twitter qui montre les forces de l’armée israélienne en plein exercice militaire dans le nord de la Palestine occupée. On peut observer une pancarte qui transmet le même message: « Si vous osez, nous vous surprendrons ! »

Cet échange de menaces entre Israël et le Hezbollah ne demeure pas à ce stade. Certains éléments du Hezbollah ont posté des photos contenant des menaces directes contre la personne même d'Afikhai Adrai.

Dans une rencontre avec de jeunes syriens de confession syriaque, le président Bachar al-Assad a déclaré que "certains ciblent le christianisme dans notre pays en vue de son dépeçage et de la constitution de multiples États tribaux et religieux afin de faire reconnaître un État juif en Palestine occupée."

Le président syrien Bachar al-Assad. (Archives)

" Les Chrétiens syriens ne sont pas des invités mais des citoyens de premier degré sans qui la Syrie n'existerait pas", a affirmé le président Bachar al-Assad devant les jeunes chrétiens syriens, le patriarche d'Antioche, l'évêque orthodoxe et quelques prêtres.  

"Les tentatives visant à faire pression sur les chrétiens ont échoué. Pour cela, nos ennemis collent aujourd'hui une étiquette d'extrémisme aux Musulmans, ciblant par ailleurs les citoyens chrétiens. Ils ont dans la foulée imposé une sorte d'idéologie qui n'est compatible avec aucun esprit religieux", a-t-il indiqué.

"Nous, en tant que citoyens syriens, ne permettons et ne permettrons à personne de détruire notre pays", a argué le président syrien.

Avant son entretien avec la minorité chrétienne du pays, Assad avait rencontré une délégation des parlementaires italiens, leur rappelant que certains pays occidentaux continuaient leurs soutiens directs ou indirects au terrorisme en Syrie.

Lors d’un discours prononcé devant les étudiants de l’Académie militaire, le Guide suprême de la Révolution islamique, l’Ayatollah Ali Khamenei, a évoqué l’accord nucléaire et un possible désengagement des États-Unis. « La RII ripostera à toute démarche hostile », a-t-il affirmé. 

Après avoir passé en revue les unités de sécurité et les forces de l’ordre fraîchement diplômées, le Guide suprême de la Révolution a dénoncé les ingérences des grandes puissances dans la région, ingérences qui sont à l’origine de l’insécurité au Moyen-Orient : « En dépit des agissements hostiles, de toutes les tentatives destinées depuis 38 ans à porter atteinte à la sécurité nationale, celle-ci se porte bien et les forces armées iraniennes, dont les forces de l’ordre, ont bien réussi à assurer au prix de leur sang la sécurité à travers le territoire national. »

L’Ayatollah Khamenei a abordé les « multiples missions » accomplies par les forces de l’ordre sur le territoire national, en ces « temps de péril sécuritaire » qui sévit à l’échelle de la région : « Il n’existe aucun organisme qui soit aussi présent à tout moment, et aussi prêt à agir pour le bienfait public. C’est la force, la puissance, l’initiative et la bravoure de chacun des éléments des forces de l’ordre qui méritent respect et déférence. »

Plus loin dans ses propos, l’Ayatollah Khamenei est revenu sur l’attitude des Américains dans le dossier nucléaire : « Les États-Unis ne cessent de défier l’accord nucléaire. Cela prouve la justesse des propos de notre imam défunt qui qualifiait les États-Unis de “Grand Satan”. » 

Le Guide suprême de la Révolution islamique a ensuite donné un bref aperçu des efforts déployés par les scientifiques iraniens pour apporter une réponse aux besoins du pays en matière d’électronucléaire.

« Dans ce domaine, l’Iran s’est lancé dans un projet scientifique, pratique, légitime et inoffensif, mais les États-Unis, qui ne veulent de progrès scientifique ni pour le peuple iranien ni pour les autres nations, ont pris position contre ces mesures légitimes et imposé leurs sanctions injustes. »

L’Ayatollah Khamenei a pourtant ajouté que le peuple iranien reste déterminé et que le moindre geste erroné de l’ordre de l’Arrogance concernant le Plan global d’action conjoint entraînerait une réaction de la RII.