تقي زاده

تقي زاده

Le Premier ministre chinois, Li Keqiang, a mis en garde le président américain, Donald Trump, contre la guerre commerciale avec la Chine.

Selon l’édition du mercredi 15 mars du journal britannique The Guardian, le Premier ministre chinois, Li Keqiang, a dit craindre une guerre commerciale entre son pays et les États-Unis.

Lors d’une conférence de presse, mercredi, suite à la clôture du Congrès national du peuple (Parlement), Li Keqiang a également affirmé que l’avenir des relations sino-américaines serait d’une importance vitale pour les deux parties.

Selon le Premier ministre chinois, Li Keqiang, dans une éventuelle guerre économique entre les deux puissances économiques du monde que sont la Chine et les États-Unis, les grands perdants seront très certainement les entreprises étrangères.

Le président américain, Donald Trump, a choisi son club privé Mar-a-Lago à Palm Beach pour accueillir du 6 au 7 avril son homologue chinois, Xi Jinping, pour un sommet de deux jours.

Les dirigeants des deux grandes puissances économiques du monde discuteront, certes, des sujets délicats y compris la crise dans la péninsule coréenne, le déploiement du système de défense antimissile controversé des États-Unis en Corée du Sud et les relations commerciales entre les deux pays, sur un fonds de tensions qui caractérise la donne sino-américaine depuis l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche.

À noter que le secrétaire d’État américain, Rex Tillerson, est lui aussi attendu dans les jours à venir en Chine dans le cadre d’une tournée asiatique.

Des sources d’informations ont ôté le voile sur le rôle de l’AIPAC dans la signature du décret anti-immigration du président américain, Donald Trump.

Selon l’agence Fars News qui se réfère au site web « +972 Magazine », le Comité américain pour les affaires publiques israéliennes (AIPAC), le plus grand lobby pro-israélien aux États-Unis, a été impliqué dans la signature du décret anti-immigration de Trump.

Selon les médias américains, des documents financiers tout récemment publiés montrent que l’AIPAC avait été l’un des supporters financiers du think tank américain ayant eu un rôle axial dans l’imposition de l’interdiction d’enter aux États-Unis, pour les ressortissants de 6 pays à population majoritairement musulmane. Les ressortissants de l’Iran, de la Syrie, du Soudan, de la Somalie, de la Libye et du Yémen sont concernés par le décret anti-immigration de Trump.

L’AIPAC a dépensé 60 000 dollars, rien que pour soutenir le « Center for Security Policy » [Centre pour la politique sécuritaire, ndlr].

L’AIPAC a lancé en 2015 la campagne « Citizens for a Nuclear Free Iran (CFNI) », [Citoyens pour un Iran dénucléarisé, ndlr]. L’important lobby pro-israélien a, alors, annoncé, vouloir investir presque 20 millions de dollars, en juillet et août 2015, afin de sensibiliser les opinions envers ce qu’il appelait « le danger de l’accord nucléaire avec l’Iran ». À l’époque, le journal New York Times avait écrit que l’AIPAC dépenserait cette somme pour acheter des annonces publicitaires dans quelque 40 États.

Et toujours selon le site web « +972 Magazine », la campagne lancée par l’AIPAC ne manquait pas de soutenir l’OMK, Mujahedin-e Khalq, (groupuscule terroriste des Monafeghin).

Pour rappel, ce groupuscule terroriste est à l’origine de plusieurs attentats contre les civils et les responsables politiques iraniens.

Dans ses relations essentiellement économiques avec la Turquie, Moscou n’agit jamais au détriment de ses relations géostratégiques avec Damas, a déclaré le membre du Parti social nationaliste syrien.

« Quelle que soit la puissance de l’alliance avec la Turquie, Moscou n’agira jamais au détriment de son alliance avec Damas », a assuré au journaliste de Farsnews, Tariq al-Ahmed, porte-parole du Parti social nationaliste syrien. 

Les relations de la Russie avec la Syrie sont plus enracinées que celles avec la Turquie et cela en raison des facteurs géostratégiques que la Syrie fournit à la Russie, a-t-il ajouté.

Membre de l’OTAN, la Turquie représente une menace pour la Syrie, a-t-il indiqué avant de poursuivre : « la Russie entretient des relations économiques avec la Turquie tandis que ses relations avec la Syrie sont purement stratégiques comme celles entre Téhéran et Damas ».

Le porte-parole reste persuadé que la condamnation par la Turquie de l’explosion terroriste à Damas était une « nécessité politique » qui a été employée en raison de son entrée dans un processus politique basé sur les intérêts communs avec l’Iran et la Russie, a-t-il précisé.  

Al-Ahmed de poursuivre : « la tension dans les relations entre la Turquie et l’UE est bien plus grave que la détérioration des relations, car les ressortissants turcs résidant en Europe sont aux prises avec cette tension. Nous serons témoins de l’intensification de conflits entre les Kurdes et les Turcs en UE. En soutenant le terrorisme en Syrie, la Turquie s’est fait petit à petit prendre au piège. »

Réagir aux événements reste la seule option pour la Turquie ; pourtant, malgré ses efforts, une chute ne semble pas improbable. 

 
 
 

Des médias israéliens font part du crash d’un drone de l’armée israélienne dans la bande de Gaza.

Selon l’agence Tasnim qui cite le numéro du mercredi 15 mars du journal israélien Yediot Aharonot, un drone de type Sky Rider de l’armée israélienne s’est écrasé dans la région de Shuja'iyya à l’est de la bande de Gaza.

L’armée israélienne a ouvert une enquête pour en découvrir les raisons.

L’ex-ministre israélien des Affaires militaires a accusé le président turc de chercher à construire un nouvel Empire ottoman, a rapporté l’Agence France-Presse.

Moshe Ya'alon a déclaré ce mercredi 15 mars lors d’un discours sur la situation au Moyen-Orient que le président turc, Recep Tayyeb Erdogan envisageait de construire un nouvel Empire ottoman.

Ya'alon qui prévoit de lancer une campagne pour devenir Premier ministre, a exprimé devant les journalistes étrangers ses préoccupations concernant la situation de la région.

Il a accusé Erdogan de poursuivre une politique hégémonique en Turquie et dans la région grâce à l’idéologie des Frères musulmans afin de créer un nouvel Empire ottoman.

Les propos de Moche Ya’alon interviennent alors que les relations entre la Turquie et l’Union européenne se sont dégradées suite au fait que les Pays-Bas et l’Allemagne ont empêché les ministres turcs de participer aux meetings des partisans du référendum sur la Constitution de la Turquie.

Lire aussi :

« La Turquie d’Erdogan, l’Iran et Daech sont trois facteurs radicaux qui poursuivent une politique expansionniste au Moyen-Orient », a ajouté l’ancien ministre israélien des Affaires militaires.

Les forces camerounaises ont libéré plus de 5 000 personnes prises en otage par le groupe terroriste Boko Haram.

Les Forces de défense et de sécurité camerounaises ont mené du 27 février au 7 mars « une vaste opération de ratissage le long de la frontière entre le Cameroun et le Nigeria et en territoire nigérian » baptisée Thunder 2, a indiqué le porte-parole du gouvernement, Issa Tchiroma Bakary, dans une déclaration parvenue mercredi 15 mars à l’AFP.

« Les opérations menées dans le cadre de cette intervention spéciale ont (...) permis de libérer plus 5 000 personnes prises en otage par les terroristes » de Boko Haram, a-t-il ajouté.

« Les otages libérés — en majorité des femmes, des enfants et des personnes du troisième âge — ont été conduits au camp des déplacés de Banki en territoire nigérian, via le Cameroun », a-t-il poursuivi, n’excluant pas la possibilité que des Camerounais fassent partie des civils libérés.

« Plus d’une soixantaine de terroristes (ont été) définitivement neutralisés » et « 21 suspects arrêtés » lors de cette opération, a ajouté le porte-parole.

Le Cameroun n’a pas enregistré de perte d’homme lors de l’opération, mais un militaire a été blessé, sans que ses jours ne soient en danger, a assuré M. Tchiroma.

Un médecin palestinien a réclamé justice mardi pour ses trois filles et sa nièce tuées lors de l'offensive menée par l'armée israélienne dans la bande de Gaza en 2008-2009.\Ezzedine Abou Eich, un gynécologue qui a travaillé longtemps dans les territoires palestiniens occupés, veut obtenir des indemnités lors d'un procès au civil qui s'ouvre mercredi en Israël.
"Je viens pour plaider en faveur de la justice et de l'espoir", a affirmé le docteur à des journalistes à Jérusalem. "Malgré la tragédie nous avons réussi avec l'aide de nos enfant bien aimés à extraire la vie de la mort".

Auparavant, il s'était rendu au Parlement israélien où il s'est adressé aux membres d'une commission.

Ezzedine Abou Eich a précisé que les indemnités qu'il pourrait percevoir seront reversées à des associations caritatives en faveur de l'éducation des femmes.

Selon sa version, un obus a touché sa maison quelques heures avant que l'armée israélienne mette fin à trois semaines d'offensive dans la bande de Gaza et a atterri dans la chambre des enfants, tuant trois de ses filles (20, 14 et 13 ans) et sa nièce.

Le père a ensuite téléphoné à une télévision israélienne et laissé exploser sa douleur en plein journal, bouleversant de très nombreux israéliens.

"Ce sont des filles, rien que des filles. On les bombarde. Pourquoi les a-t-on tuées? Je veux savoir. Qui a donné l'ordre de tirer?", avait-il clamé.

La famille avait assuré qu'aucun membre du Hamas, le mouvement islamiste au pouvoir à Gaza, n'était présent dans la maison.

Interrogée mardi par l'AFP une porte-parole militaire n'a pas donné la version de l'armée qui sera présentée au procès.

Après ce drame, il s'est installé aux Canada où il a rédigé un livre intitulé "Je ne haïrai pas".

"Je suis venu ici (à Jérusalem) pour dire à Bissan, Mayar, Aya et Nour (les victimes, ndlr) qu'elles sont vivantes et le resteront aussi longtemps que nous vivrons et respirerons", a affirmé mardi Ezzedine Abou Eich.

Depuis 2008, le régime hébreu a mené trois offensive contre le Hamas et d'autres groupes palestiniens dans la bande de Gaza.
 

"L'augmentation de 45 pour cent la capacité (production) des armes dans l'industrie de la défense est parmi les progrès réalisés dans le pays en l'an 1395 (le calendrier persan se terminant le 20 Mars)", a souligné le ministre iranien de la Défense le général de brigade Hussein dehqan.

Prenant la parole mercredi lors d'une rencontre avec la haute direction de son portefeuille, l'ensemble dehqan a rappelé que cette année "grandes mesures ont été prises pour renforcer la défense du secteur et de la puissance de dissuasion du pays".

des dizaines Cette année aussi, a-t-il ajouté, ont été affichées de nouveau défensives des produits fabriqués dans le pays, y compris balistique missile à longue portée Emad, missile balistique sol-sol Zolfaqar, le système radar Matlaa Al-Fajr-3, avec capacité à détecter des cibles à une distance de 500 kilomètres, l'hélicoptère le plus moderne polyvalent Saba 248, et avancé la guerre du réservoir Karrar.

Le ministère de la Défense avait bien des progrès considérables sur la diplomatie de défense, a déclaré dehqan, se référant à plusieurs traités et accords sur la coopération dans le secteur de la défense qui a signé la République islamique avec la Russie, la Chine, Oman, Afrique du Sud et de l'Irak, y compris la complète l'offre russe des systèmes de défense aérienne S-300 pays perse.

Au cours de cette année, le pays perse a également connu beaucoup de progrès dans son programme de missiles dans la défense aérienne, terrestre, maritime et dans l'électronique de défense et de télécommunications, a souligné le ministre, promettant des avancées plus militaires pour les forces armées l'année prochaine.

Un rapport publié lundi par aei.org, a déclaré USA  reconnaît la grande performance iranienne dans le développement de leur industrie et de la capacité de défense du pays et a déclaré que le pays a augmenté au cours des trois dernières années, sa production militaire de 69%.

La République islamique d'Iran a toujours réservé le droit de renforcer ses capacités de défense en raison de "menaces ennemies constants" et a précisé qu'il ne sera jamais renoncé à ce droit.

Les responsables iraniens ont toujours insisté pour que sa puissance militaire est basée sur une doctrine défensive et de dissuasion.

mercredi, 15 mars 2017 08:59

Trump : la clarification

Dès la nomination du nouveau secrétaire à la Défense, le général James Mattis, le président Donald Trump lui avait demandé de préparer des plans permettant non pas de déplacer des jihadistes ici ou là, ou de s’appuyer sur certains et pas sur d’autres, mais de les éliminer tous.

Lors de son discours devant le Congrès, le 28 février, il a confirmé que son objectif était d’en finir avec le « terrorisme islamique radical ». Pour prévenir des erreurs d’interprétation, il a précisé que les musulmans et les chrétiens étaient les victimes de ce terrorisme. Sa position n’est donc pas contre l’islam, mais contre cette idéologie politique qui utilise des références musulmanes.

Il semble que la chaîne de commandement états-unienne soit bientôt corrigée. Une fois l’objectif et les moyens fixés par le président Trump, les militaires auraient carte blanche pour mener l’opération comme il leur semble. Les responsabilités seraient donc partagées à l’avance : au Pentagone d’assumer les bavures et à la Maison-Blanche les défaites.

C’est pourquoi il convient de préciser au plus vite la position des États-Unis face à la République arabe syrienne. Elle devrait être annoncée le 22 mars à Washington, lors d’une réunion de la Coalition anti-Daesh à laquelle participera le secrétaire d’Etat, Rex Tillerson. Le moins que l’on puisse dire, c’est que pour le moment, rien n’a changé sur ce point : l’ambassadrice Nikki Haley a soutenu au Conseil de sécurité un énième projet de résolution franco-britannique contre la Syrie et a essuyé le sixième veto chinois et le septième russe.

L’ambassadeur syrien Bachar Jaafari a dénoncé —derrière la manœuvre franco-britannique d’accuser sans preuve, sur la simple base de prétendus témoignages émanant des groupes agresseurs— une tentative de justifier un changement de régime et d’absoudre Israël, coupable de détenir la bombe atomique malgré le Traité de non-prolifération nucléaire.

En finir avec le jihadisme signifierait abandonner le plan conjoint de Londres et de Washington de remodeler le Moyen-Orient élargi et d’y placer partout au pouvoir les Frères musulmans. Ce serait reconnaître que les « printemps arabes » n’étaient que la réédition par la CIA et le MI6 de la « Révolte arabe » de 1916. Cela contraindrait le Royaume-uni à abandonner une carte qu’il construit patiemment depuis un siècle ; l’Arabie saoudite à démanteler la Ligue islamique mondiale, qui coordonne les jihadistes depuis 1962 ; la France à renoncer à son fantasme d’un nouveau mandat sur la Syrie ; et la Turquie à cesser de parrainer leurs organisations politiques. Il ne s’agit donc probablement pas d’une décision uniquement états-unienne, mais impliquant au moins quatre autres États.

Malgré les apparences, cette décision dépasse largement la Syrie. Elle renvoie à la possible fin de la politique impériale anglo-saxonne et à ses innombrables conséquences dans les relations internationales. Il s’agit bien du programme électoral de Donald Trump, mais nul ne sait s’il pourra effectivement le mettre en œuvre face à l’extraordinaire opposition des élites US.

Le chef d’état-major interarmées US, le général Joseph Dunford, a tenu quant à lui une réunion à Ankara avec ses homologues russe et turc. Il s’agissait de prévenir les interférences des armées les unes sur les autres dans un conflit aux multiples acteurs. L’Iran n’avait pas été invité, considérant que sur le terrain, ses forces armées —à la différence du Hezbollah— se contentent depuis longtemps déjà de défendre les seules populations chiites.

Alors que l’armée arabe syrienne a de nouveau libéré Palmyre, le contingent de militaires US illégalement présent sur le sol syrien a été porté à 900. Il a traversé le nord de la Syrie en se faisant le plus remarquer possible.

La question pratique la plus importante est de savoir sur quelles troupes les États-Unis comptent s’appuyer pour attaquer Rakka. La presse ne cesse de dire que le Pentagone compte sur les kurdes du YPG, mais d’autres sources évoquent une possible reproduction du schéma de Mossoul : des conseillers US encadrant l’armée nationale.

Au cours de la réunion d’Ankara, le général Dunford semblait préoccupé par de prévisibles affrontements turco-kurdes, d’autant qu’une partie du YPG a choisi de se placer sous la protection de Damas face à l’annonce d’un possible déferlement turco-mongol.

Ce n’est qu’au mieux le 22 mars que nous saurons si le président Trump admet que l’administration Obama a perdu sa guerre contre la Syrie et s’il est sérieux en prétendant vouloir éradiquer le jihadisme. Que deviendront alors ceux qui furent, durant un siècle, les fidèles exécutants de la politique britannique ?

mercredi, 15 mars 2017 08:52

L'Islam et les autres religions

Le Coran évoque toujours la religion dans un sens universel. De plus, l'expression «islam» signifie de manie générale la soumission à Dieu, l'acceptation du monothéisme et n'est pas seulement un message historique du Coran. Pour cette raison, on l'a vu, Abraham est appelé musulman dans Coran. Croire en Dieu, aux anges, aux prophètes et au Livre Divin sont des aspects sur lequel insiste le Coran. De nombreux versets font allusion au fait que la société humaine est une société unique, que Dieu a pour chaque peuple élu un prophète parmi celui-ci et que les selon les croyances islamiques dernier des prophètes est Mahomet.

Adam est le premier homme et le premier prophète. Da le Coran, sont officiellement admis d'autres grands prophète comme Jésus et moise et leurs livres divins.

Les penseurs de l'islam ont écrit de nombreux ouvrages propos de l'histoire des religions dans lesquels ils étudient les croyances des sectes et des religions diverses tels que judaïsme, le christianisme, le zoroastrisme, la religion sabéen ou mandéenne. La vision large de l'islam sur les autres religions et leur reconnaissance est une des raisons historiques des controverses religieuses en islam qui selon l'analyse d'historiens et des orientalistes a été un facteur très important dans le développement de cette religion.

L'ensemble des œuvres théologiques, philosophiques et historiques prouvent que parmi les écoles classiques de pensée islamique fermentent des idées très poussées concernant les autres religions car l'islam a été confronte a nombre d'entre elles que ce soit en Iran, en Inde, en Chine ou en Espagne.

Selon les lois islamiques tous les croyants (les gens du livre) doivent être sous la protection de la société islamique et leurs lois, respectées. Bien qu'à certaines époques de l'histoire, ces controverses religieuses étaient utilisées selon les désirs ou les besoins des gouverneurs, la civilisation islamique s'est montrée la plus tolérante. La base de l'église orthodoxe de­meure toujours à Istanbul et les chrétiens araméens en Iraq et en Iran. De nombreux intellectuels juifs espagnols ont rédigé la majorité de leurs ouvrages en arabe plutôt qu'en latin et en l'an 1492lorsque les musulmans furent chasses de l'Espagne la plupart ont trouve un refuge dans le monde islamique et purent ainsi conserver leur héritage religieux jusqu' a nos jours. Un autre exemple de tolerance est la cohabitation des musulmans et des hindouistes en Inde et ailleurs.

Ainsi, dans le monde actuelles relations entre les musulmans et les croyants d' autres confessions sont amicales exceptées dans le cas ou les prosélytes des autres religions menacent par la force de leurs disc ours et leur propagande, la cohésion de la société musulmane comme en Indonésie ou au Nigeria. En outre, dans certaines régions du globe, lorsque les conflits économiques et politiques se conjuguent aux di­vergences religieuses, des confrontations culturelles et religieuses naissent pour préserver l'indépendance des peuples comme par exemple l'ex-URSS, les pays de l'Europe de l'Est:

La Bosnie et l'Herzégovine. Depuis la création d gouvernement d'Israël, des conflits ont éclaté entre les arabes et les israéliens, beaucoup plus qu'entre musulmans et juif les chrétiens de la Palestine tout comme les musulmans 0: participe à ses conflits. Bien qu'au cours de ces deux décennies les musulmans non arabes aient pour la plupart soutenu II palestiniens, les juifs non-israelites ne se sont jamais heur aux musulmans.