
تقي زاده
Responsable syrien: Washington est derrière l’attaque de Tel-Aviv contre la banlieue de Damas
Le conseiller du ministre syrien de l’Information, Ali Ahmad, vient de déclarer que l’Amérique est la principale cause de l’insécurité en Syrie et peu importe qui sont ses mercenaires régionaux : le régime israélien, la Turquie ou encore certains pays arabes du golfe Persique.
Dans un entretien avec Tasnim News, Ali Ahmad a affirmé concernant la récente attaque du régime sioniste contre l’aéroport militaire de Mazzeh à l’ouest de Damas: « En principe, il existe un cadre général et l’on ne peut pas séparer les actions des groupes terroristes pour l’occupation de la zone de la Fontaine d’Ain al-Fijah à l’ouest de Damas de l’occupation des régions antiques à Palmyre ou encore des attentats-suicides récents à Kafr Sousa. Tous ces événements sont liés ! »
Le conseiller du ministre syrien a ajouté: « La vérité est qu’Israël est soutenu par les États-Unis qui jouent aussi le rôle de soutien d’un groupe de pays arabes partisans eux-mêmes du terrorisme. »
Sur la diffusion rapide des attaques récentes commises sur le sol syrien par les médias du régime israélien alors qu’en principe, ces médias censurent de telles informations, Ahmad a indiqué: « Il s’agit d’annonces destinées à remonter le moral des groupes armés et de leur faire croire qu’ils vont être victorieux finalement ; surtout depuis les victoires récentes de l’armée et les pertes subies par les terroristes dans les différentes régions syriennes. »
Et le conseiller du ministre syrien de l’Information a conclu ainsi: « L’Amérique est la source et la principale cause du déclenchement du chaos en Syrie ; que son bras exécutant soit la Turquie, le régime sioniste ou encore certains régimes arabes du golfe Persique. Il y a un lien entre toutes ces parties et au fond, dans le soutien apporté au Front al-Nosra et à Daech, il y a une volonté (américaine) de semer le chaos et la destruction des autres pays à l’instar de la Syrie. Ceci porte évidemment atteinte au gouvernement syrien, mais les conséquences (désastreuses) de ces soutiens se font sentir aussi actuellement dans d’autres pays de la région comme en Turquie. »
Sommet du Mali : faut-il croire Paris?
Dans son 57e engagement, le président François Hollande avançait vouloir agir pour venir en aide aux pays en développement. Mais au vue de l'étude faite par l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), son plan a plus contribué à affaiblir les pays africains qui devaient pourtant être les cibles prioritaires.
Reproduit par le site de Cameroon Voice, l'article qui suit a été publié avant la fin du sommet France Afrique:
Comme pour davantage faire vivre ce leurre, François Hollande est présent au sommet Afrique-France où il avancera avoir rempli sa mission.
Dans ce sillage, il sera inéluctable pour le Président Hollande de donner raison en son ministre des affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault qui déjà en novembre 2016 affirmait que « l'aide française va considérablement augmenter en atteignant un surplus de 160 millions d'euros comparé à son niveau de 2012 ». Ainsi donc, il promettra d'aider les pays africains à hauteur de 2 milliards de dollars (1,9 milliard d'euros) d'ici à 2020 pour leur électrification, soit une parade à la revendication de ces derniers lors de la COP21.
Donc quand le Président Hollande s'aventurera de dire que « l'Afrique est notre avenir » comme ce fut le cas en février 2015, aux chefs d'Etats africains d'emprunter la riposte de Philippe Jashshan, le président de Coordination Sud, qui trouvait «incompréhensible que, face à la multiplication des crises humanitaires, à l'accumulation des besoins, le gouvernement ne puisse remobiliser les moyens en faveur des plus pauvres».
Ce qui reste le plus regrettable dans cette union entre l'Afrique et la France reste le fait que nos pays déjà affaiblis sont obligés de s'endetter via ces soi-disant prêts. Il faut savoir que sur les 9 milliards d'euros annuels d'aide publique au développement, environ 300 millions d'euros seulement sont des dons. Or les pays les plus pauvres et ceux du Sahel en particulier n'ont pas les moyens de s'endetter.
Dans les régions où sévissent le terrorisme, la pauvreté à grande échelle, où l'aide publique devrait être beaucoup plus consistante, nous y notons une France grandement dépassée par la volonté de ses pairs comme l'Allemagne qui fait huit fois mieux que le pays de François Hollande. Alors lorsqu'il se targuera d'être le seul à se soucier de l'Afrique, beaucoup d'entre nous les africains y croiront parce qu'il s'est tristement affiché un peu partout en terre africaine, minant d'aider notre continent. Cette opération de charme est contradictoire avec les réalités des chiffres. Nos dirigeants eux, répondront comme à l'accoutumée à l'appel de la France comme s'ils étaient restés dans la période coloniale.
Nous avons noté sur nos petits papiers le fait qu'au Sénégal par exemple, les entreprises françaises s'accaparent des grands marchés et comme des parasites tuent nos entreprises locales à petit feu. Que nos ponts et routes soient construites par Eiffage et consorts et nos sociétés locales mourront sous nos yeux au moment où des présidents aveuglés par la beauté des mots vont comme sciemment piétiner nos maux.
A chaque fois que se soulèveront des critiques, vous verrez Paris mettre en avant l'effort que représente son engagement militaire dans la région mais il faut noter qu'il n'est que de 0,37 % du PIB contre 0,71 % par exemple pour le Royaume-Uni.
Pour comprendre ce plaidoyer, il faut savoir que les pays dits industrialisés se sont conventionnellement mis d'accord pour porter l'effort d'aide publique au développement à 0,7 % de la richesse nationale.
Sous ce rapport alors, vous comprendrez aisément que cette relation Afrique-France ne tend que vers l'appauvrissement de notre cher continent. Chers dirigeants africains devant être présents au sommet Afrique-France, sachez que ce partenariat tue votre continent, notre continent.
Côte d'Ivoire: accord trouvé entre le gouvernement et les mutins
Après neuf jours de tension et d’affrontements, le calme revient à Bouaké, à 335 kilomètres au nord d’Abidjan.
Selon RFI, après de longues heures de négociations, le gouvernement ivoirien et les mutins sont parvenus à un accord, vendredi 13 janvier.
Cependant, des tirs en l’air ont été entendus dans certaines villes ivoiriennes dont à Bouaké, Abidjan, Man et Korhogo.
À Abidjan, des tirs ont retenti notamment dans les camps militaires d’Akouedo à Cocody et aussi du côté du camp Galliéni, situé au Plateau.

Toujours d’après Radio France Internationale, les négociations étaient fermées à la presse, mais de l’extérieur on percevait des signes de mécontentement des mutins qui avaient envahi les lieux.
Finalement un accord a été trouvé en fin de soirée. Le gouvernement procédera au paiement de leur prime dès lundi. Cinq millions de francs CFA leur seront versés dans un premier temps et un million chaque mois afin de pouvoir solder les 12 millions de francs CFA.
Cela faisait plusieurs jours que les populations de Bouaké étaient confrontées à la mutinerie des militaires. Ceux-ci paradaient dans la ville tirant des coups de feu en l’air.
La deuxième plus grande ville de Côte d’Ivoire tournait donc au ralenti ; écoles et commerces étaient très souvent fermés. Une situation que les habitants de Bouaké supportaient de plus en plus mal.
Allègement des sanctions US, une récompense au Soudan
Selon un journaliste afro-américain, la décision du gouvernement américain d’alléger les sanctions économiques contre le Soudan est en effet une récompense à Khartoum pour son changement de cap et l’amélioration de ses relations avec l’Occident et l’Arabie saoudite.
Abayomi Azikiwe, journaliste afro-américain installé à Détroit aux États-Unis a déclaré, dans une interview à Press TV, que la politique étrangère du gouvernement soudanais s’orientait de plus en plus vers l’Arabie saoudite.
« Cela a été évident lorsque le Soudan a participé dans la guerre lancée par l’Arabie saoudite contre le Yémen. Il a même interrompu ses relations diplomatiques avec la RII », a-t-il dit.
Dans l’optique de ce journaliste américain, la levée de certaines sanctions économiques par Washington constitue une récompense pour le Soudan qui a tendance à se rapprocher de l’Occident.
Le président américain Barack Obama a annoncé, vendredi 13 janvier, la levée d’une partie des sanctions visant le gouvernement soudanais.
Obama qui passe ses derniers jours à la Maison Blanche a écrit une lettre au Congrès dans laquelle il a dit que les actions positives de Khartoum, tout au long de ces six derniers mois, l’avaient amené à lever une partie des sanctions économiques américaines contre le Soudan.
En septembre dernier, Israël avait appelé les États-Unis et les pays européens à essayer de renforcer leurs relations avec le Soudan.

Washington a sanctionné Khartoum en 1997 et l’accuse de soutien aux groupes terroristes et l’a mis sur la liste noire des pays protecteurs du terrorisme en 1993.
Les États-Unis accusent également le président soudanais Omar el-Béchir de crises de guerre au Darfour.
Maroc: controverse sur un manuel d'éducation islamique ou ''wahhabite''
L'ouvrage en question cite un texte d'un clerc musulman du 13e siècle, Ibn Salah Achahzouri, qui y dépeint la philosophie comme "contraire à l'islam" et comme "l'essence de la dégénérescence".
Tempête et indignation chez les professeurs de la noble matière: l'Association marocaine des enseignants de philosophie (Amep) pointe du doigt le caractère "dangereux" du manuel et appelle même à son retrait. Plusieurs sit-in sont organisés.
Le ministère refuse toute idée de retrait de l'ouvrage, l'un de ses responsables déplore un "procès d'intention", pointant un extrait "sorti de son contexte".
L'incompréhension est d'autant plus grande chez les professeurs de philosophie que le manuel a été réédité fin octobre dans le cadre d'une vaste réforme de l'enseignement islamique voulue par le roi Mohammed VI.
Cette réforme, qui a abouti à la révision d'une trentaine d'ouvrages, vise à promouvoir "un islam tolérant".
L'éducation islamique est une matière à part dans le cursus scolaire marocain, de l'école primaire jusqu'au baccalauréat. Mais son enseignement donne lieu depuis des années à des passes d'armes récurrentes entre "modernistes" d'un côté, conservateurs et salafistes de l'autre.
- 'Scénario pédagogique' -
Dans un nouvel argumentaire rendu public mercredi, le ministère de l'Education est revenu sur la polémique, et souligne que la citation incriminée s'inscrit dans un "scénario pédagogique".
L'objectif est d'"amener les élèves à faire des comparaisons entre les contenus de cette position décrite comme violente et des positions différentes qui considèrent que la raison et la pensée sont des outils pour aboutir à la vérité", explique le ministère.
Au passage, il regrette les "préjugés" et critiques des professeurs de philosophie qui "occultent de manière totale les changements profonds" sur le curriculum de l'éducation islamique.
Le ministère affirme par ailleurs que le Maroc est l'un des rares pays à enseigner la philosophie "comme discipline obligatoire pour tous les élèves, pendant les trois années du cycle secondaire".
Les relations entre la philosophie et le pouvoir marocain ont longtemps été difficiles.
Dans les années 1970-1980, sous le règne du roi Hassan II, le pouvoir avait un moment interdit l'enseignement de la philosophie et combattu la sociologie, encourageant les courants islamistes pour contrer les idéologies de gauche, dont certains opposants au régime étaient alors imprégnés.
- 'Souffle wahhabite' -
Mais pour l'Amep --dont il est difficile de juger de l'exacte représentativité-- et son président, Abdelkrim Safir, inspecteur principal de philosophie, "c'est tout le souffle de l'idéologie wahhabite qu'on retrouve dans les manuels d'éducation islamique" dans le secondaire, en référence à une version rigoriste de l'islam sunnite, soutenue par l'Arabie saoudite.
"Les explications du ministère ne suffisent pas, le problème est bien plus grand qu'une citation", juge M. Safir. "Au lieu d'enseigner aux élèves la production philosophique moderne, on vient la dévaloriser".
"Avec la réforme, on s'attendait par exemple à ce que l'éducation islamique soit baptisée éducation religieuse. Mais il n'y a eu aucune évolution", selon le président de l'Amep.
Le régime hébreu craint une nouvelle initiative à l'ONU
"Nous assistons à une tentative de promouvoir une initiative de dernière minute avant la prise de fonction de la nouvelle administration américaine", a affirmé dans un communiqué l'ambassadeur israélien Danny Danon.
"Les partisans des Palestiniens cherchent d'autres mesures anti-israéliennes au Conseil de sécurité", a-t-il ajouté.
Le Conseil de sécurité doit se réunir mardi pour discuter du conflit israélo-palestinien, pour la première fois depuis l'adoption d'une résolution condamnant les colonies israéliennes et qui avait provoqué la fureur d'Israël.
Imam Khamenei mène la prière funéraire de l'ayatollah Rafsanjani en présence de centaines de milliers de personnes en deuil iran
Accueillis par des centaines de milliers de personnes se sont rassemblées à l'Université de Téhéran et ses environs, au moment où le guide suprême iranien a prié pour l'âme de l'ayatollah Rafsanjani.
Le président iranien, HIWM Hassan Rohani ; Le président du Parlement, Ali Larijani ; et le président de la justice iranienne, l'ayatollah Sadeq Amoli Larijani ; entre autres hauts fonctionnaires et des personnalités iraniennes participant à la cérémonie.
La cérémonie est marquée par la participation de personnalités et de délégations étrangères, y compris une délégation représentant du Mouvement de la Résistance islamique au Liban (Hezbollah) et président du Conseil suprême islamique d'Irak, Seyed Ammar Hakim, entre autres.
Les centaines de milliers d'Iraniens pleurent la perte de ce grand poids politique de la République islamique d'Iran ont exprimé leur soutien pour le leader et l'unité du pays.
La mort de l'ayatollah Hashemi Rafsanjani est un irrécupérables pour la révolution islamique en Iran vide. Cette grande figure faisait partie de la première génération de combattants révolutionnaires dans le pays.





La preuve scientifique de l’absence de falsification du Coran
C’est la première fois que Tayar Alati Ghulach participe à un projet de la République islamique d’Iran.
Tayar Alati Ghulach a déclaré qu’il avait décidé de participer à ce projet parce que ce Coran était relativement complet et parce qu’il était attribué à l’Imam Ali (as). Les études précises qu’il a faites ont montré que depuis la révélation jusqu’à aujourd’hui, aucun signe ou lettre du Coran n’avait été changé.

Tayar Alati Ghulach est né en 1938 dans un village près de Kastamonu, et a mémorisé le Coran dans sa totalité à l’âge de 9 ans. Il a poursuivi ses études religieuses au Centre islamique d’Istanbul jusqu’en 1963. Jusqu’en 1971, Tayar Alati Ghulach a enseigné au Centre islamique de Kayseri et a obtenu un doctorat sur la science du commentaire à l’université de Bagdad.
Entre autre, il a exercé les fonctions de directeur du centre Diyanat entre 1978 et 1986, et de directeur de l’enseignement religieux. Il a aussi créé le centre des dons islamiques, le centre de recherches islamiques, l’encyclopédie islamique de Turquie, et enregistré une lecture intégrale du Coran. Il a participé à l’élaboration de livres spécialisés sur la lecture et les lecteurs coraniques, publiés en 1975 et 1995. Il a eu la responsabilité du centre de l’enseignement et de la culture en 1995, et du comité sportif du parlement de Turquie en 2002, et fait partie des fondateurs du parti pour la justice et le progrès.
Tayar Alati Ghulach fut influencé dans sa jeunesse par deux chercheurs, Mohammad Abdoul al-Azim al-Zarghani de l’université d’Al Azhar, et Mohammad Hamidullah, chercheur indien et traducteur du Coran en français.

À droite Tayar Alati Ghulach à l’époque de son poste de vice président de la Diyanat
Al-Zarghani dans un de ses livres, parlait de l’existence d’un Coran attribué au second calife, à la mosquée Imam Hossein (as), en écriture coufique, ce qui poussa Tayar Alati Ghulach à faire un voyage au Caire en 1969, pour voir ce livre qui est actuellement conservé à la bibliothèque centrale des manuscrits islamiques.Ce voyage au Caire fut un échec mais lors d’un deuxième voyage, Tayar Alati Ghulach réussit à voir ce Coran et déclara que ce Coran en peaux de biches pesait au moins 80kg.
«Malheureusement, à partir de 1960, à cause de mes activités politiques, je n’ai pas eu beaucoup de temps pour ces recherches », disait-il.

Le Mus'haf attribué à Uthman et maintenu à la mosquée Imam Hussein (as) au Caire
En 2000, les recherches sur le Coran attribué à l’Imam Ali (as) datant du premier et deuxième siècle de l’hégire, dont certaines pages sont conservées dans différents musées dans le monde, ont été confiées à Tayar Alati Ghulach. Le Coran attribué à Uthman conservé à la mosquée Imam Hossein (as) du Caire, et d’autres manuscrits ont été soigneusement scannés et imprimés à ses soins. Tayar Alati Ghulach a aussi fait des recherches sur sept manuscrits coraniques dont trois attribués au second calife conservé au Palais de Topkapi à Istanbul, au musée des vestiges turcs et islamiques, et à la mosquée Imam Hossein (as), publiés en 2007 et 2009, sur un Coran attribué à l’Imam Ali (as) conservé au musée de Sanaa et publié en 2011, sur le Coran du musée des arts islamiques du Caire, publié en 2014, sur le Coran de la bibliothèque nationale de France publié en 2015, et sur le Coran de L’université de Tübingen publié en 2016.

L’objectif de Tayar Alati Ghulach dans toutes ces études, était de prouver scientifiquement l’absence de toute falsification dans le Coran.
ALLAH POUR LA SCTION DE TAWHID
« Dieu est le Créateur de toute chose.
Il est le gardien de tout ce qui existe.
Les clés des cieux de la terre Lui appartiennent ». (Coran 39,62-63).
« Nulle créature ne rampe sur terre,
sans que ce qui lui est nécessaire ne dépende de Dieu.
Il connaît sa demeure et son refuge ». (Coran 11,6).
Si le Créateur est éternel et perpétuel, Ses attributs doivent être, eux aussi, éternels et perpétuels. Il ne doit perdre aucun de Ses attributs, ni en acquérir d'autres. C'est ainsi que Ses attributs sont absolus. Peut-il exister plus d'un Créateur avec de tels attributs? Peut-il y avoir, par exemple, deux Créateurs d'une puissance absolue? Il suffit d'un moment de réflexion pour se rendre compte que cela n'est guère possible.
Le Coran résume cet argument dans les versets suivants:
« Dieu n'a auprès de Lui aucun fils,
et n'a aucune divinité à Ses côtés:
sinon, Chaque divinité aurait pris avec elle ce qu'elle avait créé,
et certaines d'entre elles se seraient élevées au-dessus des autres ». (Coran 23,91).
« Et pour quelle raison il y aurait sur la terre et dans les cieux autre chose que Lui?
S'il en était ainsi, la terre et les cieux iraient sûrement à leur perte ». (Coran 21,22).
ALLAH LE CREATEUR
Allah, Créateur de l'Univers, l’Éternel
La notion qui veut que Dieu se repose le septième jour, que Dieu ait combattu un de Ses soldats, que Dieu ait une attitude de conspiration et d'envie à l'égard de l'humanité, ou que Dieu se soit incarné dans un être humain, quel qu'il soit, ne peut être accepté d'un point de vue islamique.
Le Créateur doit avoir une nature différente de celle des choses qu'Il a créées, car s’il était de même nature que celles-ci, Il serait d'essence temporelle, et donc Lui-même créé par quelqu'un d'autre. Il s'ensuit qu'il n'a point d'égal. Si le Créateur n'est pas d'essence temporelle, il faut alors qu'il soit éternel. Mais s'Il est éternel, Il n'a pu être engendré par aucun principe, et si rien n'a présidé à sa venue, rien en dehors de Lui n'est à l'origine de Son existence, ce qui signifie qu'il est son propre principe. Et si la continuité de Son existence ne dépend de rien en dehors de Lui, cette existence ne peut avoir aucune limite. Le Créateur est ainsi éternel et perpétuel: "Il est le commencement et la fin".
Il se suffit à Lui-même, il subsiste par Lui-même ou bien, pour employer le terme coranique, Il est "Al-Qayyum". Le Créateur ne crée par uniquement dans le sens de faire que les choses soient, mais Il les protège également et les enlève à la vie temporelle, et il est la cause ultime de tout ce qui leur advient.