
تقي زاده
Syrie: De Mistura soutient les résultats de la réunion tripartite de Moscou
L'émissaire de l'ONU pour la Syrie, Staffan de Mistura, soutient les résultats de la récente réunion tripartite Russie-Iran-Turquie à Moscou sur la Syrie, a annoncé le ministère russe des affaires étrangères.
Cité par Russia Today, Staffan de Mistura a annoncé lors d’un entretien téléphonique avec le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, son soutien aux résultats obtenus à Moscou lors de la réunion tripartite Russie-Iran-Turquie pour la Syrie.
« De Mistura reconnaît les résultats de la réunion tripartite du 20 décembre à Moscou et dit que l’ONU est prêt à participer à la mise en œuvre de ces acquis dont l’élaboration d’un accord de cessez-le-feu entre le gouvernement syrien et les opposants armés et la tenue des négociations de trêve à Astana, capitale kazakhe », peut-on lire dans un communiqué publié par le ministère russe des Affaires étrangères.
Sergueï Lavrov et Staffan de Mistura ont également discuté des efforts collectifs à fournir pour régler la crise syrienne. Ils se sont dits pour la poursuite des échanges autour des questions liées à l’exécution des accords russo-irano-turcs.
Le 20 décembre dernier, les ministres russe, iranien et turc des affaires étrangères se sont retrouvés à Moscou, pour examiner la situation en Syrie.
Une journaliste irakienne enlevée à Bagdad
Mme Shawqi a été enlevée lundi soir vers 22H00 (19H00 GMT). Huit hommes armés ont fait irruption chez elle à Saïdiya (sud-ouest de Bagdad). Ils étaient habillés en civil et se sont fait ouvrir en se faisant passer pour des membres des forces de sécurité. Ils ont ligoté son fils, a indiqué à l'AFP Ziad al-Ajili de l'Observatoire irakien de la liberté de la presse.
Ils ont dérobé des téléphones portables, des ordinateurs et de l'argent liquide puis ont enlevé Afrah et ont pris la fuite, a-t-il poursuivi.
Ce récit a été confirmé par une source au sein du ministère de l'Intérieur qui a témoigné sous le couvert de l'anonymat.
Afrah Shawqi, très impliquée dans la défense des droits des femmes irakiennes, travaille également au ministère irakien de la Culture.
Le Premier ministre Haïder al-Abadi a condamné l'enlèvement de la journaliste et ordonné aux forces de sécurité de faire le maximum pour la protéger, la retrouver et mettre la main sur le ou les groupes responsables de son kidnapping.
Virginie Dangles, rédactrice en chef à Reporters sans frontières (RSF), a fait part dans un communiqué de la plus vive inquiétude de l'ONG et a fermement condamné cet enlèvement. Nous demandons au Premier ministre de tenir son engagement à tout mettre en oeuvre pour retrouver Afrah Shawqi ainsi que les auteurs de son enlèvement, a-t-elle poursuivi.
L'Irak est avec la Syrie voisine, l'Afghanistan et le Mexique, l'un des pays les plus dangereux au monde pour les journalistes. Sept d'entre eux y ont été tués en 2016, selon le bilan annuel de RSF.
L'Iran va bientôt proposer de nouveaux contrats de coopération pétrolière
Depuis la levée des sanctions à l'encontre de l'Iran en janvier, douze contrats ont déjà été attribués à des entreprises internationales, a souligné M. Manouchehri, ajoutant que dix autres feraient l'objet d'un appel d'offres dans un avenir proche.
Parmi les principaux contrats signés entre l'Iran et les grandes entreprises internationales, on peut notamment mentionner la Phase 11 du champ pétrolifère de Pars du Sud, dont le développement a été attribué en novembre à un consortium mené par la compagnie française Total.
Un protocole d'entente a également été signé avec la compagnie Royal Dutch Shell au début du mois, dans le but de procéder à des études sur les gisements pétroliers iraniens d'Azadegan, de Yadavaran et de Kish.
Coup d'Etat avorté en Turquie, 29 anciens officiers de police sont jugés
Les anciens officiers de police sont accusés d'avoir tenté de persuader leurs collègues et les citoyens de ne pas rejoindre la résistance anti-coup d'État, indique Anadolu, l'agence de presse contrôlée par l'État.
Parmi les accusés, trois sont des pilotes d'hélicoptère auxquels il avait été ordonné de se rendre au palais Huber, à Istanbul (la résidence officielle du président turc Recep Tayyip Erdogan), afin d'assurer la sécurité le soir du coup d'État avorté. CNNTurk a indiqué que les pilotes ont rejeté les accusations lors de l'audience publique.
Les articles de presse indiquent que l'acte d'accusation exige trois peines de réclusion à perpétuité aggravée pour 21 policiers accusés de tentative de coup d'État et une peine maximale de 15 ans d'emprisonnement pour huit autres policiers accusés d'être membres d'une organisation terroriste.
Sur les 29 suspects, 25 avaient été placés en détention provisoire car ils avaient refusé d'obéir aux ordres les enjoignant de résister à la tentative de coup d'État, précise Anadolu.
Ankara estime que le coup d'État avorté a été fomenté par des militaires turcs téléguidés par Fethullah Gulen, un prédicateur turc vivant aux Etat-Unis, leader du mouvement Gülen, désormais qualifié de groupe terroriste.
Selon les articles de presse, plus de 36 000 personnes ont été arrêtées et plus de 100 000 fonctionnaires ont été révoqués en Turquie dans le cadre des mesures de répression mises en œuvre depuis la tentative de coup d'État.
Conférence en Algérie sur les dimensions civilisationnelles dans le Coran
Que veut dire le mot « al-Ma‘âd » ?
La Prière de Jonas, béni soit il [Younes]
atteint d'une maladie, après avoir récité ce verset, se
rétablira et guérira. S'il n'est pas guéri
[selon la Providence Divine] alors il lui sera accordé la
récompense réservée à un martyr. Et s'il se rétablit, tous ses
péchés seront pardonnes, [tant est spécial ce verset du
Coran y]
Le Prophète Issa (as) dans le coran
Guide suprême: "L’Iran devra se renforcer encore plus"
« La République islamique d’Iran devra se renforcer encore plus pour pouvoir contrer les hostilités perpétrées de toutes parts », a déclaré le Guide suprême de la Révolution islamique.
Ce mardi 27 décembre, l’honorable Ayatollah Khamenei a reçu en audience des étudiants en théologie à l’approche de l’anniversaire de l’épopée du 30 décembre 2009 où des millions d’Iraniens sont descendus dans la rue en soutien à la République islamique d’Iran.
Ce jour-là, des manifestations d’envergure ont ébranlé tout le pays en soutien aux autorités de la République islamique d’Iran et en réaction aux troubles qui avaient suivi les élections présidentielles de juin 2009.
Le leader de la Révolution islamique a déclaré que les grandes manifestations du 30 décembre 2009 étaient une démonstration patente de la puissance de la République islamique d’Iran.
" Personne n’avait organisé cet événement grandiose. C’était la puissance intellectuelle de la nation, un des principaux piliers de l’Ordre islamique, qui avait poussé les Iraniens à descendre dans la rue."
Dans une autre partie de son discours, l’honorable Ayatollah Khamenei a déclaré: " Aujourd’hui, la géométrie des puissances arrogantes à l’encontre de la République islamique d’Iran vise à amputer la nation iranienne de sa puissance matérielle, spirituelle et de sa volonté de fer. Nous, en revanche, il nous incombe de défendre, voire de renforcer notre puissance."

Le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné que l’Iran était fort de multiples ressources naturelles, humaines et économiques, d'un langage politique dissuasif et d'une puissance militaire.
" Toutes les conspirations fomentées à l’encontre de l’Iran et toutes les hostilités qui visent les Iraniens sont, de facto, une expression de la colère vis-à-vis d’un pays riche en ressource qui s’oppose au système hégémonique du monde. Face à de telles animosités, la République islamique d’Iran devra se renforcer encore plus. C’est la raison pour laquelle nous insistons sans cesse sur le renforcement de notre puissance et de nos structures nationales. L’Arrogance s’oppose à toute pensée et mouvance qui se dressent devant la tyrannie et la discrimination, mais elle déclenche une guerre totale contre un mouvement qui soit capable de galvaniser une nation comme un océan.
L’ennemi procède à la manière d'un cambrioleur : il pénètre dans la maison prétendant que son hostilité provient de l’arme dont dispose le propriétaire pour se défendre. Il pense que le conflit prendra fin, une fois que le propriétaire aura déposé son arme. Alors il tente de désarmer le propriétaire et d'entrer dans sa maison par divers moyens comme le dialogue, la plaisanterie, le sourire et la provocation."
L’honorable Ayatollah Khamenei a déclaré que le bonheur ou le malheur dépendait de la manière dont on se servait du pouvoir. " L’interdiction de l’arme nucléaire est fondée sur des principes jurisprudentiels, rationnels et très importants. Mais le gouvernement et la nation ont la capacité de se procurer d’autres types de puissances ", a-t-il indiqué.
A noter que le Guide suprême de la Révolution islamique a officiellement émis une fatwa, un décret religieux, interdisant la possession et l’exploitation de la bombe atomique.
Vive opposition au sein du Parlement tunisien au sujet du retour des terroristes
Avec le retour envisagé des terroristes en Tunisie, la panique est semée dans le pays et même au sein du parlement où les parlementaires s’en donnent à de virulents affrontements, certains voulant à tout prix empêcher le retour des « enfants-terroristes » du pays et d’autres arguant que la loi constitutionnelle ne le permet pas.
L’agence de presse Anatolie vient de rapporter que des représentants au Parlement tunisien de la Fraction Nidaa Tounes, un parti qui a été fondé par Beji Caid Essebsii, ont brandi aujourd’hui, mardi en séance, des pancartes sur lesquels ils avaient clairement inscrit leur opposition au retour des terroristes au pays.
Mangi al-Rahawi du front de gauche populaire a pris aussi le parti des représentants de Nidaa Tounes en disant que leur initiative était méritante et que son parti les soutenait.
D’un autre côté, Ramzi Ben Fraj du parti Ennahda qui dispose de 69 sièges au Parlement s’est dit d’accord avec le retour des terroristes en ajoutant : « Ces terroristes sont tunisiens et il n’existe aucune loi qui permette d’empêcher leur retour au pays. »
Ben Fraj a poursuivi en ce sens : « Pour résoudre ce problème, il faut rédiger une loi qui modifie le droit de ces personnes inscrit dans la constitution et qui empêche leur retour au pays. »
Samedi, des centaines de Tunisiens ont manifesté devant le parlement tunisien pour protester contre le retour des terroristes depuis les régions en guerre.
Vendredi, Hédi Majdoub, le ministre tunisien de l’Intérieur a annoncé que 800 terroristes tunisiens étaient déjà rentrés des zones en conflit.