تقي زاده

تقي زاده

Les études interdisciplinaires sur le Coran ont pris une place importante et permettent d’étudier le Coran en fonction des différentes disciplines scientifiques.
Une de ces études est la Stéganographie ou l’art de la dissimulation. 
Ali Dalili, ancien directeur d’étude des techniques de renseignements du ministère des sciences, a fait une étude du Coran sous cet angle et dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique a déclaré : « Cette technique répond à un ordre précis comme par exemple, la première lettre du deuxième mot de chaque phrase qui si elles sont rassemblées révèlent un message caché. Le mot «وحید»  avec le sens de « seul » n’est utilisé qu’une seule fois dans le Coran. D’autres mots en relations avec le couple sont employés de façon paire, et l’expression «سبع سماوات» ou«سماوات سبع»  qui signifie les sept cieux ou le 7ème ciel est employée 7 fois dans le Coran. Nous avons aussi des allusions aux cinq prières quotidiennes avec l’utilisation 5 fois des termes «شطره»  ou«شطرک»  qui signifie le visage tourné (vers la Qibla) ou l’expression «اعبدوا الله» utilisée 17 fois et qui fait allusion au 17 parties des prières, de même que              «أقاموا الصلاة»  qui signifie « faites la prière » qui est aussi utilisée 17 fois. Les termes «ولی» et «مولی» qui font allusion aux Imams (as) sont utilisés 12 fois, et les termes «  حسن » et « کریم » qui sont les noms de l’Imam Hassan (as), le 2ème Imam, ne sont utilisés que 2 fois. Le terme «رضوان» de la famille de « رضا » le 8ème Imam (as), est utilisé 8 fois, et les noms de la même famille 64 fois qui est un multiple de 8. Je suis d’avis que n’importe quel spécialiste de n’importe quel niveau, peut trouver dans le Coran des éléments intéressants à condition de les mettre en relation avec les hadiths reconnus et fiables, ou la raison au cas où nous n’aurions pas de hadiths pour appuyer nos idées mais dans certains cas ne pas donner d’information est plus important que de les donner », a-t-il dit. 
L’ancien président soudanais a qualifié l’islam de la religion de paix, une religion qui invite aux relations pacifiques avec les autres religions.
 
Abdel Rahman Suwar al-Dahab, ancien Président du Soudan et membre du Conseil des Présidents musulmans créé en 2014 et dirigé par Ahmad Tayyeb, dont le siège se trouve à Abou Dhabi, dans son discours à l’occasion de la troisième réunion de dialogue des intellectuels orientaux et occidentaux, à Genève, a déclaré que l’islam invitait à la paix et à des relations pacifiques avec les autres religions. 
« L’extrémisme et l’hostilité envers les adeptes des autres religions que nous voyons aujourd’hui, n’ont rien à voir avec l’islam dont l’Histoire témoigne de son respect et de son bon comportement vis-à-vis des Gens du livre, les chrétiens et les juifs. Les prédicateurs doivent informer la société et expliquer que les groupes terroristes et extrémistes sont en contradiction avec l’esprit de l’islam. Il faut développer les réunions de dialogue pour que tous les gens dans le monde, vivent dans la paix », a-t-il dit.    

"Si l'Occident ne respecte pas ses engagements, notre reprise ne serait pas à son état précédent, mais un état qui serait très différent de la façon dont il l'habitude d'être avant que le Plan d'action global conjoint (JCPOA, pour leur sigle en anglais) ", a déclaré le chef de l'Organisation de l'énergie atomique d'Iran (AEOI), Ali Akbar Salehi, qui a utilisé l'acronyme du plan d'action global conjoint, ou tout simplement d'étanchéité pacte nucléaire en Juillet ici à 2015 entre Téhéran et groupe 5 + 1.

Cet accord est entré en vigueur le 16 Janvier de cette année et a appelé à la levée de toutes les sanctions imposées à l'Iran nucléaire. En retour, l'Iran imposerait des limitations sur ses activités nucléaires. Bien que les surveillants ont confirmé que l'Iran a rempli ses obligations en vertu du pacte, Téhéran affirme que la contrepartie n'a pas encore fait pleinement.

"Apparemment, les États-Unis dit qu'il agit en conformité avec la JCPOA, mais dans les coulisses, effraie les banques en leur disant que la moindre erreur pourrait conduire à tel ou tel résultat", a déclaré Salehi dans une interview sur jeudi à la télévision nationale.

Le même jour, le jeudi, le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale de l'Iran, Ali Shamkhani a déclaré que l'Iran sera forcé de prendre une décision grave si les Etats-Unis toujours revenir sur leur part de l'accord nucléaire.

Le mois dernier, l'Iran a présenté le G5 + 1 (Etats-Unis, Royaume-Uni, la France, la Russie et la Chine, plus l'Allemagne) une liste des cas de sabotage de Washington, tels que qui n'a pas été vendu aux avions Iran accord, la question des visas ou des difficultés d'émission sont créés à l'Iran dans le secteur bancaire et financier.

La République islamique d'Iran a averti que renverser toutes les restrictions sur son programme nucléaire avant une éventuelle violation de ses droits nucléaires. Chef de Soi de la Révolution islamique d'Iran, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, a averti que si Washington rompt l'accord, l'Iran "brûler".

Ali Mohamad Sabeghi, attaché culturel iranien en Malaisie, a rencontré le 29 septembre 2016, Datuk Abdoul Latif Mirasa, directeur du Centre de publication du Coran en Malaisie, pour l’organisation de programmes communs, coraniques et culturels, entre les deux pays.Datuk Abdoul Latif Mirasa a présenté brièvement les activités islamiques et coraniques en Malaisie, et déclaré que le Centre de publication du Coran en Malaisie qui est un centre privé, travaillait aussi dans le domaine de l’art islamique, de la recherche, de la calligraphie et de l’enluminure.
« Ce centre créé il y a 15 ans, est le centre le plus important en Asie de l’est. Il possède un musée et une exposition coranique, et a publié des traductions du Coran en Chinois », a-t-il dit.
Ali Mohamad Sabeghi a souhaité que la coopération entre les deux pays se poursuive avec des programmes coraniques, des expositions de Corans et la publication du Coran et d’œuvres coraniques.
Il a aussi invité le directeur du Centre de publication du Coran en Malaisie à participer aux programmes organisés à Machhad, désignée « capitale culturelle du monde de l’islam » en 2017, pour une coopération avec l’Astan Qods-e Razavi et une visite à Qom au centre de publication coranique, et à Ispahan, centre de l’art islamique.
Ali Mohamad Sabeghi a déclaré que les musulmans ne devaient pas permettre aux ennemis du monde de l’islam de les diviser et qu’ils devaient s’appuyer sur le Coran.  
Datuk Abdoul Latif Mirasa a dit qu’il espérait que les musulmans resteront unis et que ce voyage permettra l’organisation de programmes en commun, et que les artistes et les services culturels iraniens participeront à l’exposition coranique prévue le mois prochain.
« Le Coran est l’axe d’unité entre les musulmans qui doivent s’appuyer sur leurs points communs qui sont nombreux », a-t-il dit.

Programme de coopération entre l’Iran et la Malaisie dans le domaine des activités coraniques

Programme de coopération entre l’Iran et la Malaisie dans le domaine des activités coraniques

Les investisseurs qui construisent des hôtels en Iran vont être exemptés d'impôts pendant au moins cinq ans, ont annoncé dimanche des responsables du gouvernement, qui espère voir affluer les touristes après la levée des sanctions internationales."Toutes les activités liées au secteur (...) touristique bénéficient de 100% d'exemptions d'impôts pour une période de 5 à 13 ans en fonction des régions", a déclaré Mohammad Khazaei, vice-ministre iranien de l'Economie, lors d'une conférence à Téhéran rassemblant les représentants du secteur hôtelier de 18 pays, principalement européens.


Selon lui, depuis la levée en janvier des sanctions internationales après un accord à l'été 2015 avec les grandes puissances sur le programme nucléaire iranien, "il y a un afflux historique et sans précédent d'investissements étrangers (...) en Iran".


"Nous avons offert des garanties pour 9 milliards de dollars (8 milliard d'euros) d'investissements étrangers, essentiellement de pays européens", a affirmé M. Khazaei.


Le vice-président iranien, Eshaq Jahangiri, a de son côté déclaré que les investisseurs étrangers "auront le soutien du gouvernement" et qu'il n'y aura pas de "discrimination" entre ces derniers et les investisseurs iraniens.


L'Iran entend construire 300 nouveaux hôtels au cours des cinq prochaines années pour développer le tourisme, secteur qui doit créer 140.000 emplois.


Des projets pour 170 établissements 4 et 5 étoiles sont déjà en cours de démarrage, selon le ministre du Développement urbain et des routes, Abbas Akhoundi. Le tourisme représentait en 2015 7,6% du PIB, "que nous espérons porter à 9% en 2016", a-t-il dit.


Le nombre de touristes venant en Iran est passé de 2,2 millions à 5,2 millions en 2015, l'objectif visé étant de 20 millions d'ici 2025.


Christophe Landais, représentant du groupe français AccorHotels en Iran, a indiqué que le groupe "travaille activement sur 10 à 15 projets" dans les grandes villes.


AccorHotels a été la première entreprise étrangère à ouvrir en octobre 2015 deux hôtels en Iran, l'Ibis et le Novotel, situés à l'aéroport international de Téhéran.


Dirigeant du groupe "Roda Hotels and resorts" basé à Dubaï, Imad W. Elias a estimé que l'Iran était "une mine d'or, un bijou qui doit être exploré".
 
Le site d’information «Christian Examiner » a annoncé qu’un chirurgien chrétien, David Hangarford, et Safi Kaskas, commerçant musulman de New York, avaient publié une traduction originale du Coran qui propose en parallèle, les versets du Coran et de l’évangile.

Bien que des chrétiens risquent de s’opposer à cette traduction, les traducteurs estiment qu’elle peut diminuer les tensions entre les deux communautés.
David Hangarford a déclaré que quand il avait fait connaissance avec Safi Kaskas, il s’était rendu compte qu’ils avaient des objectifs communs et souhaitaient faire disparaitre les mauvais sentiments des Américains envers les musulmans. Ces deux chercheurs fidèles chacun à leur religion, ont réussi à extraire 3000 versets plus ou moins identiques, entre le Coran et l’évangile, et souhaitent ainsi améliorer les relations entre les chrétiens américains et les musulmans.

Le site web britannique Jane’s Defence s’est penché dans un article sur divers modèles de missiles "Zolfaqar", leurs caractéristiques techniques ainsi que la production d’autres missiles tels le nouveau missile baptisé « Khorramshahr ».

En allusion au dévoilement de nouveaux acquis des industries militaires iraniennes et du missile "Zolfaqar", Jane’s Defence a prétendu que l’Iran avait exposé au grand public divers modèles de ce missile.

« Le ministère iranien de la Défense a diffusé une vidéo sur un missile libellé « Zolfaqar », or ce missile différait à tous les points de vue avec la version exposée lors du défilé des forces armées iraniennes le 25 septembre dernier », a-t-il écrit.  

L’article fait allusion aux déclarations du ministre iranien de la Défense, Hossein Dehqan selon qui le missile "Zolfaqar" a une portée de 700 kilomètres.

 

« Ce nouveau missile "Zolfaqar" dévoilé pour la première fois, il y a cinq jours, est un nouveau modèle du missile Fateh-110 muni d’une ogive, composée de petites têtes », a-t-il ajouté.

Le site web britannique a ensuite évoqué la vidéo publiée par le ministère iranien de la Défense qui met en scène  "Zolfaqar" et sa capacité d'atteindre des objectifs situés à une basse altitude.

 

Le ministre iranien de la Défense a annoncé au Parlement la production de trois type de missiles optimisés « Sejjil », « Qadr » et « Khorramshahr » d'ici mars 2017.

« Sejjil » est un missile à moyenne portée à combustible solide dont la production a commence en 2009, après deux essais.

Lors d’une réunion à Manchester, le ministre britannique du Commerce international, Liam Fox, a considéré l’Iran comme un grand marché commercial.

Ce constat a été présenté en réponse à une question sur la perspective du commerce avec l’Iran dans la période post-sanctions, a-t-on appris de Tasnim.

« Certes, il y a encore des problèmes dans le commerce avec l'Iran, cependant il offre de bonnes opportunité », a ajouté Liam Fox en faisant allusion au problème qui persistent dans les interactions bancaires.

Après la mise en application de l’accord nucléaire, conclu entre l’Iran et les grandes puissances, certaines sanctions contre l’Iran ont été levées aplanissant ainsi le terrain aux relations commerciales plus larges. Cependant les obstacles bancaires persistent toujours.

Les menaces proférées par les États-Unis ont amené les compagnies européennes à être prudentes quant au rétablissement de leurs relations avec l’Iran. Elles craignent de rencontrer à l’avenir des difficultés dans le cadre des sanctions américaines contre l’Iran qui sont toujours maintenues.  

L'Iran respecte "à la lettre" les limites fixées par l'accord de Vienne de juillet 2015 sur ses stocks d'uranium et d'eau lourde, selon le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), cité samedi par Le Monde.

En échange d'une levée des sanctions internationales, Téhéran s'est engagé l'an dernier à maintenir son stock d'uranium enrichi à 3,67% en deçà de 300 kilos et son stock d'eau lourde, un produit non radioactif, sous le seuil de 130 tonnes.

"Cet accord est mis en œuvre depuis janvier sans problème particulier", déclare Yukiya Amano, directeur de l'Agence internationale de l'énergie nucléaire dans Le Monde. "Je peux certifier que Téhéran respecte ses engagements à la lettre", dit-il.

"Les Iraniens font ce qu'ils ont promis à la communauté internationale", conclut Yukiya Amano, confirmant la teneur d'un rapport confidentiel de l'AIEA révélé par Reuters début septembre.

L'accord de Vienne a été conclu entre Téhéran et le groupe 5+1, constitué des cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie) et de l'Allemagne.