
تقي زاده
Lors d’une attaque contre un poste de contrôle nombre de policiers et de civils ont été tués ou blessés
En Egypte, deux policiers ont été tués dimanche dans une attaque menée contre un poste de contrôle, dans une ville industrielle au nord-ouest du Caire.
Le ministère de la Santé annonce que trois policiers et deux civils ont également été blessés dans cette attaque, survenue dans la ville industrielle d'Al-Sadate, dans la province de Menoufeya.
La police a ouvert une enquête sur cet incident. Pour le moment, aucun groupe armé n'a revendiqué cette attaque.
Depuis la destitution du président Mohamed Morsi par l'armée en 2013 l'insécurité gagne et les attaques se multiplient
Ces derniers mois, l'armée et les forces de sécurité ont lancé de vastes opérations contre les terroristes affiliés à Daech, notamment au Sinaï, où un état d’urgence a été décrété en octobre 2014.
La donne Téhéran-Ankara, vue par Atwan
L'éditorialiste en chef du journal Raï al-Youm fait allusion aux rapides évolutions de l'axe turco-iranien.
La visite probable du président turc turc Recep Tayyip Erdogan serait l'affirmation du renforcement de l'axe Téhéran-Ankara
Il se réfère à la navette diplomatique des ministres turc et iranien des Affaires étrangères. Atwan fait aussi allusion aux dires surprenants du vice-Premier ministre turc, Numan Kurtumlus. Dans un discours inédit, il a critiqué l'approche de son pays envers l'affaire syrienne. Un vent d'optimisme commence a souffler concernant la résolution de la crise syrienne.
"On va trouver bientôt une solution qui soit acceptable pour le peuple syrien, une solution qui remplacera une autre imposée depuis l'étranger. (...) Je suis certain que le temps est venu de mettre fin à la guerre par procuration en Syrie et si Dieu le veut, on trouvera la solution."
Selon le journaliste arabe, le changement d'approche d'Ankara envers l'affaire syrienne ne serait pas lié à la décision américaine de rallier les Kurdes dans le Nord-Ouest syrien, sous l'appellation des FDS (Forces démocratiques syriennes), les mêmes qui ont chassé Daech de Manbij.
Avant le putsch avorté, le Premier ministre turc, Binali Yildirim, avait annoncé qu'Ankara reverrait son approche syrienne. "Cette décision vise avant tout à empêcher la formation d'un petit Etat kurde au nord de la Syrie", explique Atwan. , Yildirim a précisé que toute solution pouvant être envisagée pour la crise syrienne devrait garantir deux point importants :
- Maintenir l'intégrité territoriale de la Syrie
- Repousser le plan américain de fédéralisation de la Syrie, via une partition en trois secteurs Est, Ouest et Nord (avec les Kurdes dans ce dernier secteur)
Mais la seconde condition ne sera envisageable qu'avec la création d'un Etat représentatif qui intègre tous les courants ou groupes syriens. Les représentants de tous les groupes vont devoir prêter serment devant le président syrien et par la suite, travailler aux vastes réformes politico-économiques. En bref, c'est l'approche qu'ont acceptée et que soutiennent la Russie, la Turquie et l'Iran, conclut le journaliste arabe Abdel Bari Atwan.
Mais rien n'a été évoque concernant la question du départ ou du maintien du président syrien Bachar al-Assad,
Kerry au Kenya: quel est le véritable objectif ?
Le journal kényan Daily Nation, qui paraît à Nairobi, indique que le secrétaire d’État américain vise à rendre le terrain propice à ce que les États-Unis mettent la main sur les ressources naturelles du continent africain.
Selon le journal Daily Nation, la visite de John Kerry au Kenya, dont l’objectif annoncé est la lutte contre les groupes terroristes Shebab et Boko Haram, vise, réellement, à s'assurer la domination sur les ressources naturelles de ce pays africain.
« Les États-Unis entendent mettre la main sur les secteurs économiques du Kenya, dont et surtout le secteur énergétique. Aux yeux de Washington, le Kenya est la porte d’entrée pour atteindre les différentes dimensions de l’économie africaine ».
Alors que les responsables américains tentent d'établir une liaison entre le déplacement de John Kerry et la lutte contre les groupes terroristes en Afrique, les experts politiques évoquent un rapport manifeste entre la présence militaire américaine en Afrique et l’instabilité et l’insécurité qui règnent sur ce continent.
Turquie: manifestation anti-israélienne à Istanbul
En Turquie, les habitants d’Istanbul se sont réunis, lundi 22 août, devant le consulat de Tel-Aviv afin d’exprimer leur colère contre les nouveaux raids de l’aviation israélienne sur la bande de Gaza.
Dans la conjoncture où la Turquie et le régime israélien se trouvent sur le point de normaliser leurs relations, l’aviation d’Israël a, de nouveau, bombardé la bande Gaza, dimanche soir.
En colère contre cette offensive, les habitants d’Istanbul ont pris part à un rassemblement de protestation devant le consulat d’Israël.
Les forces de sécurité turques ont arrêté cinq manifestants qui s’étaient infiltrés dans le bâtiment du consulat.
Les dispositifs de sécurité ont été renforcés aux alentours du bâtiment.
Turquie: quatre morts et blessés à Sanliurfa
L’explosion d’une bombe dans la province de Sanliurfa a fait, dimanche, un mort et trois blessés parmi les policiers turcs.
Selon le gouverneur de Sanliurfa, les éléments du PKK avaient posé une bombe au bord d’une route par laquelle passait un véhicule transportant des policiers turcs. Cette explosion s’est produite dans le district de Viransehir, du sud de la province de Sanliurfa.
Des policiers et ambulances ont été immédiatement dépêchés sur les lieux.
Une opération d’envergure est en cours aux alentours du lieu de l’attentat pour identifier et arrêter les auteurs.
Plus de 600 membres des forces de sécurité turques et des milliers d’éléments du PKK ont été tués dans des affrontements en Turquie et dans le nord de l'Irak depuis juillet 2015.
La nouvelle doctrine stratégique turque
De nombreuses erreurs d’interprétations ont été commises sur l’évolution de la Turquie au cours des trois derniers mois, notamment après la démission du Premier ministre Ahmet Davutoğlu (22 mai) et la tentative de coup d’État militaire (15 juillet).
Le faux coup d’État
Balayons d’abord les absurdités à propos du coup d’État. Tous les auteurs s’accordent sur deux points : Le coup a été organisé avec les États-Unis depuis la base de l’Otan à Incirlik et en s’appuyant sur l’Armée de l’Air qui est contrôlée par la multinationale Lockheed Martin,
Il était conçu pour échouer comme l’atteste l’absence d’initiative contre tous les dirigeants du régime et de son parti, aussi bien que contre le Palais présidentiel, centre stratégique du pouvoir. En outre, certains putschistes étaient de mèche avec le président Erdoğan puisque deux avions rebelles ont escorté le président lors de son retour à Istanbul.
Par conséquent deux interprétations uniquement sont possibles : Soit les États-Unis ont adressé un avertissement au président Erdoğan pour le rendre plus docile. Ils auraient alors échoué ;
Soit les États-Unis et le président Erdoğan sont convenus ensemble du coup d’État de manière à pouvoir purger le pays de toute opposition.
Force est de constater que, malgré les apparences et les déclarations officielles, cette purge va dans l’intérêt commun des États-Unis et du président Erdoğan.
En effet, la Turquie est aujourd’hui le parrain des Frères musulmans dans le monde et de leur branche armée, c’est-à-dire du jihadisme international. Dans cette position, elle continue à tirer les ficelles des « rebelles syriens » aussi bien que de Daesh pour le compte de Washington. Malheureusement, cette position est incompatible avec son adhésion à l’Otan.
Dans un premier temps, Washington a songé résoudre le problème en changeant le président turc. La CIA a donc soutenu la transformation du HDP (parti des minorités, principalement kurde), mais celui-ci a perdu les élections de novembre 2015 que l’AKP a grossièrement truquées [1]. Washington a alors accepté le maintien d’Erdoğan, mais a décidé de retirer la Turquie de l’Otan.
L’Alliance atlantique avait été créée, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, à la demande des élites possédantes ouest-européennes qui craignaient d’être balayées plus ou moins démocratiquement par les communistes, sur le modèle du « coup de Prague ». Elle s’est transformée durant la Guerre froide en machine de guerre contre l’Union soviétique. Elle avait alors besoin d’armées très nombreuses ; raison pour laquelle elle fit entrer la Turquie, en 1952. Celle-ci s’avéra indispensable pendant la guerre de Corée, puis lors de la crise des missiles. Cependant, après la disparition de l’URSS, l’Alliance ne fut pas dissoute, mais transformée en 1999 en police du monde unipolaire (Nouveau concept stratégique). Dès lors, toutes les armées de l’Otan ont été adaptées qualitativement à cette nouvelle fonction : fin de la conscription et achat de matériels de haute technologie. Par conséquent, la présence de la Turquie dans l’Otan, qui était nécessaire en 1952, est inutile aujourd’hui.
Alors que l’Alliance tient un sommet de ses chefs d’État tous les deux ans, Washington en a convoqué un, de manière extraordinaire, en juillet 2017 à Bruxelles. On exclura alors la Turquie de sorte que Washington puisse nier toute responsabilité dans le terrorisme international.
Observons au passage que l’AKP accuse régulièrement l’armée en général de collaborer avec les États-Unis. Il a ainsi produit un film de fiction sur le Gladio, le service secret de la CIA/Otan, et condamné plus de 200 officiers supérieurs pour complot contre l’État (procès Ergenekon) [2]. Or, ces condamnations ont été annulées par la suite et ces officiers libérés. Ils avaient en réalité tenté de nouer des relations avec l’Armée chinoise, donc de s’éloigner du Pentagone. Ils sont bien sûr aujourd’hui accusés à tort d’être des putschistes.
La seule objection que l’on peut émettre à l’interprétation de la connivence Washington-Erdoğan, c’est l’avenir du Hizmet, le mouvement de Fehtullah Gülen. Celui-ci est indispensable à la CIA en Afrique, dans les Balkans et en Asie centrale, or il perd aujourd’hui son financement turc. Nous verrons dans les prochains mois quelle alternative Washington a prévue.
Soulignons au passage que Gülen n’a aucun rapport avec ce coup d’État, car il appartient à une autre école islamiste tandis que les putschistes sont des kémalistes.
Le limogeage du Premier ministre
Venons en maintenant à la démission du Premier ministre Ahmet Davutoğlu qui a précédé de deux mois la tentative de coup d’État.
Après avoir enseigné les sciences politiques en Malaisie, il publie en 2001 sa Stratejik Derinlik : Türkiye’nin Uluslararası Konumu (Profondeur stratégique). S’appuyant sur les thèses de Dimitri Kitsikis, il prône un neo-ottomanisme qui redonne à la Turquie une puissance régionale. Selon lui, la création d’un nouvel Empire turco-mongol doit se faire en deux temps. D’abord renouer des relations diplomatiques avec ses voisins (« zéro problème avec ses voisins »), puis soutenir l’islam chez les voisins de manière à les unifier. Il entre au cabinet du Premier ministre Erdoğan, en 2003, et devient son conseiller diplomatique jusqu’en 2009. Durant cette période, il met en œuvre la première partie de son programme et parvient effectivement à résoudre tous les problèmes de voisinage hérités de la période ottomane (mais ni la question arménienne datant des Jeunes Turcs, ni la question chypriote héritée d’Henry Kissinger). Nommé ministre des Affaires étrangères, en 2009, il parachève cette première phase en négociant le Marché commun Syrie-Turquie-Iran, puis passe à la seconde phase de son projet. Après la dispute Erdoğan-Peres de Davos (fin 2009), il organise la « Flottille de la Liberté » pour soutenir le Hamas et entre en conflit direct avec Israël qui pirate le Mavi Marmara, battant pavillon turc. Puis, il soutient les Frères musulmans en Libye et participe au renversement de la Jamahiriya (2011). Enfin, il soutient encore les Frères musulmans en Syrie, cette fois contre la République laïque.
Force est de constater que cette politique a échoué et conduisait la Turquie dans une impasse. Lors de la seconde phase du projet Davutoğlu, Ankara s’est retrouvé à nouveau en conflit avec la totalité de ses voisins, sauf l’Azerbaïdjan (« zéro voisin sans problème »). C’est pourquoi, en mai dernier, le président Erdoğan a décidé de changer de stratégie et a remplacé Davutoğlu par Binali Yıldırım. Il s’agit toujours de fonder un nouvel Empire turco-mongol, mais cette fois en essayant d’unifier d’abord la Turquie, puis d’étendre son modèle sur ses voisins.
- Binali Yıldırım dirige l’épuration.
Yıldırım est un parrain de la mafia turque qui a assuré le financement de l’AKP depuis sa création. Il a établi des relations de corruption avec la plupart des grandes entreprises turques et purge aujourd’hui celles qui lui ont résisté.
La nouvelle doctrine stratégique turque a déjà conduit Ankara à rétablir de bonnes relations, tout au moins commerciales, avec plusieurs de ses voisins.
Fin juin, la Turquie a signé un accord à Rome avec Israël rétablissant leurs relations diplomatiques. Des échanges à haut niveau avec l’Iran ont maintenu d’intenses liens économiques malgré la guerre en Syrie. En outre, à l’abri des regards, des consultations se multiplient sur la question kurde. Enfin, le président Erdoğan a présenté des excuses à son homologue russe à propos du Sukhoï abattu et rétabli la semaine dernière les flux économiques.
L’évolution à venir
Restent quatre questions en suspens :
Le soutien aux jihadistes à la frontière du Golan
Depuis la fin 2014, les casques bleus de la Fnuod se sont retirés du No Man’s Land institué par la résolution 338 et ont été remplacés par Al-Qaïda avec le soutien de Tsahal. J’ai révélé l’existence d’un accord entre Moscou et Washington pour contraindre Tel-Aviv à cesser de soutenir ces terroristes et à accepter le retour de l’Onu [3]. On pourrait envisager qu’Ankara prenne le relais, mais en l’absence d’un couloir de communication de la Turquie vers le Sud de la Syrie, c’est impossible. Au demeurant, les Britanniques ont organisé le changement de nom d’Al-Qaïda en Syrie (« rebranding ») probablement pour tenter de faire durer cette situation.
Le soutien aux jihadistes à Alep-Est
L’intervention de Jeffrey Feltman pour faire passer les couloirs humanitaires sous contrôle de l’Onu atteste que le siège par l’Armée arabe syrienne est efficace. Pourtant la propagande occidentale prétend qu’il a été rompu. Après la fermeture de la voie de communication depuis la frontière, la Turquie ne pourra se maintenir à Alep-Est qu’avec le soutien de la population. Elle devrait donc se résigner rapidement.
Le soutien aux jihadistes à Rakka et Mossoul
Seule la population d’Al-Anbar (Irak) est exclusivement sunnite et favorable aux jihadistes. La Turquie devrait donc lutter contre Daesh à Rakka, mais continuer à le soutenir à Mossoul. En définitive, le maintien d’un Émirat islamique à Al-Anbar est le seul moyen pour Washington de couper la « route de la soie » tout en prétendant soutenir la paix en Syrie.
La question kurde
Le projet de l’AKP, soutenu par Paris et avalisé par Washington, est de créer un État kurde, hors de Turquie et d’y expulser les kurdes du PKK. Au cours des dernières années, il a été convenu d’installer ce « Kurdistan » au Nord de la Syrie, dans une zone arabo-chrétienne, après l’avoir vidée de ses habitants historiques. Ce projet est soutenu par certains membres du PKK qui espèrent un État à eux, n’importe où, sans s’inquiéter de se trouver dans une situation aussi illégitime que celle d’Israël en Palestine après la Nakba. Dans les prochains mois, les Kurdes devraient donc clarifier leur position. Jusqu’à présent ils ont été les alliés de tous contre Daesh, ce qui leur a permis de libérer la ville arabe de Manbij et de la considérer comme l’embryon de leur nouvel État. Ils devraient désormais se répartir entre pro-US et pro-Russes. Il sera alors possible d’évaluer la faisabilité d’un « Kurdistan » sur des terres non-Kurdes.
En définitive, lorsque toutes ces questions auront été résolues et que la dictature aura été installée, la Turquie tentera une nouvelle fois d’étendre son modèle à ses voisins, probablement en commençant par ceux qui auront lâchement fermé les yeux sur ses méthodes.
La mosquée est un centre de résistance et un centre culturel et social
L'Iran dévoile son nouveau système anti-aérien
L'Iran a décidé de se lancer dans ce projet lorsque la Russie avait suspendu le contrat pour la livraison du système S-300 en 2010 à cause des sanctions.
En 2007, l'Iran et la Russie avaient conclu un contrat pour la livraison de ce système, mais en 2010 Moscou avait suspendu la vente en application d'une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU contre le programme nucléaire iranien.
En 2015, peu avant la conclusion d'un accord international sur le programme nucléaire iranien qui a permis la levée progressive des sanctions, Moscou a de nouveau autorisé le transfert des S-300 dont l'Iran en a pris livraison d'une partie.
Les Etats-Unis et Israël ont critiqué la livraison du système S-300 à l'Iran, ce qui rend difficile toute attaque contre les installations nucléaires du pays.
Nous avons décidé de construire un système anti-aérien que nous avons appelé Bavar 373. Ce système a toutes les capacités du S-300, avait déclaré samedi M. Dehghan.
En mai dernier, le général Dehghan avait annoncé l'entrée en production du système Bavar 373, capable de détruire des missiles de croisière, des drones, des avions de combat et des missiles balistiques.
Ce système est aussi capable de détruire plusieurs cibles à la fois, avait-il ajouté.
Les mosquées constituent l'axe de la société islamique
La mosquée est le lieu où la direction de la société dans tous les domaines. La mosquée est la base premièrement pour instruire les gens. Ensuite, ce sont la politique et l'économie que les mosquées abordent dans leurs programmes, a-t-il indiqué.
Chaque ville doit être équipée d'une grande mosquée où tous les habitants peuvent accomplir la prière de la vendredi en même temps. La direction des mosquées ne désigne pas les directeurs et les responsables de la ville. Elle soutient le peuple du point de vue psychologique, a-t-il insisté.
L'Iran pourrait permettre à la Russie d'utiliser davantage ses bases aériennes
Les opérations depuis la base aérienne iranienne ont eu lieu mardi et ont été confirmées par le ministère russe de la Défense et des responsables iraniens.
Evoquant les services fournis à l'escadron russe dans la base aérienne de Hamadan, le ministre a indiqué que son pays pourrait proposer "des répartions mineures et même des chargements de bombardiers et d'avions de chasse".
A cette occasion, le ministre Deqhan s'est félicité de la coopération "stratégique" entre Téhéran et Moscou, soulignant que cette coopération a pour objectif d'établir la stabilité, la paix et la sécurité.