تقي زاده

تقي زاده

Vingt-deux personnes ont été tuées et 94 blessées lors d'un attentat à la bombe perpétré lors d'un mariage samedi dans la ville turque de Gaziantep. Le bureau du gouverneur local l'a annoncé dans un communiqué.
 
Le vice-Premier ministre avait auparavant déclaré que l'attentat avait vraisemblablement été mené par un kamikaze. Un autre membre du parti au pouvoir a estimé que ce genre d'attentat pouvait avoir été perpétré par le groupe Daech ou par le Parti des Travailleurs du Kurdistan, le PKK kurde.


L'agence Dogan a indiqué que l'explosion s'était produite à 19h40 GMT (21h40 en Suisse) et avait fait des morts et des blessés. Un responsable turc a déclaré que l'explosion avait eu lieu "pendant un mariage" et que "d'après les premières informations, la cérémonie se déroulait en plein air".


"Barbare"
Le vice-Premier ministre Mehmet Sismek, également député de Gaziantep, a jugé "barbare d'attaquer un mariage". "L'objectif de la terreur est d'effrayer les gens, mais nous n'accepterons pas cela", a-t-il dit à la télévision. Il a lui aussi évoqué la possibilité d'un attentat suicide.


De nombreuses ambulances ont été dépêchées sur les lieux de l'explosion, dans le quartier de Sahinbey.


Gaziantep se trouve juste au nord de la frontière syrienne et est devenu le point de passage de très nombreux réfugiés syriens fuyant la guerre qui dure depuis plus de 5 ans dans leur pays. Mais la zone abriterait en dehors des réfugiés et des militants de l'opposition un nombre significatif de rebelles.

Le nouveau porte-parole de la diplomatie iranienne a participé, lundi 22 août, à sa première conférence de presse, à Téhéran.

Bahram Qassemi s’est exprimé, d’abord, sur la tournée latino-américaine du ministre iranien des Affaires étrangères, disant que l’Iran entendait élargir ses relations avec les pays de l’Amérique latine.

« Les représentants de plus de 80 sociétés privées accompagnent le ministre des Affaires étrangères et cela dans l’objectif de renforcer nos exportations non-pétrolières ».

En réaction aux allégations selon lesquelles l’Iran entendrait assassiner l’ambassadeur saoudien à Bagdad, Bahram Qassemi a déclaré que Riyad voulait faire oublier ses échecs en série au Yémen, en Syrie et dans la région en faisant des tapages médiatiques.

Quant aux relations entre Téhéran et Moscou, le porte-parole de la diplomatie iranienne a déclaré que les deux parties entretenaient des relations stratégiques très proches notamment dans le domaine de la lutte antiterroriste.

M. Qassemi a fait part de la visite du président turc en Iran, ajoutant toutefois qu’aucune date n’avait encore été fixée.

vendredi, 19 août 2016 23:14

Qu'est-ce que le Do'â et pourquoi

Plusieurs questions peuvent nous interpeller avant d’aborder la lecture d’un
Do’â ; par exemple, que veut dire invoquer Dieu et pourquoi ?quel est le but recherché à travers l’invocation ?pourquoi ceci nous est demandé par Dieu ?est-ce pour satisfaire nos besoins quotidiens, matériels ou bien y’a quelque chose d’autre de plus important et fondamentale ?

Commençons par un beau hadith prophétique de notre maître Mohammad (que les prières de Dieu et la paix soient sur lui et sa sainte famille) qui dit : « L’invocation est le noyau de l’adoration » c'est-à-dire si l’adoration contenait une écorce et un noyau, son noyau en serait l’invocation (Do’â),ou encore le centre de la circonférence.

Beaucoup de gens conçoivent le Do’â comme un moyen pour résoudre leurs problèmes de la vie, alors que d’autres voient l’invocation comme une nécessité, un besoin et un but en soi.

Lorsque nous voyons certains Do’âs des imams d’ahlolbayt (a.s) et grands mystiques de l’Islam, nous constatons que selon leurs optiques, l’invocation est une finalité et un désir ; et non un moyen pour accéder à une autre requête.

Au moment où ils se sentent au fond d’eux-mêmes éloignés et séparés ou bien besogneux par rapport à leurs

Bien-aimé qui ne peut être que Dieu et sans Lui ils se voient qu’ils ne sont rien et dans ces cas là, le do’â est le seul recours et chemin pour parvenir à leurs Bien-aimé.

Le Do’â est un dialogue avec le Bien-aimé et la nourriture spirituelle des mystiques (‘orafâ).

Certains exégètes ont dit que la réponse adressé à Dieu par Moussa (a.s) concernant le bâton était trop longue c'est-à-dire que Moussa (a.s) prolongeait la discussion avec Dieu car il prenait plaisir et il aimait cela.

L’imam Hossein (a.s) dans le Do’â ‘Arafat nous montre que son invocation n’était nullement en vue d’avoir quelque chose mais plutôt à cause de l’affection et l’attachement qu’il a trouvé avec son Bien-aimé.

En voici quelques passages de l’invocation de ‘Arafat : « Aveugle est l’œil qui ne Te voit pas alors que Tu es son gardien ! Perdante est l’affaire du serviteur en qui Tu n’as pas placé une part de Ton amour ».

« Qu’a trouvé celui qui T’a perdu et qu’a perdu celui qui T’a trouvé » et un peu plus loin il dit :

« O celui qui a fait goûter à ceux qu’il aime la douceur de Sa compagnie »

« Mon Dieu, demande –moi par Ta Miséricorde jusqu’à parvenir à Toi, attire-moi par Ta grâce jusqu’à arriver auprès de Toi ».

Le Commandeur des croyants, l’Imam Ali (a.s) disait dans le Do’â de komayl : « O mon Dieu, mon Seigneur, mon Maître et mon Suzerain, à supposer que je puisse endurer Ton châtiment, comment pourrais-je endurer d’être séparé de Toi ? »

Et dans l’entretien intime du mois de cha’bân, sayyidonâ ali (a.s) disait « O mon Dieu, accorde-moi de me consacrer totalement à Toi, illumine les visions de nos cœurs par la lumière de leur regard sur Toi jusqu’à ce qu’elles déchirent les voiles de lumière et atteignent ainsi la source de Ta Grandeur, et que nos esprits soient suspendus à la Gloire de Ta sainteté »

Les Do’âs des gens de la maison du Prophète (a.s) sont des entretiens intimes et chants d’amour ; cet amour que le Bien-aimé a projeté dans le cœur de l’amant comme le souligne si bien le coran en montrant une relation

réciproque dans le verset 54 de la sourate la table servie « Il les aime et ils L’aiment ».

L’imam khomeyni (r.a) disait que les prières, invocations et ziyârât des Imams ne sont pas des textes qui parlent de la voie et la montrent, mais bien de véritables guides « qui prennent la main de l’homme en quête de la Réalité divine et le mènent vers Lui ».

Concluons avec un quatrain du grand poète persan sa’di shirâzi tiré de son golestân (jardin de roses) qui dit :

« Si tu cherches ton ami pour ses faveurs,

tu t’attaches à toi-même et non à ton ami,

c’est une attitude déloyale à la voie des saints

que de désirer de Dieu autre que Dieu Lui-même. »

1. généralement on traduit do’â par invocation, supplication et prière de demande.

2. voir: bihar al anwâr volume 90

3. le Do’â ‘Arafat a été traduit en français par Leila Sourani dans son livre, Le Hadj , Ed.B.A.A.

4.ce passage de Do’â komayl a été traduit par Christian Bonaud (Yahya ‘Alawi) dans le livre, L’Imam Khomeyni,un gnostique méconnu du XXe siècle,Ed.albouraq.

5. la monâjât ash-sha’bâniyat a été traduit par Leila Sourani dans, Entretiens Intimes avec Dieu, Ed.B.A.A.

6. Sourate TAHA; verset 17 et 18.

7. voir page 107 du livre,L’Imam khomeyni, un gnostique méconnu du XXe siècle.

vendredi, 19 août 2016 23:05

La Russie se déploie militairement en Iran

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Le 30 septembre 2015, la Russie a déployé un groupe de bombardiers de combat sur la base aérienne de Hmeymim pour débuter la campagne de bombardements contre les jihadistes en Syrie. Le 23 novembre 2015, le président Vladimir Poutine a effectué une visite en Iran. Il est supposé que, durant cette visite, il avait demandé l’autorisation d’utiliser la base aérienne de Hamadān pour au moins une escadrille de bombardiers lourds Tu-22M3 russes qui devait opérer en Syrie. Les conditions de livraison des missiles anti-aériens russe S-300 à l’Iran contenaient l’autorisation d’utilisation par les Russes de cette base aérienne. Poutine voulait que ces systèmes S-300 prennent sous leur protection les bombardiers lourds russes déployées en Iran. Par ailleurs, la version livrée de S-300 à l’Iran est la plus puissante (S-300 PMU2), étant proche de la performance du S-400.

Jusqu’à la Révolution islamique de 1979, les États-Unis avaient créé en Iran des infrastructures d’aérodromes ultra-modernes disposant de groupes techniques dans des bunkers capable de faire fonctionner, armer et maintenir des bombardiers lourds B-52 et des bombardiers supersoniques B-58 en cas de conflit avec l’URSS. Par conséquent, les bombardiers lourds Tu-22M3, à géométrie variable, avec une vitesse maximale de 2 300 km/h et un équipage composé de quatre membres, disposent en Iran de bien meilleures installations qu’en Syrie ainsi que pour les munitions. Et la Russie possède plus de 70 bombardiers de ce type. Deux bombes accrochées sur des bombardiers légers Su-24, Su-25 et Su-34, peuvent être assemblées et testées électroniquement sur la plate-forme de la base aérienne de Hmeymim. Mais quand il s’agit de 40 à 90 bombes à embarquer dans la soute d’un bombardier Tu-22M3, il faut projeter un groupe technique spécial, de nombreux armuriers et des outils spécialisés.

À la fin juillet 2016, l’armée arabe syrienne a réussi à couper la route d’accès de Castello qui relie Alep au gouvernorat d’Idlib au nord-ouest de la Syrie occupée par les jihadistes. La manœuvre de l’armée arabe syrienne a isolé un groupe de 10 000 combattants à l’est d’Alep. Les mercenaires ont réussi à transférer en une nuit à Idlib environ 10 000 autres combattants qui ont commencé deux contre-attaques dans le nord-ouest et au sud d’Alep, pour briser l’encerclement.

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Bien que des avions de reconnaissance sans pilote russes aient détecté très tôt des formations de plusieurs colonnes de transport massif de troupes, d’approvisionnement de munitions et de blindés, les quelques bombardiers russes ne pouvaient agir que sur l’une d’entre elles. Commence alors la course sur les 55 km qui séparent Idlib de Alep, sachant il faut 1 h 15 aux camions et au matériel blindé des jihadistes pour les franchir.

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Les quelques bombardiers russes restants à la base aérienne de Hmeymim (Su-24 et Su-25), après que les Russes aient échoué dans leur tentative d’imposer un cessez-le-feu (27 février 2015) peuvent exécuter chaque jour 2 à 3 sorties, chaque avion ayant besoin d’un minimum de trois heures pour se ravitailler et des armes pour revenir au-dessus de la cible à neutraliser. Ces avions sont armés chacun de 2 à 4 bombes intelligentes d’une grande précision (KAB-250 S/LG de 250 kg KAB-500 L/Kr de 500 kg et KAB-1500 L à guidage laser ou KAB-1500 Kr guidée par caméra TV). Chaque avion peut également être équipé de missiles air-sol guidés de type Kh-29 L/T et T Kh-25 T (guidés par faisceau laser ou une caméra TV), lancés à partir d’une distance de 10 à 12 km de la cible.

Il est connu que les jihadistes continuent à opposer une résistance farouche aux troupes terrestres syriennes, en raison de la protection offerte par les tunnels souterrains qu’ils avaient creusés, de l’utilisation des terrains fragmentés au nord-ouest de la Syrie, et des armes antichars modernes états-uniennes, avec lesquels ils ont été formés. Dans une analyse publiée sur Réseau International le 2 décembre 2015, nous soutenions que la Russie avait fait une grosse erreur en hésitant à apporter au moins 30 bombardiers lourds Tu-22M3, Tu-95MS et éventuellement Tu-160 dans un pays voisin, où les avions pourraient exécuter des vols quotidiens, trois frappes chacun. L’action des bombardiers lourds vise à la destruction des infrastructures des jihadistes, y compris le stockage des armes et des munitions dans la province d’Idlib et dans le nord de la province d’Alep, et également la destruction des jihadistes. Les objectifs des bombardiers lourds russes sont disposés sur une bande de 20 à 30 km de profondeur et longue de 70 à 80 km, le long de la frontière syrienne, dans les gouvernorats d’Alep, Idlib et Lattaquié.

C’est seulement après avoir nettoyé cette bande frontalière par des bombardements qu’elle pourrait être sécurisée par l’armée arabe syrienne et que les bombardements de l’aviation russe pourraient être étendus à d’autres régions de la Syrie. Contrairement aux bombardiers tactiques Su-24, Su-25 et Su-34 utilisés par les Russes en Syrie, un bombardier lourd russe Tu-22M3 couvre avec un tapis de bombes une superficie équivalente à plusieurs terrains de football dans une mission. Par exemple, lors de l’invasion de l’Irak en 2003, la coalition menée par les USA a utilisé environ 1 400 avions de combat, et dans les premiers jours de l’opération, ils ont utilisé plus de 100 bombardiers lourds états-uniens B-2, B-52 et B-1B.

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Le 15 août 2016, Al-Masdar News a publié des photos des trois premiers bombardiers lourds russes Tu-22M3 déployés sur la base aérienne d’Hamadān dans l’ouest de l’Iran. Le lendemain, des avions Tu-22M3, ainsi que quatre bombardiers légers Su-34 ont bombardé des cibles des groupes État islamique et Jabhat al-Nusra/Jabhat Fatah al-Sham dans Seraquib (5 km à l’est de Idlib), Al-Bab (nord-Est du gouvernorat du d’Alep) et Deir ez-Zor.

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Auparavant, des formations d’avions russes Tu-22M3 (qui, en pleine charge ont une portée de 2 500 km) avaient réalisé des frappes aériennes en Syrie, en décollant de la base aérienne de Mozdok (Ossétie du Nord), volant au-dessus de la mer Caspienne, l’Iran et l’Irak. Étant proche de la limite de la plage tactique, la quantité de bombes (9 000 à 12 000 kg) a été réduite à un tiers pour pouvoir transporter une plus grande réserve de carburant. La distance entre les cibles bombardées en Syrie et la base aérienne Mozdok est de plus de 2 300 km qui est parcourue en près de trois heures. En utilisant la base aérienne iranienne de Hamadān, la distance est divisée par trois, soit 700 km. Souvent, durant les trois heures qui suivent le décollage de Russie des bombardiers russes, leur trajet est découvert par les satellites d’une grande puissance mondiale qui prévient les groupes jihadistes de l’imminence d’une attaque aérienne russe. Cela leur donne le temps de rentrer dans les tunnels souterrain dont ils disposent.

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Le 23 novembre 2015, un bombardier Su-34 russe effectuait facilement un atterrissage sur la base aérienne de Hamadān. L’avion, très probablement en route vers la Syrie, a dû avoir une défaillance technique et a préféré atterrir en toute sécurité à Hamadān. Il a attendu sur place l’équipe technique qui est arrivée le lendemain, à bord d’un avion-cargo IL-76 pour réparer la panne. Les deux avions ont ensuite quitté la base aérienne Hamadān.

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Il est possible que le déploiement des bombardiers lourds russes sur la base aérienne de Hamadān ait été reporté jusqu’à ce que tous les cinq bataillons de missiles antiaériens de longue portée russes, livrés à l’Iran à partir du 15 avril 2015, soient devenus opérationnels et que leurs équipages aient terminé leur formation en tir réel. L’un des cinq bataillons de S-300 a été localisé au sud de Téhéran, soit à moins de 100 km de la base aérienne de Hamadān. Les bombardiers russes au sol sont donc protégés par des missiles iraniens S-300. Le système S-300 se compose de huit lanceurs sur un châssis de camion, chacun avec quatre missiles sur la rampe. Il est capable de suivre 100 cibles aériennes et d’engager le combat avec 12 à 36 d’entre eux à une distance de plus de 200 km.

John Kirby a expliqué qu'il aurait été irresponsable de la part de l'administration d’agir autrement.

Cette remarque lui a valu une tempête de critiques de la part des républicains qui ont rappelé que ce paiement conditionnait la libération de trois ressortissants américains.

Il y a quelques jours, l'administration Obama a, elle, nié tout lien entre le paiement et l’échange de prisonniers américains.

Washington a en effet affirmé que le versement des 400 millions de dollars à l’Iran était relatif à un différend vieux de plusieurs décennies, se rapportant à l’exécution d’un contrat d’achat de matériel militaire signé avant la révolution de 79.

Les forces israéliennes ont encore démoli des maisons appartenant à des palestiniens dans les villages du désert de Néguev.

La démolition a eu lieu à proximité du quartier Arara.

Talab Abu Arar un bédouin, membre de la Knesset israélienne, a dénoncé ces actes de destructions abusifs. Il a déclaré qu'elles ont un but politique et démographique.

Dans la première semaine d’août, 14 bâtiments résidentiels palestiniens ont été détruits ou confisqués par les autorités israéliennes.

 

Ces maisons étaient situées dans la zone C de la Cisjordanie occupée.

 

Malgré les condamnations internationales, Israël continue de détruire des maisons palestiniennes sous différents prétextes.

Les drones de combat syriens ont pris d'assaut un convoi de véhicules blindés des terroristes dans l'Est d'Alep tout en pilonnant à coup d'artillerie lourde les positions des terroristes dans le sud et le sud-ouest de la ville. 

Une contre -attaque des terroristes de Daech contre la banlieue-Est de Homs a également été repoussée, infligeant à ces derniers un lourd bilan de 60 morts. 

Selon le centre de commandement de l'armée syrienne, les forces syriennes utilisent largement des équipements et munitions performants et le recours à cet arsenal sophistiqué leur a permis d'être plus efficaces dans leurs attaques contre les positions terroristes. 

Les repaires terroristes sont ainsi visés par des drones téléguidés qui pourraient remplacer des chasseurs syriens. L'un des chefs de guerre terroristes a également été liquidé au cours des raids à l'artillerie contre les positions de Daech dans le Sud et le Sud-Ouest, le dénommé Chams Abou Mahmoud. 

La Corée du Nord a accusé les Etats-Unis d'avoir essayé de pénétrer sur son territoire et les a menacés d'une frappe nucléaire "à la moindre provocation", lit-on dans une dépêche de l'Agence centrale de presse nord-coréenne (KCNA).

"Les tentatives des Etats-Unis de pénétrer en Corée du Nord sont plus que jamais insensées", indique le texte. "Le droit à une frappe nucléaire préventive n'est pas un monopole des Etats-Unis", indique l'agence.

Les forces armées nord-coréennes sont passées au régime de frappe préventive afin de venir à bout de l'hystérie militaire incongrue de l'adversaire. Tous les groupes opérationnels sont prêts à porter un coup sans merci contre l'ennemi à la moindre provocation, selon Pyongyang.

Les Etats-Unis ont récemment déployé sur leur base de Guam trois bombardiers stratégiques B-2 Spirit capables de porter des armes nucléaires. Début août, le Pentagone a annoncé vouloir envoyer pour la première fois depuis dix ans dans le Pacifique une escadrille de bombardiers supersoniques à long rayon d'action et à géométrie variable B-1B Lancer.

Imam Reza (P), le huitième guide de chiites, né le 11 Dhu al-Qada (onzième mois du calendrier musulman) l'année 148 de l'hégire lunaire (765 AD) dans la ville de Medina, située dans la péninsule arabique.

En Iran, les gens chiites décorent les mosquées, les maisons, les rues et les magasins avec des ornements et des lumières colorées également distribué des bonbons dans le cadre des célébrations pour l'anniversaire de la naissance de l'Imam Reza (P).

Dans cette grande fête, certains artistes combinent mélodies traditionnelles avec des services religieux harmonieuses pour honorer ce grand Imam.

Cette ambiance festive est encore plus perceptible dans la ville sainte de Machhad (nord-est de l'Iran), où le mausolée de ce noble caractère est.

En outre, le mausolée "Shah Cheragh" (Roi de la Lumière), qui abrite les tombeaux des fils de l'Imam Musa al-Kazim (paix soit sur lui) et ses frères de l'Imam Ali ibn Musa al-Reza (P) à Shiraz (sud de l'Iran) sont remplis de lumière et de couleur pour marquer la naissance de l'Imam Reza (P).

Une cérémonie semblable a lieu au mausolée de Hazrat Masumeh (la paix soit sur elle), la sœur de l'Imam Reza (P), dans la ville sainte de Qom, au sud de la capitale iranienne, Téhéran.

L’opération militaire de l’armée syrienne et de la Résistance se poursuit sur tous les axes de la province d’Alep. Les terroristes ont échoué à s'y infiltrer et à en briser le siège.

Une source d’observation dans la chambre centrale des opérations d’Alep a confié au journaliste de Fars News qu’au cours de ces dernières 24 heures, l’opération militaire se poursuivait sur tous les axes d’Alep mais que les attaques contre Hamdaniya et ses zones résidentielles s’étaient affaiblies en raison de l'évacuation progressive des 50 000 habitants de cette ville.

Un grand nombre de membres de l’armée syrienne et de leurs alliés ont rejoint les nouvelles lignes de combat à Alep et ils ont progressé, sur le terrain, dans la direction du sud. 

L’aviation syrienne a bombardé à une dizaine de reprises les repaires des terroristes, repoussant ainsi leur avancée sur le front de la vieille ville d'Alep.