تقي زاده

تقي زاده

Une nouvelle vidéo fait part de la coopération entre le groupe terroriste Daech et la société militaire privée américaine Blackwater.

Selon Al-Alam, une vidéo révèle les positions des centres d’entraînement des chefs de Daech et de leurs formateurs.

Sur cette vidéo, un ancien commandant de la police du Tadjikistan dit que les chefs daechistes, avant l’annonce de leur existence dans les médias, recevaient des formations pendant 11 ans, sous la supervision des experts de la société Blackwater et du département d’État américain.

Ce commandant tadjik, qui a rejoint Daech il y a quelque temps, a ajouté que les cours de formation des chefs de Daech se tenaient dans un centre appartenant à la société Blackwater en Caroline du Nord, dont le formateur était un expert de la lutte anti-terroriste, nommé Gulmurod Khalimov.

Un porte-parole du ministère américain des Affaires étrangères a affirmé que Khalimov participait de 2003 à 2014 à cinq cours de formation sur la lutte antiterroriste aux États-Unis et au Tadjikistan.

« Ecoutez les porcs américains ! Je suis allié aux États-Unis à trois reprises et j’ai vu comment vous formez vos forces pour tuer les musulmans. Nous viendrons très prochainement chez vous et nous vous tuerons », a dit Khalimov dans un clip en langue russe.

La question qui se pose est de savoir quelle type de formation militaire a duré 11 ans et pourquoi les États-Unis ont entraîné les chefs daechistes. Indubitablement, Daech a reçu des milliards de dollars d’équipements militaires de la part des États-Unis pour appliquer les ordres de son maître et ce afin d’étendre ses territoires dans les pays arabes.

Cette vidéo ainsi que d’autres documents déclassifiés viennent confirmer une énième fois que Daech a été formé par Washington.

Le Guide suprême de la Révolution islamique a accordé mardi une audience au ministre du Renseignement, Mahmoud Alavi, et aux hauts fonctionnaires de son ministère.
Au cours de cette rencontre, l'Ayatollah Khamenei a remercié les efforts valeureux et permanents de toutes les sections du ministère du Renseignement, et a déclaré que la foi du personnel du Renseignement était un garant de la vie et de la victoire de la Révolution islamique.
Le leader de la République islamique d'Iran a souligné que la défaite de l'Arrogance mondiale face à l'Ordre islamique, en dépit de tous les complots ourdis dès le premier jour contre la Révolution, n'aurait été possible que grâce à la foi des Iraniens.
Il a ajouté que tout acte qui viserait l'affaiblissement de la foi du peuple et des responsables serait une "trahison".
"La force défensive qui a protégé le pays pendant toutes ces années, est la force de la foi. Si cette arme puissante s'affaiblissait, de nombreux préjudices s'ensuivraient.", a-t-il déclaré.
L'Ayatollah Khamenei a insisté sur l'importance de la foi et de la spiritualité dans les activités du ministère du Renseignement.
"Le ministère du Renseignement est le rempart solide de l'Ordre islamique et doit être épargné de la moindre préjudice. Il est donc primordial que le renforcement de la foi et de la spiritualité soit assuré dans ce ministère plus que dans les autres organes", a déclaré l'Ayatollah Khamenei.
"Le ministère du Renseignement est l'œil éveillé de l'Ordre islamique. Il faut donc maintenir et sauvegarder les principes et les orientations de la Révolution islamique dans ce ministère", a-t-il ajouté.
Le leader de la République islamique d'Iran a souligné que le ministère du Renseignement doit être présent là il y aurait le moindre risque d'un complot de l'ennemi pour porter préjudice à l'Ordre islamique.
Il a insisté aussi sur le rôle que ce ministère a à jouer dans la réalisation du plan de l'économie de Résistance, en essayant de lutter contre les corruptions économiques et financières, et surtout de les prévenir.
Avant le discours du Guide suprême de la Révolution islamique, le ministre du Renseignement, Mahmoud Alavi, a présenté un bilan des activités et des projets de son ministère.
mercredi, 10 août 2016 11:47

Nouveaux attentats ont frappé Bagdad

Deux explosions terroristes ont frappé le nord et le sud de la capitale irakienne, Bagdad, faisant trois morts et sept blessés.

Selon la chaîne al-Sumeria, le commandement de l’opération de Bagdad a annoncé qu’au moins sept civils avaient été tués et blessés dans l’explosion d’une bombe dans le quartier de Shala, au nord de Bagdad.

Le porte-parole du ministère irakien de l’Intérieur, Saad Maan, a affirmé dans un communiqué que dans un attentat terroriste contre le quartier de Shala, deux personnes avaient trouvé la mort et cinq autres avaient été blessées.

Par ailleurs, la police irakienne a déclaré qu’au moins un militaire avait été tué et deux personnes blessées dans un attentat à la voiture piégée au sud de la capitale.

Selon cette source, cette voiture piégée a explosé à proximité d’un post de contrôle de l’armée irakienne dans la région d’Arab Jabour, située au sud de Bagdad, suite à quoi un militaire a été tué et deux autres personnes ont été blessées.

A la suite de cet attentat, les forces de sécurité ont bouclé la zone et les deux blessés ont été transférés à l’hôpital. Il est à rappeler que Bagdad est quasi quotidiennement théâtre d’attentats à la bombe et à la voiture piégée qui ont fait jusqu’ici des dizaines de morts et de blessés.

Un homme noir a été tué par un policier à Los Angeles. 

Donnell Thompson, 27 ans, a été abattu le 28 juillet à Compton, une banlieue chaude qui jouxte Los Angeles, lorsque des policiers pourchassaient le suspect d'un vol de voiture, qui leur aurait tiré dessus.

Le bureau du shérif avait initialement affirmé que Donnell Thompson correspondait à la description d'un des deux suspects, selon le journal local Los Angeles Times

Mardi, le capitaine de police du bureau des homicides Steven Katz est revenu sur ces déclarations lors d'une conférence de presse. 

«Nous avons conclu qu'il n'y a pas de preuve que Donnell Thompson ait participé au détournement du véhicule ou à l'agression contre les officiers» de police, a-t-il indiqué. Aucune arme n'a été retrouvée sur Thompson.

L'aveu de cette bavure survient au deuxième anniversaire de la mort de Michael Brown, un Noir de 18 ans sans armes tué par un policier blanc à Ferguson, dans le Missouri. 

Cet incident avait déclenché des manifestations et émeutes pour dénoncer les violences policières contre les Noirs et raviver les tensions raciales dans tout le pays.

Certains pays arabes sont sur le point de céder aux sionistes des biens qui auraient appartenu aux juifs avant qu’ils ne quittent ces derniers pour aller occuper la Palestine.  

Selon l’agence de presse iranienne TASNIM, le journal sioniste Haaretz a écrit mardi : « Des négociations secrètes ont été menées entre Tel-Aviv et le Caire sur une récupération des biens des juifs qui ont quitté le sol égyptien. » en ajoutant : "Il est prévu que le sujet se concrétise d'ici un mois et demi." 

Le ministre israélien des Affaires sociales a déclaré dans un entretien donné à Haaretz que les pourparlers entre Tel-Aviv et quelques pays arabes sur la reprise des biens juifs étaient sur la bonne voie.

Selon la chaîne d’information Al-Alam, un membre de la Knesset, Oran Hazan a également fait part de ces négociations secrètes en ajoutant qu’il est prévu que des groupes israéliens soient envoyés sur place au Maroc et en Tunisie afin d’évaluer ces biens.

Il est utile de rappeler que depuis sept décennies, les juifs de part et d’autre de la planète sont arrivés en masse dans les territoires désormais occupés et qu’ils ne se sont pas gênés pour confisquer les maisons, les fermes et autres biens de millions de palestiniens devenus eux, réellement, sans abri, sans papier et sans sous. Sans oublier qu’ils ont été privés de l’essentiel : de leurs enfants !

Un premier militaire turc a demandé l’asile aux États-Unis pour se dérober aux interrogations du gouvernement turc, à la mode après le coup d’État manqué du 15 juillet.

Cet officier de l'armée turque en poste sur un site américain de l'OTAN a demandé l'asile aux États-Unis après avoir été rappelé par le gouvernement turc dans la foulée du putsch avorté dans le pays, selon Reuters.

Depuis l'échec du coup d'État, qui a fait plus de 240 morts et près de 2.200 blessés, les autorités turques se sont lancées dans une purge des services de l'État.

Des dizaines de milliers de membres de la justice, de l'armée, de la police, des services publics et des médias, soupçonnés de lien avec le réseau de Fethullah Gülen, ont été arrêtés, limogés ou suspendus.

La demande d'asile de l'officier turc est susceptible de tendre encore un peu plus les relations entre les États-Unis et la Turquie, Washington refusant à ce stade d'accéder aux demandes d'Ankara concernant l'extradition de Fethullah Gülen.

Les responsables américains ont affirmé que l'officier turc travaillait au commandement allié Transformation (Allied Command Transformation) de l'OTAN, basé à Norfolk, en Virginie. Ils n'ont donné ni son nom ni son grade.

Le commandant des forces russes en Syrie a décerné la médaille d’honneur au commandant de la Brigade al-Qods pour remercier ces Palestiniens de leurs actes de bravoure accomplis dans la bataille d’Alep.

Selon l’agence de presse iranienne FARS, c’est donc Alexander Jourolov qui a décerné cette médaille à Mohamed Mahmoud Rafeh.

La Brigade al-Qods a fait part de sa récompense sur sa page Facebook, en ajoutant que 9 de ses membres avaient perdu la vie au cours des premières opérations de libération de la région d’al-Ramoussa, située au sud d’Alep.

La Brigade al-Qods ou les combattants des camps d’al-Nayreb et de Handarat participent depuis début 2014 aux opérations de libération d’Alep menées par l’armée syrienne. Ces Palestiniens se sont choisi le nom de « Fedaii de l’armée arabe syrienne ». 

Le porte-parole d’Asaib Ahl al-Haq (branche du Hezbollah irakien), Javad al-Talibawi, vient de déclarer au journaliste de Fars News à Bagdad: « La décision du Premier ministre irakien de faire participer les forces de mobilisation populaire aux opérations de libération de Mossoul ne changera pas avec les manipulations des politiciens étrangers et de l’Amérique qui sont en fait des partisans de Daech. »

Al-Talibawi a en effet rappelé qu’Haïder al-Abadi avait pris depuis un certain temps la décision de faire participer les forces populaires aux opérations de libération de Ninive en ajoutant par ailleurs que ces forces étaient très bien préparées et que les protestations émises contre leur eux ne les perturbaient nullement.

L’ambassadeur américain à Bagdad, Stewart Jones, a rencontré lundi les dirigeants de la coalition des « forces irakiennes », dont leur commandant Oussama Nadjifi, ainsi que quelques autres personnalités sunnites. Selon les sources irakiennes, au cours de cette visite organisée entre des dirigeants opposés au gouvernement irakien, une prise de position contre Hachd al-Chaabi a été annoncée. On a ainsi appelé à ne pas faire participer cette force de mobilisation populaire et les autres comme Asaib Ahl al-Haq aux opérations de libération de Mossoul.

Al-Talibawi a affirmé dans son entretien à Fars News que la libération de Mossoul se ferait en plusieurs étapes et que lui et ses effectifs attendaient impatiemment le lancement de l’opération. 

Le président russe lors d'une réunion tenue le lundi avec son homologue iranien, Hassan Rohani, dans le cadre du sommet trilatéral à Bakou, capitale de l'Azerbaïdjan, a déclaré que les relations entre Moscou et Téhéran ont bien avancé depuis la dernière Novembre quand Poutine a visité l'Iran.

«Notre amitié va s'établit et est multiforme: elle couvre les contacts politiques économiques dans tous les secteurs et domaine humanitaire», a-t-il dit.

Pendant ce temps, Rohani a déclaré que plus que jamais les meilleures conditions pour un bond dans les relations bilatérales, ajoutant que la coopération irano-russe "a développé à un taux optimal au cours des deux dernières années."

Les deux dirigeants en acceptant de coopérer étroitement pour lutter contre la menace terroriste opérant dans des pays comme la Syrie et l'Afghanistan, considérées permettent l'échange d'informations sur les activités des organisations terroristes internationales.

Poutine a souligné que cela est le seul moyen de "lutter plus efficacement contre le transit des combattants, des armes et de la drogue" et a averti que d'autres méthodes unilatérales ne font qu'aggraver le problème du terrorisme.

Ils ont également discuté du conflit syrien, au cours de la mise en œuvre du cessez-le et le programme d'aide humanitaire en Syrie et la mise en œuvre des résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU), y compris la lutte contre le groupe terroriste EIIL (Daesh, en arabe) et le front al-Nusra (Frente maintenant Fath al-Sham), comme l'a révélé le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, cité par l'agence Spoutnik.

L'Iran et la Russie passent par l'un des meilleurs temps dans leurs relations militaires, comme en témoignent les réunions tenues par Serguei Choïgou avec son homologue iranien, Hussein Dehqân.

Dans ce contexte, les deux ministres ont déclaré que les relations bilatérales de défense sont bénéfiques pour les deux pays en vue de lutter contre ce terrorisme dans la région.

Dans un message adressé lundi à son homologue pakistanais Nasser Jan Janjua, secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale de l'Iran, Ali Shamkhani, il a exprimé la ferme condamnation de l'attentat terroriste à Quetta et de solidarité avec le gouvernement et le peuple pakistanais.

Il a également exhorté la communauté internationale à unir leurs forces contre le terrorisme et pour bloquer les sources de revenus financiers et les armes des groupes terroristes communauté parce que, a-t-il souligné, sans coopération internationale, il est impossible d'éradiquer ce fléau.

Au moins 93 personnes ont été tuées et des dizaines d'autres ont été blessées dans un attentat à Quetta. Quelques heures plus tard, l'explosion a été revendiquée par le groupe terroriste EIIL (Daesh, en arabe), qui dit que l'un de ses membres dans le pays d'Asie centrale effectue l'opération de suicide.