
تقي زاده
USA: les talibans sortent leurs MANPAD
Les talibans vont se venger des récentes frappes aériennes américaines en Afghanistan, a rapporté le site d’information Southfront.
Les États-Unis ont confirmé que leurs forces avaient récemment mené des frappes aériennes contre les talibans en Afghanistan, alors que les forces étrangères dirigées par les États-Unis sont aux dernières étapes de leur retrait du pays.
Le 22 juillet, le porte-parole du Pentagone, John Kirby, a déclaré aux journalistes que les frappes aériennes avaient été menées en soutien aux forces de sécurité afghanes (ANDSF) sans fournir aucun détail.
« Sans parler de détails,…, je peux dire qu’au cours des derniers jours, nous avons agi par le biais de frappes aériennes pour soutenir l’ANDSF mais je n’entrerai pas dans les détails tactiques de ces frappes », a déclaré John Kirby.
Plus tard, le porte-parole des talibans Zabihullah Mujahid a confirmé que les frappes avaient été menées dans la nuit du 21 juillet à la périphérie de la ville méridionale de Kandahar, tuant trois de leurs effectifs et détruisant deux véhicules.
« Nous confirmons ces frappes aériennes et nous condamnons cela dans les termes les plus forts, c’est une attaque claire et une violation de l’accord de Doha, car ils ne peuvent pas avoir d’opérations après mai », a-t-il déclaré.
Mujahid a ajouté que si les forces américaines poursuivaient leur opération, elles seraient responsables des conséquences.
Ce sont les premières frappes aériennes américaines depuis que le général Scott Miller, l’ancien commandant des troupes américaines en Afghanistan, a remis son autorité au général Frank McKenzie. Ils peuvent être un signe que l’armée américaine n’arrêtera pas ses frappes contre les talibans au moins avant le 31 août.
Compte tenu des tentatives de Washington de trouver un hôte pour ses troupes dans les pays voisins de l’Afghanistan, les frappes aériennes américaines pourraient menacer les talibans même après la fin du retrait américain.
Pire scénario pour Israël?
Tel-Aviv est profondément préoccupé par le rôle croissant du Hezbollah dans la gestion de la crise au Liban, d’autant plus que les estimations montrent que le Hezbollah est capable de tirer 3 000 missiles en direction des territoires occupés en un seul jour de guerre.
Suite à la proposition douteuse du ministre israélien des Affaires militaires, faite conjointement avec le plan du secrétaire général du mouvement libanais du Hezbollah pour mettre fin à la crise économique libanaise, les médias sionistes ont fait état de vives inquiétudes des responsables sionistes par rapport à la crise au Liban.
En référence aux médias sionistes, le site web de la chaîne de télévision libanaise Al-Mayadeen indique que la crise politique et économique au Liban semble être au sommet des priorités dans les territoires occupés : craignant que le rôle croissant du Hezbollah ne touche à leurs intérêts, les autorités sionistes se servent de la mauvaise conjoncture économique au Liban et proposent de prendre le contrôle du pays.
Redoutant l’effondrement économique du Liban et le vide gouvernemental qui en résulte, Tel-Aviv est en état d’alerte, souligne Al-Mayadeen.
En effet, les milieux politiques en Palestine occupée affirment que la crise libanaise pourrait conférer au Hezbollah un rôle plus important à l’intérieur du pays au prix d’une réduction du pouvoir des groupes pro-américains. Au plus fort de la crise, le Hezbollah est venu en aide au peuple libanais à travers une série de plans et d’initiatives pour résoudre la thésaurisation des médicaments, de la nourriture et du carburant. Pour les Israéliens cette aide contribuera à développer ce qu’ils appellent « l’influence iranienne au Liban » ainsi que celle du Hezbollah, car selon eux « c’est l’Iran qui offre ces alternatives ».
Alors que Washington a cessé d’aider le Liban et fait pression sur le pays en l’assignant, la crise libanaise pourrait, selon des analystes israéliens, conduire à l’entrée de la Chine et de la Russie dans le pays au détriment de l’influence d’Israël sur les évolutions dans le pays.
Se penchant sur le rôle de la Russie au Liban, les groupes de réflexion en Palestine occupée affirmant que le « Liban fait partie des zones où la Russie compte étendre son influence ». Ils soulignent que « Moscou essaie d’accroître son influence dans le pays tout en poursuivant sa présence en Syrie » : Damas et Beyrouth sont pour Moscou « deux instruments imbriqués en termes de sécurité et d’économie dont l’instabilité de l’un affectera l’autre ». À noter que la Chine et la Russie ont offert au Liban d’importants investissements tels que la reconstruction du port de Beyrouth, d’une raffinerie de pétrole et d’infrastructures électriques.
Par ailleurs, les experts dans les territoires occupés sont nombreux à croire que la crise libanaise menace le régime sioniste et augmente la probabilité d’une guerre entre Tel-Aviv et le Hezbollah. Citant les sources de sécurité, le site web Walla affirme que la chute du Liban rapprocherait Tel-Aviv de la guerre.
Tel-Aviv est préoccupé par le développement continu du programme de missiles de précision de la Résistance libanaise ; un plan qui menace généralement le front intérieur de la Palestine occupée, les installations stratégiques telles que les centrales électriques et les infrastructures hydrauliques. Le Hezbollah, quant à lui, est équipé de systèmes de défense aérienne qui menacent la liberté d’action des forces aériennes de l’armée israélienne dans l’espace aérien libanais et régional.
Selon les estimations en Palestine occupée, le Hezbollah dispose désormais de 140 000 de missiles et est capable d’en tirer environ 3 000 sur les territoires occupés en un jour de guerre, soit les deux tiers des missiles tirés lors de la guerre de 12 jours depuis la bande de Gaza en direction des colonies sionistes.
La récente agression de Tel-Aviv sur la bande de Gaza a à son tour soulevé les inquiétudes des occupants quant au scénario le plus dangereux : une confrontation avec le Hezbollah. Selon le rapport d’Al-Mayadeen, des sources sionistes affirment que les capacités du Hamas sont dix fois moins importantes que celles du Hezbollah pour une armée sioniste qui n’était pas en mesure de contrecarrer les tirs de roquettes et de mortiers du Hamas.
C’est dans ce contexte que les ministres israéliens des Affaires et des Finances lanceront des plans l’année prochaine visant à achever la construction d’un mur à la frontière libanaise dont le coût est estimé à 300 millions de dollars. Le mur est censé empêcher les menaces du Hezbollah, y compris les attaques terrestres à grande échelle contre les colonies près de la barrière frontalière libanaise, ainsi que les positions de l’armée sioniste.
Les experts à Tel-Aviv tentent de convaincre les politiciens que, contrairement à la guerre avec le Hamas, toute guerre avec le Hezbollah nécessitera une avancée terrestre au Liban. Or, les récentes analyses effectuées par des centres de réflexion dans les territoires occupés montrent qu’une telle attaque profiterait probablement au Hezbollah en raison de ses capacités offensives qui ont largement été étendues ces dernières années.
De leur côté, certains responsables de la sécurité israélienne pensent que le Hezbollah, tirant la leçon de la guerre de Gaza, se prépare à d’éventuelles tensions pour contrer toute attaque-surprise de Tel-Aviv. Ce dernier est susceptible d’approuver tous les plans opérationnels qui, élaborés par le commandant nord de l’armée sioniste au cours des trois dernières années, couvrent une variété de scénarios lors d’une guerre avec le Liban. Ce qui illustre bel et bien le niveau de préoccupation des autorités sionistes.
À l’heure qu’il est, le régime sioniste devrait se déployer à augmenter la pression sur le Liban pour forcer le Hezbollah à faire des concessions sur la question des missiles de précision. Néanmoins, la pression croissante sur le Liban aura un impact négatif sur les intérêts de Tel-Aviv et conduira le Hezbollah à prendre des mesures fondamentales pour ouvrir la porte à la Chine et à la Russie. Quoi qu’il en soit, il ne fait aucun doute que les occupants n’ont pas une vision précise de l’interaction avec le Liban qui est désormais devenu un obstacle à tous les projets de Tel-Aviv.
100 Su-75 en route pour l’Iran?
L'Iran envisage de moderniser son armée de l'air. Il est donc possible qu’il conclue, dans un proche avenir, un contrat avec la Russie pour acquérir de centaines d'avions de combat de cinquième génération. Les Su-75 russes sont supérieurs aux chasseurs F-35, et sont d’un coût moins élevé. Un éventuel contrat de chasseurs légers de cinquième génération ne coûtera à Téhéran que 3 milliards de dollars.
Selon certaines analystes, les autorités iraniennes prévoient d'acquérir dans un proche avenir un gros lot d'avions de combat d'une valeur d'environ 3 milliards de dollars. Dans ce cadre, les chasseurs légers russes de cinquième génération pourraient être l’une des options vu que l'armée de l'air iranienne s'intéresse à l'acquisition d'avions de combat légers.
Les Su-75 russes sont capables d'affronter l'armée de l'air israélienne. Les avions de combat légers russes de cinquième génération surpassent les F-35i Adir en termes de qualités techniques de vol et de combat. Les analystes estiment qu'Israël fera tout ce qu'il peut afin d'empêcher de toutes les manières possibles un éventuel contrat entre l’Iran et la Russie.
Somme toute, les analystes estiment que Téhéran devrait être intéressé par l’acquisition des Su-75 russes.
Talibans menacent l'US Air Force
Après de nouvelles frappes américaines, les talibans ont déclaré qu'ils abattraient tous les avions américains.
Les talibans ont déclaré qu'ils avaient l’intention de procéder à la chasse aux avions américains, a rapporté l’agence de presse russe Avia.pro.
Après que l'US Air Force eut lancé des attaques surprises sur des territoires contrôlés par les talibans, entravant ainsi l'encerclement de Kandahar, les talibans ont annoncé qu'ils commençaient désormais à chasser les avions et hélicoptères américains.
Ces propos peuvent être de vraie menace pour les États-Unis et pourraient leur infliger de très lourdes pertes, car l'armée américaine a presque évacué son équipement d'Afghanistan, prévoyant de le retirer entièrement dans un avenir proche.
Des chasseurs F/A-18C de l'US Navy ont attaqué la veille Kandahar, Arghandab et Shah Walikot dans la province de Kandahar, selon l'agence de presse Avia.pro.
Les attaques auraient causé la mort de nombreux effectifs des talibans et perturbé une opération des talibans visant à prendre le contrôle de Kandahar.
En riposte aux actions des États-Unis, les talibans ont menacé d'attaquer des avions américains, et aujourd'hui, les talibans disposent d'un grand nombre de systèmes portables de missiles anti-aériens, de canons anti-aériens, etc., ce qui peut imposer de lourdes pertes aux États-Unis.
L'Iran dans la mer Baltique!
Après avoir traversé la Manche au prix de provoquer la panique de la marine de Sa Majesté, la 77e flotte de la marine iranienne atteint la mer Baltique! Il est vrai que depuis sa mission éclair en Atlantique où l'US Navy le soupçonnait de vouloir livrer des missiles et vedettes au Venezuela, l'axe atlantiste ne peut ne pas être indifférent à un duo Makran-Sahand qui entre sans escale dans son troisième mois de sa mission qui semble le conduire désormais à Saint Saint-Pétersbourg.
Le ministère danois de la Défense s'y intéresse aussi.
Un destroyer iranien et un énorme navire de soutien ont été aperçus en train de traverser la mer Baltique jeudi, apparemment, en route vers la Russie pour un défilé militaire qui aura lieu le 25 juillet, a annoncé le ministère danois de la Défense.
Selon l’agence de presse russe Sputnik, l'armée de l'air royale danoise a photographié le nouveau destroyer iranien Sahand et le navire de renseignement Makran voyageant près de l'île danoise de Bornholm.
« On s'attend à ce qu'ils se rendent au défilé naval annuel à Saint-Pétersbourg », a écrit le ministère sur Twitter.
Le Sahand devrait participer au défilé dimanche, selon IRNA, entre autres navires, dont le nombre total atteindra 54.
Selon certaines informations, en mai, les deux navires ont quitté le port iranien de Bandar Abbas. Sur le pont du Makran, sept navires iraniens d'attaque rapide auraient été vus. Les médias américains ont largement rapporté plus tôt que la destination finale des navires pourrait être le Venezuela, citant des sources anonymes. Les navires, cependant, ont fait le tour du Cap de Bonne-Espérance en Afrique et ont continué vers le nord lors d'un voyage exceptionnellement prolongé de la marine iranienne.
Dimanche, le 325e anniversaire de la flotte russe sera commémoré par un défilé naval sur la Neva à Saint-Pétersbourg. Avec les navires russes, des navires de guerre iraniens, indiens et pakistanais devraient transiter lors du défilé, selon le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou.
Plus tôt cette semaine, l'ambassade iranienne en Russie a annoncé que l'amiral Hossein Khanzadi, commandant de la marine du pays, assisterait au défilé naval russe à Saint-Pétersbourg après avoir reçu une invitation du ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou.
Mais pourquoi cette focalisation sur la flotte iranienne ? L'OTAN semble inquiète de la perspective des coopérations navales Iran- Russie. Au fait le Sahand n'est pas un destroyer banal. Il est outillé pour faire face à une éventuelle guerre électronique.
Sahand est une frégate de classe « Mowj » de la flotte sud de la marine de la République islamique d'Iran.
Sahand a été équipé d'un système d'arme de défense ponctuelle fabriqué localement surnommé « Kamand ». Le système d'armes rapprochées Kamand peut détruire toute cible approchant du destroyer à une distance/altitude de 2 à 4 kilomètres (1,2 à 2,5 mi) en tirant entre 4 000 et 7 000 coups par minute. Sahand est armé de missiles anti-navires de croisière et dispose d'un pont d'hélicoptère et de systèmes de guerre électronique.
Sahand a deux fois la puissance défensive et offensive de Jamaran, avec des tubes lance-torpilles améliorés, divers types d'armes anti-aériennes et anti-surface, des missiles sol-air et sol-sol et un système de défense ponctuelle. Sahand est équipé d'un système anti-sous-marin et d'un système furtif, et bénéficie d'une plus grande maniabilité et d'une portée opérationnelle accrue. Le navire a quatre moteurs puissants, une amélioration par rapport au destroyer Jamaran.
Sahand est capable de naviguer sur des eaux turbulentes et des océans lointains pendant 150 jours tout en étant accompagné d'un navire de soutien. Elle a été dévoilée au public fin novembre 2012. Le navire est entré en service le 1er décembre 2018.
En juin 2021, Sahand, accompagné de Makran (porte-hélicoptères et base flottante), ont été les premiers navires de la marine iranienne à atteindre l'Atlantique sans pour autant s'amarrer dans un port international, selon des sources iraniennes officielles.
Selon des responsables iraniens, le matériau utilisé pour construire ce navire est un matériau spécial doté d'une capacité d'évasion radar, et ce navire de guerre est équipé de systèmes électroniques et de défense modernes et actualisés.
De plus, la construction de la frégate Sahand a pris un cinquième du temps de construction du destroyer Jamaran.
Comme promis la marine iranienne étend son champ d'action.« La marine du CGRI est prête à défendre fermement la République islamique d'Iran et les idéaux de la révolution islamique avec son plus grand pouvoir et sa puissance », a déclaré le contre-amiral Tangsiri, à l'occasion de l'anniversaire de la visite historique du Leader de la Révolution islamique au quartier général du commandement naval du CGRI à Bandar Abbas le 23 juillet 2011.
Il a souligné que maintenant, 10 ans se sont écoulés depuis la visite historique de l'Ayatollah Khamenei qui a apporté de nombreuses bénédictions et réalisations à la marine du CGRI, dont la plus importante est le renforcement de l'esprit spirituel et révolutionnaire parmi les marins, et la pleine indépendance de la République islamique d'Iran en mer.
« Aujourd'hui, la sécurité des îles et des frontières maritimes dans le sud et le nord du pays s'est intensifiée sous les auspices de la sage direction de l'Ayatollah Khamenei, une manière que la Force navale du pays, s'appuyant sur l'aide de Dieu Tout-Puissant, est pleinement préparée à défendre de toute leur force les idéaux et les valeurs sublimes de la Révolution islamique dans les eaux régionales et lointaines », a-t-il ajouté.
Eilat: Israël saigne grave!
Gaza du mois de mai n'a pas fini de faire saigner Israël. Près de deux mois après que le port d'Ashkelon, d'Ashdod tout comme le site gazier offshore Tamer ou encore des pipelines Ashkelon-Eilat ont été pris pour cible des vagues continues de missiles et de roquettes et de drones palestiniens, Israël est sur le point d'enterrer ses rêves gaziers et avec eux des mois de bluffs au sujet de sa présence permanente dans le golfe Persique par Émirats interposés...
Ce pipeline pour lequel les Émirats ont trahi la Palestine en signant des accords d'Abraham n'est plus, Israël ayant renoncé à transiter le pétrole du golfe Persique via Eilat. Pourquoi ? Pour cause des missiles palestiniens, mais aussi yéménites.
Malgré les avertissements d'un haut responsable émirati sur les conséquences de l'annulation de l'accord pétrolier israélien avec Abou Dhabi, des sources en hébreu ont rapporté que Tel-Aviv avait décidé de réviser l'accord.
Le journal israélien Haaretz a rapporté aujourd’hui que le Premier ministre Naftali Bennett et le ministre israélien des Affaires étrangères Yaïr Lapid réexaminaient l'accord pétrolier avec les Émirats arabes unis.
Suite à la normalisation des relations entre Tel-Aviv et Abu Dhabi, un accord pétrolier a été signé entre les deux parties permettant à Abu Dhabi d'exporter son pétrole à travers la Palestine occupée.
Selon le journal Al-Araby Al-Jadeed qui a cité Haaretz, la nouvelle ministre israélienne de l'Énergie, Karine Elharrar, a déclaré publiquement que l'accord n’était pas dans l’intérêt d'Israël et n’avait aucun bénéfice pour le peuple et l'économie israélienne et qu'en cas d'annulation, il n’y aurait aucune conséquence pour la partie israélienne.
Le rapport indique également que la décision du cabinet de Tel-Aviv de réviser l'accord a été prise lorsque la ministre israélienne de l'Environnement, Gila Gamliel, s'est opposée à l'accord et l'a rejeté.
Selon le rapport, une enquête menée par le ministère israélien de l'Environnement montre que le transfert de pétrole des Émirats arabes unis à travers les ports d'Eilat et d'Ashdod endommagera gravement l'environnement de la région.
Selon Haaretz, il a été également décidé d'organiser une réunion spéciale sur cette question, avec la participation des ministères israéliens de l'Environnement, des Affaires étrangères, des Finances, de l'Énergie et de la Justice.
Cela intervient alors qu’un haut responsable émirati avait déclaré auparavant à Israel Hayom que si Tel-Aviv annulait l'accord, cela pourrait conduire à une dégradation des relations entre les deux parties.
Le responsable émirati avait également déclaré qu’une éventuelle annulation de l’accord pourrait mettre en danger les accords de normalisation connus également comme « les accords d’Abraham ».
En septembre 2020, les Émirats arabes unis et le régime sioniste, ont signé un accord de normalisation par la médiation de l'ex-président américain, Donald Trump et ont officiellement établi leurs relations diplomatiques.
Riyad attaque l'armée irakienne!
La frontière syro-irakienne est impénétrable et le Pentagone dont le porte-parole John Kirby n’a pas osé reconnaître ce jeudi le nombre exact du contingent US en Syrie affirmant même à la presse et au risque de se rendre ridicule aux yeux du monde entier ceci « Je ne sais pas exactement, je vais le demander et vous dire après ! », en sait quelque chose :
la première semaine de juillet a provoqué un séisme dans les rangs des troupes US en Syrie orientale avec en toile de fond des attaques aux missiles et aux drones de la Résistance reliant la lutte anti-occupation US irakienne à cette même lutte en Syrie et l’Amérique a bien compris qu’un palier a été franchi : la Résistance est passée du stade défensif au stade offensif : de la mission de faire uniquement face aux tentatives d’infiltration des agents takfiristes, la Résistance passe à l’attaque contre les vrais sponsors des terroristes. Quelle autre alternative reste aux Yankee ? Réactiver la frontière saoudienne à titre de base arrière des infiltrations terroristes. Mais est-ce bon choix? Les Hachd ne font pas distinction quand il s’agit de défendre la sécurité irakienne.
Des sources irakiennes ont rapporté que des terroristes takfiristes avaient attaqué l'armée et les Hachd tribales dans le point le plus éloigné de la province d'al-Anbar, près de la frontière saoudienne.
Selon l’agence de presse iranienne Tasnim, une source de sécurité irakienne a rapporté ce vendredi 23 juillet que Daech avait attaqué les forces irakiennes à la frontière avec l'Arabie saoudite.
« Des terroristes de Daech s’en sont pris aux forces irakiennes à al-Rutba, à la frontière avec l'Arabie saoudite. L'attaque a été menée avec une arme à moyenne portée, au cours de laquelle un poste de sécurité dans le quartier d'al-Taba’at de la ville d'al-Rutba, à l'extrême ouest de la province d'al-Anbar, a été pris pour cible par Daech », a ajouté cette source.
La source de sécurité irakienne a poursuivi que « deux forces de sécurité irakiennes ainsi qu’un membre des Hachd tribales ont été tués dans cette attaque ».
Elle a ajouté que dans cette attaque de Daech, deux membres de l'armée irakienne avaient également été grièvement blessés et emmenés à l'hôpital d’al-Rutba. La source a précisé que l'un des terroristes de Daech avait été abattu lors de ces affrontements.
Au fil des ans, l'Arabie saoudite a tenté d'entrer en Irak par les portes de l'économie et de conclure des contrats dans ce domaine.
En effet, l'Arabie saoudite cherche à exploiter le besoin de reconstruction de Bagdad après des décennies de tyrannie et de terrorisme ; le terrorisme, dont l'Arabie saoudite elle-même était un grand partisan.
Ces conditions ont créé l'opportunité d'une importante présence économique saoudienne en Irak. Étant donné la dévastation que Daech a infligée à l'ouest de l'Irak, des provinces telles que Salah al-Din, al-Anbar et Ninive ont besoin de plus d'investissements dans la reconstruction. En conséquence, l'Arabie saoudite considère la composition démographique de ces provinces, à prédominance sunnite, comme une opportunité de présence économique et d'investissement.
En octobre dernier, des informations ont été publiées selon lesquelles l'Arabie saoudite aurait investi 2,9 milliards de dollars dans divers projets en Irak.
Mais les analystes ont interprété ces « mesures de Riyad » comme une menace pour la sécurité nationale de l'Irak.
Des experts irakiens ont averti que Riyad soutenait le projet américain de « démembrement de l'Irak », soulignant que ces investissements représentaient une menace pour la sécurité de l'Irak.
Abbas al-Ardawi, analyste politique irakien, estime que les zones dans lesquelles l'Arabie saoudite a l'intention d'investir se trouvent dans le sud et l'ouest de l'Irak, qui constituent la frontière entre les noyaux du groupe terroriste Daech, l'armée américaine et les forces de sécurité irakiennes.
Un autre expert en sécurité irakien, Haitham al-Khazali, a averti que l'investissement que l'Arabie saoudite cherchait à faire dans certaines parties de l'Irak n'était qu'un plan américain visant à séparer l'Irak de ses voisins et à transformer ces zones en bases pour des attentats à la voiture piégée et le recrutement de terroristes.
Parallèlement à la reprise des relations diplomatiques entre l’Irak et l’Arabie saoudite, des experts irakiens ont averti que les Saoudiens cherchaient, sous prétexte de l’ouverture d’une ambassade, à établir des bases et centres militaires au cœur de Bagdad pour ainsi reprendre leurs objectifs terroristes.
Selon les experts, l'Arabie saoudite a envoyé des terroristes ou du moins a fermé les yeux sur leur flux en Irak.
Le dernier cas d'actes terroristes saoudiens en Irak remonte à deux attentats sanglants perpétrés par Daech dans le centre de Bagdad le 21 janvier dernier, qui ont fait 32 morts et plus de 100 blessés. Selon les services de sécurité irakiens, les kamikazes avaient une identité saoudienne et des traces saoudiennes sont clairement visibles.
La paix sera inaccessible tant que Ghani sera au pouvoir, selon les Talibans
Selon Shaheen, les talibans déposeront les armes lorsqu'un gouvernement négocié, acceptable pour toutes les parties au conflit, sera installé à Kaboul et que le gouvernement de Ghani aura disparu.
Shaheen a qualifié les pourparlers de bon début. Mais il a déclaré que les demandes répétées du gouvernement pour un cessez-le-feu pendant que Ghani reste au pouvoir revenaient à exiger une reddition des talibans. "Ils ne veulent pas de réconciliation, mais ils veulent se rendre", a-t-il déclaré.
Avant tout cessez-le-feu, il doit y avoir un accord sur un nouveau gouvernement "acceptable pour nous et pour les autres Afghans", a-t-il ajouté. Ensuite, "il n'y aura pas de guerre".
Shaheen a déclaré que sous ce nouveau gouvernement, les femmes seront autorisées à travailler, à aller à l'école et à participer à la vie politique, mais qu'elles devront porter le hijab, ou foulard. Il a ajouté que les femmes ne seront pas obligées d'être accompagnées d'un parent masculin pour quitter leur domicile, et que les commandants talibans des districts nouvellement occupés ont ordonné que les universités, les écoles et les marchés fonctionnent comme avant, y compris avec la participation des femmes et des filles.
M. Shaheen a déclaré qu'il n'était pas prévu de faire une poussée militaire sur Kaboul et que les talibans s'étaient jusqu'à présent "abstenus" de prendre les capitales provinciales. Mais il a prévenu qu'ils pourraient le faire, étant donné les armes et les équipements qu'ils ont acquis dans les districts nouvellement capturés. Il a affirmé que la majorité des succès remportés par les talibans sur le champ de bataille sont le fruit de négociations et non de combats.
"Les districts qui nous sont tombés dessus et les forces militaires qui nous ont rejoints ... l'ont été grâce à la médiation du peuple, grâce à des pourparlers", a-t-il déclaré. "Ils (ne sont pas tombés) à la suite de combats ... il aurait été très difficile pour nous de prendre 194 districts en seulement huit semaines".
"Vous savez, personne ne souhaite une guerre civile, y compris moi", a déclaré Shaheen.
Des dizaines de morts alors que les forces yéménites avancent vers Jizan
Selon le rapport, l'armée yéménite et les comités populaires ont ciblé les positions des mercenaires de la coalition saoudienne autour d'une montagne à Jizan. Au cours de l'opération, les forces yéménites ont réussi à prendre le contrôle de plusieurs centres affiliés à la coalition saoudienne dans la montagne.
Un certain nombre de mercenaires de la coalition dirigée par l'Arabie saoudite ont été tués et plusieurs autres ont été blessés au cours de l'opération. Parmi les personnes tuées se trouvaient plusieurs ressortissants soudanais, ont rapporté des sources médiatiques yéménites.
Des sources de sécurité au Yémen ont également indiqué que les forces du pays ont réussi à capturer un certain nombre de mercenaires de la coalition saoudienne au cours de leur opération à Jizan.
Pendant ce temps, les opérations yéménites contre les mercenaires saoudiens se poursuivent également dans d'autres régions.
Le leader reçoit la deuxième dose du vaccin COVID-19 fabriqué en Iran
Il convient de noter que le Leader de la Révolution islamique avait reçu la première dose d'un vaccin COVID-19 de fabrication locale le vendredi 25 juin.
Après avoir reçu la deuxième dose de vaccin COVID-19 fabriqué localement, le Leader de la Révolution islamique a exprimé sa satisfaction quant aux efforts inlassables du personnel médical dans tout le pays dans la lutte contre la pandémie de COVID-19, en particulier les scientifiques et les chercheurs qui ont fait tous leurs efforts pour produire un vaccin COVID-19 fabriqué localement et a recommandé à tous les milieux de respecter strictement les protocoles et les directives sanitaires afin de se débarrasser de la maladie.
S'agissant des mutations consécutives des souches de COVID-19 répandues dans le pays et de leurs effets dangereux, il a une nouvelle fois appelé tous les milieux à respecter strictement les protocoles sanitaires.
Si les gens acceptent la difficulté d'une observation complète des directives sanitaires, la maladie sera certainement déracinée et les dommages seront évités, a souligné le leader.