
تقي زاده
Israël impliqué dans les récents incendies en Irak
Dans une autre partie de son entretien médiatique, il a fait référence aux récents incendies en Irak en estimant que le régime sioniste pouvait être derrière ces événements.
Evoquant le rôle d’Israël dans l’attaque contre les dépôts d'armes appartenant aux Hachd al-Chaabi, Khazali a souligné que Tel-Aviv tentait d’affaiblir le potentiel militaire des Unités de mobilisation populaire mais qu’il paierait un jour le prix du meurtre des Irakiens : une référence à la récente opération de l’axe de la Résistance, en représailles aux raids aériens de la force de l’air américaine contre ses positions.
« Mustafa Kazemi ne peut pas demander aux États-Unis de retirer leurs troupes. Par ailleurs, personne ne connaît le nombre des militaires américains en Irak. Même le Premier ministre ne peut pas pénétrer dans les bases américaines », a-t-il souligné.
Il a fait savoir que les conseillers militaires américains n'avaient aucun avantage pour les forces irakiennes. Même si les États-Unis retiraient leurs forces d'Irak, ils feraient appel à des forces alternatives sous les auspices de l'OTAN.
« Les chasseurs américains ne seront pas autorisés à rester en Irak », a-t-il déclaré, ajoutant que le contrôle complet de l'espace aérien irakien était entre les mains des forces américaines.
Le secrétaire général d’Asaeb Ahl Al-Haq a fait ces remarques alors que le Commandement central américain (CentCom) a prétendu mardi sur Twitter que le déploiement d'avions de combat F-16 sur la base aérienne du prince Sultan visait à augmenter le pouvoir du Commandement pour dissuader les attaques et renforcer la sécurité et la stabilité régionales en Arabie saoudite.
Le CentCom a annoncé que ces avions de combat appartenaient au 113e régiment aérien de la garde nationale américaine, connu sous le nom de « Capital Guard ». Une des missions de ces chasseurs est de mettre à niveau les capacités de défense de la base aérienne Prince Sultan.
Le CentCom a annoncé la semaine dernière que des chasseurs F-18 Hornet ainsi que des bombardiers stratégiques B1b, qui ont besoin d'un aérodrome exclusif, avaient été envoyés en Arabie saoudite.
Sadr City: "US/Israêl vont payer "
Le secrétaire général du mouvement Asaeb Ahl al-Haq dit que les États-Unis étaient impliqués dans le récent attentat à la bombe à Bagdad et que la présence des conseillers militaires américains n'étaient d'aucune utilité pour les forces irakiennes.
Réagissant à l'explosion de lundi soir dans la ville de Sadr à Bagdad, le secrétaire général du mouvement irakien Asaeb Ahl al-Haq, Qaïs al-Khazali, a déclaré que des éléments politiques étaient à l'origine de l'explosion.
L'explosion s'est produite quelques jours avant le départ du Premier ministre irakien, Mustafa al-Kazémi, à Washington, a rapporté la chaîne Al-Ahd News, citant al-Khazali.
« Les États-Unis cherchent à justifier leur survie en Irak par la présence de terroristes de Daech. Tout le monde sait quand-même que Daech était fabriqué par le duo américano-israélien et ses alliés arabes riverains du golfe Persique et que leurs services de renseignement le conduisent », a souligné le leader d’Asaeb Ahl al-Haq.
« Les États-Unis ont récemment réactivé Daech. Ils sont responsables du meurtre du peuple irakien, mais leurs crimes ne resteront sans réponse », a-t-il ajouté.
Se référant aux opérations de représailles des Hachd al-Chaabi contre les éléments de Daech, le responsable irakien a déclaré que certaines personnalités avaient soutenu les Takfiristes, en matière de sécurité et de renseignements, lors de l’attentat de lundi à Sadr City.
"Révolte colorée" anti-Ansarallah?!
A regarder de plus près le camp pro US au Moyen-Orient en est au chapitre de la ruse comme tactique de guerre puisque militairement parlant le blocage est plus que total.
Au Yémen, les missiles et les drones se sont tus puisque même à Al Bayda où des forces US fraîchement arrivées, se sont mises à se battre, Ansarallah les a eus en à peine 72 heures : en Irak, les agents US font sauter les lignes de haute tension pour harceler les gens et les retourner contre les Hachd; au Liban, laxe US/OTAN affame la population pour s'en prendre coupable le Hezbollah et à Gaza Israël travaille sur un scénario similaire sans succès. Et au Yémen ?
Un ministre du gouvernement du Salut national a levé le voile sur le plan secret de la coalition saoudienne visant à dissocier le mouvement populaire d'Ansarallah de sa base populaire.
« La coalition saoudien a commencé une série d'études stratégiques atomiser le soutien peuple d'Ansarallah ». C’est ce qu’a révélé le ministre de l'Information du gouvernement de Salut National, Daifallah al-Chami.
Incapable d'atteindre le mouvement de l'extérieur Riyad cherche à provoquer une crise interne avec cinq cibles favorites r: « le peuple yéménite dans son ensemble, la base populaire d'Ansarallah, les combattants eux-memes et ses décideurs politiques et militaires. »
Al-Chami a poursuivi que l'un des objectifs de cette stratégie est de provoquer la méfiance du peuple yéménite vis vis-à-vis du mouvement Ansarallah. Le deuxième objectif est de saper le moral de ses combattants, de semer la discorde parmi eux et ce, en instrumentalisant les médias, puis faire remonter les tribus contre le mouvement et in fine l'écarter de la scène. Riyad croit pouvoir de la sorte susciter une vague de désertion massive sur les fronts et contrer les avancées fulgurantes d'Ansarallah sur les fronts de combat.
Concernant le rôle des médias dans le domaine de cette stratégie, le ministre de l’Information a déclaré que le plan énumère 22 activités médiatiques visant à laisser supposer qu’Ansarallah était à l’origine du malheur et de la misère du peuple yéménite.
Al-Chami a par ailleurs souligné que l'un des objectifs les plus importants des attaques médiatiques vise à discréditer les médias affiliés à la Résistance yéménite. Autrement le plan se concentre sur des allégations infondées telles que la "corruption" ou "collusion avec Daech".
En fin de compte, al-Chami a souligné la nécessité de reconnaître l'approche de l'ennemi et de s’efforcer de désamorcer ses complots.
Entre temps, les Emirats Arabes Unis (EAU), à l’instar de l’Arabie Saoudite, ne sont pas restés les bras croisés et ont commencé à faire espionner le leader du Mouvement de la Résistance yéménite.
Un rapport révèle que les Émirats arabes unis et l'Arabie saoudite sont les clients d'une société d'espionnage israélienne, en particulier du programme d'espionnage «Pegasus ».
Rohani adresse ses félicitations aux dirigeants des pays islamiques à l'occasion de l'Aïd al-Adha
Rohani a également souhaité la consolidation des liens de fraternité et a prié Dieu Tout-Puissant pour la santé et le succès de l'ensemble du monde musulman.
Plus tôt mardi, le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a félicité ses homologues pakistanais, turc, omanais et sud-africain pour l'Aïd al-Adha lors d'entretiens téléphoniques séparés.
Le chef de l'ONU condamne fermement l'attaque terroriste à Sadr en Irak
Tout en exprimant ses condoléances aux familles des victimes, au gouvernement et au peuple irakiens, António Guterres a souhaité un prompt rétablissement aux blessés de cette attaque terroriste, selon Al-Sumariah News.
Cette attaque terroriste meurtrière avant l'Aïd al-Adha (fête du sacrifice) indique que le sinistre phénomène du terrorisme ne connaît aucune frontière, a ajouté le secrétaire général des Nations Unies.
Dans cette déclaration, il a souligné la nécessité de poursuivre immédiatement les auteurs de ce crime odieux et de les déférer devant les instances juridiques et judiciaires.
Au moins 29 personnes ont été tuées et 47 autres ont été blessées dans une attaque terroriste survenue lundi soir à Sadr City, en Irak.
Un avion de combat Mirage 2000 français s'écrase dans le nord du Mali
Le porte-parole a ajouté que deux pilotes se trouvaient à bord, tous deux ont survécu au crash, a rapporté l'agence de presse Sputnik.
L'avion de combat multirôle monomoteur est fabriqué par Dassault Aviation. Le dernier crash d'un chasseur Mirage 2000 remonte à 2019, lorsqu'un avion de l'Indian Air Force s'est écrasé, tuant les deux pilotes.
Plus tôt en mai, un autre chasseur Dassault Mirage F-1 s'est écrasé près de la base aérienne de Nellis, aux États-Unis. Le pilote a réussi à s'éjecter quelques instants avant que l'appareil ne percute le sol et n'explose. Il n'a toutefois pas survécu à l'accident.
Cet avion de combat est également en service à Taïwan, en Grèce, en Égypte, au Qatar et au Pérou.
L'Iran met en garde contre le double jeu des États-Unis dans la guerre contre le terrorisme
"Nous sommes témoins que les Américains jouent un jeu compliqué en Irak ces jours-ci, et il est naturel que de telles politiques ne contribuent pas à apporter la sécurité et la stabilité à l'Irak et compliquent plutôt la situation là-bas", a-t-il ajouté.
Rouhani a également déclaré que les États-Unis ont toujours joué un rôle destructeur dans la région, réitérant l'objection de l'Iran à toute ingérence étrangère dans les affaires intérieures des pays de la région.
"Les problèmes régionaux doivent être résolus entre les mains des pays de la région", a-t-il déclaré.
Soulignant les grands points communs entre les deux nations, Rohani a ajouté que Téhéran attache une importance particulière à la promotion de la stabilité, de la sécurité, de l'indépendance et de l'intégrité territoriale de l'Irak, rapporte Press TV.
"Nous considérons la sécurité et la stabilité de l'Irak comme les nôtres et soutenons la présence de ce pays musulman voisin dans les interactions régionales."
Par ailleurs, le président iranien a souligné la grande capacité de coopération bilatérale dans les domaines économique et commercial, exhortant les deux parties à mettre en œuvre les accords précédents, y compris l'important projet ferroviaire Shalamcheh-Basra, et à élaborer une feuille de route pour la coopération économique et commerciale.
Le Premier ministre irakien, pour sa part, a salué les relations "très amicales" et "solides" entre les deux pays et a appelé à des efforts conjoints pour consolider la coopération bilatérale et régionale.
Kadhimi a également apprécié le gouvernement et le peuple iraniens pour leur soutien à l'Irak dans sa lutte contre le terrorisme et Daech, et pour leur contribution à l'établissement de la paix, de la stabilité et de la sécurité dans son pays.
Niger : une nouvelle base d’espionnage USA-OTAN ?
« Le Niger est désormais doté d’un camp d’entraînement pour ses forces spéciales. Inauguré mercredi matin, il se situe à Tillia, dans la région de Tahoua, dans le sud-ouest du pays, vers la frontière malienne. Financé en partie par l’ambassade allemande, ce centre s’inscrit dans la stratégie globale de montée en puissance des forces spéciales au Sahel », c’est ce qu’on lit ce 17 juillet sur RFI.
Mais pourquoi une telle base au Sahel ?
Une base que l’ambassade allemande financerait alors même que Barkhane donnait l’impression de mettre fin à sa mission d’ingérence et de production de guerre quand le président français a annoncé sous forme d’une menace la suspension de sa mission.
La présence de l’Allemagne dans ce projet veut dire le renseignement allemand et donc la capacité de ce renseignement à appuyer les réseaux terroristes en termes d’informations, à créer des cellules terroristes rampantes et donc de faire tout un travail d’espionnage dans la base mentionnée.
La résistance populaire sahélienne a vaincu les armées classiques occidentales, un Occident qui tente en ce moment par ruse à la dénaturer et à proposer une contrepartie, d’où l’activisme du système de renseignent avec l’Allemagne.
Ce n’est pas sans raison si l’Allemagne a soudain décidé de présenter ses excuses après 100 ans de déni au sujet de ses crimes en Namibie. Mais dans le texte de RFI, il y a plusieurs éléments de réponse, à savoir la raison de l’inauguration d’une force spéciale au Sahel.
Premier élément de réponse : échec cuisant du scénario du démembrement des états du Sahel en cours depuis 2013 avec son apogée au Mali où la France vient de retirer ses troupes du Nord malien.
Deuxième élément de réponse : l’émergence à travers les états du Sahel d’une force populaire asymétrique qui a réussi au côté des armées nationales à mettre au pas le projet du terrorisme sahélien, monté de toute pièce par les services secrets US/OTAN et de surcroît de jouer un rôle de complémentarité au côté du couple état-armée.
Troisième élément de réponse : dénaturer cette force populaire en essayant de s’y opposer avec les forces spéciales occidentales qui ont pour mission de recruter des forces au sein des populations sahéliennes, de les réorganiser afin de mener des attaques terroristes et tout ceci dans l’objectif de diaboliser les forces populaires auprès des populations.
La tuerie de Solhan, a été un premier pas dans le sens de ce scénario, d’où les références quasi constantes de tous les médias mainstream, à la supposée faiblesse des forces populaires pour contrer cette attaque terroriste.
RFI de continuer : « L’ennemi est mobile, le terrain difficile, les voies de communication en mauvais état... De petites unités d’élite apporteraient donc plus de résultats que les forces conventionnelles. C’est en tout cas le discours porté par la France, notamment depuis l’annonce de la fin de l’opération Barkhane au Mali, annoncée par le président Macron en juin ».
Ceci explique clairement que l’axe US/OTAN a très bien compris que les forces armées nationales et populaires sahéliennes ont réussi à faire ce que cet axe n’a pas réussi à faire pendant des années ; il change de stratégie : c’est en recrutant ces mêmes forces armées élites que Barkhane tente d’affaiblir ces forces et de les transformer en des antidotes contre les forces populaires et nationales.
Mais cet axe oublie, ou fait semblant d’avoir oublié qu’actuellement, de plus en plus de pays d’Afrique montrent leur volonté de sortir du joug du néocolonialisme afin de préserver leur souveraineté. Les populations africaines, les gouvernements, les armées nationales s’unissent de plus en plus et forment un rempart au néocolonialisme.
Burkina : Kaboré met au pas tout complot
L’attaque d’il y a quelques semaines aux alentours de la base française de Gossi, dans le centre du Mali n’est pas passée inaperçue aux yeux du gouvernement burkinabé, qui, malgré les pressions de part et d’autre a tenu sa ligne de conduite et insiste sur sa politique de soutien des forces populaires.
C’est pour cela d’ailleurs que le Burkina Faso va installer 900 caméras de vidéosurveillance dans les villes d’Ouagadougou et de Bobo-Dioulasso.
Dénommé Smart Burkina, ce système de vidéoprotection proposé par la Chine sera déployé par groupe de trois caméras sur 220 sites de la capitale burkinabée et à Bobo-Dioulasso. 150 kilomètres de réseau en fibre optique seront construits pour interconnecter les différents sites.
Conscient « des inquiétudes quant aux risques d’atteinte à la vie privée des citoyens à travers le système de vidéosurveillance », le Premier ministre a assuré « que ce nouveau dispositif sécuritaire a pour ultime objectif de protéger et non de surveiller, de sécuriser et non d’épier ».
Bien que dans les médias mainstream, on ne parle presque jamais de la capacité du système de renseignement des pays africains notamment sahéliens, le Burkina Faso a très bien compris le jeu occidental et leur volonté de refaire un remake du scénario des attaques terroristes au Moyen-Orient notamment en Irak ou en Syrie.
Les motos vont se faire bientôt remplacer par des pick-up un peu comme en Irak et en Syrie
Kaboré sait très bien que les forces asymétriques sont visées, cette décision de l’installation des caméras de surveillance vise alors à monter la protection dans les grandes villes burkinabées.
En effet cette décision du gouvernement burkinabé est une grande gifle contre Barkhane et cie. Une Barkhane qui, depuis des années tentait d’entraver le processus de sécurisation des zones stratégiques par son soutien aux terroristes interposés, par l’affaiblissement de l’armée en lui fournissant des matériaux dégradés et enfin en fournissant du renseignement aux services secrets occidentaux.
L’axe US-OTAN- Israël devrait comprendre tôt ou tard qu’il est temps qu’il se retire du Sahel non pas pour laisser la place aux Américains ou aux Israéliens, mais tout bonnement aux gouvernements et armées nationales sahéliennes.
Nigeria : nouvelle cible de l’axe US-OTAN ?
Des hommes armés ont abattu un haut gradé de l’armée du Nigeria, le général Ahmed Hassan. Selon les informations, l’attaque a eu lieu le long de la route Lokoja-Abuja.
D’un autre côté, des images ont été publiées de plusieurs attaques récentes qui ont visé les forces gouvernementales et les civils dans différentes régions du Nigeria.
Que se passe-t-il au Nigeria ? Luc Michel, géopoliticien, nous en dit plus.
Les discussions entre l'Iran et les États-Unis auront un impact sur la région
Affirmant qu'il parlerait à la partie iranienne en raison du besoin de stabilité et de paix de l'Irak, M. al-Kadhimi a déclaré qu'il se rendrait en Iran peu après la prise de fonction du nouveau président.
Le Premier ministre irakien a également décrit les relations Bagdad-Riyad comme très bonnes et a souligné qu'il ne permettrait pas à l'Irak d'être un lieu de menace pour ses voisins.
Il a également déclaré que la protection des frontières était l'une des priorités de son pays.
Il a déclaré que l'objectif de sa visite aux États-Unis est d'établir des relations entre Washington et Bagdad.
Il n'y a pas besoin de forces de combat étrangères sur le sol irakien, a-t-il ajouté.
Le premier ministre irakien a accusé les groupes illégaux d'attaquer les sites diplomatiques de son pays, déclarant que ces groupes veulent faire de l'Irak un champ de bataille, mais que le gouvernement a pris des mesures sérieuses pour soutenir les sites diplomatiques et qu'il défendra sa souveraineté.
La Maison Blanche avait précédemment annoncé que le président américain Joe Biden accueillerait le premier ministre irakien le 26 juillet.
Le 7e cycle de négociations de Vienne se tiendra sous une nouvelle administration
"Cette question va se poursuivre de manière normale. Il est important que les intérêts du peuple et les décisions du système soient mis en œuvre. Au moment où les États-Unis reviendront à leurs obligations en vertu de la résolution 2231 et du PAGC et que nous les vérifierons, l'Iran reprendra ses engagements", a-t-il ajouté. "Nous devons attendre l'entrée en fonction de la nouvelle administration".