تقي زاده

تقي زاده

Le président syrien Bashar al-Asad a assuré que les relations de son pays avec l'Iran et l'Irak avaient été renforcées grâce à la lutte contre le terrorisme. Le président Bachar al-Assad a reçu aujourd’hui une délégation militaire irano-irakienne regroupant le général Mohammad Baqeri, chef d’état-major des forces armées iraniennes, le général Othman al-Ghanimi, chef d’état-major de l’armée irakienne, et un certain nombre de commandants militaires des deux pays, en présence du général Ali Abdullah Ayoub, commandant en chef adjoint de l’armée et des forces armées, ministre de la Défense. La rencontre a porté sur les développements actuels de la situation sur le terrain en Syrie et sur les moyens de consolider la coordination entre les trois pays au profit du côté opérationnel de la lutte contre le terrorisme sur le terrain. Le président al-Assad a affirmé que la relation rassemblant la Syrie avec l’Iran et l’Irak est une relation étroite qui avait été consolidée pendant la guerre au moment où le sang des forces armées syrienne, iranienne et irakienne s’était mélangé face au terrorisme et ses mercenaires considérés comme façade des pays qui les soutiennent. « Cette rencontre est une rencontre des principes, dont notamment la dignité, qui caractérisent nos peuples et dont nous sommes fiers, et montre que la bataille, la tranchée et l’ennemi sont les mêmes pour eux», a-t-il dit. De son côté, le général Mohammad Baqeri a assuré que la lutte contre le terrorisme et la défense de la Syrie sont une défense de l’Irak et de l’Iran, vu que ce terrorisme menace tous ces pays et vise la région entière, ce qui implique de la part des pays et des peuples de la région la conjugaison de leurs efforts afin de lutter contre ce phénomène. Pour sa part, le général Othman al-Ghanimi a affirmé que l’Irak est le fond de la Syrie et vice-versa, faisant savoir que la frontière entre les deux pays n’était point un obstacle et ne le sera pas devant l’unité des deux peuples frères qui partagent l’histoire, la géographie, les coutumes, les traditions et le sort. « Les forces irakiennes poursuivent la lutte contre les terroristes à la frontière irako-syrienne en coordination avec les forces armées arabes syriennes », a-t-il dit. En outre, le président al-Assad a écouté de Baqeri, al-Ghanimi et Ayoub un aperçu exhaustif sur les résultats de leurs réunions et les décisions prises durant lesquelles, insistant sur l’importance de la poursuite de la coordination et de la coopération entre les trois pays au profit de leurs intérêts et des objectifs communs.
Le président syrien Bashar al-Asad a assuré que les relations de son pays avec l'Iran et l'Irak avaient été renforcées grâce à la lutte contre le terrorisme. Le président Bachar al-Assad a reçu aujourd’hui une délégation militaire irano-irakienne regroupant le général Mohammad Baqeri, chef d’état-major des forces armées iraniennes, le général Othman al-Ghanimi, chef d’état-major de l’armée irakienne, et un certain nombre de commandants militaires des deux pays, en présence du général Ali Abdullah Ayoub, commandant en chef adjoint de l’armée et des forces armées, ministre de la Défense. La rencontre a porté sur les développements actuels de la situation sur le terrain en Syrie et sur les moyens de consolider la coordination entre les trois pays au profit du côté opérationnel de la lutte contre le terrorisme sur le terrain. Le président al-Assad a affirmé que la relation rassemblant la Syrie avec l’Iran et l’Irak est une relation étroite qui avait été consolidée pendant la guerre au moment où le sang des forces armées syrienne, iranienne et irakienne s’était mélangé face au terrorisme et ses mercenaires considérés comme façade des pays qui les soutiennent. « Cette rencontre est une rencontre des principes, dont notamment la dignité, qui caractérisent nos peuples et dont nous sommes fiers, et montre que la bataille, la tranchée et l’ennemi sont les mêmes pour eux», a-t-il dit. De son côté, le général Mohammad Baqeri a assuré que la lutte contre le terrorisme et la défense de la Syrie sont une défense de l’Irak et de l’Iran, vu que ce terrorisme menace tous ces pays et vise la région entière, ce qui implique de la part des pays et des peuples de la région la conjugaison de leurs efforts afin de lutter contre ce phénomène. Pour sa part, le général Othman al-Ghanimi a affirmé que l’Irak est le fond de la Syrie et vice-versa, faisant savoir que la frontière entre les deux pays n’était point un obstacle et ne le sera pas devant l’unité des deux peuples frères qui partagent l’histoire, la géographie, les coutumes, les traditions et le sort. « Les forces irakiennes poursuivent la lutte contre les terroristes à la frontière irako-syrienne en coordination avec les forces armées arabes syriennes », a-t-il dit. En outre, le président al-Assad a écouté de Baqeri, al-Ghanimi et Ayoub un aperçu exhaustif sur les résultats de leurs réunions et les décisions prises durant lesquelles, insistant sur l’importance de la poursuite de la coordination et de la coopération entre les trois pays au profit de leurs intérêts et des objectifs communs.
Le vendredi 24 mars 2019, Christchurch a été témoin d'un attentat terroriste visant les fidèles de la mosquée Al-Nour et de la mosquée Linwood dans la banlieue de Christchurch. Selon les dernières statistiques, cet acte terroriste a fait 52 morts et des dizaines de blessés. Brenton Harrison Tarrant, ressortissant australien de 28 ans et auteur de l’attentat, a tué 50 personnes et partagé les images de son crime sur les réseaux sociaux Facebook et Twitter. La première ministre Jacinda Ardern a qualifié de « terroriste » cette attaque et parlé d’une des « journées les plus sombres » jamais vécues par la Nouvelle-Zélande. L'incident terroriste néo-zélandais a également suscité des réactions de la part de la communauté internationale, des personnalités et des associations islamiques, bien que malheureusement, certains responsables politiques occidentaux aient refusé d'utiliser le terme "terroriste" pour cette terrible attaque, et l'ont décrite comme une attaque armée contre des fidèles. L’Agence de presse Iqna s’est entretenue avec Nadim Nasar, prêtre d’origine syrienne de l’église Marie Madeleine de Londres (affiliée à l’église anglicane) et directeur d’un centre d’enseignement et de recherches, qui a condamné cet attentat terroriste et déclaré que le terrorisme n’avait rien à voir avec la religion. « Les auteurs de ces crimes croient avoir raison et considèrent les autres comme des ennemis qui n'ont pas le droit de vivre. Ce qui s’est passé en Nouvelle-Zélande est un crime contre l’humanité tout entière. C’est pourquoi nous ne devons pas seulement condamner ce crime mais également lutter contre les sources du terrorisme religieux et idéologique. Je pense aussi que les réseaux sociaux et les jeux informatiques violents ont fortement incité l'auteur de ce crime à le diffuser directement dans le monde. Pour faire face à ces crimes, il faut accepter les autres et accepter que Dieu, avec sa puissance et son amour infini, nous a créés différemment. Il est de notre devoir de respecter ces différences et de les accepter comme une vérité et un véritable mode de vie. Tout au long de l'histoire, la violence n'a pas été en mesure d'éliminer la pensée. Notre devoir est de répandre la pensée religieuse et humaine, qui accepte les différences et le pluralisme, et glorifie Allah le Tout-Puissant, qui aime ces différences », a-t-il dit.
Un article sur la science, la religion et les miracles scientifiques du Saint Coran a été publié dans un journal du Ghana. Un article a été publié le 13 mars 2019, sur les relations entre la religion et les sciences dans le Daily Graphic qui est le journal le plus important du Ghana. Cet article d’Adam Jamal Nasser, responsable pédagogique de l’université islamique du Ghana, et professeur de cette université, présente les relations qui existent entre les sciences et l’islam, et est une réponse à l’article de Peter Sapung, prêtre catholique du Ghana, qui avait déclaré qu’il n’existait aucune relation entre ces deux domaines. Adam Jamal Nasser a pour cela fait allusion au verset 21 de la sourate « les prophètes » qui dit : “ أَوَلَمْ يَرَ الَّذِينَ كَفَرُوا أَنَّ السَّمَاوَاتِ وَالْأَرْضَ كَانَتَا رَتْقًا فَفَتَقْنَاهُمَا وَجَعَلْنَا مِنَ الْمَاءِ كُلَّ شَيْءٍ حَيٍّ أَفَلَا يُؤْمِنُونَ” Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte ? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas ? et fait allusion à la théorie du Bing Bang qui est la dernière théorie sur l’apparition de l’univers. Cet article présente aussi les étapes du développement de l’embryon, présentées dans le Coran, et le rôle de l’eau dans l’apparition de la vie.

L'heure est grave pour les entreprises pétro-gazière françaises au Liban : Le Français Jean-Pierre Lacroix qui préside au sous-secrétaire de l’ONU, chargé des opérations de maintien de la paix au Liban (Finul) devrait bien transmettre le message à ses supérieurs.

Lors d'une rencontre avec le président libanais, ce dernier a évoqué tour à tour deux dossiers comme si ces deux dossiers étaient bien imbriqués : le tracé des frontières maritimes du Liban, ce qui reste bien lié à la question de l'intégrité des réserves offshore libanais que pille Israël mais aussi la violation du ciel libanais par  ce même régime israélien qui a usé et abusé de l'espace aérien du pays du Cèdre pour frapper la Syrie. Ce n'est pas sans raison que le vieux routier de la politique libanaise aborde ces questions parallèlement et simultanément en présence d'un cadre français.  

Lors de la réunion avec ce responsable du maintien de la paix des Nations-Unies, Aoun a exprimé sa "frustration" devant le refus par "Israël de démarquer sa frontière maritime avec le Liban" : "Le Liban fait toujours face à l'opposition d'Israël à délimiter la frontière maritime dans la Zone économique exclusive, en dépit des propositions qui ont été faites à ce sujet". 

En provoquant une gigantesque panne d’électricité et en imposant des sanctions contre le secteur pétrolier du Venezuela, les États-Unis sont en train de se rattraper, leur plan destiné à lancer une action militaire contre la République bolivarienne ayant lamentablement échoué. Ce qui se passe actuellement au Venezuela est donc un « cyber coup d’État ». Mais les Américains vont-ils réussir à provoquer le divorce tant souhaité entre l'État et le peuple vénézuélien? Il semblerait que la réponse est négative. En coupant le courant électrique au Venezuela, les Américains ont provoqué une hausse du prix du pétrole qui ne va du tout servir leurs intérêts surtout si on y ajoute la baisse de la production du pétrole de l'OPEP. Mais les États-Unis jouent là leur va-tout : un effondrement de l'État vénézuélien pourrait à terme les débarrasser du poids de l'OPEP.

À l’approche des élections, les autorités israéliennes sont de plus en plus nombreuses à souhaiter lancer des opérations militaires afin d’anéantir la Résistance dans la bande de Gaza. Un petit coup de bluff dans le simple but d’attirer l’opinion publique des électeurs israéliens qui disent que les Palestiniens ne comprennent que le langage de la force.

L’ancien ministre israélien de la Guerre et chef du parti Beitenou, Avigdor Liberman, a prétendu que si l’armée israélienne n’en finissait pas avec ce qui se passe sur le front du sud, elle sera confrontée à une situation similaire dans le nord.

L’autre ancien ministre de la Guerre, Moshe Yaalon, a déclaré à ce propos : « Le Hamas sait que nous sommes à la veille des élections et que nous ne cherchons pas la guerre. Il en profite pour faire pression sur nous. Imaginez être visé par 470 missiles du Hamas et ne pas réagir, cette situation est une véritable catastrophe. »

Alsnawar, un dirigeant du Hamas, sait bien qu’on peut faire pression sur Israël sans aucun affrontement et obtenir des gains politiques, surtout qu’au seuil des élections, Netanyahu se trouve dans une situation très difficile.

La réalité est que les Israéliens ont peur de la guerre

Zaeif Awadid Menahem, un sociologue israélien, évoquant la peur provoquée par les roquettes de la Résistance palestinienne, a déclaré : « Il ne faut pas oublier la vie dans les abris, les systèmes d’alarme et le cri de ceux qui fuient vers le refuge. »

Il est indéniable que la Résistance palestinienne est devenue le cauchemar des Israéliens et que ces derniers ne se sentent pas un seul instant en sécurité.

Le président du Comité de la Défense de la Doum avertit les pays non nucléaires que la participation à des exercices nucléaires menés par les États-Unis pourrait être la cible d’une frappe de représailles de la Russie en cas de conflit.

S’exprimant lors d’une conférence de presse lundi pour les attachés militaires étrangers, le président de la commission de la Défense de la Douma (chambre basse du parlement russe), le général Vladimir Chamanov, a mis en garde les pays non nucléaires qui participeraient aux exercices nucléaires des États-Unis.

« La Russie ne peut pas exclure la possibilité que les États-Unis doteraient dans un proche avenir leurs avions de missile nucléaire », a indiqué le général russe.

« Nous n’envisageons pas d’être les premiers à déployer nos missiles à courte portée et à longue portée en Europe, tant qu’il n’y aura pas de systèmes analogues américains sur le Vieux Continent », a-t-il affirmé.

Les États-Unis ont consacré un fonds particulier pour contrer l’Iran, ce qui va dans le cadre de leur stratégie à mainte reprises échouée de s'investir dans un combat perdu d'avance. 

Le lundi 11 mars, le secrétaire d’État adjoint des États-Unis, John J. Sullivan, a donné un nouveau souffle aux positions anti-iraniennes de Washington et fait part d’un nouveau fonds consacré à la lutte anti-iranienne dans le budget 2020.

« Notre demande de budget pour l’année fiscale de 2020 inclut un Fonds de Progrès diplomatique afin de pouvoir répondre efficacement aux nouvelles opportunités découlant des avancées diplomatiques et pacifiques et des besoins émergents en matière de lutte contre l’Iran », a déclaré John J. Sullivan.

Les États-Unis s’apprêtent à perpétrer un nouveau complot de connivence avec Daech. Selon le journal turc Yeni Şafak, il existe des preuves d’après lesquelles l’agence centrale de renseignement américaine (CIA) a procédé à l’interrogatoire de quelque 2 000 membres du groupe terroriste Daech se trouvant dans les camps contrôlés par le Parti des travailleurs du Kurdistan. « 140 daechistes ont reçu de faux passeports américains », ajoute la même source.

Le journal Yeni Safak ajoute que les Américains ont des plans secrets visant à évacuer des terroristes de Daech par le biais du territoire irakien, avec de faux noms, faux papiers et faux passeports.