تقي زاده

تقي زاده

samedi, 04 mars 2023 21:18

Sachez que tout a un précipice

Un jour,  Dame Zaynab (as) parlait avec ses frères, Al-Hassan (as) et Al-Hussain (as), au sujet d’un discours du Saint Prophète (sawas). 
S’adressant à ses frères (as), elle a dit: " Je vous ai entendu citer que le Prophète avait dit que certains actes sont explicitement permis et certains sont explicitement interdits; mais certains sont douteux, dont la plupart ne peuvent accéder au décret."
Puis Dame Zaynab (as) a expliqué ainsi: "Quiconque s'abstient de questions douteuses, protège sa religion, et quiconque commet des actes douteux, son pied glisse vers l'interdit, comme un berger qui fait traverser ses moutons près d'un précipice, il est certain que ces moutons tomberont dans celui-ci.
Sachez que tout a un précipice. Les faits que Dieu a interdit forment un précipice, et commettre des faits douteux, c'est comme marcher près de ce précipice qui nous fera tomber et devrait être évité."
Majlisi, 1403 AH, V. 16: 210 et v. 68: 382

Le président iranien Ebrahim Raïssi a déclaré que Téhéran s'attend à ce que l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) adopte une vision « assez professionnelle » de son programme d'énergie nucléaire et s'abstienne d'être affectée par des pouvoirs politiques qui poursuivent leurs propres objectifs spécifiques.

Lors d'une réunion avec le directeur général de l'AIEA, Rafael Grossi à Téhéran ce samedi 4 mars, Ebrahim Raïssi a déclaré que l'Iran avait eu le plus haut niveau de coopération avec l'agence sur la base de son geste de bonne volonté.

Soulignant les négociations de Grossi avec des responsables iraniens à Téhéran, le président Raïssi a exprimé l'espoir que l'AIEA agira sur la base d'un comportement professionnel et équitable et du principe de neutralité pour annoncer les réalités concernant les activités nucléaires pacifiques de l'Iran et le respect des réglementations par le pays.

Il a déclaré que les visites des responsables de l'AIEA à Téhéran témoignent de la « ferme détermination de la République islamique d'avoir une coopération constructive avec l'agence ».

Réitérant la nécessité d'utiliser l'énergie nucléaire dans l'industrie, l'agriculture et la médecine pour améliorer le bien-être des gens, Raïssi a déclaré : « Certains pays, les États-Unis et le régime sioniste (Israël) en tête, ont utilisé la question nucléaire comme excuse pour mettre plus de pression sur le peuple iranien, alors que ce régime n'est pas devenu membre de l'agence et n'agit pas selon ses règlements. »

Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a réaffirmé que toute attaque militaire contre des installations nucléaires est interdite, répondant aux menaces américaines et israéliennes de cibler les sites nucléaires en Iran.

Grossi a fait ces remarques à Téhéran samedi 4 mars, lors d'une conférence de presse conjointe avec le chef de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique, (OIEA) Mohammad Eslami, qui a exhorté l'AIEA à aider à instaurer la confiance.

L'administration Biden s'est rapprochée d'Israël ces dernières semaines, menant des exercices militaires conjoints à grande échelle avec le régime de Tel-Aviv.

Le mois dernier, l'ambassadeur américain en Israël, Tom Nides, a prétendu que « toutes les options sont sur la table » contre l'Iran et qu’ « Israël peut et doit faire tout ce dont il a besoin, et nous les soutenons ».

« Il y a deux problèmes distincts à cet égard. Premièrement, les attaques contre les centrales nucléaires sont malheureusement devenues courantes, et cela est dû à la guerre en Ukraine. Deuxièmement, ces attaques ont été condamnées lors des conférences publiques de l'Agence. Je pense donc que l'attaque contre les installations nucléaires est totalement condamnable et illégale », a expliqué Grossi.

Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, Rafael Grossi, est arrivé vendredi à Téhéran pour des discussions sur le programme nucléaire iranien. Un rapport compilé par l'organisme de surveillance nucléaire de l'ONU indique que des particules d'uranium enrichies à près de 84 % ont été trouvées dans l'installation nucléaire de Fordo, lors d'une inspection le 22 janvier.

Des milliers de personnes ont manifesté samedi en Tunisie contre la détérioration des conditions économiques dans ce pays d'Afrique du Nord.

La manifestation de masse appelée par le puissant syndicat tunisien UGTT intervient au milieu d'une crise politique profonde qui a aggravé les conditions économiques du pays depuis 2021, lorsque le président tunisien Kaïs Saïed a dissous le Parlement et pris le pouvoir exécutif.

"L'UGTT n'acceptera aucune restriction aux libertés en Tunisie", a déclaré le secrétaire général de l'UGTT, Noureddine Taboubi, aux manifestants.

"L'UGTT dénoncera tout acte de violence ", a déclaré Taboubi. "Nous voulons un changement pacifique par le biais de mécanismes démocratiques", a-t-il ajouté.

 

La France, l’Allemagne, l’Italie, la Pologne, le Royaume-Uni et l’Espagne ont exprimé ce samedi dans un communiqué commun sans précédent de leurs chefs de la diplomatie leur vive préoccupation face à la poursuite et l'aggravation de la violence dans les territoires palestiniens occupés et appelé le régime israélien à revenir sur sa décision d’approuver la construction de milliers de logements en Cisjordanie.

Les signataires du communiqué ont fermement condamné « les violences aveugles des colons israéliens contre les civils palestiniens » ajoutant que les auteurs de tous ces actes « doivent rendre des comptes et être poursuivis en justice ». Ils se sont par ailleurs dits profondément attristés par toutes ces pertes humaines.

De telles mesures [inhumaines contre les Palestiniens, NDLR] ne peuvent mener nulle part, sauf à davantage de violence, indique le texte avant de poursuivre : les responsables doivent répondre pleinement de leurs actes et faire l'objet de poursuites judiciaires. Toutes les actions unilatérales qui menacent la paix et incitent à la violence doivent cesser.

Se référant à la réunion de sécurité entre l'Autorité palestinienne et le régime sioniste sous l'égide des États-Unis, tenue le 26 février en Jordanie, à Aqaba, ils ont exhorté toutes les parties à s'abstenir de faire dérailler ce processus fragile et les ont appelées à tenir les engagements qu'elles ont pris lors de la réunion.

La répétition de grèves d’envergure et régulières et la tenue de plusieurs manifestations pour protester contre le nouveau plan du gouvernement Macron visant à faire passer l'âge de la retraite de 62 à 64 ans, ainsi que le ralentissement économique et industriel, ont généré une crise sans précédent dans le processus de vie des citoyens français.

Une crise qui, jusqu'à hier, avait mobilisé les agriculteurs, les industriels, les ouvriers, les militants de l'industrie aérienne et ferroviaire, les travailleurs portuaires et même les étudiants contre la politique de Macron, elle a aujourd'hui mobilisé les employés des centrales nucléaires, qui en sont le pouls de la production d'énergie en France.

Dans ce droit fil, Le Figaro a rapporté que les salariés de l'électricien EDF opposés à la réforme des retraites se mobilisent sans attendre la journée du 7 mars.

 

Alors que la nouvelle saison de Formule 1 commence demain, 5 mars 2023 à Bahreïn, le Grand Prix semble avoir plus que jamais pris une tournure politique. Le site Web Manama Post revient sur le sujet faisant référence à la détérioration de la situation des défenseurs des droits de l'homme à Bahreïn, dont des arrestations arbitraires parmi les militants.

Manama Post, revient sur le cas particulier d'Abdulhadi Al-Khawaja, arrêté brutalement à son domicile en 2011, après avoir participé aux manifestations populaires pacifiques au Bahreïn. Il a par la suite été soumis à des tortures et condamné simplement pour avoir défendu les droits de l'homme dans le pays. 

L'Organisation internationale, Amnistie internationale a une fois de plus appelé les autorités bahreïnies à libérer sans délai ni condition Abdulhadi Al-Khawaja, militant des droits de l'Homme en détention, et a lancé une pétition en faveur de sa libération et de l'annulation des peines prononcées contre lui, selon Manama Post.

L'activiste bahreïni qui aujourd'hui a 61 ans, a été condamné le 22 juin 2011 ainsi que huit autres militants à la réclusion à perpétuité pour ses activités en faveur des droits de l'homme au Bahreïn.

Plusieurs organisations internationales de défense des droits de l'homme ont envoyé une lettre conjointe à l'instance dirigeante du sport automobile, la Fédération internationale de l'automobile (FIA), exprimant leurs graves préoccupations concernant le rôle des courses de Formule 1 dans le blanchiment des dossiers des droits de l'homme à Bahreïn. Dans la lettre, les organisations ont fait référence aux violations et aux traitements inhumains auxquels sont soumis les défenseurs des droits de l'homme et les militants détenus dans les prisons de Bahreïn.

Le père d'une fille iranienne a catégoriquement rejeté les allégations des médias occidentaux selon lesquelles sa fille est décédée à la suite d'un récent incident d'empoisonnement dans son école de la ville sainte de Qom, soulignant qu'elle souffrait d'une maladie infectieuse et d'un trouble rénal avant sa mort.

Abolqasem Rezaei a déclaré que sa fille de 11 ans, Fatemeh, élève à l'école primaire de Toliat, ne s'était pas présentée en classe depuis près de trois semaines, et qu'aucun empoisonnement d'écolières n'avait été signalé au centre éducatif.

« La douleur et l'infection de ma fille ont commencé environ une semaine avant sa mort. Même avant d'être ravagée par la douleur, elle n'était pas allée à l'école pendant un total de trois semaines. L'école de ma fille a été fermée pendant les deux premières semaines en raison de réparations du système de chauffage, et la semaine suivante, elle n'est pas allée en cours en raison de nos inquiétudes concernant sa situation », a ajouté le père.

En réponse à la récente allégation de Washington sur la nécessité de réduire la menace nucléaire chinoise, Pékin affirme que l'Amérique est elle-même la plus grande source de menace nucléaire au monde.  

Les accusations de Washington contre l'arsenal nucléaire chinois ne sont qu'un « prétexte » pour continuer à développer le sien, a déclaré le ministère chinois des Affaires étrangères.

« Les États-Unis sont la plus grande source de menace nucléaire au monde. Ils devraient repenser soigneusement leur politique nucléaire, s'acquitter avec diligence de leur devoir spécial et primordial de désarmer, réduisant ainsi le rôle des armes nucléaires dans la politique de sécurité nationale, et prendre des mesures pratiques significatives pour atténuer les risques nucléaires », a déclaré la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Mao Ning, lors d’une conférence de presse le vendredi 2 mars.

Elle a ainsi accusé Washington de chercher à maintenir « l'hégémonie militaire » sur d'autres pays après que les responsables américains ont déclaré la nécessité de régner sur le programme d'armement de Pékin.

 

Le chef de l'industrie de l'Union européenne a déclaré que le bloc devrait passer à un modèle économique « de guerre » s'il espère répondre aux besoins de Kiev. Des responsables ukrainiens de haut rang ont souhaité recevoir des obus d’artillerie meurtriers de leurs sponsors étrangers.

Le commissaire chargé du marché intérieur, Thierry Breton, a discuté des plans visant à renforcer les expéditions d'armes et de munitions vers l'Ukraine lors d'un entretien avec le journal britannique Financial Times. Il travaille avec le chef de la politique étrangère de l'UE, Josep Borrell, pour accroître la capacité industrielle en Europe, réduire les goulots d'étranglement et la pression des banques à augmenter leurs prêts pour faciliter les transferts militaires vers Kiev, a-t-on appris de RT.