
تقي زاده
Al-Baghdadi abattu: Moscou met en doute le succès de l’opération américaine
La Défense russe a affirmé ne pas disposer d’informations fiables sur l’opération menée par les États-Unis lors de laquelle le chef de Daech, Abou Bakr al-Baghdadi, a été tué.
Le président des États-Unis, Donald Trump, a annoncé ce dimanche la mort du chef de l’organisation terroriste Daech, Abou Bakr al-Baghdadi, lors d’une opération militaire américaine dans le nord-ouest de la Syrie.
D’après le président Trump, un grand nombre de compagnons du chef de Daech auraient été également tués lors d’un assaut des forces spéciales américaines.
Selon un communiqué de l’armée américaine, Abou Bakr al-Baghdadi s’était réfugié dans un tunnel creusé pour sa protection près d’un village de la province syrienne d’Idlib. Le communiqué souligne que des hélicoptères ont visé une maison et une voiture aux abords du village de Baricha à Idlib.
Après l’annonce faite par le président américaine pour confirmer la nouvelle, le ministère russe de la Défense a déclaré ce dimanche qu’il ne disposait d’aucune information fiable sur l’opération américaine qui aurait mené à la mort du chef de Daech, a rapporté l’agence russe RIA Novosti.
« Le ministère russe de la Défense ne dispose pas d’informations fiables concernant des soldats américains conduisant une opération visant à éliminer pour la énième fois le chef de Daech, Abou Bakr al-Baghdadi, dans une localité sous contrôle turc dans la zone de désescalade d’Idlib », a annoncé le général Igor Konachenkov, porte-parole du ministère russe de la Défense.
Le ministère russe de la Défense a fait, par ailleurs, état de « détails contradictoires qui soulèvent des doutes sur le succès de l’opération américaine ».
Selon le général Konachenkov, le nombre croissant de ceux qui annoncent leur participation à l’élimination d’al-Baghdadi et diffusent des détails contradictoires de l’opération jette le doute sur la réalité de l’opération comme telle et de sa réussite.
« Nous ne sommes au courant d’aucune contribution présumée quant au passage de l’aviation américaine dans l’espace aérien de la zone de désescalade d’Idlib lors de cette opération », a souligné le porte-parole de la Défense russe.
La guerre dont n'échappera pas le régime israélien
Un orientaliste sioniste conseillait samedi aux Libanais de ne pas déserter la rue puisque des manifestations permanentes finiraient par épuiser la « force militaire du Hezbollah ». Par ce conseil, il laissait entendre qu'Israël n'est guère étranger à ce qui se passe au Liban.
Mais il y a plus: à regarder de plus près, l'analyste israélien est sur le point de suggérer que la force armée du Hezbollah, garante de la sécurité du Liban et de la protection de son peuple, risque de retourner contre ce dernier. Il y a deux jours le secrétaire général du Hezbollah répondait d'ailleurs à cette perfide idée qui ne vise, à vrai dire, qu'à briser la sacrée équation libanaise, essence même de sa force anti-israélienne: Armée-Nation-Hezbollah. Mais ce traître message renferme paradoxalement une crainte, celle dans laquelle se trouve l'armée israélienne: alors que la presse israélienne disserte sans cesse sur les événements en cours au Liban, les Palestiniens, eux, intensifient une guerre qui épuise l'armée israélienne.
Egypte: les forces de défense aérienne russes arrivent
Le porte-parole des forces armées égyptiennes a déclaré dans un communiqué que « des éléments des forces de défense antiaérienne russe sont arrivés en Égypte pour participer aux activités de formation conjointes égypto-russes de la défense antiaérienne (Arrow Friendship-1), organisées par l'Égypte pour la première fois entre les deux parties. Les exercices se dérouleront jusqu'au 7 novembre sur le territoire du centre tactique d'entraînement des forces de défense aérienne égyptiennes (EADF). Plus de 100 militaires russes participeront aux exercices. La partie russe est représentée aux exercices par des artilleurs anti-aériens de différentes unités de la région de Volgograd, du territoire de Krasnodar, de l’Ossétie du Nord et de la Crimée.
Selon Al-Masdar News, les exercices comprennent « l'échange d'expériences de formation dans le domaine de la défense aérienne à la lumière du développement d'armes d'attaque aérienne et des moyens de les combattre, ainsi que la formation à la sécurisation de l'espace aérien et à la défense d'objectifs essentiels ».
Les exercices utilisent des équipements militaires russes, notamment des systèmes de missiles anti-aériens Tor-M2E et Buk-M2E, ainsi que des systèmes de missiles anti-aériens portables Igla et des systèmes anti-aériens automoteurs Shilka, utilisés par l'EADF.
Au cours du même mois de l'année dernière, les deux pays ont organisé un exercice tactique baptisé «Hama-Friendship 2018», auquel ont participé plus de 400 membres du personnel militaire des deux pays, 10 pièces d'équipement militaire, 15 avions et hélicoptères à diverses fins, ainsi que plusieurs aéroports.
Lors de sa rencontre avec son homologue russe, Vladimir Poutine, en marge du sommet russo-africain dans la station balnéaire de Sotchi, le président égyptien Abdel Fattah al-Sisi a déclaré que son pays était intéressé par le développement de la coopération avec la Russie dans le domaine militaire et technique.
« En ce qui concerne le domaine militaire, nous souhaitons développer la coopération dans cette direction, car nous considérons la Russie comme un partenaire traditionnel dans le domaine de la coopération technico-militaire depuis plusieurs décennies », a déclaré al-Sisi.
Le Sénégal rend obligatoire les visas pour les ressortissants étrangers
Depuis un certain temps, Macky Sall a exprimé sa volonté d’assurer le développement des capacités locales tout en s’appuyant sur les compétences des entreprises sénégalais et en diversifiant ses coopérations avec des pays non pas anglo-saxons mais plutôt de l’axe de l’Est.
C’est pour cela d’ailleurs que lors du sommet de Sotchi, Macky Sall a exprimé sa volonté de coopérer avec la Russie dans divers domaines :
« La Russie, par son savoir-faire, technologique, avec ses compagnies publiques et privées, associées à des partenaires africains, peut grandement contribuer à la réalisation du projet d’émergence de l’Afrique, grâce à des instruments de financements adéquats, surtout dans la nouvelle perspective de Zone de Libre Echange Continentale africaine », a notamment dit Macky Sall.
Le secteur d’énergie est un secteur clé régulièrement mis à profit par les occidentaux afin de semer le trouble dans les pays africains.
En durcissant l’entrée des ressortissants étrangers sur le territoire sénégalais et en mettant les bouchés doubles sur le développement du secteur énergétique, Macky Sall sort le grand jeu et semble être décidé à ne pas refaire la même erreur: faire confiance à la force d’occupation.
Les USA ont-ils dépouillé Israël de ses cartes avant de l'envoyer dans l'arène face à l'Iran?
Israël est en état d’alerte puisqu'il s'attend à ce que les drones et les missiles de croisière iraniens viennent s'abattre sur les sites sensibles, à l’image de ce qui s’est passé le 14 septembre en Arabie saoudite où Aramco a été visée par 20 drones d’Ansarallah. Vendredi, le chef d’état-major israélien Aviv Koutchavi a reconnu un front nord particulièrement fragile et tendu qui pourrait s’enflammer à tout moment et dont les étincelles ne tarderaient pas à raviver le front sud. Et pourtant, Koutchavi n’est pas allé jusqu’à évoquer comme Netanyahu l’idée des frappes préventives contre la Résistance. Pourquoi? Le retrait US du Nord-Est et la fin du projet dit « Rojava » ont été, ni plus ni moins, une flèche fatale tirée en direction d’Israël.
L’important allié kurde d’Israël a ainsi été « marginalisé » dans la foulée d’une reconfiguration de force qu’a décidée la Maison-Blanche sans visiblement trop penser aux intérêts à long terme de Tel-Aviv. Car, que les Kurdes soient démantelés dans le Nord-Est et qu’ils finissent par la force des choses à rallier l’armée syrienne et la Russie, c’est là, une importante perte stratégique pour un Israël qui se servait des villes du Nord-Est comme base-arrière pour frapper au drone les positions de la Résistance sur l’est de l’Euphrate. Sans « Rojava », Israël se voit privé aussi de sa capacité à fournir des armes et des fonds aux terroristes des YPG et au PKK, ce qui a un impact direct aussi bien en termes économique (pétrole de contrebande syrien, NDLR) que sur le plan géostratégique sur Israël. Le Nord-Est syrien, Israël comptait en faire un Kurdistan irakien bis là où « Aman », service secret intérieur d’Israël, possède des sites pour y espionner la Résistance.
Zone tampon allemande: l’ONU gratifie l'idée, la Turquie ne dit pas "non"
Vendredi, l'armée syrienne a pris position sur les frontières avec la Turquie et plus précisément dans la banlieue nord de la province de Hassaké. Des centaines de Kurdes de Syrie, ceux-là même qui jetaient il y a quelques jours des pierres en direction des blindés américains fuyant Hassaké, s'étaient rassemblés pour accueillir les forces de l'armée nationale.
Les effectifs de l’armée sont ainsi entrés dans le village d’Umm al-Kahf sur la route de Tall Tamer à Ras al-Aïn, localité qu'occupe la Turquie pour le moment, suivant les termes mêmes du mémorandum de Sotchi. Rien qu'a suivre les slogans scandés par les habitants de Hassaké, tous en faveur du déploiement rapide de l'armée national, l'observateur averti comprend que la tache ne s'annonce pas si facile pour l'OTAN. Car au fait, en préservant Ras al-Aïn et Tall Abyad, la Turquie, membre actif de l'OTAN pourrait bien ouvrir la porte du nord syrien aux supplétifs européens de Washington tandis que se dernier, en repli non autorisé en Irak, masserait ses troupes plus au sud, à al-Anbar et à Salaheddine, pour contrer toute avancée des forces patriotiques irakiennes à savoir celles-là mêmes qui ont fait l'échec au projet Daech.
Moscou dit non à la présence de l'OTAN dans le nord de la Syrie
Les États-Unis et leurs alliés au sein de l’OTAN seraient en quête d’une nouvelle base dans le nord de la Syrie ; tentative qui n’est pas du goût des Russes. Pour cela, la diplomatie russe a farouchement exprimé son opposition à la nouvelle manigance de l’Occident dans la région.
Dans un récent discours sur l'accord conclu entre Moscou et Ankara autour des récents développements dans le nord de la Syrie, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a annoncé que son pays s'opposerait à toute implication de l'OTAN dans la création d'une zone de sécurité dans la région kurde au nord de la Syrie.
Alors que le ministère russe de la Défense a fait part du déploiement de 300 forces de police dans le nord de la Syrie afin de faciliter le retrait des milices kurdes et des munitions de la frontière turco-syrienne, le patron de la diplomatie russe s’est exprimé sur l'idée de certains pays occidentaux sur l'intervention de l'OTAN en Syrie.
Visite d'Emmanuel Macron à la Réunion marquée par des violences
À en croire les médias français et la presse dominante, des manifestations il n'y en a qu'au Liban et en Irak. Pas un mot de ce qui se passe ce vendredi en Outre-mer quand y a débarqué le président français Emmanuel Macron qui survit difficilement au mouvement des Gilets jaunes qui dure depuis bientôt un an. Un chômage qui touche plus de 70% des jeunes réunionnais et un président indifférent qui s'en moque. Alors que les médias en France dissertent sur le dysfonctionnement des régimes politiques en Irak et au Liban suggérant même à la population de ne pas déserter les rues, leur silence suscite à plus d'un titre des interrogations: le régime macronien est-il reconnu et approuvé par une majorité des Français ?
La visite d'Emmanuel Macron à la Réunion, toujours en situation de crise sociale aiguë, un an après la naissance du mouvement des « Gilets jaunes », est émaillée de manifestations et de heurts. Des heurts ont notamment éclaté jeudi soir 24 octobre entre une centaine de jeunes et des forces de l'ordre au Port, a constaté un journaliste de l'AFP. Des jets de pierres et des tirs de lacrymogène ont été échangés sur le rond-point de la Rivière des galets.
Des poubelles et des voitures qui se trouvaient sur le parking d'une concession automobile aux abords du rond-point ont été brûlées, et un énorme panache de fumée était visible.
QUI ES-TU HUSSAIN ?
- L'IMÂM HUSSEIN ibn ALÎ, était un LEADER RÉVOLUTIONNAIRE du 7ème SIÈCLE, qui se SACRIFIA pour la JUSTICE SOCIALE, face à la CORRUPTION, et la TYRANNIE.
- Il donna tout ce qu’il avait, y compris sa VIE, et celle de ses ENFANTS, pour SAUVER l’HONNEUR, de ceux qui se trouvaient autour de lui.
- HUSSEIN ibn ALÎ, est NÉ en 620 de l’ÈRE chrétienne, au sein d’une FAMILLE (AHLOUL-BEYT), réputée pour ses valeurs d’AMOUR, d’HONNEUR et de PAIX.
- Élevé par son GRAND-PÈRE Muhammad (le Prophète de l’HUMANITÉ), HUSSEIN était connu pour son INTÉGRITÉ, sa GÉNÉROSITÉ d’ESPRIT, et son REFUS de faire une distinction entre les différentes classes sociales, et les Couleurs de PEAU.
- C’est pour cette RAISON, que les GENS affluaient vers lui, et sa famille.
- Aujourd’hui, HUSSEIN ibn ALÎ, est enterré dans la terre de KARBALA en IRAK, et des MILLIONS de VISITEURS, viennent lui rendre HOMMAGE chaque année.
HUSSEIN, était un homme d’INTÉGRITÉ, et d’HONNEUR :
- Même s’il était considéré comme le “PRINCE” de sa tribu, et une figure éminente au sein de l’Empire Islamique, HUSSEIN évitait la NOBLESSE de son STATUT, et préférait rompre son PAIN en compagnie des PAUVRES, et des NÉCESSITEUX.
- Il rompait tous les moules culturels, instaurait la PAIX entre les GENS, et aidait dans la mesure du possible.
- Peu de temps après le décès de Muhammad, la direction du vaste EMPIRE ISLAMIQUE, était tombé entre les mains de personnes CORROMPUES, les Bani Omeyya ..
- Les bonnes valeurs que Muhammad avait inculquées à la société tout au long de sa VIE, disparaissaient petit à petit, alors que le nouveau dirigeant, YAZID de la DYNASTIE des Omeyyades, était déterminé à prendre le CONTRÔLE absolu.
HUSSEIN fit le SACRIFICE ULTIME :
- HUSSEIN choisit de se soulever contre Yazid, et fût forcé de quitter sa ville de résidence, menacé d’être TUÉ.
- Accompagné des membres de sa famille et de ses compagnons, HUSSEIN avança vers l’Est, à la recherche de personnes qui voudraient bien le SOUTENIR dans son soulèvement, et afin d’éviter toute forme de VIOLENCE.
- C’est durant ce VOYAGE que HUSSEIN, sa FAMILLE, et ses COMPAGNONS, fûrent forcés de s’arrêter sur les plaines chaudes, de la terre de KARBALA, par une armée de plus de 30.000 Soldats .... contre 72.
- En 680 de l’ÈRE chrétienne, au bout de trois jours de FAIM et de SOIF, sous la CHALEUR intense, HUSSEIN se souleva et défendit vaillamment, ceux qui étaient OPPRIMÉS, car il tenait à ses PRINCIPES.
- Ce qui rend le soulèvement de HUSSEIN extraordinaire, est le fait qu’il choisit de se soulever, contre une ARMÉE gigantesque, alors qu’il n’avait que 72 compagnons avec lui.
“MOURIR avec DIGNITÉ, est MEILLEUR, que VIVRE dans l’HUMILIATION”, disait-il :
– L’héritage de HUSSEIN, continue d’inspirer :
- À travers sa FIN TRAGIQUE, et son ACTE de SACRIFICE Héroïque, HUSSEIN obtint en fin de compte la VICTOIRE.
- Son DÉCÈS devint le CATALYSEUR du changement RÉVOLUTIONNAIRE, et provoqua la chute du RÈGNE Tyrannique de YAZID.
- HUSSEIN s’accrocha fermement à ses principes jusqu’au dernier souffle, et son Héritage continue d’INSPIRER des MILLIONS de personnes, partout dans le monde.
- Des révolutionnaires comme Che Guevara, et bien d'autres personnes dans le monde, ont été INSPIRÉES par le SOULÈVEMENT de HUSSEIN, par son ALTRUISME, son COURAGE, et sa DÉTERMINATION.
- L’histoire de HUSSEIN ibn ALÎ, demeure comme une INSPIRATION pour TOUS ..
- Et en particulier pour le HEZBOLLAH .... Peu importe sa couleur de PEAU, ou sa CROYANCE ..
- COMMENT NE PAS T'AIMER YA HOUSSEIN !!!
La contre-offensive du Hezbollah!
Dans son discours du vendredi après midi, le secrétaire général du Hezbollah a lancé le consigne : un mouvement spontané contre la corruption est sur le point d'être détourné de son objectif initial, depuis que "certains courants" visiblement en lien avec "certaines ambassades et services secrets" exigent le changement du régime libanais, " le renvoi du dossier libanais devant le Conseil de sécurité e pour q'il soit placé sous le chapitre 7 de la charte de l'ONU"!
Le secrétaire général du Hezbollah qui a soutenu les reformes, s'est porté garant de leur application, car "la Résistance dont les partisans font partie des couches les plus défavorisées au Liban, ne fait jamais des promesses en l'air.
Depuis vendredi, donc, le tandem US/Israël a perdu des points, son projet d'"une guerre civile à déclencher au Liban", une guerre propre à impliquer le Hezbollah de façon à ce "l'arme de la Résistance" perde sa nature protectrice pour devenir un outil de massacre, a du plomb dans l'aile. Les partisans du Hezbollah désertent les rues du Liban.
À moto et en voiture, un grand nombre de partisans du mouvement de Résistance libanais sont descendus dans la rue à la fin du discours du secrétaire général du Hezbollah sur le thème des récentes évolutions au Liban. Selon la chaîne de télévision al-Mayadeen, les groupes de partisans du Hezbollah ont quitté la place des Martyrs, à Beyrouth, capitale libanaise.
Seyyed Hassan Nasrallah a appelé, lors de son discours, ses partisans à se retirer des places et des avenues où se déroulent les protestations en raison des halos d’incertitude qui entourent ces manifestations, et surtout des courants qui soutiennent le blocage permanent des artères, la fermeture des écoles et des commerces, quittent à nuire à l'économie libanaise. Dans son discours, le secrétaire général du Hezbollah s'est fermement opposé à la démission du gouvernement qui créerait un vide dont profiterait les ennemis du Liban et mis en garde contre les risques d'une guerre civile. " Il suffit de suivre l’enthousiasme avec lequel les médias saoudiens et israéliens font leur manchette sur les événements au Liban pour comprendre qui cherchent à surfer sur la vague des protestation", a conseillé Nasrallah.
Certains courants espèrent pouvoir tourner la grogne sociale au Liban, l'un des pays les plus endetté au monde pour cause de sa politique néolibérale dictée par l'Occident, en une guerre civile où les confessions se mettraient à s'entre-tuer. Or " l'appel au dialogue du président devra être entendu par la rue libanais".
Pour le rappel, les manifestations au Liban ont commencé le 16 octobre en protestation aux mauvaises conditions économiques.