
تقي زاده
Russie : vers la dédollarisation dans le commerce avec l’Afrique
Dans le cadre des efforts visant à supprimer le dollar dans les marchés internationaux, la Russie tente de remplacer le billet vert par les devises internationales dans le commerce avec les États d’Afrique.
La politique de dédollarisation et de prévention de la domination du dollar sur les marchés mondiaux prévaut depuis de nombreuses années avec la Russie et la Chine en tête. Par le biais des accords bilatéraux et multilatéraux, des pays tels que l’Iran, l’Inde et la Turquie ont également adhéré à la politique de dénégation du dollar, profitant de chaque occasion pour supprimer le dollar dans leurs échanges et le remplacer par leurs monnaies nationales.
L'Iran peut changer l'équilibre mondial des forces
« Les capacités technologiques de l’Iran et de ses différents mandataires ont atteint un niveau tel qu’ils peuvent maintenant modifier l’équilibre des pouvoirs dans le monde », a-t-il déclaré.
Évoquant l’attaque en représailles de l’armée yéménite du 14 septembre contre les installations pétrolières saoudiennes (Aramco), le journal israélien a souligné qu’elle a été un franc succès opérationnel sous plusieurs angles :
1. Les Saoudiens ont découvert l’attaque trop tard pour l’en empêcher ;
2. L’emplacement exact de la base utilisée pour lancer les missiles reste inconnu ;
3. La coordination entre les drones et les missiles de croisière était impressionnante,
4. Les images post-attaque montrent des résultats précis, avec chaque cible touchée en son centre.
Dans une autre partie de son article, le général israélien a noté : depuis quatre ans, Israël attaque des cibles en Syrie afin d’abaisser l’influence régionale de l’Iran, mais le pays a prouvé qu’il était capable de réaliser ses objectifs.
Selon Yediot Aharonot, l’Iran envoie le message qu’une attaque israélienne contre les forces iraniennes en Syrie pourrait donner lieu à une attaque similaire à celle perpétrée en Arabie saoudite.
Faisant référence aux tentatives avortées d’Israël visant à convaincre Washington pour une attaque sur le sol iranien, le journal israélien a écrit qu’avec le retrait récent des militaires américains du nord-est de la Syrie, le régime israélien est de nouveau choqué. Ce qui montre que l’Iran a bien renforcé sa puissance dissuasive afin d’affaiblir la menace US dans la région et d’obliger les États-Unis à se retirer de l’Asie de l’Ouest.
« Tous les plans iraniens sont en train de se réaliser. Il a réussi à affaiblir la menace américaine et à chasser Washington du Moyen-Orient. De plus, les sanctions de Trump ont conduit l’Iran à reprendre son enrichissement d’uranium », a ajouté le journal israélien.
L’auteur a conclu vers la fin de son article qu’Israël pourrait poursuivre sa politique actuelle envers l’Iran, tout en gardant à l’esprit que la prochaine attaque en Syrie pourrait entraîner une frappe chirurgicale de l’Iran et de ses alliés.
Poème
Toutes les larmes du monde
« Je verse cette larme, pour toi ô mon Houssein,
Qui a donné ta vie, et celle de tes enfants,
Ton sang qui a coulé, pour former nos sillons,
Ta voix qui s’est levée, pour réveiller les hommes,
Mais toutes les larmes du monde, toutes les larmes du monde,
Pourront-elles à jamais, effacer nos chagrins.
Et j’aimerais te dire, te dire ô mon Houssein,
Ce peuple qui devait naître, pour pleurer sur ton nom,
Ce peuple de croyants, que tu voulais sauver,
Ce peuple est vivant, il n’a pas oublié,
Qu’un matin son héros, n’a pas tremblé devant,
Devant la cruauté de ceux qui ont voulu,
Changer sa religion, et celle de ces aïeux,
Changer tous les préceptes et la faire disparaître,
Remplacer les prières, par des plaisirs futiles,
Ces armées de tyrans, tu les a affrontés,
Et puis, tu es tombé, comme tombent les martyrs,
Tes yeux se sont fermés, tes yeux se sont fermés,
Et le vent a porté, ton nom jusqu’à mon coeur,
Et depuis chaque jour, chaque jour est Ashoura,
Chaque terre est Karbala, Ashoura, Karbala,
Ces mots rythment ma vie, et éclairent mon chemin,
Ces mots guident mes pas, et font que chaque jour,
Je me sens près de toi, je me sens près de toi,
Alors,
Je verse cette larme, pour toi ô mon Houssein,
Qui a donné ta vie, et celle de tes enfants,
Ton sang qui a coulé, pour former nos sillons,
Ta voix qui s’est levée, pour réveiller les hommes,
Mais toutes les larmes du monde, toutes les larmes du monde,
Pourront-elles à jamais, effacer nos chagrins. »
#ImamRezaFR
Martyre de notre Imam As-Sajjad (as) et voila une partie de sa Biographie:
Condoleances a vous Musulmans pour l'Anniv. de Martyre de notre Imam As-Sajjad (as) et voila une partie de sa Biographie:
Imam as-Sajjad (a) Ali b. Hussein b. Ali b. Abi Taleb (pseux), connu sous les noms de l’mam Sajjad, et l’mam Zayn al-Abidin, est le quatrième Imam des musulmans (38 H/659 - 95 H/713). La durée de son imamat fut 35 ans. Il a été présent lors de l'événement de Karbala, mais comme il était malade, il n'a pas participé dans sa bataille. Il faisait partie des captifs de Karbala, et fut amené, avec les autres captives, d'abord à Koufa ensuite à Cham (la Syrie actuelle).
Son discours auprès des autorités Omeyyades, suite à cet événement, est très célèbre, et contribua à la connaissance des musulmans de la famille du Prophète (pslf), et d’Ahlou-l-Bayt (les gens de la famille prophétique).
L’imam Sajjad, passa toute sa vie, après le retour de Karbala à Médine. Les célèbres évènements comme l'évènement de Harra, la révolte des Tawwabin, et la révolte de Mokhtar, ont eu lieu durant son imamat, mais il n'y existe pas de rapport documenté à propos de la position et le rôle de l’imam Sajjad dans ces événements.
Deux œuvres importantes sont attribuées à l’imam Sajjad (s): As-Sahifatou-s-Sajjadiyah, un recueil de ses prières (invocations), qui est également un reflet de la condition sociale de son époque et de ses efforts pour diriger l'Homme vers le Divin et purifier son âme. L'autre ouvrage est le Traité de droits, un petit livre comprenant un ensemble de droits et de devoirs qu'il définit pour les musulmans auprès de Dieu et de leurs semblables.
Il a terminé sa vie en martyre, comme son père et son grand-père (pseux). Il a été empoisonné sous l'ordre de Walid b. Abdou-l-Malik. Sa tombe est dans le cimetière d’al-Baqi à côté de la tombe de son oncle l'Imam Hassan (a), son fils l'imam Mohammad al-Baqir (a) et son petit-fils l'imam Ja'far al-Sadiq (a) .
Biographie:
Ali b. Hussein b. Ali b. Abi Taleb (pseux), connu sous le nom de l’imam as-Sajjad et l’imam Zayn al-Abidin, est le quatrième Imam des musulmans, fils du troisième imam infaillible, l'Imam Hussein (psl). La plupart des historiens sont d'accord sur la date de sa naissance qui était durant la 38ème. année de l'hégire. Ainsi il était présent pendant une partie de la vie de l'Imam Ali (a), ainsi qu'à l'époque de l'imamat de l'Imam al-Hassan (a) et celui de l'Imam al-Hussein (a). Précisons aussi que certains historiens considèrent son année de naissance, la 48ème. année de l'hégire.
Le nom et l'identité de sa mère sont objets de divergence. Différents noms sont attribués à sa mère comme: Chahrbanou, Chahi-Zanan, Jahanchah, etc. Selon Cheikh Moufid, elle s'appelle Chahi-Zanan, la fille de Yazdgird, roi de la Perse. D'après Cheikh Sadouq, elle est la fille de Yazdgird qui est morte à la naissance de l’imam as-Sajjad (s).
Les surnoms de l’imam as-Sajjad sont : Abou-l-Hassan, Abou-l-Hussein, Abou Mohammad, Abou Abdillah. Ses attribues sont : Zaynou-l-Abidin, Sayidou-s-Sajidin, Sajjad, Aliou-l-Akbar... Précisons aussi qu'il était connu durant sa vie, sur les noms d’Aliou-l-Khayr, Aliou-l-Asghar et Aliou-l-Abid.
La date exacte du martyre de l’imam as-Sajjad (a) n'est pas connue ; certains la considèrent l’année 94 H.L. et certains l’année 95 H.L. Il y a aussi des désaccords sur la date de mort de l’imam as-Sajjad, y compris 12 Mouharram et 25 Mouharram. D'autres rapports sont dans les sources, y compris 18, 19 et 22 Mouharram.
Il a terminé sa vie en martyre, comme son père et son grand-père. Il a été empoisonné sous l'ordre de Walid fils d’Abdou-l-Malik (ml). Sa tombe est dans le cimetière d’al-Baqi à côté de la tombe de son oncle l'Imam Hassan (a), son fils l'Imam Mohammad al-Baqir (a) et son petit-fils l'Imam Ja'far as-Sadiq (a) .
Ses femmes et ses enfants:
Les sources historiques disent qu'il eut 16 enfants, dont onze garçons et quatre filles. D'après Cheikh Moufid, ses femmes et ses enfants sont ceux-ci :
1-Imam Muhammad Baqir (a): Sa mère fut Oum Abdillah, fille de l'Imam Hassan (a). 2-Abdollah. 3-Hassan. 4-Hussein Akbar: La mère de ces trois derniers fut une servante. 5-Zayd b. Ali. 6-Omar: La mère de ces deux derniers fut une servante. 7-Hussein Asghar. 8-Abdou-r-Rahman. 9-Soulayman: La mère de ces trois derniers fut une servante. 10-Khadija. 11-Ali: La mère de ces deux derniers aussi fut une servante. 12-Mohammad Asghar: Sa mère fut une servante aussi….
Retour triomphal de l'armée syrienne sur les frontières avec la Turquie, Assad à l'assaut d'Idlib
Quand Erdogan est parti à Sotchi le mardi 22 octobre, il est trouvé face à un double choix : le face à face avec l'armée turque ou mettre de l'eau dans son vin : il a fallu six heures d'âpres négociations avec un Poutine ferme et quasi autoritaire pour que le président turc se réalise que son armée et ses mercenaires devront se satisfaire de Ras al-Aïn et de Tall Abyad et de faire leurs adieux à la fois avec Manbij, Qamishli et Kobané puisque suivant l'accord conclu à Sotchi, c'est l'armée syrienne et secondé par les forces russes qui y sera désormais les maîtres des lieux. Idem pour les régions plus proches des frontières turques qui, accord d'Adana ressuscité, seront désormais patouillées par les forces syriennes et la Russie.
S'il est vrai que les Kurdes devront s'éloigner sous 150 heures à raison de 30 kilomètres des frontières turques, abandonnant armes et équipement, mais cette concession se fera donc sous l’œil de l'armée syrienne et non sous le feu de l'armée turque. Six heures d’âpres négociations donc pour éviter un débâcle ou pire un enlisement de l'armée turque dans le nord est syrien.
Mais quels sont les détails de l'accord?
Leur accord comporte cinq principaux points: les Unités de protection du peuple (YPG) vont se retirer à plus de 30 km de la frontière turque, c'est à dire de Tall Rifat et de Manbij après quoi les troupes russes et turques patrouilleront conjointement dans une "zone de sécurité" étroite de 10 km de profondeur. Mercredi à partir de midi, les gardes-frontières syriennes feront leur grand retour dans cette zone où accompagnées de la police militaire russe, elles faciliteront le retrait des membres des YPG et des armes au-delà de la zone. C'est une grande victoire pour l'armée syrienne qui s'y trouve après des années.
La situation dans les villes syriennes de Ras al-Aïn et de Tall Abyad que les forces turques étaient sur le point d'attaquer, restera telle quelle à 32 km de la frontière, ce qui permettra aux forces kurdes de rester où elles se trouvent dans certaines parties de ces villes. Là aussi, la satisfaction de la partie kurde ne pourrait qu'être relative. En revanche, cet accord a permis à Ankara d'éviter l'enlisement, la Turquie ayant aussitôt annoncé après la visite Poutine-Erdogan la fin à son opération militaire contre les Kurdes du nord de la Syrie.
Un incident qui permet à l'aviation russe de se fixer en mer de Chine
Le ministère sud-coréen de la Défense dit avoir intercepté des bombardiers russes, qui, selon lui, étaient entrés dans la zone d’identification de la défense aérienne de la Corée du Sud. Séoul demande désormais la mise en place d'une ligne rouge avec la Russie, ce qui permet à l'aviation russe de se fixer dans la région et ce, au profit de l'allié chinois.
L’état-major des armées nord-coréennes a déclaré que six avions militaires russes avaient traversé à plusieurs reprises dans la zone d’identification de la défense aérienne de la Corée du Sud en six heures.
La zone d’identification de la défense aérienne (ZIDA), contrairement à l’espace aérien, délimite le territoire où les pays peuvent exiger que les aéronefs étrangers prennent des mesures spéciales pour s’identifier.
Le ministère russe de la Défense a nié la violation de l'espace aérien d'un autre pays par ses bombardiers qui étaient accompagnés de chasseurs Su-35S et d'un A-50. Ils ont affirmé avoir survolé les eaux neutres de la mer du Japon, de la mer Jaune et de la mer de Chine orientale. Par ailleurs, l’agence de presse russe Sputnik, citant le communiqué du ministère russe de la Défense, a rapporté que « deux bombardiers stratégiques russes Tu-95MS ont effectué des vols réguliers au-dessus des eaux neutres des mers du Japon, de la Chine et de la Chine orientale, ainsi que de la Corée du Sud et du Japon ».
« Deux bombardiers stratégiques Tu-95MS des forces aérospatiales effectuaient des vols réguliers au-dessus des eaux neutres des mers du Japon, de la Chine et de la Chine orientale. Pendant le vol, des avions à long rayon d'action étaient accompagnés par des équipages de chasseurs Su-35S et d'un A-50, avions d’alerte et de contrôle des forces aérospatiales », poursuit le communiqué.
Irak : un redéploiement des troupes US pourrait se faire sans accroc?
Quelques heures avant que le secrétaire US à la défense ne débarque à l'improviste à Bagdad en provenance de Riyad, le commandant en chef des opérations antiterroristes de la région de Salaheddine, le général Ali al-Lami a été froidement assassiné par les terroristes de Daech qui s'en sont pris à son bateau de patrouille où se trouvaient outre le général, son adjoint et quatre autres militaires. Le communiqué du ministère de l'Intérieur n'en donne pas les détails mais le commandant et tous les passagers ont péri dans l'attaque. Bagdad tolérera-t-il longtemps l’évacuation de troupe US et des terroristes daechistes depuis la Syrie voisine sur le territoire irakien? Un communiqué de l'armée publié mardi 22 octobre donne le ton :
Les troupes américaines ne pourront s'établir définitivement en Irak. Elles ne devront qu'être de passage sur le territoire irakien avant leur évacuation vers d'autres pays, affirme l'armée irakienne dans son communiqué qui contredit très clairement les messages de ces derniers jours venus de Washington comme quoi les 1 000 soldats US arrivés au Kurdistan irakien via le point de passage de Hassaké, devraient y rester ou alors être dépêchés dans deux bases de l'ouest irakien, non loin des frontières syro-irakiennes.
Le Hezbollah abat un drone israélien dans le ciel libanais
Un drone israélien a été abattu, ce mercredi 23 octobre, à l'aube dans le sud du Liban.
La chaîne libanaise LBC confirme qu'un drone israélien a été abattu dans le sud du Liban. Le secrétaire général du Hezbollah avait mis en garde le régime de Tel-Aviv contre toute nouvelle incursion dans le ciel du Liban après l'attaque du 25 août des drones israéliens visant un site du Hezbollah à Zahiya. Cette incursion intervient alors que le pays est le théâtre des manifestations sociales qui ont commencé il y a une semaine.
Moscou révèle les capacités impressionnantes du S-400 alors qu'Israël exige une reprise de ses frappes anti-Résistance
Juste avant qu’il ne jette l’éponge, Benjamin Netanyahu a affirmé aux médias qu’il s’était entretenu avec Poutine, « nouveau maître de la Syrie », de l’autorisation que la Russie devrait donner à Israël pour frapper le territoire syrien et les positions de la Résistance en Syrie. Il avait même laissé entendre que Moscou ne s’opposerait pas à ces frappes. Est-ce le cas ?
Une vidéo diffusée par la chaîne de télévision du ministère russe de la Défense, Zvezda, montre le déploiement de l’équipage du S-400 sur le site de manœuvre. Les effectifs russes se préparaient rapidement pour les opérations. Avant d’identifier les cibles à basse altitude et de tirer des missiles en leur direction, il n’a fallu que cinq minutes au système pour être prêt au combat.
Moyen-Orient : Téhéran plaide pour un rôle plus actif de la Chine
Le haut conseiller du Leader de la Révolution islamique pour les affaires internationales, Ali Akbar Velayati, s’est entretenu ce mardi 22 octobre, avec l’envoyé spécial de la Chine pour les affaires liées au Moyen-Orient, Zhai Jun, des questions d’intérêt commun et des relations bilatérales Téhéran-Pékin.
Le haut conseiller de l’Ayatollah Khamenei a qualifié de « positive » la position de Pékin envers la RII.
« La Chine est un pays important avec qui nous entretenons de très profondes relations qu’apprécie la RII dans le cadre des interactions stratégiques bilatérales. »
Velayati s’est dit fier d’avoir contribué dès le début à l’établissement de telles relations. Il s’est également voulu rassurant sur le fait que les relations stratégiques sino-iraniennes suivront un rythme ascendant.
« Eu égard à la situation névralgique sévissant dans la région et aux importantes évolutions qui y sont en cours, nous souhaitons que la Chine fasse preuve d’une présence active dans la région », a affirmé le haut conseiller du Leader de la Révolution islamique pour les affaires internationales qui a plaidé pour le développement des coopérations régionales.
Le Dr Velayati n’a pas manqué de parler de la Syrie :
« Cela fait 8 ans que la Syrie fait l’objet de l’agression des puissances étrangères et des terroristes. Dès le début, l’Iran a soutenu le pays ami et frère qu’est la Syrie et c’était aussi le cas pour l’Irak qui, faute d’appui iranien, serait tombé aux mains des terroristes. Et aujourd’hui aussi, la grande préoccupation, c’est le Yémen qui fait l’objet d’une invasion. »
Le Dr Velayati a pourtant auguré d’un avenir prometteur pour la région :
« J’ai la certitude qu’un avenir prometteur attend la région, qu’une victoire définitive attend la Syrie, l’Irak et le Yémen. J’ai aussi la certitude que la région retrouvera la sécurité et que dans les rapports de force sur la scène régionale, les pays de l’axe de la Résistance seront en position de force à l’avenir. Cette région reviendra un jour à ceux-là mêmes auxquels elle appartient. »
Pour sa part, l’envoyé spécial de la Chine pour les affaires liées au Moyen-Orient, Zhai Jun, a tenu à remercier l’Iran pour ses coopérations constructives dans la région, ajoutant :
« Les relations entre Pékin et Téhéran sont au beau fixe. Les deux pays ont largement développé leurs relations stratégiques et leurs relations bilatérales sont profondes. »
Le haut diplomate chinois a qualifié d’hypersensible la région moyen-orientale qui « doit retrouver le calme ». En ce qui concerne les relations Iran-Arabie saoudite, Zhai Jun a affirmé qu’il s’agissait là de deux pays importants de la région qui devraient opter pour des relations amicales.
Les deux hommes ont échangé leurs points de vue au sujet du développement des liens bilatéraux et des plans régionaux et internationaux.