
تقي زاده
Nous voulons appliquer les enseignements du Prophète Mohammad (psl) et de Ali (as)

« Ce mouvement a commencé avec les martyrs de la révolution et s’est poursuivi avec la lutte contre les attaquants et les sanctions. Nous attendons des étudiants des critiques constructives. L’espoir en l’avenir et la confiance sont nos principales préoccupations. Un chemin reste à parcourir mais les discours des étudiants qui ont manifesté librement leurs opinions montrent que nous sommes proches du résultat. Le seul pays qui est resté indifférent au résultat des élections américaines est l’Iran qui ne se laissera pas faire. Regardez les victoires que nous avons obtenues face à la coalition internationale qui soutenait et armait Saddam pendant la Guerre imposée ! L’union de toutes les couches sociales et des forces armées a permis la victoire et nous permettra de franchir les obstacles. Nous avons grâce aux négociations, réussi à montrer que l’Iran n’était pas un danger pour la communauté internationale mais qu’il ne se laissera pas faire, la constitution précise que le gouvernement doit former tous les citoyens à la défense. Aujourd’hui, nous sommes libres de vendre notre pétrole et d’importer du « yellowcake ». Les sanctions vont être levées et nous sommes en relation avec de petites banques dans le monde malgré les pressions des Usa qui sont les ennemis déclarés du peuple d’Iran. Si la loi sur les sanctions contre l’Iran est signée par le Président américain, cela sera une violation flagrante de l’accord nucléaire et nous répondrons comme il est nécessaire. Nous aurons une réunion demain, avec le conseil de contrôle de l’application de cet accord dont nous annoncerons les résultats. Actuellement nos exportations non pétrolières sont plus importantes et nous devons réussir à attirer les investissements intérieurs et étrangers. Les milieux universitaires doivent faire des critiques mais aussi proposer des solutions et prendre en charge les activités scientifiques. La production scientifique est très importante et doit dépasser les thèses et les discours », a-t-il dit.

"10.000 cibles potentielles" localisées
L'armée du régime israélien a publié une carte présentant des positions du Hezbollah à la frontière entre le Liban et la Palestine occupée, cibles potentielles d'une future guerre contre le Hezbollah. Cette carte vient d'être publiée alors que l'armée israélienne est particulièrement inquiète de voir le Hezbollah remporter aux côtés de l'armée syrienne une victoire de taille à Alep.
L'armée du régime israélien a publié sur Twitter, une carte présentant des milliers de positions du Hezbollah à la frontière entre le Liban et la Palestine occupée. On y voit les positions des infrastructures et des armements du Hezbollah dans le sud du Liban, le long d’une partie de la frontière avec la Palestine occupée.
La deuxième chaîne de la télévision israélienne a diffusé dans un reportage sur le même sujet qui prétend que "plus de 200 villes et villages ont été transformés en bases opérationnelles du Hezbollah"
Les analystes militaires affirment que les israéliens cherchent là à justifier toute attaque contre les cibles civiles libanaises au cours d'une prochaine confrontation. "Les 10.000 cibles potentielles dont parle le reportage" sont toutes des zones d'habitation qu'Israël cherche à présenter comme des cibles militaires.
Selon Times of Israël citant cette même chaîne, "la même carte avait été présentée à pratiquement chaque visite des diplomates étrangers en Israël. Bien que le Hezbollah soit pour l’instant lourdement impliqué dans la guerre civile syrienne, il continue de s’armer pour le conflit contre Israël, tout en s’intégrant de plus en plus dans la population civile près de la frontière."
Ces menaces sont proférées 24 heures après une attaque aux missiles israélienne contre l'aéroport militaire de Mazzeh, dans la banlieue de Damas. Le raid aux missiles, effectués depuis les territoires occupés, a provoqué des incendies dans une base de l'armée syrienne sans faire de victime. Israël semble craindre une riposte de l'armée syrienne ou du Hezbollah à ce raid.
L’ISESCO devrait soutenir les compétitions coraniques des étudiants musulmans
Noor-o-din Mohamadi, lecteur coranique algérien et arbitre des compétitions internationales, dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique au sujet des 6èmes compétitions coraniques internationales des étudiants musulmans qui se dérouleront début février 2017 à Machhad, a déclaré que ces compétitions méritaient l’attention des instances internationales comme l’ISESCO.
« Les compétitions coraniques internationales des étudiants musulmans permettent d’informer les jeunes et des échanges d’expériences, et encouragent les milieux intellectuels aux activités coraniques et l’union islamique qui est un devoir pour les musulmans. Il serait intéressant, en marge des compétitions, de présenter les coutumes des différents pays dans le domaine des activités coraniques, des cours de chants religieux et des ateliers de calligraphie », a-t-il dit.
La conférence de l'unité islamique est le plus grand rassemblement religieux et culturel du pays
Nous constatons l'influence de la conférence de l'unité islamique par la réaction des médias hostiles à l'islam. Ces médias essaient de limiter l'influence de la conférence de l'unité islamique sur la communauté islamique, a-t-il indiqué.
Aujourd'hui, les activités du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques sont à l'origine de la création des programmes à l'intérieur et à l'extérieur du pays, a-t-il ajouté.
Indiquant l'isolement graduel du courant extrémiste, le secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques a insisté: Nous étions témoignes des crises et des guerres entre les écoles religieuses, aujourd'hui ce courant devient de plus en plus limité et isolé.
Des panneaux contre l’islamophobie au Texas
Les panneaux qui présentent également un numéro de téléphone et un site internet qui répondent aux questions sur l’islam, sont installés dans les grandes avenues de Dallas et de Fort Worth, après les élections présidentielles et les déclarations de Trump sur l’interdiction de l’entrée des musulmans aux USA.
Javad Ahmad, responsable de cette association, a déclaré que les actes anti islamiques avaient augmenté après les élections et Farugh Ansari, porte-parole, a déclaré que cette action avait été entreprise pour lutter contre les préjugés qui existent dans la société américaine au sujet de l’islam, et que les réactions différentes à ces panneaux, étaient le signe des différences de mentalités et d’idées sur ce sujet.
«Les cinq premières semaines, nous avons eu 75 appels téléphoniques de gens qui nous posaient des questions, nous annonçaient leur soutien ou faisaient part de leur hostilité envers les musulmans », a-t-il dit.
John Esposito, professeur de recherches islamiques à l’université Georgetown, a déclaré que le message présenté était celui de l’islam authentique et que le coran considérait tous les êtres humains comme égaux.
Syrie: le pari perdu des États-Unis
Dans une interview accordée au journal italien La Stampa, le conseiller du président Obama a reconnu la défaite des États-Unis en Syrie.

"La présence d'Assad à la tête de l'État en Syrie est une réalité. Qui d'autre qu'Assad pourrait garantir l'ordre et la sécurité en Syrie? C'est cette réalité, basée sur des arguments politiques et pas militaires que Poutine tente de vendre à Washington", a affirmé Vali Nasr.
Il a estimé que "la bataille dans l'est d'Alep sera terminée avant que Trump soit investi". Et "la Turquie n'aura d'autres choix que de faire face aux exigences russes. Poutine a très clairement dit à Erdogan qu'il fallait choisir entre les Kurdes ou Assad. Je crois qu'Erdogan n'hésiterait pas opter pour la seconde alternative, vu ses réticences à l'idée de l'émergence d'un État kurde sur les frontières sud de la Turquie. En ce sens, la naissance d'un Etat kurde pour lequel les Kurdes se battraient contre Daech ne dépasserait très probablement pas le stade du rêve".
"Ceci dit, rien qu'à voir son parcours ces 5 dernières années, Erdogan pourrait avoir du mal à cesser ses vociférations contre Assad, mais de là, à le voir capable de faire quoi que ce soit contre Assad, il y a un pas que je ne franchirais pas. D'ailleurs, Erdogan a fait preuve d'une inertie totale à Alep qui est sur le point de tomber entre les mains des soldats d'Assad. L'équation des forces a bien changé au Moyen-Orient et les évolutions ont fait pencher la balance du côté d'Assad", a-t-il ajouté.
Interrogé sur la politique moyen-orientale de Trump, Nasr a affirmé: " Je ne crois vraiment pas que Donald Trump veuille renforcer la présence militaire américaine au Moyen-Orient. Les régimes arabes ne seront pas non plus en mesure de faire quoi que ce soit dans la mesure où ils sont organiquement faibles. Tout ceci contribue à ce qu'Assad reste au pouvoir."
Il a évoqué ensuite l'axe militaire qui relie désormais l'Iran et la Russie et a affirmé: " L'Iran et la Russie se trouvent dans le même camp. C'est un fait que Russes et Iraniens arrivent mieux à s'entendre que Russes et Occidentaux. Les États-Unis et l'Europe devront se décider une bonne fois pour toute: qui des deux présente une plus grande menace, l'Iran ou la Russie ? "
L'Iran promet une réaction très dure aux violations américaines
L'Amérique (...) est notre ennemi, nous n'avons aucun doute à ce sujet, a-t-il affirmé.
N'en doutez pas, les Américains veulent nous mettre autant de pression que possible: nous devons résister et trouver une solution et nous y parviendrons, a-t-il ajouté.
Il y a un consensus en Iran à ce sujet, il n'y a aucune différence d'opinion entre le gouvernement, le Majlis (Parlement) et le guide suprême, Ali Khamenei, selon le président Rohani.
Le président du Parlement, Ali Larijani, a estimé lors d'une conférence de presse à Téhéran, que certaines sections de l'accord nucléaire auraient dû être écrites avec plus de précision pour éviter des interprétations divergentes entre les parties prenantes.
Il préconisé le dépôt d'une plainte concernant la violation de l'accord par les Américains auprès d'un comité conjoint des signataires du texte.
Cette question de la violation américaine et de la riposte iranienne doit être discutée lors d'une rencontre mercredi entre le président Rohani et d'autres hauts dirigeants iraniens.
Le Sénat américain vient de voter par 99 voix contre 0 la prolongation pour dix ans de sanctions qui ne sont pas liées à l'accord sur le nucléaire iranien conclu en 2015 entre l'Iran et six grandes puissances, dont les Etats-Unis. La Chambre des représentants avait déjà voté en novembre une telle prolongation et le texte doit à présent être signé par Barack Obama.
Le régime actuel de sanctions, renouvelé tous les 10 ans depuis 1996, devait s'achever à la fin de cette année.
Les dirigeants iraniens estiment que le renouvellement des sanctions américaines va à l'encontre de l'esprit de l'accord, par lequel Téhéran a limité son programme nucléaire en échange d'une levée partielle de sanctions imposées par les Etats-Unis et d'autres pays.
Attaque israélienne près d'une base aérienne proche de Damas
A 03H00 (01H00 GMT), l'ennemi israélien a tiré plusieurs missiles sol-sol à partir des territoires syriens, a indiqué l'agence citant une source militaire. Elle a rapporté que l'attaque avait provoqué un incendie mais pas de victimes.
L'agence Sana a précisé que les missiles ont été tirés d'une position à l'ouest de Tall Abou Nada, une hauteur dans le plateau du Golan syrien occupé par l'armée israélienne.
C'est la seconde fois en huit jours que l'armée syrienne, toujours techniquement en guerre avec la Syrie, frappe des positions militaires proches de Damas.
Durant les cinq ans de guerre civile en Syrie, Israël a mené plusieurs attaques contre des positions syriennes.
La fondation de Mobilisation d’Iran suit les commandements de guide suprême
Molavi Shams-ul-Haq Damani l’imam de la prière de vendredi sunnite de la ville d’Iranshahr, dans une interview avec les journalistes a déclaré: La performance du fonctionnement de la fondation de la Mobilisation dans les domaines de service et bien faisances est admirable et elle a gagné la confiance du public dans le pays.
Molavi l’imam de la prière de vendredi sunnite de la ville d’Iranshahr a réitéré aussi: La résistance des autres nations contre les grands pouvoirs arrogants, y compris les pays musulmans comme les branches avant Hshd nationale en Irak est basée sur l'idée de la mobilisation du peuple d'Iran. Parmi des bons œuvres de cette Mobilisation, on peut noter la construction des installations publiques et la création de l’emploi.
Imam Al-Hassan et son traité de reconciliation avec Muawyah ibn Abusoufian
L’imam Al-Hassan et le traité de réconciliation
Mu'âwiyeh, d'après certains historiens, a envoyé à al-Hassan une feuille blanche en bas de laquelle il avait apposé son estampille, ainsi qu'une lettre dans laquelle il a écrit:
«Pose les conditions qui te conviennent dans cette feuille que j'ai signée, je les accepterai».
Quant aux conditions que l'Imam al-Hassan a posées dans cette feuille, elles ne sont souvent mentionnées que négligemment, ou partiellement par les historiens, sans doute parce que Mu'âwiyeh, avait annoncé dès qu'il s'est emparé du pouvoir, qu'il n'en respecterait aucune.
Toutefois, les spécialistes de la biographie de l'Imam al-Hassan, qui ont procédé à une étude comparée des différentes versions nuancées ou incomplètes des clauses du Traité, s'accordent pour nous les présenter sous la forme suivante:
Article premier: Al-Hassan remet le pouvoir à Mu'âwiyeh à condition que ce dernier applique le Coran et la Sunna du Prophète et suive la voie des Califes pieux.
Article Deux: Al-Hassan succédera à Mu'âwiyeh après sa mort. S'il lui arrivait malheur, c'est son frère al-Hussayn qui prendrait sa place. Il ne revient pas à Mu'âwiyeh de désigner qui que ce soit pour sa succession.
Article Trois: Mu'âwiyeh doit s'abstenir d'injurier Le Prince des Croyants, Alî, surtout lors de la prière, et il ne doit dire de lui que du bien.
Article Quatre: Exclure les sommes se trouvant dans la trésorerie de Kûfa des biens soumis à la passation du pouvoir …
Article Cinq: Les gens doivent pouvoir vivre en sécurité là où ils se trouvent sur la Terre de Dieu ; Mu'âwiyeh ne doit pas tenir rigueur aux gens, de leurs erreurs passées, ni demander des comptes à quiconque pour ce qui a été fait dans le passé, ni garder rancune envers les Irakiens. Il doit assurer la sécurité des partisans de 'Alî où qu'ils se trouvent, et s'abstenir de porter atteinte à aucun de ses chiites. Mu'âwiyeh.
Après la conclusion de ce traité de réconciliation que l'Imam al-Hassan n'avait accepté qu'à contre-coeur et faute de combattants,soucieux de l’unité des musulmans et pour éviter une guerre inter musulmane,Les Musulmans notamment ceux qui se trouvaient dans le camp du Calife légal ne tardèrent pas à prendre conscience du virage de l'Expérience islamique que le nouveau souverain de la nation islamique était en train d'amorcer.
Le souci constant de l'Imam al-Hassan était de préserver la vie des Musulmans en général et des défenseurs de la Religion.
Le Traité de Réconciliation fut signé au mois de Rabi' al-Awwal, en l'an 41 de l'Héjire
Lorsque Mu'âwiyeh entra à Kûfa après l'accord de réconciliation, il tint un discours à l'adresse des Kufites dans lequel il dit notamment:
«... Je ne vous ai pas combattus pour que vous priez, fassiez le jeûne ou accomplissiez le pèlerinage .... Je sais que vous le faites de vous-mêmes. Je vous ai combattus pour vous gouverner... malgré vous. Certes, j'ai fait des promesses à al-Hassan, mais je les foule de mes pieds. Je ne respecterai aucun de mes engagements»
Le célèbre al-Hassan al-Baçri dit :
«Mu'âwiyeh avait quatre défauts dont chacun à lui seul constitue un péché mortel:
1- Le fait d'avoir combattu cette Ummah par l'épée jusqu'à ce qu'il soit devenu calife sans consultation, alors qu'il y avait encore des Compagnons et des hommes vertueux.
2- Le fait d'avoir désigné à sa succession son fils Yazid, un ivrogne, un alcoolique qui porte la soie et joue de la guitare.
3- Le fait d'avoir rattaché à sa famille, Ziyâd alors que le Messager de Dieu avait dit: «le fils est issu du lit conjugal, tandis que l'adultère ne donne aucun droit à la filiation».
4- Le fait d'avoir assassiné Hujr ibn Addi et ses compagnons.
Jusqu'au dernier moment de sa vie bénie, l'Imam al-Hassan ne s'est pas départi de son souci d'épargner à la Ummah une effusion de sang inutile et de sauvegarder la vie de ceux qui devraient défendre après Lui l'intégrité du Message.