تقي زاده

تقي زاده

Newt Gingrich, actuel président de la Chambre des représentants des États-Unis, aurait décliné la demande de Trump de prendre le devant de la scène de la politique étrangère du pays. 

Tout au long de la campagne électorale de Trump, Newt Gingrich a toujours apporté son soutien à ce dernier ; d’où les spéculations sur sa présence dans le futur gouvernement américain.

Opposant acharné de tout rapprochement avec l’Iran, Newt Gingrich a ouvertement soutenu l’Organisation des moudjahiddines du peuple iranien (OMPI). Les terroristes de cette organisation sont plus connus en Iran sous le nom de Monafeghines (hypocrites), en raison de leur éloignement des principes de la religion musulmane.

Zalmay Khalilzad, Bob Corker, John R. Bolton, Rudolph Giuliani et Richard Haas comptent parmi d’autres personnalités politiques ayant une chance d'accéder à la tête du département d’État américain. 

En visite officielle en Iran, le président du Parlement hongrois, Laszlo Kover, a rencontré ce dimanche après-midi Mohammad Javad Zarif, le chef de la diplomatie iranienne.

Faisant l’éloge des politiques pondérées de la Hongrie concernant les questions régionales et internationales, M. Zarif a déclaré que Téhéran et Budapest avaient des points de vue communs sur différents thèmes. « Votre visite et celle de votre Premier ministre témoignent du désir de faire progresser nos relations bilatérales », a-t-il fait remarquer.

En effet, le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, s’était rendu à Téhéran, en décembre dernier, à la tête d’une importante délégation composée d’une centaine de représentants économiques, visite au cours de laquelle plusieurs documents de coopération avaient été signés.

Les domaines de coopération entre l’Iran et la Hongrie sont florissants : politique, économie, sciences, technologie, parlement, communication… Mais pour obtenir les résultats escomptés, les moyens de paiement bancaire et les procédures pour l’obtention des visas ont besoin d’être revus, a estimé le ministre iranien des Affaires étrangères.

L’Iran et la Hongrie ont, par ailleurs, toujours entretenu d’excellents échanges universitaires dans le domaine de l’enseignement de la langue persane et M. Zarif a souhaité le développement de ce partenariat.

Il a fait savoir que dans la conjoncture régionale et internationale actuelle, le rôle de l’Union européenne était très important et a préconisé la promotion des relations entre l’Iran et l’UE.

« L’UE peut nous aider à régler les problèmes de la région. Il faut juste prendre les bonnes initiatives au bon moment, car de nos jours la politique d’indulgence ne répond plus. »

Quant au président du Parlement hongrois, il s’est félicité de sa visite en Iran et a invité M. Zarif à se rendre à Budapest. Il a déclaré: « L’Iran est le partenaire stratégique de la Hongrie. Nous sommes tout à fait disposés à développer nos relations avec ce grand pays. »

Évoquant l’accord nucléaire iranien, il a affirmé que cet accord avec le P5+1 était extraordinaire : « Je vous félicite pour cela. C’était dans l’intérêt de tout le monde. La Hongrie est persuadée que rien ne devrait entraver cet accord. La République islamique d’Iran a tenu tous ses engagements et les autres parties devraient en faire de même. »

Lors de la réunion hebdomadaire du cabinet israélien, le Premier ministre a demandé qu’aucun commentaire ne soit fait sur les politiques du nouveau gouvernement américain envers Israël, avant qu’elles ne soient divulguées par des canaux confidentiels.

Benyamin Netanyahou et Donald Trump sont convenus de se rencontrer le plus rapidement possible pour discuter des priorités majeures de leurs pays.

Selon la chaîne Al-Mayadeen, Netanyahou aurait demandé à tous les membres du cabinet israélien d’éviter de se prononcer sur les nouvelles politiques du prochain gouvernement américain. Il s'est entretenu, la semaine dernière, lors d'une conversation téléphonique avec le nouvel élu républicain à la Maison Blanche. Ce dernier aurait parlé de la profonde amitié qui les lie : « Durant ces dernières années, nous avons géré avec tact nos relations avec les États-Unis. Nous ferons de même dans les prochaines années à venir », a précisé Netanyahou.

Dans un message en signe de respect à Israël, Trump aurait écrit que « les États-Unis et Israël partagent de nombreuses valeurs communes », a rapporté le quotidien Israel Hayom.  

Un sondage postélectoral mené par le journal américain The Washington Post en collaboration avec le réseau de télévision ABC News montre qu’un tiers des partisans de Hillary Clinton ne reconnaissent pas la légitimité de la prise de pouvoir de Donald Trump. Cependant, selon les mêmes statistiques, environ trois quarts des Américains ont salué la victoire de ce dernier, ce qui revient à 74 % de la population, dont 99 % des partisans du candidat républicain victorieux.

Or, un autre sondage mené par les mêmes instances dans la période pré-électorale montrait que 79 % des électeurs potentiels se disaient prêts à accepter les résultats des élections sans aucune réserve.

Le choc de l'élection de Trump a soulevé un tollé général à travers les États-Unis.

Un clivage important sépare les partisans de la candidate démocrate, Hilary Clinton, sur le triomphe de Trump : 58 % des personnes interrogées contre 52 % se disent résignées face aux résultats des élections ; 33% expriment des réserves, et une minorité de 27 % refusent catégoriquement de reconnaître la légitimité du candidat républicain.

Selon le journal allemand Die Welt citant les services de renseignement allemands, le groupe Daech apprend à ses partisans comment se déguiser en migrants pour pouvoir entrer en Europe. Selon cet article, le but poursuivi dans ces sessions de formation est d’arriver à se faire passer pour un véritable migrant auprès de la police aux frontières, en apprenant notamment comment répondre aux questions des douaniers.

Le journal Die Welt ne donne pas plus de précisions à ce sujet. Il est utile de rappeler que des journaux avaient déjà révélé que les daechistes se déguisaient en migrants pour se rendre en Europe et qu’ils atteignaient même parfois leur but sans trop de difficulté. Mais il s'agit de la première fois que l’on entend parler de sessions de formation pour savoir répondre aux autorités des pays d’accueil et se faire passer pour un migrant.

La police fédérale allemande avait néanmoins annoncé en juillet dernier que des éléments et des partisans de Daech se trouvaient très probablement parmi les migrants qui entraient en Allemagne.

Le président turc vient de déclarer aujourd’hui, dimanche 13 novembre 2016, dans un entretien accordé au quotidien turc Cumhuriyet que Bruxelles essayait de dissuader Ankara de suivre le processus d’adhésion à l’UE et il a évoqué la possibilité d'organiser un référendum pour décider de la poursuite des discussions sur l’adhésion à l’Union.

Il a déclaré : « L’Union européenne essaie de nous obliger de nous retirer de ce processus (d’adhésion à l’UE). S’ils ne veulent pas de nous, ils doivent nous le dire clairement. On doit savoir ce qui nous attend. »

Erdogan a ajouté en évoquant le Brexit : « Notre patience n’est pas sans limites. Si cela est nécessaire, nous pourrions aussi demander l’avis de notre peuple. »

La Turquie tente depuis les années 60 d’adhérer à l’Union européenne, mais les négociations officielles n'ont commencé qu'en 2015. Le processus d’adhésion a rencontré beaucoup de problèmes jusque-là, dont le dernier en date résulte des purges massives opérées par Erdogan après le coup d’État manqué de juillet dernier.

Le président Erdogan a même affirmé il y a quelques jours qu’il était prêt à rétablir la peine de mort en Turquie.

Yohannes Hahn, le commissaire européen en charge du dossier d’adhésion de la Turquie, a rendu mercredi un rapport dans lequel il critique vivement Ankara pour ses violations des droits de l’homme depuis le putsch manqué, en affirmant : « Il semble que la Turquie ait décidé d'adopter une voie éloignée de celle de l’Europe. »

Ankara a rejeté ce rapport en le jugeant « éloigné de la réalité ». 

 

Selon Fars News, le chef du Parti travailliste britannique, Jeremy Corbyn, a comparé Theresa May, leader du Parti conservateur et Première ministre du Royaume-Uni, au président nouvellement élu des États-Unis, Donald Trump, en affirmant qu’elle poursuivait la même politique que lui en matière d’immigration.

En effet, selon le journal The Independent, Corbyn vient de déclarer lors d'une allocution que Trump aux États-Unis et May au Royaume-Uni n’essayaient pas de résoudre les problèmes de leur pays en offrant des solutions concrètes et réalistes et qu’ils dénonçaient à la place les pauvres immigrés.

Corbyn a par ailleurs critiqué May pour avoir salué chaleureusement Trump pour sa récente et retentissante victoire. En outre, il a vivement critiqué Trump pour sa proposition de construire un mur à la frontière mexicaine et pour son idée de faire barrage à l’entrée des musulmans sur le sol américain.

Le chef du Parti travailliste du Royaume-Uni a ajouté que le Parti conservateur britannique opérait de la même manière que Donald Trump : alors qu'il avait au départ prévu un budget pour le parti UKIP, il a par la suite allumé le feu de la peur des migrants dans l’opinion publique en y instillant l’idée que c’est l’immigration qui est le problème essentiel du pays.

Jeremy Corbyn a également indiqué : « Ce n'est pas surprenant qu'elle (Theresa May) ait présenté ses félicitations avec un ton mielleux. Elle a la même stratégie que lui ! »

Enfin, le chef du Parti travailliste britannique a affirmé que ce qui était certain, c'est que ni le milliardaire Trump, ni les conservateurs britanniques, soutenus par les milliardaires, n’avaient l’intention de donner le pouvoir au peuple ou de lui permettre d'accéder au monde libre et libéral. 

Un journaliste de la télévision d'Etat de l'Iran, IRIB TV, a été tué samedi à Alep en Syrie, a rapporté l'agence de presse officielle IRNA.Le journaliste, Mohsen Khazaei, a succombé aux blessures qu'il a subies lors des bombardements de mortier par les rebelles dans le district de Minyan dans la partie occidentale d'Alep, selon IRNA.

Récemment, Alep connaît des bombardements et affrontements les plus intenses depuis le début du conflit il y a quatre ans entre les forces gouvernementales et les rebelles.
 
Dans le noble coran et les propos du noble prophète de l'islam, la dispersion et la discordes sont le danger le plus grand qui menace l'umma islamique, a déclaré le secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques.
 
Selon le journaliste de l'Agence de presse Taghrib (APT), l'ayatollah Araki qui a pris son discours devant le groupe d'oulémas chiites et sunnites à Najaf a indiqué que le danger de la dispersion est le plus grand danger qui menace l'umma islamique.

Dans le noble coran, il est insisté que Dieu a envoyé les prophètes pour implanter la religion sur la Terre. La mission des prophètes consiste à empêcher la dispersion dans l'application de la religion, a-t-il précisé.

L'identité de la communauté islamique dépend du vilayat du vénéré Mohammad (Sawa). L'identité de l'islam est définie par la personnalité du noble prophète de l'islam, a-t-il suivi.

Le noble prophète de l'islam est comme un père pour l'umma islamique. Donc, tous les gens qui sont liés à l'identité islamique sont comme des frères, a-t-il ajouté.
Les forces d'élite irakiennes étaient engagées samedi dans d'"intenses" combats avec les insurgés dans l'est de Mossoul, selon un officier, alors que des civils pris au piège se rassemblaient à la périphérie de la ville pour fuir.
 
Les forces irakiennes ont lancé le 17 octobre une offensive d'envergure pour reprendre au groupe Daech son bastion de Mossoul, dans le nord de l'Irak.

Mais la reprise totale de cette ville ne devrait pas intervenir avant des semaines.

En Irak, les travailleurs humanitaires craignent d'importants déplacements de population au fur et à mesure que les forces irakiennes progressent dans Mossoul.

"Les combats sont intenses ce matin. Nous essayons de fortifier nos positions à Arbajiyah", a déclaré le lieutenant-colonel Muntadhar Salem, des unités d'élite du contre-terrorisme (CTS), en référence à un quartier dans l'est.

Selon lui, les forces d'élite irakiennes visent aussi un autre quartier de l'est, Al-Bakr, qu'elles veulent encercler.

"Nous avons vu avec notre drone trois voitures piégées venant d'Al-Bakr en direction de nos positions, et nous les avons frappées avec nos chars", indique M. Salem.

Nous "avançons vers Al-Bakr pour l'encercler", a confirmé un autre commandant des forces d'élite, Ali Hussein Fadhel.

Les insurgés ont également recours à des drones à des fins d'observation, et l'un d'eux a été détruit par les forces irakiennes, selon le commandant Fadhel.

- Piège -
Alors que les combats faisaient rage dans la ville, des civils, la plupart brandissant des drapeaux blancs, marchaient en direction de la périphérie de Mossoul et se réunissaient près d'un camion militaire qui devait ensuite les transporter hors de la ville.

Plus de 49.000 personnes ont été déplacées depuis le début des opérations pour reprendre Mossoul, a indiqué samedi l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).