
تقي زاده
Le nouveau président américain ne peut pas revenir sur l'accord nucléaire
Le résultat des élections américaines n'a aucun effet sur la politique de la République islamique d'Iran, a-t-il affirmé.
La politique d'entente constructive de l'Iran avec le monde et le fait que les sanctions internationales ont été brisées ont placé l'économie iranienne sur un chemin où il n'y a pas de possibilité de retour en arrière, selon le président iranien.
La position de Washington a été affaiblie dans le monde (...) à cause de politiques erronées et aujourd'hui, les Etats-Unis n'ont plus la capacité (...) de créer un consensus contre l'Iran a-t-il ajouté.
Pendant sa campagne électorale, Donald Trump avait critiqué l'accord nucléaire conclu en juillet 2015 entre l'Iran et six grandes puissances, dont les Etats-Unis, en affirmant notamment qu'il le déchirerait.
Considéré comme une avancée majeure dans un dossier qui empoisonnait les relations internationales depuis plus de 12 ans, cet accord entré en application en janvier a vu l'Iran s'engager à limiter son programme nucléaire en échange d'une levée progressive des sanctions internationales.
Mais le gouvernement iranien a critiqué la politique des Etats-Unis qui, en maintenant d'autres sanctions, ont empêché jusque-là une normalisation complète des relations économiques avec le reste du monde.
Mercredi, l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), chargée de veiller à la bonne application de l'accord par l'Iran, a confirmé dans son rapport trimestriel que Téhéran respectait bien ses engagements.
La République islamique s'en est notamment tenue à ses obligations en terme de niveaux d'enrichissement et de stocks d'uranium, et n'a pas poursuivi la construction de son réacteur à eau lourde d'Arak, a souligné l'AIEA.
Les activistes du rapprochement des écoles islamiques sont au front de la guerre contre l’ennemi
L’ensemble des gens qui travaillent dans le domaine du rapprochement islamique sont au front de la guerre contre les ennemis de l’islam. Et certes, le devoir de l’Agence de presse est plus important ques les années précédentes, a-t-il indiqué.
Du point de vue de la technologie dans le domaine de l’information, le monde est très différent de celui des années précédents. La manière de la publication des informations et la rapidité de la diffusion des nouvelles ont beaucoup évolués. Vue ces évolutions, le rôle des médias devient plus important, a-t-il précisé.
Ayant beaucoup de défis, le Domain du rapprochement islamique est la cible privilégiée des ennemis pour attaquer l’islam. L’ennemi dépense de l’argent pour contrer les activités des médias qui soutiennent l’unité islamique. Nous devons essayer d’utiliser les moyens pour profiter les potentiels des médias, a-t-il souligné.
Renforcer la culture du rapprochement islamique est le devoir principal de l’Agence de presse Taghrib (APT). En abordant de manière adéquate les nouvelles, il faut préparer la situation pour présenter les opinions différentes, a-t-il insisté.
Concernant les futures activités du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques, M. Golru a dit: le Conseil a changé ses programmes à l’extérieur du pays. La tenue des conférences et des réunions du rapprochement islamique dans les pays européennes et dans différents pays du monde font partie des nouveaux programmes du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques.
Pour la première fois, à côté de la conférence de l’Unité islamique, le festival des films de l’unité islamique aura lieu l’envoi des ambassadeurs de l’unité islamique aux différents pays est une bonne initiative de l’ayatollah Araki, a-t-il ajouté.
Compétitions coraniques des EAU: Hananeh Khalafi a présenté sa lecture
Elle a répondu aux 3 questions posées par le jury.
Considérée comme la plus jeune des concurrents participant à la première édition des compétitions coraniques des EAU, réservées aux dames, Hananeh doit se présenter dans l'après-midi sur la place des lecteurs pour répondre aux deux autres questions qui seront posées par le jury.
Les compétitions coraniques des EAU se tiennent avec la participation des représentants de 72 pays à Dubaï.

La situation est catastrophique dans la bande de Gaza
Selon cette délégation, l'Union européenne lance des projets en Palestine occupée et à Gaza en vue de soutenir divers domaines, dont l'éducation, la santé et le développement économique.
"La mise en application des projets de développement ne s'avère pas en elle seule suffisante. La situation reste insupportable dans la bande de Gaza et il faudrait rapidement recourir à des actions concrètes pour que les points de passage frontaliers soient rouverts et que le blocus de cette zone soit levée", a souligné cette délégation européenne, qui a réclamé que soit facilitée l'entrée des responsables et des représentants des ONG régionales et internationales afin de faire l'état sur la situation ô combien déplorable qui y prévaut.
45 personnalités politiques européennes, dont 36 consuls généraux de l'Union européenne, sont arrivés mardi matin dans la bande de Gaza via le point de passage de Beit Hanoun.
"Au cours de leur déplacement de quelques heures dans la bande de Gaza, les ambassadeurs des pays européens, dont la Suède, le Danemark, Malte, la Slovénie, l'Irlande, la Finlande, la Lituanie, l'Hongrie, l'Espagne, les Pays-Bas, la Belgique, l'Allemagne, Chypre, l'Italie, la Grèce et le Portugal, seront mis au courant des conditions de vie et de la situation économique déplorables des habitants de cette enclave palestinienne", a déclaré le chef du conseil des relations internationales en Palestine (ONG), Bassem Naïm.
Selon Bassem Naïm, cette visite permet d'espérer que la communauté internationale finira par accepter sa part de responsabilité vis-à-vis de la situation catastrophique que subissent les Gazaouis.
Il a également mis en garde contre l'aggravation de la situation dans la bande de Gaza et ses impacts négatifs sur la région.
Bassem Naïm a dit qu'il était prévu que cette délégation européenne s'entretienne avec des représentants des instances locales, civiles et internationales.
Syrie: 20 civils tués par une frappe de la coalition américaine
L'ONG britannique a précisé que 32 personnes avaient également été blessées dans les frappes mardi soir sur le village d'al-Hicha.
Le bilan des morts s'élève à 20 civils, dont neuf femmes et deux enfants, a précisé Rami Abdel Rahmane, le directeur de l'ONG qui avait fait état dans un premier temps de 16 morts.
Le village a aussi été la cible d'un assaut par les Forces démocratiques syriennes (FDS), soutenues par la coalition américaine, qui ont lancé samedi une offensive en vue de reprendre Raqa, le fief du groupe Daech en Syrie.
Le rapprochement (islamique) est le besoin le plus nécessaire de notre époque
Indiquant l’importance de la question du rapprochement dans le monde musulman, il a dit: le rapprochement est le besoin le plus nécessaire de notre époque.
Les résultats des discordes sont catastrophiques. Les ennemis de l’islam aidés par les forces des ignorants ont créé une vague de destruction dans le monde musulman, a-t-il expliqué.
La société islamique a besoin du rapprochement, mais tous les musulmans doivent arriver à comprendre l’importance de ce sujet, a-t-il insisté.
L’ayatollah Arafi a honoré les activités du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques. Il a insisté sur la continuité de ces activités, a-t-il ajouté.
Zarif rencontre les responsables libanais
Le journal libanais Al-Akhbar, se penchant sur la visite du chef de la diplomatie iranienne à Beyrouth, a écrit que Saad Hariri, nouveau chef du gouvernement libanais chargé de former le nouveau cabinet, a reçu M. Zarif à son domicile.
Qualifiant d’« événement positif » la rencontre Zarif-Hariri, Al-Akhbar a écrit :
« Ce n’est pas la première rencontre de Saad Hariri avec les autorités iraniennes. Le chef du Courant du futur s’était déjà déplacé à Téhéran, mais à l’époque la tension entre Téhéran et Riyad n’était pas si grande que ça. »
Selon le journal, vu les circonstances régionales actuelles, la rencontre Zarif-Hariri est porteuse de messages politiques considérables.
DIRE AU PROPHÈTE (P) DE NOUS AIDER exemple EST UN ASSOCIATION D'ALLAH ?
Le fait de demander de l’aide à quelqu’un d’autre qu’Allah n’est pas un acte polythéiste sauf si on croit que ce quelqu’un a une puissance et indépendante d’Allah et en dehors de l’autorité et volonté
Mais si on croit que ce quelqu’un a une autorité limitée offerte par Allah en raison de son rapprochement de Ce Dernier (Allah), cela ne fait point de polythéisme et au contraire c’est un moyen présenté par le saint coran via lequel les croyants peuvent et doivent perfectionner leur foi et se rapprocher de Dieu.
Comme nous vous l’avons expliqué ci-dessus, le fait de demander de l’aide à quelqu’un n’est pas un acte polythéiste si en le faisant on croit que sa capacité/puissance et son autorité sont limitées et offertes par Allah.
Nous considérons les Prophètes et les Imams pures (Alayhim ûs-Salam) comme les plus purs et proches adorateurs d’Allah en raison de leur haut degré de la foi et de l’adoration. Et nous considérons aussi que toute leur valeur spirituelle et capacité surnaturelle, n’est que grâce à l’autorisation d’Allah.
Donc si on leur demande de nous aider par la capacité que leur a été offerte par Allah, cela n’est point {Shirk} et montre notre gratitude et remerciement envers Allah en reconnaissant les biens faits qu’Il a donnés à ses meilleurs adorateurs.
Alors les expressions comme : « Ya Rassoulal-Allah, Ya Ali Madad, Ya Hussein Adriknâ ou Ya Mahdy etc » ne sont pas de {shirk}.
Et ce verset coranique est assez clair pour faire comprendre aux sages qu’Il est très nécessaire d’avoir un moyen pour se rapprocher de Dieu :
ﻳَﺎ ﺃَﻳُّﻬَﺎ ﺍﻟَّﺬِﻳﻦَ ﺁﻣَﻨُﻮﺍ ﺍﺗَّﻘُﻮﺍ ﺍﻟﻠَّﻪَ ﻭَﺍﺑْﺘَﻐُﻮﺍ ﺇِﻟَﻴْﻪِ ﺍﻟْﻮَﺳِﻴﻠَﺔَ ﻭَﺟَﺎﻫِﺪُﻭﺍ ﻓِﻲ ﺳَﺒِﻴﻠِﻪِ ﻟَﻌَﻠَّﻜُﻢْ ﺗُﻔْﻠِﺤُﻮﻥَ
Ô les croyants! Craignez Allah, cherchez le moyen de vous rapprocher de Lui et luttez pour Sa cause. Peut-être serez-vous de ceux qui réussissent!{ Mâidah 35}
Notre meilleur moyen de nous rapprocher d’Allah, est le Prophète et les membres purifiés de sa demeure. Ceux-ci font des invocations auprès d’Allah afin que Ce Dernier nous pardonne nos péchés et nous accorde le succès et le bonheur dans notre vie.
Donc où est le mal lors qu’on dit : « ô Rassûlûllah, ô Ali aidez-moi (soit par intervention directe avec la capacité qu’Allah vous a accordée, bien sûr s’Il vous l’autorise, soit en demandant à Allah d’assurer notre besoin, car Il accepte votre demande mieux que la nôtre).
Deux mondes distincts
Moscou a convoqué une réunion spéciale du Conseil de sécurité, le 28 octobre 2016, pour débattre de la coopération entre l’Onu et les organisations régionales. L’ambassadeur Vladimir Churkin, qui présidait alors le Conseil, avait invité les représentants de la Communauté des États indépendants (le Russe Sergey Ivanov, CÉI), de l’Organisation du traité de sécurité collective (le général russe Nikolai Bordyuzha, OTSC) et de l’Organisation de coopération de Shanghai (le Tadjik Rashid Alimov, OCS).
Les trois secrétaires généraux ont exposé le travail de leurs organisations : la coopération entre les États de l’ancienne Union soviétique pour la CÉI, une alliance militaire pour l’OTSC, et une coopération régionale pour stabiliser l’Asie centrale en ce qui concerne l’OCS. Ils ont souligné leur apport auprès de l’Onu en matière de lutte contre les trafics de drogues et contre le terrorisme ; deux sujets qui font l’unanimité de la rhétorique internationale alors que chacun sait que ces fléaux sont créés et contrôlés par les États-Unis.
Si tout avait bien débuté et que les différents ambassadeurs membres du Conseil de sécurité se félicitaient de cet air frais, la réunion a tourné court après les interventions des ambassadeurs d’Ukraine et des États-Unis. Soucieux d’éviter que ces trois organisations ne viennent troubler le monopole de l’Otan et de l’Union européenne, ils ont accusé la Russie de toutes sortes de crimes et dénoncé ces organisations comme autant de couvertures visant à masquer l’expansionnisme russe. L’ambassadrice des États-Unis conclut que, dans ces conditions, il n’était pas possible d’envisager la moindre coopération de l’Onu avec ces organisations, y compris l’OCS, c’est-à-dire également avec la Chine.
On retrouve ici la position tenue par les uns et les autres lors de la Conférence de Genève 2 : si tous sont en théorie unis contre le terrorisme, Washington ne conçoit pas ce problème comme prioritaire, mais fait passer en premier les exigences de son impérialisme. Sauf que cette fois-ci, il n’a pas attaqué la Syrie, mais giflé la Russie et la Chine.
Le monde paye ainsi le flou qui entoure la lutte contre le terrorisme depuis 2001. Rappelons que le terrorisme n’est pas un ennemi, mais une méthode de combat utilisée par des ennemis.
Washington a donc fermé la seule porte de sortie qui lui était ouverte. L’administration Obama refuse de reconnaître le développement de la Russie, première puissance militaire conventionnelle, et de la Chine, première puissance économique. Elle refuse de lâcher l’organisation unipolaire du monde qui s’est instituée à partir de « Tempête de désert », en 1991, et poursuit ses guerres au Levant et en Ukraine dans l’unique but de couper les deux voies d’approvisionnement terrestre de la Chine vers l’Europe occidentale.
Sachant que sa position est intenable à court terme et qu’il ne souhaite pas la Guerre mondiale, Washington se prépare à séparer le monde en deux. Il ne devrait pas s’agir d’un retour à la Guerre froide, où le monde était un, bien qu’administré à deux. Mais d’une structuration nouvelle : d’un côté un monde unipolaire gouverné par les seuls États-Unis, de l’autre des États indépendants et insoumis coopérant entre eux autour de la Russie et de la Chine, et le moins de passerelles possibles entre ces deux mondes. Ce qui implique la fin du libre-échange mondial, de l’organisation mondiale du commerce, de la globalisation économique, et donc un gigantesque retour en arrière.
Si Washington persiste dans cette direction, il devrait se retirer militairement de Syrie et laisser la paix y revenir —sauf à la frontière irakienne où il maintiendra la coupure de la route de la soie—. Du fait des États-Unis cette fois, une barrière infranchissable devrait s’abattre sur le monde et diviser l’Humanité à la manière dont le Mur de Berlin avait coupé la population de l’ancienne capitale allemande et divisé ses familles durant près d’un demi-siècle. Il deviendra ainsi très difficile pour les Syriens ayant fui les jihadistes à l’étranger de revenir chez eux et de retrouver leur famille. Il sera impossible pour un occidental de passer ses vacances à Moscou ou d’acheter des ordinateurs chinois.
Algérie: découverte d’armes dans le sud
Le ministère algérien de la Défense a fait part, mardi 8 novembre, de la découverte d’une grande quantité d’armes et de munitions près de la frontière du sud.
« En pleine mission de patrouille sur la bande frontalière du sud d’Algérie, les militaires de l’armée ont découvert et saisi un lot de mitrailleuses, de balles et d’équipements. Les militaires poursuivent leurs opérations d’identification sur place », a annoncé, dans un communiqué, le ministère algérien de la Défense.
Il s’agit du deuxième cas de découverte d’armements depuis quelques jours par les militaires algériens. Dimanche aussi, une grande quantité d’armes et de munitions avait été découverte dans la province d’Adrar.
Les forces antiterroristes algériennes ont découvert beaucoup d’armes et d’équipements militaires à travers le pays, tout au long du mois de septembre et tué 18 terroristes. D'autre part, les terroristes ont récemment tué par balle un policier dans la ville de Constantine, située à 400 kilomètres d'Alger.
La présence du groupe terroriste Daech dans le pays pétrolifère de Libye a créé de l'insécurité pour ses voisins dont l’Algérie.