تقي زاده

تقي زاده

Le directeur de l'université des religions de Qom a insisté sur l'intériorisation de la culture du rapprochement entre les écoles islamiques.Visitant le stand de l'Agence de presse Taghrib (APT) au 22e Salo de la Presse de Téhéran, cheikh Sayed Abolhassan Navab a insisté sur les travaux acharnés dans le domaine du rapprochement islamique.

Il faut commencer à travailler sans entre dans les tourmentes des détails inutiles. C'est de cette manière que pouvons atteindre à notre objectif, a-t-il indiqué.

Nos ennemis, les extrémistes et les takfiristes, ne font pas de choses luxes. Ils font des choses pratiques pour leur croyance, a-t-il dit.

Les médias ont un rôle important dans le rapprochement des écoles islamiques. Nous sommes dans la période où une guerre de croyance est en cours. Inviter les musulmans au rapprochement islamique est la question la plus importante, a-t-il ajouté.
 
lundi, 07 novembre 2016 00:06

Londres paniqué par le char russe Armata

Le service de renseignement de l’armée britannique a publié aujourd'hui, dimanche 6 novembre, un rapport mettant en garde contre les menaces que représente une nouvelle génération de chars russes pour l’OTAN et le Royaume-Uni.

Le quotidien d’information britannique The Telegraph a eu accès à un rapport confidentiel du service de renseignement de l’armée qui se dit inquiet quant aux capacités d’un nouveau char russe Armata.

Le document révélé prouve comment le ministère britannique de la Défense est préoccupé et met en cause la capacité de l’armée à neutraliser la menace que représente ce char.

Le rapport critique, de même, le gouvernement britannique, qui ne semble avoir aucun plan pour faire fabriquer un char dont les capacités puissent rivaliser avec l'Armata d’ici au moins 20 ans.  

Le rapport, écrit par un officier de haut rang du service de renseignement de l’armée, qualifie l'Armata de « révolution dans la conception de chars depuis un demi-siècle ».

« Pour la première fois, une tourelle entièrement automatique, numérique et inhabitée a été installée dans un char de combat. Et pour la première fois, les membres d’équipage sont protégés dans une capsule », indique l’officier.

Le rapport avertit que l’armée britannique ne considère que les menaces des explosifs, importés depuis l’Irak et l’Afghanistan, sans prendre en compte les menaces sérieuses que pourraient représenter des chars de combat.Selon le document, la Russie bénéficie d’une unité, composée de 2.500 chars actifs et 12.500 chars de réserve, un nombre qui est multiplié par 35 par rapport à l’unité de char de l’armée britannique.

L’auteur du rapport se dit également préoccupé quant à la victoire de Donald Trump aux élections des États-Unis, qui pourrait, selon lui, « affaiblir l’OTAN face à l’agressivité de Vladimir Poutine ».

Donald Trump se montre hostile au financement par les États-Unis de l’Organisation de l’Alliance atlantique.

De pure fabrication russe, le T-14 Armata est le seul char de troisième génération au monde. Il a été construit en utilisant une plateforme universelle qui est compatible avec celles des véhicules blindés de combat d’infanterie, des véhicules d’appui aux chars et des véhicules de renseignement et de gestion.

Le Croissant-Rouge libyen a annoncé samedi avoir retrouvé depuis dimanche les corps de 40 migrants morts noyés au large de la capitale Tripoli en tentant de rejoindre les côtes européennes.
 
Nous avons récupéré aujourd'hui (samedi) six corps et huit autres hier (vendredi), portant le total des corps récupérés depuis dimanche au large de Tripoli à 40, a déclaré à l'AFP Khaled Mohamed Al-Adou, membre du Croissant-Rouge.

Dimanche dernier, 16 corps de migrants avaient été découverts sur une plage de Zouara, à 160 km à l'ouest de Tripoli près de la frontière tunisienne.

Les gardes-côtés italiens ont pour leur part indiqué que dix autres corps avaient été récupérés samedi sur un bateau pneumatique au large des côtes libyennes.

Les passeurs de migrants clandestins profitent du chaos qui règne en Libye depuis la révolte populaire qui a renversé le régime du dictateur Mouammar Kadhafi en 2011. La plupart des départs ont lieu depuis l'ouest du pays, à destination de l'Italie qui n'est qu'à 300 kilomètres.

Les gardes-côtés italiens, qui coordonnent l'ensemble des interventions de secours en Méditerranée, ont en outre indiqué que différents bateaux avaient sauvé plus de 2.200 personnes pour la seule journée de samedi.

L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a indiqué vendredi que le nombre de migrants morts en mer Méditerranée s'élevait à 4.220 depuis le début de l'année, un chiffre supérieur aux totaux annuels de 2014 et 2015.
Un média du rapprochement islamique est une école dans laquelle tous les adeptes des écoles islamiques prennent des leçons, a déclaré le vice-secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques.
 
Le Dr. Sayed  Ahmad Zarhani a visité samedi le stand de l'Agence de presse Taghrib (APT). Indiquant l'importance de médias qui travaillent dans le domaine du rapprochement islamique, il a dit: montrer les voies de la solidarité islamique est le plus important devoir d'un média de rapprochement islamique.

La convergence des musulmans est la plus grande préoccupation du Guide suprême iranien. L'unité islamique et la solidarité islamique, la nomination d'un an par le Guide iranien a bien montré cette préoccupation, a-t-il indiqué.

Le rôle des médias consistent à informer les gens et à écarter l'ignorance. Eclaircir les esprits diminuer les heurtes au niveau national et international, a-t-il suivi.

Les takfiristes commettent des crimes dans le monde musulman. Nous sommes dans le contresens des courants takfiristes et extrémistes. Dans cette guerre où l'arrogance et le takfirisme sont unis contre l'islam, les médias peuvent éclaircir les esprits pour que les gens distinguent entre le vrai et le faux islam, a-t-il ajouté.

La relance de l’enquête du FBI sur les e-mails privés d’Hillary Clinton ne porte plus sur les questions de sécurité, mais sur des trafics qui pourraient aller jusqu’à la haute trahison.

Techniquement, au lieu d’utiliser un serveur sécurisé de l’État fédéral, la secrétaire d’État avait fait installer à son domicile un serveur privé, de manière à pouvoir utiliser Internet sans laisser de traces sur une machine de l’État fédéral. Le technicien privé de Mme Clinton avait nettoyé son serveur avant l’arrivée du FBI, de sorte qu’il n’était pas possible de savoir pourquoi elle avait mis en place ce dispositif.

Dans un premier temps, le FBI a observé que le serveur privé n’avait pas la sécurisation du serveur du département d’État. Mme Clinton n’avait donc commis qu’une faute de sécurité. Dans un second temps, le FBI a saisi l’ordinateur de l’ancien membre du Congrès, Anthony Weiner. Celui-ci est l’ancien époux d’Huma Abedin, directrice de cabinet d’Hillary. Des e-mails provenant de la secrétaire d’État y ont été retrouvés.

Anthony Weiner est un homme politique juif, très proche des Clinton, qui ambitionnait de devenir maire de New York. Il dut démissionner à la suite d’un scandale très puritain : il avait envoyé des SMS érotiques à une jeune femme autre que son épouse. Huma Abedin se sépara officiellement de lui durant cette tourmente, mais en réalité ne le quitta pas.

Huma Abedin est une états-unienne ayant été élevée en Arabie saoudite. Son père dirige une revue académique —dont elle fut durant des années la secrétaire de rédaction— qui reproduit régulièrement l’avis des Frères musulmans. Sa mère préside l’association saoudienne des femmes membres de la Confrérie et travaillait avec l’épouse du président égyptien Mohamed Morsi. Son frère Hassan travaille pour le compte du cheikh Yusuf al-Qaradawi, le prêcheur des Frères et conseiller spirituel d’Al-Jazeera.

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À l’occasion d’un déplacement officiel en Arabie saoudite, la secrétaire d’Etat visite le collège Dar al-Hekma en compagnie de Saleha Abedin (mère de sa directrice de cabinet), présidente de l’association des Sœurs membres de la Confrérie.

Huma Abedin est aujourd’hui un personnage central de la campagne Clinton, à côté du directeur de campagne, John Podesta, ancien secrétaire général de la Maison-Blanche sous la présidence de Bill Clinton. Podesta est par ailleurs le lobbyiste attitré du Royaume d’Arabie saoudite au Congrès pour la modique somme de 200 000 dollars mensuels. Le 12 juin 2016, Petra, l’agence de presse officielle de Jordanie, avait publié une interview du prince héritier d’Arabie, Mohamed Ben Salmane, affirmant la modernité de sa famille qui avait illégalement financé à hauteur de 20 % la campagne présidentielle d’Hillary Clinton, quoique ce soit une femme. Le lendemain de cette publication, l’agence annulait cette dépêche et assurait que son site internet avait été piraté.

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Selon l’agence officielle jordanienne Petra du 12 juin 2016, la famille royale saoudienne a illégalement financé 20 % de la campagne présidentielle d’Hillary Clinton.

Madame Abedin n’est pas la seule membre de l’administration Obama liée à la Confrérie. Le demi-frère du président, Abon’go Malik Obama, est le trésorier de l’Œuvre missionnaire des Frères au Soudan et président de la Fondation Barack H. Obama. Il est directement placé sous les ordres du président soudanais, Omar el-Béchir. Un Frère musulman est membre du Conseil national de sécurité —la plus haute instance exécutive aux États-Unis—. De 2009 à 2012, c’était le cas de Mehdi K. Alhassani. On ignore qui lui a succédé, mais la Maison-Blanche niait qu’un Frère soit membre du Conseil jusqu’à ce qu’une preuve surgisse. C’est également un Frère qui est ambassadeur des États-Unis auprès de la Conférence islamique, Rashad Hussain. Les autres Frères identifiés occupent des fonctions moins importantes. Il faut cependant citer Louay M. Safi, actuel membre de la Coalition nationale syrienne et ancien conseiller du Pentagone.

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Le président Obama et son demi-frère Abon’go Malik Obama dans le Bureau ovale. Abon’go Malik est le trésorier de l’Œuvre missionnaire des Frères musulmans au Soudan.

En avril 2009, deux mois avant son discours du Caire, le président Obama avait secrètement reçu une délégation de la Confrérie dans le Bureau ovale. Il avait déjà invité, lors de son intronisation, Ingrid Mattson, la présidente de l’association des Frères et Sœurs musulmans aux États-Unis.

De son côté, la Fondation Clinton a employé comme responsable de son projet « Climat » Gehad el-Haddad, un des dirigeants mondiaux de la Confrérie qui avait été jusque là responsable d’une émission de télévision coranique. Son père avait été l’un des co-fondateurs de la Confrérie, en 1951, lors de sa recréation par la CIA et le MI6. Gehad a quitté la fondation en 2012, date à laquelle il est devenu au Caire le porte-parole du candidat Mohammed Morsi, puis celui officiel des Frères musulmans, à l’échelle mondiale.

Sachant que la totalité des leaders jihadistes dans le monde sont soit issu de la Confrérie, soit de l’Ordre soufi des Naqshbandîs —les deux composantes de la Ligue islamique mondiale, l’organisation saoudienne anti-nationaliste arabe— on aimerait en savoir plus sur les relations de Madame Clinton avec l’Arabie saoudite et les Frères.

Il se trouve que dans l’équipe de son challenger Donald Trump, on compte le général Michael T. Flynn qui tenta de s’opposer à la création du Califat par la Maison-Blanche et démissionna de la direction de la Defense Intelligence Agency(Agence de Renseignement militaire) pour marquer sa réprobation. Il y côtoie Frank Gaffney, un « guerrier froid » historique, désormais qualifié de « conspirationniste » pour avoir dénoncé la présence des Frères dans l’État fédéral.

Il va de soi que, du point de vue du FBI, tout soutien aux organisations jihadistes est un crime, quelle que soit la politique de la CIA. En 1991, les policiers —et le sénateur John Kerry— avaient provoqué la faillite de la banque pakistanaise (quoi qu’enregistrée aux îles Caïman) BCCI que la CIA utilisait pour toutes sortes d’opérations secrètes avec les Frères musulmans tout autant qu’avec les cartels latinos des drogues.

A la veille du 3 novembre qui marque la Journée des écoliers et celle de la lutte contre l’Arrogance mondiale en Iran, l’honorable Ayatollah Khamenei, le Guide suprême de la Révolution islamique, a reçu des milliers de lycéens et d’étudiants iraniens.

Dans son discours, le Guide suprême a mis en garde la jeune génération contre certaines fourberies qui dévient l’opinion publique, surtout la vision des jeunes, et visent à inculquer deux fausses idées.

La première étant que la résistance de l’Imam Khomeini –le fondateur de la République islamique d'Iran– face aux États-Unis n'émanait que de son zèle religieux et de son obstination. La deuxième, que la solution aux problèmes du pays résidait dans le dialogue et l’entente avec les États-Unis.

« On a voulu faire croire que la résistance de l’Imam Khomeini à l’Arrogance américaine était le fruit de son obstination et de son orgueil, non pas de sa raison ! Au contraire, la fermeté et la résistance de l’Iran islamique et de son peuple reposaient sur des raisonnements parfaitement déductifs. L’Imam Khomeini défendait les valeurs humaines », a expliqué l’honorable Ayatollah Khamenei.

Faisant allusion aux débats des deux candidats de l'élection présidentielle américaine, qui ont fait surface des vérités à scandales, il a déclaré: « Bien avant, nous en avions dévoilées certaines, mais personne n'a voulu croire ou bien, on a fait semblant de ne pas nous croire. Toutes les révélations faites lors de ces débats montrent à quel point les valeurs humaines aux États-Unis sont en perdition. »

"La discrimination raciale, le racisme, la pauvreté et l’appartenance de 90 % de la richesse des États-Unis à seulement 1 % de la population, la violation des droits civiques font partie des réalités de la société américaine", a rappelé le Guide suprême.

Concernant la deuxième idée reçue sur les avantages d’une entente avec Washington, qui s’est « dangereusement » répandue, il a affirmé : « Il existe des preuves qui attestent du caractère mensonger de cet argument, tout comme le Plan global d’action commun et l’attitude de Washington après les accords nucléaires. »

L’honorable Ayatollah Khamenei a rappelé les nombres de fois où il avait pointé du doigt l’infidélité et l’hypocrisie des États-Unis : « Ils sont malhonnêtes ! Ce n’est plus moi qui le dit, mais les acteurs et les négociateurs qui ont œuvré nuit et jour pour la concrétisation de l’accord nucléaire. »

« Pourtant, il y a encore certains qui proposent être de concert avec les États-Unis concernant la Syrie, le Hezbollah libanais, l’Irak, le Yémen et même les affaires internes du pays ! Pourrions-nous compter sur l'aide d'un gouvernement qui n’a jamais cessé son animosité contre le peuple iranien ? C’est le progrès de l’Iran qui les perturbe. Je doute qu’un éventuel dialogue puisse remédier à nos problèmes économiques. Car, premièrement, il s'agit de traîtres aux propos fallacieux et qui plantent leurs couteaux dans le dos, alors que l'on s'y attend le moins. Deuxièmement, l’Amérique traverse elle-même une crise, et un pays en crise ne peut pas résoudre les problèmes d’un autre pays », a-t-il poursuivi.

L’honorable Ayatollah Khamenei a, une nouvelle fois, vivement critiqué la fausse idée selon laquelle « le règlement des problèmes du pays passe par une entente avec les États-Unis » : le dialogue ne ferait qu’accroître les problèmes qui doivent être résolus en s’appuyant sur "notre potentiel interne, la force et le savoir-faire de la jeune génération", a-t-il affirmé.

Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, annonce que Moscou est à la recherche d’une coopération "honnête" pour accéder à une solution politique en Syrie.

"Nous espérons que nos partenaires arriveront aux conclusions nécessaires afin de travailler pour une coopération constructive et atteindre une solution politique, impliquant à la fois le gouvernement syrien et les forces de l'opposition", a réitéré le chef de la diplomatie russe.

Il s’est attardé ensuite sur une résolution sur la Syrie qui a été ratifiée, il y a un an, au sein du Conseil de sécurité de l’ONU, précisant que le secrétaire d'État américain John Kerry avait alors précisé que la participation à une solution politique requerrait l'interruption des relations avec les terroristes. "Presque un an plus tard, nous attendons toujours la concrétisation de ces propos", a-t-il ajouté.

Les forces de la police fédérale continuent de progresser vers Mossoul. Dans cette avancée, 3 autres villages aux alentours de cette ville ont été libérés sans compter leur rapprochement à 16 kilomètres, précisément, de l’aéroport de Mossoul, rapporte Al-Forât News

Dans le cadre des opérations du 2 novembre, des unités militaires irakiennes ont réussi à reprendre des mains des daechistes le village d’al-Munirah, dans le district de Hammam al-Alil.

Les forces volontaires, quant à elles, sont parvenues à placer sous leur contrôle le site antique d'al-Seif à l’ouest de Mossoul. Ils ont tué nombre des terroristes qui avaient pris refuge dans des maisons à l'ouest de la ville.

Les Hachd al-Chaabi (Unités de mobilisation populaire) ont nettoyé le village de Khobirat des éléments takfiristes. Elles se trouvent actuellement à 17 kilomètres de Tal-Afar et continuent leur progression vers cette ville.

mercredi, 02 novembre 2016 21:59

Irak: le chef de Daech sur la corde raide

Abou Bakr al-Baghdadi, le chef de Daech, serait pris au piège à Mossoul, rapporte une haute autorité du Kurdistan irakien.

Fouad Hussein, chef de cabinet du président de la région du Kurdistan, a déclaré ce mercredi au journal britannique The Independant qu’Abou Bakr al-Baghdadi ne s’était pas montré en public depuis environ neuf mois et qu’il était certainement toujours en vie et caché quelque part à Mossoul.

Si al-Baghdadi venait à être éliminé, la structure de commandement militaire de Daech serait affectée, a-t-il précisé, avant d’ajouter : « Il se trouve à Mossoul et sa mort déstabilisera toute la structure de Daech. »

Il a souligné que la mort d’al-Baghdadi accélérerait la libération des zones contrôlées par les terroristes.

Pourtant, sa présence à Mossoul a fait de la ville une fourmilière où l’agglomération des terroristes est prête à tout pour défendre son chef.  

Fouad Hussein a fait remarquer qu’al-Baghdadi était extrêmement dépendant des commandements basés à Mossoul et à Tal-Afar. « Daech sera vaincu, certainement. Mais quand ? On ne le sait pas », a-t-il dit. L’éradication de Daech dépend de plusieurs facteurs. L’une des probabilités est que les terroristes envisagent de détruire les cinq ponts qui enjambent le fleuve du Tigre dans le but d’obstruer l’accès des forces irakiennes à l’ouest de Mossoul. 

C'est devant les membres du Comité spécial de la Défense de la Chambre des communes que le ministre britannique de la Défense, Michael Fallon a annoncé que l’armée de son pays sera disposée d’ici deux ans à lancer une guerre contre la Russie.

Selon Fars News, pour Fallon, l'OTAN est en train de réagir contre les agressions et le défi russes et les alliés de l’Alliance seront disposés à combattre les troupes du président russe, Vladimir Poutine.

En allusion à la menace croissante de Moscou, le ministre britannique a évoqué les multiples agressions maritimes et aériennes russes pendant l’année en cours et les années précédentes.

À la question de savoir si la Grande-Bretagne était oui ou non capable de confronter la Russie en 2018 ou 2019, Michael Fallon a répondu que dans cette conjoncture l’armée britannique était prête à franchir des pas importants.

Pour rappel, la Grande-Bretagne a fait part la semaine dernière de son intention d'expédier 800 forces militaires en Estonie, près des frontières russes. Selon Londres, cette décision a été prise dans le sens de faire face à la menace croissante russe.