
تقي زاده
Et si les missiles tactiques n'étaient que la pointe d'iceberg
La révélation faite par le secrétaire général du Hezbollah sur le nombre de ses combattants lors d’un discours récent consacré en grande partie à la sédition lancée par le parti des Forces libanaises de Samir Geagea dans le quartier d’al-Tayouneh à Beyrouth la semaine dernière, a attiré l’intention des médias sionistes. Ces derniers se penchent également sur la non-mention du nom de Samir Geagea au cours du discours qui est considéré comme signe de mépris dans la rhétorique politique et sociale.
Lors de son discours, Nasrallah a déclaré que les 100 000 combattants équipés d’armes lourdes étaient le pilier de la force militaire du Hezbollah. Pour clarifier l’importance de l’annonce qui est une première, il suffit de revenir brièvement sur un rapport publié en 2016 par le journal israélien Haaretz. Ce dernier a estimé le nombre de combattants du Hezbollah à 45 000 en 2016 contre 20 000 en 2006 en précisant que 21 000 d’entre eux servent régulièrement tandis que les autres sont des forces de réserve.
La révélation du nombre de forces de la Résistance libanaise ou même une partie d’entre elles mérite des réflexions qui dépassent la situation interne au Liban et les partis libanais. Le nombre de combattants de la Résistance revêt une grande importance, c’est une question même plus importante que les équipements militaires, comme l’a déclaré Seyyed Hassan Nasrallah dans son discours prononcé il y a 3 mois.
QUI EST L'IMAM AL'HUSSAYN? PartiePartie 11
Partie26
*Relâchement et retournement de la situation*
*A peine 'Obeidullah Ibn Ziyâd reçut-il le message de Yazid Ibn Mu'âwîyah, il partit le lendemain pour Kûfa, déterminé qu'il était de devancer les événements et de prendre de court les opposants et leurs dirigeants.*
*Sachant sans doute que la plupart des Kufites*
*Mais le malentendu demeura alors que 'Obeidullah et ses hommes se dirigeaient vers le Palais du Gouverneur encore occupé par al-Nu'mân.*
*Aussi se mit-il à l'implorer, à travers un créneau du Palais, de partir, de s'en aller:*
*«Je te conjure, par Dieu, de t'éloigner. Je ne te délivrerai pas le dépôt qui m'est confié, et je n'ai pas besoin de te combattre...».(99)*
*Il ouvrit la porte au nouveau maître du Palais, lequel ne perdit pas de temps et passa la nuit à penser aux mesures urgentes qu'il devrait prendre dès le lever du soleil.*
*Le lendemain, à l'aube, il surprit la population en appelant, du Palais, à la prière.*
*Puis il imposa aux assistants la charge ingrate d'espionner pour le gouvernement et de dénoncer les opposants, en les menaçant des plus sévères représailles s'ils refusaient de coopérer dans ce sens:*
*(101)*
*Il changea d'adresse et quitta sa maison habituelle (chez al-Mukhtar Ibn 'Obeidah al-Thaqafi) pour s'installer secrètement chez le leader kufite des partisans d'Ahl-ul-Bayt, Hâni Ibn 'Orwah, loin des regards des autorités et de leur persécution.* *Mais le service des renseignements du gouvernement finit par connaître sa cachette.*
*Les autorités décidèrent de frapper leur coup discrètement et d'éviter toute action de nature à provoquer des troubles qu'elles ne pourraient pas maîtriser.*
*Lorsque Hâni entra dans le Palais à la suite de cette invitation, il fut surpris de se trouver face à une sorte de tribunal, assisté par des témoins-espions.*
*Il l'enferma par la suite dans une chambre du Palais sous une surveillance sévère.*
*Il demanda au juge qui se trouvait dans le Palais de sortir et de calmer les assaillants en les assurant du sort de leur chef et du bon traitement qu'il recevait. Ceux-ci se dispersèrent et le drame fut évité de justesse.*
*La peur et le découragement ne tardèrent pas à entamer sérieusement la volonté des opposants et à s'emparer de l'opinion publique.*
*Il rassembla ses hommes et encercla à son tour le Palais.*
*Cette situation dramatique et poignante ne terrifia pas cet étranger qui se trouva subitement esseulé, abandonné par ses partisans, suivis par les espions du Pouvoir et traqué par ses agents.*
*Il traversa les rues désertes de cette ville plongée dans la peur. Il marchait sans savoir où aller.*
*«N'as-tu pas bu l'eau?*
*- Si, dit-il.*
*- Pourquoi ne t'en vas-tu pas? insista la femme, perplexe.*
*Taw'ah lui ouvrit la porte et le laissa se cacher pour la nuit dans sa maison.(104)*
*Le hasard a voulu que le fils de Taw'ah, apprenne que Muslim se cachait chez sa mère.*
*Le lendemain matin 70 hommes parmi les agents de 'Obeidullah encerclèrent la maison de Taw'ah et commencèrent à s'y infiltrer.*
* Caravane d'Imam Hussein Vers Karbalâ*
*Avant le retournement de la situation à Kûfa, et alors que l'enthousiasme et l'ardeur populaires des Kufites pour la cause d'al-Hussayn et sa venue dans cette ville, étaient à leur zénith, Muslim Ibn 'Aqil avait écrit à son cousin pour confirmer la volonté réelle de la population de défendre sa Révolution et de la soutenir.*
*Cette appréhension transparaît dans les propos que 'Abdullah Ibn Muti' adressa à al-Hussayn, en guise de mise en garde, lorsque ce dernier était venu lui faire ses adieux avant son départ:*
*«S'ils te tuaient, ils ne craindraient plus personne après toi. Et, par Dieu, l'immunité de l'Islam serait violée».(105)*
*«J'ai fait un rêve dans lequel j'ai vu le Messager de Dieu, et reçu de lui l'ordre de faire quelque chose que je vais exécuter jusqu au bout».*
*«Je n'en ai parlé à personne, et je n'en parlerais pas jusqu'à ce que je rencontre mon Seigneur».(106)*
*Et lorsque 'Abdullah Ibn al-Zubayr le conjura de ne pas quitter la Mecque pour Kûfa, il lui répondit:*
*par lequel on violera son immunité (de cette ville). Or, je ne voudrais pas être ce bouc».* *(108)*
*«Par Dieu j'aimerais mieux être assassiné à un empan de la Mecque qu'à l'intérieur (de cette cité); et à deux empans d'elle, qu'à un empan(109). Par Dieu, même si j'étais dans le nid de l'une de ces chouettes, ils(110) m'en sortiraient pour obtenir de moi ce qu'ils veulent».* *(111)*
*Al-Hussayn quitta la Mecque, le 8 Thil Hijja de l'an 60 hégirien et prit le chemin de Kûfa.*
*Alors qu'il poursuivait sa route, al-Hussayn rencontra le célèbre poète arabe* *(al-Farazdaq) et lui demanda de lui donner une idée de la situation en Irak lors de son départ. Le poète répondit:*
*Al-Hussayn acquiesça:*
*Cet avertissement n'a pas découragé al-Hussayn de continuer son avance en direction de Kûfa. Au fur et à mesure qu'il progressait, son cortège grossissait, et à chaque point d'eau où il s'arrêtait, il voyait des bédouins venir se joindre à lui.*
*Lorsque 'Obeidullah Ibn Ziyâd, le gouverneur de Kûfa fut mis au courant de la marche d'al-Hussayn sur sa ville, il mobilisa ses hommes et établit un plan en vue d'arrêter ou d'entraver cette marche qui, si elle arrivait à destination, pourrait menacer tout le pouvoir omayyade. Il confia l'exécution de son plan au directeur de sa police, Huçine Ibn Namir al-Temimi.* *Celui-ci rassembla ses hommes et choisit pour quartier général une position stratégique située sur l'itinéraire qu'al-Hussayn suivrait pour venir à Kûfa. Cette position dont il fit son quartier général s'appelait al-Qadisiyya.*
*Il établit une ligne militaire entre Qadisiyya et Khaffan, et une autre entre Qadisiyya et Qatqatâna, et étendit la présence de ses forces jusqu'à la montagne de La'la'.*
*Al-Hussayn s'approchait de plus en plus de son objectif.* *Lorsqu'il arriva à un endroit qui s'appelait al-Hâjir, il écrivit une lettre à l'intention des Kufites, leur annonçant son arrivée imminente et exaltant leur ardeur révolutionnaire.*
*Il confia ce message à un compagnon, Qaïs Ibn Mes-her al-Çaydâwi, lequel se hâta en direction de Kûfa. Mais sa mission ne put être accomplie, car il fut arrêté par les forces de Huçine, disséminées aux environs de Qadisiyya, et conduit à 'Obeidullah Ibn Ziyâd, lequel lui demanda de monter à la tribune et d'injurier al-Hussayn.*
*Fidèle inébranlable d'al-Hussayn, il monta sur la tribune, et au lieu de proférer des injures à l'encontre de ce dernier, il appela les gens à le soutenir, et attaqua courageusement et violemment 'Obeidullah Ibn Ziyâd. Celui-ci ne put supporter ce camouflet et ordonna qu'on le jette du haut du Palais jusqu'à ce que la mort s'en suive.*
*Alors que la situation de ses partisans* *(d'al-Hussayn) continuait à se dégrader à Kûfa après l'assassinat de Muslim Ibn 'Aqil, de Hani Ibn 'Urwah et du dernier messager qu'il venait d'envoyer, al-Hussayn n'en sut rien. Aussi dépêcha-t-il un nouveau messager, 'Abdullah Ibn Yaqter(113)*
LES SUBLIMES LOUANGES D'ALLÂH DU "TASBIH ZAHRA (as)"*
LES SUBLIMES LOUANGES D'ALLÂH DU "TASBIH ZAHRA (as)"*
Voici : Les louanges (Tasbih) ou les Rosaires de Fâtimah-Zahra (as)*
*L’un des actes que l’on accomplit juste après la prière consiste à prononcer ces louanges, ce qui comporte beaucoup de vertus et se trouve même considéré comme préférable aux autres actes accomplis une fois la prière achevée.*
*Ces louanges s`appellent le* *"Tasbih de Fâtimah-Zahra".*
*On a rapporté de l’Imâm Ja'afar as-Sâdiq (as), le sixième Imam de la descendance du saint Prophète (sawa) :* *« Je préfère le Tasbîh de Son Excellence Fâtimah (as) à mille unités de prière accomplies quotidiennement.»* *Il a dit ailleurs, à propos du rosaire de Fâtimah- Zahra (as) : « Lorsque tu es dans ta chambre, prononce trente-quatre (34) fois "Allâhou akbar", trente-trois (33) fois* *"Al-hamdoulillâh" et trente-trois (33) fois* *"Soubhân'Allâh",* *suivis du verset du Trône, des deux sourates de protection, des dix premiers et des dix derniers versets de la sourate As-Sâfât (Les rangés (sourate 37).»*
*Pourquoi ces louanges s`appellent- t-elles le " Tasbih de Fâtimah-Zahra (as)" ?*
*Il est dit dans le Kanz al-‘Ummâl (grand ouvrage sunnite) : « L’Emir des croyants, Ali (as), dit à Zahra (que la paix de Dieu soit sur elle!) d’aller demander une servante au Prophète (que la paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille!). Elle y alla et, montrant les calles qu’elle avait aux mains, elle dit : "La mouture de la farine m’a mise dans la peine" et elle lui demanda une servante. Le Prophète (que la paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille!) lui répondit : "Veux-tu que je te fasse un cadeau qui vaut plus que tout au monde ?" Lorsque tu t’apprêtes à dormir, dis 33 fois Soubhan'Allah, Gloire à Dieu, 33 fois Louanges à Dieu AlhamdouLillah et 34 fois Dieu est le plus Grand, Allahou akbar.»*
*(Kanz al-‘Ummâl, Vol. 2, p. 57).*
*Ainsi,* *Fatimah-Zahra(as) s'est attachée à ces louanges après toutes les prières.*
*NOTES IMPORTANTES*
*1-Dans le "Tasbîh" de Son Excellence Zahra (as), on commence par dire trente-quatre fois (34) "Allâhou akbar", suivis de trente-trois (33) fois "Al-Hamdoulillâh" et enfin trente-trois (33) fois "Soubhân'Allâh".*
*2- Il est permis de prononcer les trente-trois "Soubhân'Allâh" avant les trente-trois "Al-Hamdoulillâh", mais il est préférable de faire l’inverse.*
*3- Le "Tasbîh" de Son Excellence Zahra (as) est recommandé après la prière, que ce soit la prière obligatoire ou d’une prière recommandée. Concernant les prières obligatoires, il est particulièrement prescrit de l’accomplir après la prière de l’aube (soubh).*
*4- on peut compter ces louanges, ces dhikrs, sur les doigts par le fait que les doigts seront interrogés et qu’ils parleront, c’est-à-dire qu’ils témoigneront le Jour de jugement, selon un hadith du noble Prophète (sawa). Il résulte de cela que compter le "Tasbih" sur les doigts, en raison de cette donne, est meilleur qu’utiliser un chapelet à grains ou des cailloux.* *Mais les autres hadiths montrent qu’il est permis de compter le "Tasbih" avec des noyaux de dattes ou avec des cailloux, et de même avec un chapelet à grains.*
*Selon l'École d`Ahloul-Bayt (as), il est recommandé d’accomplir le "Tasbîh" de Son Excellence Zahra (as) à l’aide d’un chapelet fait à partir d'une terre pure comme celle des Martyrs de l'islam, ainsi par excellent la terre de Karbala, lieu du martyre de l’Imâm Hussein (as), le petit-fils du saint Prophète (sawa).*
*À l'époque du saint Prophète (sawa), la Dame Fatimah comptait le Dhikr à l'aide d'un rosaire en boules de terre séchée à partir de la terre des martyrs de Ouhoud (Hamza, oncle du Messager de Dieu (sawas) et 70 martyrs de la guerre sainte de Ouhoud).*
*5- S'il arrive que la personne accomplissant le "Tasbîh" a un doute dans le nombre des "Allâhou akbar", "Alhamdoulillah" ou "Soubhan'Allâh" prononcés, alors même qu’elle se trouve toujours à leur endroit, elle doit recommencer à partir du plus petit nombre probablement accompli, ou considérer que cela a été accompli complètement. Et si elle en a dit trop, cela n’est pas grave.*
*Compilé par Amadou Diallo (00223 62 72 52 96, Bamako).
HADITH DU JOUR
Manifester son amour à son épouse*
*L’un des éléments les plus importants du bonheur des couples, de leur confiance réciproque et de la chaleur du foyer familial est que le mari manifeste son amour et sa tendresse à son épouse, et qu'il lui dise qu'il l'aime.
*Selon lui (sawas): “Si un homme qui dit “je t'aime” à sa femme, cette parole ne sortira jamais de son cœur [ne sera jamais oubliée].*
*au sein de sa famille*
La première migration (Hijrat)
*Pour ne plus être harcelés et en quête d'un asile en but d'y célébrer l'office divin et d'y pratiquer leur liturgie, un certain nombre de musulmans durent quitter leur ville natale et s'expatrier en Abyssinie.*
*Cet événement est connu, dans l’histoire de l’Islam, comme la première migration (hijrat).*
*Mais les païens de la Mecque ne les laissèrent pas tranquilles et les poursuivirent. Ils dépêchèrent alors une délégation(Amr ibn Ass et Abdullah ibn Rabii) auprès du Négus le souverain d'Abyssinie.*
*En lui offrant des cadeaux précieux, les envoyés demandèrent l'extradition des réfugiés musulmans. En réponse, le Négus déclara que ces expatriés s'étaient réfugiés auprès de lui et qu'il ne pourrait pas les expulser sans avoir vérifié leur croyance. Après s'être entretenu à Djafar-ibn-Abitâlib(Le frère D'Imam Ali), Le porte-parole des immigrés musulmans, il fut convaincu du bien-fondé de la cause de l'Islam, et fortement impressionné, notamment en ce qui concernait l'attitude des musulmans envers Jésus Christ et sainte Vierge Marie.
*Je ne vous livrerai jamais aux païens. Par Dieu, Jésus n'eut pas si grande estime auparavant». Ce qui ne plut pas du tout à ces ministres. Malgré eux, en vénérant les musulmans et leur idéologie religieuse, il refusa les cadeaux des Quraichites. Les musulmans expatriés, sous la protection du Négus, célébrèrent librement leur liturgie. Quand le Prophète sawas, quitte la Mecque et émigre à Médine, la plupart des musulmans émigrés en Abyssinie retournent alors en Arabie pour se rendre à Médine.*
Le Coran est un guide et un remède contre toutes les maladies
Qu’ Allah fasse du Coran le printemps et le remède de nos cœurs.
Un conseil du Prophète Mohamed (AS) au prince des croyants Ali Ibn Abi Talib : "Ô Ali lis le Coran, lis le Coran, lis le Coran ."
La lecture du Coran et l'écoute de la récitation du Coran met fin à l'ennui, au stress, à la dispersion et à l'oubli.
Le saint Coran occupe un niveau suprême dans le cœur des musulmans. Il engendre des lois divines, spirituelles et matérielles. Il est aussi par ses bienfaits, un remède pour toutes sortes de maladies. Beaucoup de personnes ont trouvé la guérison à leur maladie grâce aux vertus et à leur foi inébranlable liées au Saint Coran.
Avec le développement de la science expérimentale et la grande expansion dans le domaine de la médecine, les scientifiques ont découvert que la lecture ou l'écoute du Coran a des résultats significatifs et positifs sur la santé, en particulier sur les cellules du cerveau. La lecture permanente du Saint Coran suivie d'une inspiration joue un rôle important sur la motivation et la stimulation de l’activité cérébrale, à l’image de l'injection qui répare une partie endommagée des cellules du cerveau.
Dieu le Tout-Puissant a dit: (Et Nous avons fait descendre le Coran qui est une guérison et une miséricorde pour les croyants)
Il a dit aussi : (Ô les hommes une exhortation de votre Seigneur vous est venue, une guérison de ce qui est dans vos cœurs, un guide et une miséricorde pour les croyants)
Dans un autre verset il dit: (Dis aux croyants que le Coran est un guide et un remède contre toutes les maladies).
Par ces propos nous avons la certitude que le Coran possède des vertus médicinales sensitives et morales, y compris en termes de tranquillité de l’esprit. L'homme trouve le réconfort, l’apaisement et le plaisir de la tranquillité par l’écoute du Coran.
Il est connu que certains médecins musulmans aux États-Unis ont réalisé des expériences remarquables au sujet des effets de la musique sur les plantes. Ils ont diffusé des mots vulgaires, puis des belles paroles, et de la musique douce. Ensuite, ils ont diffusé près des plantes une récitation du coran, et ont observé un étrange résultat, remarquant que l’intensité de coloration s'élevait, s’accompagnant d’une vitesse de croissance et d’une floraison accrue, ainsi qu’une grande vigueur.
En outre, d’autres chercheurs ont mené des expériences sur des patients, qui après avoir été soumis à l’écoute du Coran ont trouvé leur guérison.
L'écoute du saint Coran a de nombreux bienfaits sur la santé physique et psychologique, il contribue à l'activation des cellules du cerveau, il préserve l'homme des nombreuses maladies mentales qui affectent les personnes du troisième âge, comme le « chuchotement » [al waswas], la perte de mémoire, sans parler de la folie et d'autres maladies causées par les démons.
Il augmente aussi l'immunité du corps, ainsi que l’aptitude à la créativité et la capacité de concentration.
Il traite des maladies chroniques, et change le comportement de l'homme envers ses semblables, ainsi que sa capacité d’échange et l’établissement d’une saine relation.
Il est un relaxant psychologique et un traitement de la tension nerveuse. IL traite l'agitation, la colère, et l’impulsivité.
Il aide à faire abstraction de tout ce qui a trait à la peur, à l’hésitation ou à l'anxiété. Il développe la personnalité de l'homme. C'est aussi un remède pour de nombreuses maladies courantes, telles que les allergies, le rhume, la grippe et les maux de tête.
Il améliore la vitesse d’allocution, et préserve l'homme des maladies malignes tels que le cancer et autres.
Il met fin aux mauvaises habitudes liées à l’excès de nutrition et au tabagisme.
L'attitude de Sa Sainteté le Messager (pslf) et sa façon de s'exprimer
«J'ai questionné Hind Ibn Abi Halah Al-Tamimi au sujet de l'attitude de Sa Sainteté le Messager (pslf) et sa façon de s'exprimer, mon oncle me répondit ceci :
«Sa Sainteté le Messager (pslf) était toujours posé et pensif ; jamais désœuvré ; le Messager (pslf) parlait seulement lorsque cela était nécessaire ; il (pslf) gardait le silence la plupart du temps; le Messager (pslf) parlait sagement sans mouvements de bouche exagérés ; ses discours étaient compréhensibles et clairs ; le Messager (pslf) ne prononçait aucune Parole inutile; il était humble, courtois, sans aucune agressivité ni brutalité ; il méditait beaucoup sur ce que Dieu lui accordait sans juger si c'était peu.
(Dalail Al-Noubouwa de Al-Bayhaqi, 1/286; Chou'ab Al-Iman, 2/154/1430; Al-Tabaqat Al-Koubra, 1/422.)
Mawlid Mabrouk, La bonté du Noble Prophète sawas
*Dans la société préislamique, les gens de la Mecque avaient créé une alliance appelée «Hilf al-Fozul» [l'Alliance des vertueux] dont le Saint Prophète (sawas) était membre.* *Un jour, un inconnu vint à la Mecque et vendit les marchandises qu'il avait apportées avec lui.*
*Son client était un homme appelé Aas ibn Waël, un effronté de l'aristocratie mecquoise qui avait refusé de le payer.*
*Le colporteur se rendit auprès de différentes personnes, mais personne ne lui apporta son soutien. Il grimpa alors au sommet du mont Abu Qubays et se mit à crier:*
*Le Saint Prophète (sawas)* *et son oncle Zubayr ibn Abdul Mutallib ont décidé de le défendre.* *Ils se rendirent chez Aas ibn Waël et lui demandèrent de payer ce qu'il devait au commerçant. Aas ibn Waël a eu peur et a été obligé de payer sa dette.*
*Ils ont maintenu cette alliance et ont décidé de défendre tous les non-Mecquois qui auraient des litiges avec les gens de la Mecque qui traitaient injustement les étrangers.*
*Au cours de la huitième année de l'Hégire, lors de la prise de la Mecque, le Prophète (sawas) a dit que ce jour était celui de la miséricorde et il ne s'est pas vengé. Cela montre la bonté et la grandeur d'âme du Prophète (sawas).*
HADITH DU JOUR
Le comportement du Prophète (sawas)
*au sein de sa famille*
*Le noble Prophète de l’islam (sawas) est un exemple remarquable de personne ayant eu un comportement profondément humain au sein de sa famille. Sa’d ibn Hisham rapporte un propos de 'Aïcha, l'une des épouses du noble Prophète (sawas): “J’ai interrogé 'Aïcha au sujet du comportement du Prophète en famille, et elle m'a répondu: As-tu lu le noble Coran?* *J'ai répondu: Oui. Elle a alors dit: Le comportement du Prophète (sawas) était [entièrement basé sur] le Coran.*
*(Seyyed Mohammad Hossein Tabâtabâ'i, Sunan al-Nabi (Les traditions du Prophète), Qom:* *Jâme'eh Modarresin, 1419 de l'Hégire, p. 126)*
FIGH FACILE : Differentes lois sur les regards
*regarder la nuidité d'un enfant .*
*il n'est pas mal de regarder les parties génitales de petits enfants qui ne peuvent pas aller seuls aux toilettes et doivent se nettoyer avec l'aide d'adultes ,car ces enfants sont à un âge qu'ils ne distinguent pas entre le bien et le mal.*
*Regarder les parties génitales d'autrui.*