تقي زاده

تقي زاده

Le président palestinien Mahmoud Abbas a qualifié dimanche l'offre de paix du président américain Donald Trump de "claque du siècle". 
 
"Nous disons à Trump que nous n'accepterons pas son plan, l'affaire du siècle s'est transformée en claque du siècle", a affirmé M. Abbas à l'ouverture à Ramallah d'une réunion du Conseil central de l'OLP (CCOLP) destinée à examiner la riposte à la reconnaissance par le président américain de Jérusalem comme capitale d'Israël, le 6 décembre.
 
 
M. Abbas a également affirmé qu'Israël avait mis fin" aux accords israélo-palestiniens d'Oslo sur l'autonomie palestinienne signés en 1993.

"Je dis qu'il n'y a plus d'Oslo, Israël a mis fin à Oslo", a-t-il répété, ajoutant qu'il fallait prendre des décisions pour l'avenir durant cette réunion prévue pour deux jours.

Le 13 septembre 1993, après six mois de négociations secrètes à Oslo, Israël et l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) se reconnaissent mutuellement et signent à Washington en présence du président Bill Clinton une "Déclaration de principes" sur une autonomie palestinienne transitoire de cinq ans.

M. Abbas avait déjà affirmé que les Américains ne pouvaient plus jouer un rôle de médiateur dans le processus de paix après la déclaration du président Trump sur Jérusalem.

A la tête de l'Autorité palestinienne depuis 2005, Mahmoud Abbas, 82 ans, avait annoncé qu'il ne recevrait pas le vice-président Mike Pence dont la visite initialement prévue mi-décembre avait été reportée au 22 janvier.

Il avait aussi affirmé qu'il n'accepterait "aucun plan" de paix proposé par Washington. "Les États-Unis se sont disqualifiés eux-mêmes", avait-t-il proclamé.
Un double attentat suicide a fait lundi au moins 26 morts, en majorité des travailleurs journaliers, dans le centre de Bagdad, lors de la deuxième attaque de ce type dans la capitale irakienne en trois jours, selon des sources médicales 
 
Le docteur Abdel Ghani al-Saadi, directeur général de Santé pour la partie Est de Bagdad, a fait état de "26 morts et 90 blessés".
 
"Deux kamikazes se sont fait exploser sur la place al-Tayaran dans le centre de Bagdad", avait auparavant indiqué le général Saad Maan, porte-parole du commandement conjoint des opérations, qui réunit l'armée et la police. Il avait fait état de 16 morts.

La place al-Tayaran est un important carrefour commerçant de Bagdad et un point de rassemblement pour les travailleurs journaliers qui s'y postent tôt le matin pour trouver un employeur.

Elle a été visée à de nombreuses reprises par des attaques, souvent meurtrières.

Un photographe de l'AFP sur place a rapporté que de nombreuses ambulances étaient sur les lieux, tandis que les forces de sécurité s'étaient déployées en nombre.

L'attaque n'a pas été revendiquée dans l'immédiat.
L’ayatollah Ali Khamenei a présenté ses condoléances à l’occasion du décès des membres de l’équipage du pétrolier iranien.
Selon le site du bureau du guide supreme, l’ayatollah Ali Khamenei, guide de la revolution islamique a présenté ses condoléances, dans un communiqué, après l’amer évenement au cours duquel l’équipage du pétrolier Sanchi ont trouvé la mort.


Dans ce communiqué, le guide a qualifié l’incident d’une immense tragédie et présenté ses condoléances sincères aux familles des victimes.

Une journée de deuil national a été décrétée le lundi 15 janvier.


Le tanker Sanchi, qui transportait 136.000 tonnes d'hydrocarbures légers (condensats), avait pris feu suite à sa collision le 6 janvier avec un navire de fret chinois.


Le pétrolier comptait à son bord 32 membres d'équipage - 30 Iraniens et deux Bangladais. Trois corps ont été retrouvés jusqu'à présent.

Un officier israélien a reconnu pour la première fois que le Hezbollah disposait des technologies avancées et que le mouvement de résistance libanais avait mis sous écoute les conversations entre deux officiers israéliens lors des opérations de 1997.

Amiram Levine, ancien vice-président du Mossad et ancien commandant de l’armée israélienne, a avoué pour la première fois que lors de l’opération Ansarieh (1997), le Hezbollah avait mis sur écoute les conversations de deux pilotes israéliens. De ce fait, les forces israéliennes sont tombées dans une embuscade que leur avaient tendue les combattants libanais.

Ces confessions sont tirées d’un documentaire « Le bourbier israélien du Sud », diffusé sur la chaîne Al-Mayadeen.

L’opération Ansarieh en 1997 a été l’opération la plus célèbre du Hezbollah au cours des deux décennies d’occupation dans le sud du Liban. Les forces de la Résistante ont lancé une attaque surprise contre un groupe de 15 commandos de l’armée israélienne dans le village d’Ansarieh.

Après un certain temps, les corps mutilés des soldats israéliens ont été échangés contre les corps de 40 martyrs libanais, dont 30 faisaient partie de la Résistance islamique.

C’était la première fois dans son histoire que le régime d’Israël subissait un tel fiasco.

En annonçant un éventail de mesures sociales afin de subvenir aux besoins des familles les plus pauvres, le gouvernement tunisien a cherché à calmer les esprits contestataires.

Cette décision, qui concerne également l’accès aux services de santé et des aides au logement, intervient après les contestations généralisées qui ont embrasé le pays.

Le gouvernement tunisien a ainsi promis d’accroître les aides, sous forme d’allocations notamment, à l’attention des familles dans le besoin et à faible revenu, une réponse aux récentes manifestations dans le pays.

Le ministre tunisien des Affaires sociales, Mohammed Trabelsi, a annoncé qu’environ 70 millions de dollars seraient alloués aux familles pauvres et à faible revenu, et qu’environ 250 000 familles pauvres sont éligibles.

Selon ce plan, tous les Tunisiens bénéficieront sans aucune exception de la Sécurité sociale et du remboursement des soins et toutes les familles tunisiennes auront sur leur tête un toit, a-t-il déclaré.

Dans le même temps, des activistes et des dissidents ont réclamé de nouvelles manifestations le 14 janvier (aujourd’hui), septième anniversaire de la chute du régime de Zine el-Abidine Ben Ali.

Mohammed Trabelsi, le ministre des Affaires sociales, a déclaré que le gouvernement proposait d’augmenter les prestations sociales de 170 millions de dinars (plus de 50 milliards FCFA).

« Cela va toucher environ 250 000 familles et va aider les pauvres et la classe moyenne », a-t-il déclaré.

Dans un communiqué, le Mouvement de résistance islamique, le Hamas, et le Mouvement de libération de la Palestine, le Fatah, ont annoncé avoir décliné une invitation à participer à une réunion de l’Organisation de la libération de la Palestine qui doit déterminer quelle riposte apporter à la reconnaissance par Donald Trump de Qods (Jérusalem) comme capitale d’Israël.

Hessam Badram, membre du bureau politique du Hamas et directeur du bureau des relations nationales, a déclaré ce dimanche que le Hamas prendrait part aux réunions de l’OLP lorsqu’elles auront lieu en dehors des territoires occupés et que tous les groupes et partis pourront prendre leurs décisions sans être oppressés par le régime d’Israël.

Le Fatah a également boycotté la réunion de l’OLP à laquelle il a été convié par le consulat des États-Unis, rapporte Al-Jazeera.

La réunion du Conseil central de l’OLP aura lieu les 15 et 16 janvier, à Ramallah en Cisjordanie.

Le village syrien de Hajin, au sud de Deir ez-Zor, a été bombardé par les avions de la coalition internationale dirigée par les États-Unis.

Des avions de la coalition internationale sous le commandement des États-Unis ont bombardé, le dimanche 14 janvier, le village de Hajin, au sud de Deir ez-Zor, chef-lieu de la province du même nom en Syrie.

Plusieurs habitations de civils ont été sérieusement endommagées, mais le bilan des éventuelles victimes reste inconnu.

 

Dans la même province, un hôpital de la ville d’Abou Kamal a été bombardé, il y a quelques mois, par la coalition américaine. Six civils syriens, dont des femmes et enfants, ont été tués et une dizaine d’autres blessés.

Les États-Unis et un certain nombre de leurs alliés ont formé, en août 2014, une coalition militaire, sous prétexte de lutter contre le groupe terroriste Daech, hors du cadre de l’ONU et sans autorisation du gouvernement syrien.

Un grand nombre de civils innocents ont jusqu’ici perdu la vie sous les bombes de la coalition internationale dans les provinces de Raqqa, de Deir ez-Zor et d’Alep et de nombreuses infrastructures du pays ont été détruites.

Le ministère syrien des Affaires étrangères a envoyé une lettre au secrétaire général de l’ONU et au président du Conseil de sécurité, le 4 juin 2017, disant que les pertes en vies humaines et les dégâts matériels causés par la coalition américaine équivalaient quasiment aux atrocités commises par les terroristes de Daech.

La vague de cas de salmonellose générés par le lait pour bébé de l’entreprise française Lactalis a également touché les pays importateurs, et les autorités sanitaires de ces pays ont exprimé de grandes inquiétudes à cet égard.

Après avoir fait profil bas pendant plusieurs jours, Emmanuel Besnier, le PDG de Lactalis, a enfin brisé le silence :

« Nous sommes en train de collecter les 12 millions de boîtes de lait contaminées que nous avons distribuées dans 83 pays », a-t-il déclaré.

« Il n’y... de cacher les choses ». « Notre métier, c’est de mettre des produits sains sur le marché. Si cela n’a pas été le cas, c’est notre responsabilité ». Je l’assume, a-t-il assuré dans une interview accordée au Journal du dimanche.

Emmanuel Besnier a ajouté que la société Lactalis indemniserait toutes les familles qui ont subi un préjudice.

Des centaines d’enfants ont été empoisonnés en France suite à la consommation de lait contaminé à la salmonelle, une bactérie causant de graves intoxications alimentaires.

leader de Mouvement islamique nigérian Cheikh Ibrahim Zakzaky répond aux médias après plus de deux ans en détention, a été arrêté par les autorités lors d’un attentat terroriste contre des civils, tuant et blessant un grand nombre d'entre eux.

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : La pression populaire a abouti en accueillant le chef du mouvement islamique Cheikh Ibrahim Zakzaky 13/01/2018 samedi rencontre avec les médias après deux ans passé en prison.

On le voyait évidemment repérer un collier de cou dans le petit clip sorti et il a été entendu confirmer que pour la première fois les agents de sécurité lui a permis de voir ses médecins.

Cheikh dit soins médicaux et de rencontrer les médias, après des objections larges par les masses en cette période, ce qui a entraîné l’attaque sanglante sur des marches pacifiques de chiites nigérian avant les jours de la semaine Un civil tué et blessé de passé et en arrêtant d’autres.

Les forces nigérianes ont ouvert le feu sur une étape loin de virilité sur marches sonores sur la journée mondiale de Jérusalem, dans lequel trois des fils de cheikh Ibrahim Zakzaky, civils et en blessant d’autres.

Il y a un an, la Cour fédérale contre le chef du mouvement islamique Cheikh Ibrahim Zakzaky acquittement par manque de conviction, avec l’intelligence Ministère a ordonné la libération du Cheikh et sa femme, mais avant le rejet par les militaires. Le gouvernement nigérian, est maintenant encore en état d’arrestation depuis la délivrance du brevet.

Fin/229

Le pétrolier iranien qui était en feu depuis sa collision il y a huit jours avec un navire chinois au large de la Chine a été totalement dévoré par les flammes dimanche avant de sombrer, d'après les médias chinois. 
 
Un responsable iranien a déclaré qu'il n'y avait plus d'espoir de retrouver de survivants parmi la trentaine de membres d'équipage.
 
Le tanker Sanchi, qui transportait 136.000 tonnes d'hydrocarbures légers (condensats), avait pris feu suite à sa collision le 6 janvier avec un navire de fret chinois.

Le pétrolier comptait à son bord 32 membres d'équipage -- 30 Iraniens et deux Bangladais. Un total de trois corps ont été retrouvés jusqu'à présent.

A la mi-journée dimanche, le navire "s'est subitement embrasé" et la totalité du bâtiment s'est retrouvé la proie des flammes, avec un panache de fumée s'élevant jusqu'à 1.000 mètres dans les airs, a expliqué le ministère chinois du Transport.

Le ministère a publié des photographies dramatiques montrant le pétrolier entièrement masqué par des volutes d'épaisse fumée noire.

Le navire a ensuite fait naufrage. "D'après les dernières nouvelles de l'Administration publique océanique, le Sanchi a coulé entièrement", selon l'agence officielle Chine Nouvelle.

Le porte-parole de l'équipe de secours mise en place par l’Iran a déclaré à la télévision d'Etat iranienne qu'il n'y avait plus d'espoir de retrouver des survivants.

"Les membres d’équipage du navire ont été tués au cours de la première heure après l’accident à cause de la puissance de l’explosion et des émanations de gaz", a dit Mohammad Rastad.

"Malgré nos efforts pour éteindre le pétrolier et transférer les corps et la présence des équipes de secours, cela n’a pas été possible à cause des explosions répétées et les émanations de gaz", a-t-il poursuivi. "Il n’y a aucun espoir de retrouver des survivants".

Les secouristes chinois ont retrouvé samedi "la boîte noire" du pétrolier, qui se rendait en Corée du Sud.

Les efforts des secours s'étaient révélés particulièrement difficiles à cause des températures élevées (89 degrés Celsius) à bord du navire iranien, selon He Wanb, spécialiste de la société pétrolière chinoise Huade Petrochemical, cité par CCTV.

Les responsables iraniens critiquent les Chinois pour stopper les activités de secours pendant la nuit.