
تقي زاده
Cisjordanie: un Palestinien tué par des soldats israéliens
L'armée israélienne a mené une incursion dans ce camp de réfugiés suivie par des affrontements avec des jeunes Palestiniens, ont précisé des responsables des services de sécurité palestiniens.
Dans une vague de violences, qui a débuté à l'automne 2015, a coûté la vie à 252 Palestiniens, selon un décompte de l'AFP.
Netanyahu salue la construction d'un mur à la frontière avec le Mexique
Dans une interview à la chaîne de télévision américaine Fox News jeudi, il a justifié sa décision en se servant notamment de l'exemple d'Israël qui, selon lui, a réussi à "stopper à 99,9%" l'immigration illégale en construisant un mur. Il faisait allusion à la barrière de plus de 240 km qu'Israël a achevé de construire en 2014 à la frontière avec l'Egypte qui était empruntée par de nombreux migrants clandestins africains et trafiquants.
"Le Président Trump a raison. J'ai construit un mur le long de la frontière sud d'Israël. Cela a stoppé toute l'immigration illégale. Grand succès. Idée formidable", a tweeté samedi M. Netanyahu, terminant son message par les deux drapeaux, israélien et américain côte à côte.
L'interdiction d'entrée décrétée par Trump constitue un ''affront évident''
"La décision des Etats-Unis d'Amérique comprend des exigences illégales et irrationnelles qui contreviennent au droit international,'' poursuit le communiqué.
"Pour protéger la dignité de l'ensemble des Iraniens, à l'intérieur et à l'extérieur du pays, le gouvernement de la République islamique d'Iran examinera les implications à court terme et à long terme de la décision prise par le gouvernement américain sur les ressortissants iraniens et prendra les mesures consulaires, juridiques et politiques appropriées,'' indique le ministère.
Les restrictions en matière de visas sont contraires aux prétentions de Washington concernant la lutte contre le terrorisme et l'instauration de la liberté pour le peuple américain, et resteront dans l'histoire'' comme un grand cadeau offert aux extrémistes et à leurs supporters, ajoute le ministère.
Le communiqué qualifie également la décision de ''peu judicieuse'' et ''discriminatoire'' à l'encontre des musulmans, concluant qu'elle prépare le terrain sur lequel les terroristes extrémistes répandront leurs actes de violence.
L’annonce de la venue du Prophète par Jésus (as) partie4
Certains commentateurs ont cru déceler dans l’expression « les incultes » (al-unmiyyîn) une allusion aux Grecs, et ont interprété le verset dans ce sens qu’un prophète allait être suscité parmi eux. Or nous savons que bien des siècles avant la venue de Jésus (as), les Grecs possédaient déjà la sagesse et la science, et avaient produit des grands maîtres comme Anaxagore, Parménide, Zénon, Pythagore, Socrate, Platon et Aristote, etc.
Descente du mont Pârân (Fârân)
Dans un autre verset, il est fait mention de la révélation d’une Loi à Moïse (as), de la descente (révélation) de la Torah sur le mont Sinaï, de la descente de l’Évangile sur Sa‘îr et de la descente du Coran sur le mont Paran (Fârân en arabe). Il y est dit : « Or voici la bénédiction dont Moïse, homme de Dieu, bénit les enfants d’Israël avant sa mort. 2 : Il dit donc: « L’Éternel est venu de Sinaï, et s’est levé sur eux de Séir ; il a resplendi de la montagne de Paran … » (Deutéronome ; 33). En examinant la partie de l’Ancien Testament où est rapportée l’information selon laquelle Ismâ’îl s’était installé à Paran (Genèse ; 21: 21), il ne fait aucun doute qu’Ismâ’îl (Ismaël) habitait bien à La Mecque. Par conséquent, le mont Faran est cette montagne même où se trouve la grotte de Hirâ où le Prophète de l’islam (s) reçut la révélation.
« Dieu fut avec lui, il grandit et demeura au désert, et il devint un tireur d’arc. Il demeura au désert de Paran et sa mère lui choisit une femme du pays d’Egypte. » (Genèse ; 21: 20 et 21: 21)
Un prophète du nom de Mad Mad, ou Tab Tab
Dans le livre de la Genèse, là où le prophète Ibrâhîm demande à Dieu de garder son enfant Ismâ’îl, on peut lire ceci : « Mais Dieu lui dit : Ne te chagrine pas à cause du petit et de ta servante, tout ce que Sara te demande, accorde-le, car c’est par Isaac qu’une descendance perpétuera ton nom, mais du fils de la servante je ferai aussi une grande nation car il est de ta race. » (Genèse ; 21:12 et 21:13) « De lui naîtront Mad Mad et douze chefs, et Je susciterai de lui une communauté immense (1) . » Les hébraïsants et les spécialistes du syriaque pensent que « Mad Mad » dans la langue hébraïque et « Tâb Tâb » en syriaque signifient Mohammad. Quant aux douze chefs, il s’agit d’une allusion aux douze Imâms impeccables (as) qui, après le Prophète (s), allaient diriger la communauté des croyants.
La tradition rapportée du prophète David (as)
Selon ce que rapporte l’Ancien Testament dans les chants de David appelés Psaumes, il est question des qualités d’une personne qui est destinée à faire son apparition dans l’avenir. Les docteurs chrétiens se sont naturellement efforcés d’interpréter ces qualités comme étant celles de Jésus (as). Or, en examinant de près ces qualités et en les comparant aux qualités reconnues du Noble Prophète de l’islam (s), on peut parvenir à mettre en évidence une grande analogie entre elles. Cette correspondance autorise tout chercheur à tirer la conclusion qu’il ne fait pas de doute qu’il semble que le prophète David y annonce clairement l’avènement futur du prophète de l’islam. Le texte de l’Ancien Testament est le suivant :
« Des paroles pleines de charme bouillonnent dans mon cœur. Je dis : Mon œuvre est pour le roi! Que ma langue soit comme la plume d’un habile écrivain ! Tu es le plus beau des fils de l’homme, la grâce est répandue sur tes lèvres : C’est pourquoi Dieu t’a béni pour toujours (autre traduction : pour l’éternité des éternités). Vaillant guerrier, ceins ton épée, – Ta parure et ta gloire, Oui, ta gloire ! – Sois vainqueur, monte sur ton char, défends la vérité, la douceur et la justice, Et que ta droite se signale par de merveilleux exploits ! Tes flèches sont aiguës ; des peuples tomberont sous toi; Elles perceront le cœur des ennemis du roi. » (Psaume ; 45 : 1 à 45 : 5, traduction de Louis Segond, 1910).
Comme il ressort de cette citation des Psaumes, les qualités comme celles d’être le « plus beau des fils de l’homme » et l’homme « béni pour toujours », et d’être qualifié des qualités telles la douceur, la véridicité, et la justice, d’être honoré pour toujours, ces qualités disons-nous, ainsi que celle de porter l’épée, de combattre pour Dieu, etc., font partie des qualités qui, au moins celles concernant la droiture pour l’éternité, ne peuvent pas s’appliquer à Jésus (as) et ce d’autant plus que les chrétiens eux-mêmes affirment que dans la loi de Jésus, il n’est nullement question d’épée ni de combat pour Dieu. Ils qualifient Jésus (as) d’homme de la paix et de la concorde. Par conséquent, ils seraient en contradiction avec eux-mêmes s’ils soutenaient que Jésus était un homme de guerre.
En outre, les sources musulmanes font beaucoup état de la qualité de beauté physique du Prophète (s), et évoquent en particulier la beauté de son visage (ahsanu al-wajh). Ils mettent également l’accent sur son éloquence et sa force physique et morale.
De même, au sujet de la communauté du Prophète de l’islam (s), le Coran dit :« Vous êtes la meilleure communauté suscitée pour les hommes … »(sourate Al-i ‘Imrân (La famille d’Imrân) ; verset 3 : 110).
Or cela est en conformité avec la prédiction du passage de l’Ancien Testament examiné.
Les qualités du Prophète de l’islam dans la Torah
Dans une tradition de l’Imâm ‘Alî (as), il est dit : « Un homme de religion juive était venu réclamer au Prophète quelques dinars qu’il lui avait prêtés. Le Prophète (s) demanda un délai de quelques jours afin de rassembler la somme due. Le juif répondit : « Tant que tu ne me donneras pas mes dinars, je ne te quitterai pas. » Le Prophète lui dit : « Tant que cela te plaira d’être avec moi, je resterai en ta compagnie. » Le Prophète s’assit alors auprès de lui. Et ainsi ce fut en présence de ce créancier que furent accomplies les prières du midi, de l’après-midi, du coucher du soleil et de la nuit et même de la prière de l’aube. Les compagnons de l’Envoyé de Dieu, voyant cela, pensèrent que ce juif ne manquait pas d’impertinence et pensèrent à lui infliger une punition. Le Prophète leur interdit toute action de ce genre. Ils lui dirent en le contrariant : « Un seul juif suffit pour vous retenir … » Il leur répondit : « Dieu, exalté soit-Il, ne m’a pas envoyé pour que je me comporte avec iniquité ni envers les alliés ni envers ceux avec qui nous n’avons pas contracté d’alliance. »
Quand le soleil parvint à son zénith, et alors que le Prophète était encore à sa disposition, le juif prononça devant lui les deux professions de foi de l’islam (2) et se fit musulman.
Il renonça publiquement à son argent et dit : « J’en jure par Dieu, je n’ai agi de la façon dont j’ai agi que pour la seule raison que je voulais savoir si votre comportement était compatible avec ce que j’ai lu à votre sujet dans la Bible ou non. Car j’y ai lu : « Mohammad ibn Abdullah naîtra à La Mecque. Il émigrera de La Mecque à Médine. Il ne sera ni de mauvais caractère, ni doté d’un cœur dur, ni de mauvaises habitudes, ni parlant à voix haute, ni ne prononcera de mots grossiers. » Je témoigne à présent de l’unicité de Dieu et de la réalité de ta prophétie et de ta mission (3) . »
L’annonce concernant La Mecque
Dans une des prédictions du livre du prophète Isaïe concernant La Mecque, on peut lire : « Réjouis-toi, stérile ! Toi qui n’enfantes plus ! Fais éclater ton allégresse et ta joie, toi qui n’as plus de douleurs ! Car les fils de la délaissée seront plus nombreux Que les fils de celle qui est mariée, dit l’Éternel. Élargis l’espace de ta tente ; Qu’on déploie les couvertures de ta demeure : Ne retiens pas ! Allonge tes cordages, Et affermis tes pieux ! Car tu te répandras à droite et à gauche ; Ta postérité envahira des nations, Et peuplera des villes désertes… » (Esaïe ; 54 :1 à 54 : 3, traduction de Louis Segond).
Il n’y a pas de doute que la ville en question ici est La Mecque, parce que les « enfants de la délaissée » sont les descendants d’Ismaël, puisque « la délaissée » est Agar (Hâjir) sa mère qui fut abandonnée dans le désert par Abraham sur ordre de Dieu. Agar campa avec son fils à La Mecque. Par conséquent, en tenant compte du fait qu’après Ismaël (as), aucun de ses enfants et descendants, excepté le Noble Prophète de l’islam, n’a reçu de mission prophétique, il s’ensuit que le sens de cette prédiction d’Isaïe est celui d’une bonne annonce de la venue de Prophète. Et cela d’autant plus que les détails concernant cette cité (de La Mecque), son expansion et son occupation par les tribus alentour, ne seront réalisées que bien plus tard après Esaïe, et plus précisément après l’avènement de l’islam pour ce qui concerne sa célébrité.
Le Prophète de la nation arabe
Dans un des livres de l’Ancien Testament, il est question d’un peuple et d’un prophète qui ne font pas partie ni des enfants d’Israël ou des juifs. D’après ce livre, ce peuple non juif ne connaissait pas Dieu, et ne soumettait pas à ses commandements. : « Ceux qui Me voulaient M’ont cherché, et ceux qui ne M’ont pas cherché M’ont trouvé. Et j’ai dit au peuple qui ne s’est pas nommé de Mon nom : Je t’écoute, je t’écoute ! » Dans la suite, on apprend que parmi les défauts de ce peuple, il y a la rébellion à l’égard des ordres de Dieu, et le fait que ce peuple vivait dans des habitations insalubres ; ce qui montre le degré inférieur aux yeux de Dieu de ce peuple par rapport aux Israélites. Si ce peuple était lui-même juif, la supériorité des israélites sur eux (dont il est fait cas ici), n’aurait pas eu de sens.
La Bonne Nouvelle apportée par Jésus (as) et annonçant la venue du Prophète de l’islam (s) et du Mahdî (‘aj)
L’annonce de la prophétie du Noble Prophète de l’islam dans le Nouveau Testament :
Dans l’Évangile de Jean, il est fait mention à trois reprises du nom de Paraclet. Depuis quelques années, ce nom ne figure plus dans certaines traductions nouvelles et est remplacé par le nom Consolateur. L’expression en syriaque est la suivante : « In ayman dâtî Pâraqlit hûd anâ shâdrûn laslakhûn.. » Dans les évangiles traduits en persan, cette expression est traduite ainsi : « Je demanderai à mon père, et Il vous donnera un autre consolateur. Et il restera avec vous à jamais. »
Dans le même Évangile de Jean, on peut lire ceci :
« Mais le consolateur, l’Esprit-Saint, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit. » (Jean ; 14 : 26)
Au chapitre 16 de ce même Évangile de Jean, on peut lire :
« Quand le Consolateur, l’Esprit de vérité, sera venu, il vous guidera dans toute la vérité. Car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu’il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir. Celui-ci me glorifiera, parce qu’il recevra de ce qui est à moi, et il vous l’annoncera. Tout ce que le Père a, est à moi. C’est pourquoi j’ai dit qu’il recevra ce qui est à moi, et qu’il vous l’annoncera. Encore un peu de temps, et vous ne me verrez plus; et encore un peu de temps, et vous me verrez, parce que je vais à mon Père. » (Chapitre 16 ; versets 14 à 16)
« Cependant je vous dis la vérité : il vous est avantageux que je m’en aille, car si je ne m’en vais pas, le consolateur ne viendra pas vers vous; mais, si je m’en vais, je vous l’enverrai. » (Jean ; 16:7)
Nous voyons ici que la venue du Paraclet est conditionnée par le départ préalable de Jésus (as), s’il ne s’en va pas, le Paraclet ne pourra pas le remplacer, lui succéder.
« Cependant je vous dis la vérité: il vous est bon que je m’en aille ; car, si je ne m’en vais pas, le Consolateur ne viendra pas en vous; mais si je m’en vais, je vous l’enverrai. Et quand il sera venu, il convaincra le monde au sujet du péché, de la justice et du jugement : au sujet du péché, parce qu’ils n’ont pas cru en moi ; Au sujet de la justice, parce que je vais au Père, et que vous ne me verrez plus; au sujet du jugement, parce que le Prince de ce monde est déjà jugé. J’ai encore beaucoup de choses à vous dire ; mais vous ne pouvez les porter à présent. Quand le Consolateur, l’Esprit de vérité, sera venu, il vous guidera dans toute la vérité. Car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu’il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir. Celui-ci me glorifiera, parce qu’il recevra de ce qui est à moi, et il vous l’annoncera. » (Jean ; 16 : 8 à 14)
Il importe de signaler ici que dans le texte en syriaque qui a été traduit de l’original grec, c’est le mot Paraclita qui apparait à la place de consolateur.
Nous ne sommes pas qualifiés pour discuter de la différence entre les formes grecques de periclytos (le loué, Muhammad en arabe) et paracletos (traduit en français par Le Paraclet). Le fait que le texte syriaque témoigne de ce sens est suffisant pour notre exposé, car il ne peut pas avoir moins d’autorité que le texte en grec.
Lorsque les responsables de l’Eglise se sont aperçus que la diffusion de la traduction par le mot « Paraclet » servait la vérité coranique, ils ont décidé de tout faire pour en annuler l’effet. Mais il suffit à n’importe quelle personne honnêtement motivée de se référer, dans les bibliothèques, aux anciennes traductions pour retrouver le terme de Paraclet. Nous parlons des traductions françaises que nous connaissons. Ils ont d’abord transcrit paracletos à la place de periclitos, puis ont fait carrément disparaître l’occurrence de ces deux formes dans les éditions nouvelles de la Bible pour les remplacer par Consolateur. Mais cela n’empêche pas que Jésus (as) a bien fait l’annonce de la venue d’un grand prophète après lui, qu’il soit qualifié de « consolateur » ou de « digne de louange ».
back to 1 Nous n’avons pas trouvé trace de cela dans les éditions de la Bible publiée sur internet. Nous sommes en présence sans doute d’un texte qui circulait à l’époque de l’Imâm Rezâ (VIIIe et IXe siècle) et qui a disparu, sachant que certains points, la Bible n’a été fixée définitivement qu’au début du XVe siècle.
back to 2 Il s’agit de reconnaitre qu’il n’y a qu’un Dieu unique, et que Mohammad est Son Envoyé.
back to 3 Cette tradition montre que les textes de la Bible en circulation alors étaient variables. Il peut s’agir d’un texte de la tradition non inclus dans la Bible.
Larijani fait éloge de l'artiste iranienne qui a annulé son voyage aux Etats-Unis
S'exprimant ce dimanche 29 janvier, Ali Larijani a fait allusion à la récente décision du président américain d'annuler le visa pour les ressortissants de 7 pays musulmans dont l'Iran, ajoutant : "La décision américaine montre la basse vision de ce pays d'une part et de l'autre part, elle confirme que le gouvernement américain a peur de lui-même et souffre de malentendus envers soi."
Soulignant que citer le nom de l'Iran sous prétexte d'actes terroristes, semble être une plaisanterie, il a ajouté : "Tout le monde sait que l'Iran s'est tenu, tout seul, au cours des années écoulées, face à la vague du terrorisme alors que ces pays ont récemment adhéré le courant anti-terroriste."
"La position de l'artiste iranienne qui a boycotté le festival artistique américain témoigne de l'honneur nationale du people iranien. Le gouvernement américain doit en tirer leçon et savoir qu'il se trouve devant une grande nation avec une grande civilisation de longue date et ce type de comportement, au lieu de montrer sa puissance, témoigne de ses horreurs et ses faiblesses."
A rappeler que Taraneh Alidousti, comédienne ayant joué dans "Client" candidat à l'Oscar, a écrit sur sa page Twitter qu'elle boycottait le festival en raison des positions hostiles de Trump à l'égard des musulmans.
Chaîne humaine à New York en soutien aux musulmans

Steve Choi, directeur exécutif de la Coalition des Migrants de New York qui avait participé à la chaîne a expliqué : "En organisant cette chaîne, nous voulons dire que nous n'avons pas peur des conséquences de notre acte et que nous continuerons à soutenir les musulmans et les migrants."

Pour sa part, le directeur du centre islamique de l'Université de New York, "Khaled Latif" a indiqué : "Si Trump construit des murs, nous construirons des ponts plus hauts et plus solides que son mur."
"Le satan cherche toujours à disperser les gens et nous répondrons à la haine de Trump par l'amitié et l'unité", a-t-il poursuivi.
Les activistes coraniques iraniens ont visité la tombe de l'imam Khomeiny (as)
Organisée au seuil de la décade de l'aube et l'anniversaire de la victoire de la révolution islamique en Iran, cette cérémonie s'est déroulée samedi 28 janvier avec la participation des directeurs et des maîtres des écoles coraniques ainsi que les lecteurs coraniques iraniens.


La déclaration de la communauté coranique iranienne a été lue au cours de cette cérémonie, déclaration où l'accent a été mis sur l'occasion offerte après les victoires continues du front de la résistance contre les takfiristes pour présenter au monde, les différentes dimensions de la civilisation islamique sur la base des versets coraniques et de la sirah des imams saints.
Cette cérémonie se tienne chaque année au seuil des festivités de l'anniversaire de la victoire de la révolution islamique en Iran, avec la participation des activistes coraniques iraniens.
L’annonce de la venue du Prophète Mohammad (s) par Jésus (as) partie3
La bonne annonce de Jésus (as) au sujet du Prophète de l’islam, dans les échanges savants de l’Imâm Rezâ (1) (as) avec les Gens du Livre
Dans les discussions savantes de l’Imâm ‘Alî ibn Mûsâ al-Rezâ (as) avec les représentants qualifiés des autres religions, la question de la mention du nom du Prophète et de l’annonce de sa venue prochaine dans l’Evangile et dans la Torah, est également évoquée. Le grand traditionniste, Shaykh al-Sadûq, a rapporté dans un ouvrage (2) ces joutes savantes échangées par l’Imâm Rezâ (as) avec le Ra’s al-Jâlût (3) , le leader de la communauté israélite, en présence de Ma’moun, le calife abbasside, en ces termes : « La Torah rapporte qu’une lumière surgira de la montagne du Sinaï, et une autre lumière apparaitra dans la montagne de Sâ’îr, et cette lumière attirera les gens vers elle. De la montagne de Fârân surgira une lumière qui jettera son éclat sur les réalités divines. » Le Ra’s al-Jâlût dit : « Je suis familier des mots et des lieux dont tu parles, mais je n’en connais pas les significations. ». L’Imâm Rezâ (as) lui dit : « Je vais t’en donner les significations. La lumière qui a surgi sur le mont Sinaï et l’a illuminé est celle de la révélation que Dieu a fait descendre sur Moïse. La lumière qui a illuminé le mont Sâ’îr et qui a illuminé les gens est celle du mont où Jésus, fils de Marie, reçut la révélation. Quant au mont de Fârân où les réalités divines devinrent manifestes pour nous, c’est un mont de la chaîne de montagnes de La Mecque situé à une distance d’un jour de marche et où Mohammad (s) reçut la révélation. La question de l’annonce de la venue du Prophète de l’islam (s) a bien été évoquée dans les débats qui se tinrent entre l’Imâm Rezâ (as) et les représentants des autres religions du Livre, et en présence du calife abbasside al-Ma’mûn. Les débats en ont été consignés et rapportés par le Shaykh al-Sadûq, de son vrai nom Ibn Bâbûyeh, dans son recueil de traditions intitulé ‘Uyûn Akhbâr al-Ridhâ. Cet ouvrage a été glosé par des savants musulmans sur des points plus ou moins nombreux. Certaines de ces gloses révèlent que parfois les paroles du huitième Imâm du chiisme n’ont pas été comprises correctement. Par exemple, l’Imâm emploie le terme « baraqlîtâ » ou « fârfalîtâ » ; il dit que ce terme figure dans l’Evangile et ailleurs. Ces commentateurs ont pensé que ce terme est un vocable de la langue arabe, et qu’il aurait peut-être le sens de quelque chose ou de quelqu’un qui distingue entre le bien et le mal (à cause de la racine f, r, q en arabe qui contient le sens de séparation, de distinction). Alors qu’il s’agit d’un terme grec, paraklitos, transcrit en arabe comme « bâraqlît ». A un moment donné, l’Imâm s’adresse à son interlocuteur qui est un savant juif, en ces termes : « Ô Juif, je voudrais t’interroger au sujet des dix signes qui ont été révélés à Moïse. Dis-moi si dans la Torah, il est question de Mohammad et de sa communauté. N’en est-il pas fait mention quand elle parle d’un ‘’ homme monté sur une mule et suivi par des gens qui glorifient le Seigneur sans cesse ’’ ? Est-ce que, à ce moment-là, les enfants d’Israël n’avaient pas reçu l’ordre : « Que les enfants d’Israël se libèrent pour eux et de leur roi afin que se rassérènent leurs cœurs » ? Ils furent mis en garde contre une désobéissance, car ‘’ ils sont armés d’épées de la vengeance contre les peuples incrédules de toutes les régions de la terre ’’. Est-ce ainsi que cela se trouve rapporté par écrit dans la Torah ? »
Le chef religieux juif acquiesça. Puis, l’Imâm Rezâ (as) se tourna vers le Jathlîq(4) et lui dit : ‘’ Avez-vous connaissance du Livre d’Isaïe ? ‘’ Il répondit : ‘’ Oui, je le connais mot à mot. ‘’ L’Imâm lui dit : ‘’ N’est-ce pas que dans ce livre il est dit : « J’ai vu l’image d’un homme monté sur un âne revêtu de vêtements de lumière, et j’ai vu un autre monté sur un chameau avec une clarté semblable à la clarté de la lune » ?
Il répondit que dans sa propre vision, il vit que l’homme monté sur un mulet (c’est-à-dire Jésus (as)) avait des vêtements et des tuniques qui étaient éclairés par sa propre lumière, et qu’il avait vu l’homme monté sur un chameau alors que sa lumière brillait pareille à la lumière de la lune. Il dit : ‘’ Oui, Isaïe a dit cela ‘’.
Puis s’adressant au jâthlîq chrétien, il lui dit : « Ô chrétien, connais-tu la parole de Jésus (as) dans l’Evangile : « Je m’en vais à votre Seigneur et à mon Seigneur, car le Paraclet viendra. Il me confirmera que je suis dans la vérité comme je lui en témoigne moi-même. Et c’est lui qui vous expliquera toute chose (toutes les réalités). Il montrera les turpitudes des nations. Et c’est Lui qui brisera l’échine de l’incrédulité. » » Le jâthlîq approuva et reconnut que ces paroles figuraient bien dans l’Evangile. Puis ils discutèrent longuement des raisons pour lesquelles l’Evangile avait disparu de sa version originale (en araméen ?) jusqu’à ce que la même phrase revienne dans leur propos. L’Imâm Rezâ (as) lui dit : « Jésus (as) ne contrevint pas à la tradition, et comme l’affirme le Coran, il était venu pour confirmer la Torah, pas pour l’abroger, jusqu’à ce que Dieu l’éleva vers Lui. Il est écrit dans l’Evangile : « Je suis le fils de la Pure (il s’agit ici sans doute de la Vierge Marie) et après moi viendra le Paraclet. C’est lui qui préservera le lien ; il vous expliquera toute chose, et il témoignera pour moi comme je témoigne pour lui. » (‘Uyûn Akhbâr al-Rizâ, volume 2 ; pages 139 à 158).
Annonce de la prophétie du Noble Prophète (s) dans l’Ancien Testament
Dans le livre de la Bible, intitulé le Deutéronome, on peut lire ceci : « L’Éternel me dit: « Ce qu’ils ont dit est bien. Je leur susciterai du milieu de leurs frères un prophète comme toi, Je mettrai mes paroles dans sa bouche, et il leur dira tout ce que Je lui commanderai. Et si quelqu’un n’écoute pas mes paroles qu’il dira en mon nom, c’est moi qui lui en demanderai compte. » (18 : 18 à 18 : 20)
Même si certains juifs et certains chrétiens ont considéré que le prophète promis dont il est ici question est Josué, fils de Nûn, et que certains chrétiens pensent qu’il s’agit de Jésus (as), il n’en demeure pas moins vrai qu’il existe cinq arguments en faveur de la thèse qui désigne ce prophète comme étant le Prophète de l’islam (s).
1. Les juifs contemporains de Jésus (as) bien que Jésus était déjà connu, continuaient d’attendre la venue d’un autre prophète. Par conséquent, le prophète visé par le verset précédent du Deutéronome ne pouvait pas être Jésus, comme l’ont prétendu certains chrétiens. La raison en est que, primo, nulle part, dans les évangiles, Jésus (as) lui-même n’a jamais prétendu être le prophète annoncé par les prophètes précédents, en particulier le prophète Moïse (as). Secundo, cette prétention ne figure pas dans l’Evangile, outre le fait que les apôtres et les pères de l’Eglise, comme Paul, n’ont pas essayé de s’appuyer sur cette annonce pour démontrer la légitimité de la mission de Jésus (s), surtout lorsque le christianisme naissant s’est retrouvé face à face avec le judaïsme.
2. Dans ce verset, le prophète promis est dit être semblable à Moïse. « Je leur susciterai du milieu de leurs frères un prophète comme toi… », alors que ni Jésus (as) ni Josué n’étaient semblables à Moïse, car Josué faisait partie des enfants d’Israël et il est impossible qu’en présence de Moïse et de sa Loi solide, un prophète puisse surgir qui soit semblable à Moïse. Outre cela, il est dit qu’un prophète sera envoyé, alors que Josué était alors vivant et présent. De même, Jésus (as) aussi n’était pas semblable à Moïse, parce que, primo, les chrétiens professent que Jésus est Dieu, alors que les juifs ne professaient pas du tout la divinité de Moïse. Secundo, aux yeux des chrétiens, Jésus a été sacrifié pour racheter les péchés des hommes, alors qu’au sujet de Moïse, il n’existe rien de tel.
3. Comme il ressort de la suite de cette annonce, ce prophète avait reçu la mission de se venger des incrédules et dénégateurs de Dieu, alors que dans la Loi de Jésus, il n’est question ni des peines, ni du talion, ni de la lutte pour Dieu, ni rien de semblable.
4. Le titre de frère de Moïse pour Josué et Jésus n’a pas de sens, alors que dans le cas du prophète de l’islam qui est descendant d’Ismaël, et les enfants d’Israël qui sont les descendants de Jacob (as), cette fraternité a un sens.
5. Le grand nombre de points communs existant entre la Loi du Noble Prophète de l’islam et la Loi de Moïse montre la large proximité existant entre ces deux grands hommes.
Un Prophète parmi les Arabes
Un autre point pouvant faire partie des annonces de l’Ancien Testament concernant le prophète de l’islam nous est fourni par un paragraphe du Deutéronome dans lequel Dieu menace les israélites qui L’avaient courroucé, de susciter un peuple autre, différent d’eux (un peuple qui ne se comporterait pas comme eux). « Ils ont excité ma jalousie par ce qui n’est point Dieu, Ils m’ont irrité par leurs vaines idoles ; Et moi, j’exciterai leur jalousie par ce qui n’est point un peuple … » (Deutéronome, 32 : 21).
Dans le commentaire et la clarification de ce verset, il a été dit que la nation dont il est question est celle des Arabes car la prophétie appartient à leur race, et dont sera issu le prophète de la fin des temps. Parmi les preuves de cela, il y a ce passage qui figure juste après le passage précédent au verset 32 : 21 : « Je les irriterai par une nation insensée. »
On a dit que cette nation insensée désigne les Arabes d’avant l’avènement de la mission prophétique, des Arabes qui étaient effectivement un peuple d’ignorants, adorateurs d’idoles, sans grandeur, dépourvus de toute science, de toute culture. Puisque ce peuple descendait d’Ismaël, fils de Hâjar (Agar) qui fut la servante de Sara, épouse d’Abraham (as), les israélites aussi n’avaient pour lui que mépris et le considéraient comme un peuple ignare. Cette estimation semble être en harmonie avec le sens qui se dégage du verset coranique qui présente le Prophète comme un messager envoyé à un peuple d’incultes. « Lui qui a envoyé au sein des gens sans Livre [les Arabes] un Envoyé des leurs pour leur réciter Ses signes, les purifier, leur enseigner l’Ecrit et la sagesse, bien que naguère ils fussent dans un égarement flagrant. » (sourate Al-Jumu‘a (Le vendredi) ; 62 : 2).
(à suivre)
back to 1 (en persan : Emâm Rezâ امام رضا), né à Médine en 766 / mort en 818 à Tûs en Iran, a été le huitième Imâm chiite duodécimain et alaouite. Son sanctuaire, l’un des hauts lieux de pèlerinage du monde, se trouve à Mashhad, dans le Khorâssân iranien.
back to 2 Il s’agit du ‘Uyûn Akhbâr al-Ridhâ, les sources au sujet de l’Imâm Rezâ (as).
back to 3 C’est le titre que l’on donnait au grand rabbin chargé de la direction religieuse de la diaspora. On peut le traduire par Exilarque.
back to 4 Ce terme peut se comprendre si nous lisons « gathliq », les arabes transcrivant le son « g » guttural par la lettre « jîm ». D’ailleurs certains arabes continuent de prononcer tous les « jîm » comme des « guim ». Ghathliq suggère donc qu’il pourrait s’agir d’un prêtre catholique.
Arrestation de deux terroristes au Mali
Au Mali, deux terroristes qui avaient planifié un attentat à Bamako ont été arrêtés en possession de matériel de guidage GPS et de munitions.
Les deux terroristes maliens ayant planifié un attentat lors du sommet Afrique-France à Bamako ont été arrêtés, a-t-on appris de sources sécuritaires maliennes.
Un responsable sécuritaire, qui a requis l’anonymat, a déclaré, vendredi 27 janvier, que lors de deux opérations séparées à Bamako, les forces de sécurité spéciales du Mali ont interpellé deux terroristes qui avaient projeté une offensive d’envergure contre des cibles étrangères dans la capitale malienne.
« L’attentat était prévu pendant le sommet Afrique-France à Bamako des 13 et 14 janvier. Mais compte tenu des mesures prises pour le sommet, les terroristes ont décidé de le reporter en comptant sur l’absence d’un dispositif de sécurité rigoureux à Bamako », a indiqué la même source de sécurité, citée par l’AFP.
Les terroristes interpellés avaient sur eux des équipements particuliers, dont des systèmes GPS, des munitions et des explosifs.
Cette source a ajouté que les deux terroristes étaient liés au groupe Al-Mourabitoune du terroriste algérien Mokhtar Belmokhtar.
Ce groupe a revendiqué l’attentat terroriste du 18 janvier à Gao, qui a fait plus de 70 morts.
L’Algérie apporte son soutien à Assad
Lors d’un discours dont le langage diffère de celui d’autres pays arabes, le ministre algérien des Affaires étrangères a reconnu l’échec des terroristes à Alep, en Syrie.
Ramtane Lamamra, chef de la diplomatie algérienne, a implicitement apporté son soutien à Bachar el-Assad en disant que la libération d’Alep signifiait une défaite cuisante pour les terroristes en Syrie.
Il a ensuite loué la victoire de l’armée syrienne vis-à-vis des terroristes, sous le leadership de Bachar el-Assad.
Ramtane Lamamra a ensuite évoqué un rapport, publié par un centre d’études belge, qui mettait en garde l’Europe contre une explosion sociale en Algérie.
« Un centre d’étude belge avait assimilé la situation en Algérie à celle d’Alep, car les auteurs de ce rapport, qui comptaient sur la victoire des terroristes à Alep, ont été obligés de suivre leurs chimères en Algérie après la libération de cette ville syrienne et la victoire du gouvernement ».
Pour les observateurs politiques, il s’agit de la première fois que l’Algérie prend parti de Bachar el-Assad tandis que ce pays optait, jusqu’ici, pour une politique impartiale à ce propos.