تقي زاده

تقي زاده

Ursula von der Leyen, ministre allemande de la Défense, a rendu hommage aux troupes allemandes qui mènent une mission à l'étranger.

Tout en rendant hommage aux forces de l'armée allemande qui sont en mission à l'étranger, Ursula von der Leyen a déclaré qu'elles menaient une mission lourde et difficile à l'extérieur des frontières du pays, leur promettant des avantages supplémentaires.

En allusion à la présence d'un certain nombre de militaires allemands au Mali, la ministre allemande de la Défense a déclaré que la situation  géographique du Mali avait rendu aux troupes allemandes la tâche difficile.

Plus loin dans ses propos, la ministre a ajouté: " Dans cette conjoncture, il faudrait octroyer plus d'avantages aux militaires parmi lesquels on peut évoquer une augmentation de salaires."

En outre, le ministère de la Défense et  le ministère de l'Intérieur devraient aussi favoriser les troupes qui mènent des missions à l'extérieur du pays, a-t-elle expliqué.

Le ministère algérien de la Défense a fait état du démantèlement de deux cachettes des terroristes et d’un atelier de fabrication de produits explosifs. 

Selon Fars News, le ministère algérien de la Défense a déclaré, dans un communiqué, publié sur son site web officiel, que les forces de l’armée avaient démantelé, lundi 24 janvier, deux cachettes des terroristes et un atelier de fabrication des produits explosifs contenant deux bombes, une artillerie classique et une quantité de produits explosifs à Tizi Ouzou dans le nord du pays.

Selon ce communiqué, les forces de la Gendarmerie nationale liées au ministère de la Défense ont également arrêté un sponsor des groupes terroristes à Tébessa, non loin des frontières tunisiennes.

Selon l’Agence de presse officielle allemande DPA, un autre terroriste a été aussi interpellé, vendredi 20 janvier, à Jijel dans l’Est algérien. Répondant au nom d’Abou Choraïh, ce dernier a rejoint en 1996 les groupes terroristes.

Le gouvernement soudanais a interpellé les effectifs d’une unité indonésienne de forces de maintien de la paix, les accusant d’être impliquées dans une affaire de trafic d’armes. Peu après la publication de cette nouvelle, l’Indonésie a qualifié de « contradictoires » les informations collectées.

L’Indonésie a annoncé qu’elle était en train de collecter des informations à ce propos, car les informations révélées jusqu’ici semblaient contradictoires.

« Nous disposons d’informations jusqu’ici contradictoires, à propos d’une affaire de trafic d’armes dans laquelle seraient impliquées les forces de maintien de la paix indonésiennes. L’ONU mène une enquête et nous essayons de collecter des informations plus exactes », a déclaré Arrmanatha Nasir, porte-parole du ministère indonésien des Affaires étrangères.

Arrmanatha Nasir, porte-parole du ministère indonésien des Affaires étrangères. (Photo d'archives)

À ce propos, le chef de la police nationale de l’Indonésie Tito Karnavian et la ministre des Affaires étrangères Retno Marsudi se sont rencontrés pour discuter de cette accusation, mais aucun détail n’a filtré sur cette rencontre.

Les médias soudanais ont annoncé, en début de semaine, que le Darfour du Nord avait arrêté une unité des forces de maintien de la paix indonésiennes, les accusant de vouloir sortir des armes du pays, à l’issue de leur mission au Soudan.

Le gouvernement indonésien s’est abstenu d’utiliser le terme « arrestation », disant que ses forces avaient été seulement « maintenues » par les forces de sécurité soudanaises.

Alors que le gouvernement soudanais accuse les forces indonésiennes de vouloir sortir du pays une valise pleine d’armes, le porte-parole du ministère indonésien des Affaires étrangères a rejeté toute appartenance de cette valise aux forces indonésiennes.

C’est en 2008 que l’Indonésie a décidé d’envoyer au Darfour une unité des forces de maintien de la paix.

mercredi, 25 janvier 2017 12:11

Trump discute de l'Iran avec Netanyahu

Rompant avec la ligne traditionnellement suivie par les Etats-Unis, Donald Trump avait promis durant sa campagne de reconnaître Jérusalem capitale d'Israël et d'y transférer l'ambassade américaine, au grand dam des Palestiniens et de la majeure partie de la communauté internationale.
 
Le président américain Donald Trump a abordé le dossier iranien dimanche avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, lors d'un entretien téléphonique au cours duquel il l'a invité à venir à Washington en février.

MM. Trump et Netanyahu "sont tombés d'accord pour continuer à échanger leurs points de vue sur une série de questions régionales, notamment les menaces que constitue l'Iran", a déclaré la Maison Blanche, donnant la première indication d'un durcissement de la nouvelle administration américaine vis-à-vis de Téhéran.

Dans son entretien avec le président américain, M. Netanyahu "a exprimé son désir de travailler étroitement avec le président Trump pour forger une vision commune afin de faire avancer la paix et la sécurité dans la région", a fait savoir son bureau.

Selon M. Netanyahu, qui avait dit qu'il évoquerait également avec Donald Trump la guerre en Syrie, "la première priorité de l'Etat d'Israël est de lever la menace que fait peser le mauvais accord nucléaire conclu par l'Iran" et les grandes puissances dont les Etats-Unis en 2015.

Barack Obama avait joué un rôle majeur dans la conclusion de cet accord, alors que M. Trump l'avait, pendant sa campagne électorale, qualifié d'"un des pires".

Cette conversation téléphonique a été la première entre les deux hommes depuis l'investiture du nouveau président américain, qui a qualifié cet échange de "très bon".

Dans un communiqué, le bureau du Premier ministre israélien a précisé que la date finale de la visite de M. Netanyahu à Washington serait "fixée dans les jours qui la précéderont".

Les deux hommes ont de même convenu qu'une paix israélo-palestinienne ne pouvait être que "négociée directement", a ajouté la Maison Blanche, le jour même où Israël a relancé la colonisation avec la construction de centaines de logements à Jérusalem-Est.

"Les règles du jeu ont changé avec l'arrivée au pouvoir de Donald Trump. Nous n'avons plus les mains liées comme du temps de Barack Obama", critique de la politique de colonisation, a précisé Meïr Turjeman, l'adjoint au maire de la Ville sainte.

La mairie israélienne de Jérusalem a ainsi annoncé son feu vert définitif à la construction de 566 logements dans les quartiers de colonisation de Pisgat Zeev, Ramot et Ramat Shlomo à Jérusalem-Est, la partie palestinienne de la ville occupée et annexée par Israël.

"Nous avons des plans pour la construction de 11.000 logements qui attendent des autorisations" à Jérusalem-Est, a-t-il poursuivi.

- "Forger une vision commune" -
Le maire de Jérusalem, Nir Barkat, a précisé dans un communiqué que 105 logements seraient également construits dans les quartiers palestiniens, se félicitant de la fin des "huit années difficiles avec Obama".

L'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas a condamné dans un communiqué ces projets de colonisation, appelant l'ONU à agir pour "stopper le gouvernement extrémiste israélien qui détruit toute possibilité de parvenir à une solution à deux Etats".

Pour la communauté internationale, toutes les colonies israéliennes sont illégales.
Dimanche la Maison Blanche a cependant semblé écarter l'hypothèse d'une annonce imminente sur un tel transfert. "Nous en sommes au tout début du processus consistant ne serait-ce qu'à aborder ce sujet", a dit le porte-parole Sean Spicer.

- Projet d'annexion reporté -
M. Netanyahu s'était chaudement félicité de l'arrivée au pouvoir de M. Trump après des relations tendues avec son prédécesseur, pour qui les colonies étaient un obstacle à la reprise des négociations avec les Palestiniens gelées depuis plus de deux ans.

La tension avait atteint son paroxysme lorsque le 23 décembre, les Etats-Unis, pour la première fois depuis 1979, n'ont pas mis leur veto à une résolution de l'ONU condamnant les colonies dans les territoires palestiniens occupés par le régime hébreu depuis 1967.

Israël considère l'ensemble de Jérusalem comme sa capitale indivisible. Les Palestiniens veulent quant à eux faire de Jérusalem-Est la capitale de l'Etat auquel ils aspirent.

Quelque 430.000 colons israéliens vivent en Cisjordanie occupée et plus de 200.000 autres à Jérusalem-Est.

Dans le contexte de colonisation, deux députés de la droite ont présenté au cabinet de sécurité israélien un projet de loi sur une annexion de Maalé Adoumim, une importante colonie de Cisjordanie.

Une telle annexion couperait en deux la Cisjordanie et rendrait pratiquement impossible la création d'un Etat palestinien viable bénéficiant d'une continuité géographique.

Selon un ministre israélien cité par la radio publique, l'examen de cette question a été reporté en attendant la rencontre Netanyahu-Trump.

Le gouvernement syrien refuse de s'engager dans des négociations directes avec la Turquie, à Astana. 

Bachar al-Jaafari, le chef de la délégation syrienne présente aux négociations d'Astana, a affirmé que son pays ne dialoguerait à aucun prix avec la Turquie. 

Le haut diplomate syrien et représentant du pays auprès de l'ONU a catégoriquement rejeté l'idée de négociations directes avec la Turquie à Astana, capitale Kirghize, vu les réticences de Damas envers la partie turque qui, malgré la trêve, continue à fournir en armes et en vivres les terroristes retranchés dans le nord de la Syrie.

Il a rappelé le double objectif de ces pourparlers d'Astana: consolidation de la trêve et séparation des groupes terroristes comme le Front al-Nosra et Daech du reste des groupes armés, soit de ceux qui ont accepté la trêve.

Selon l'agence de presse Tasnim, le premier round des négociations tripartites entre l'Iran, la Russie et la Turquie s'est achevé dimanche, au bout de cinq heures, à l'hôtel Marriott. Cinq heures de négociations marathons où les parties ont très clairement formulé leurs exigences et convenu de l’ordre du jour du Sommet d’Astana. 

Dans le même temps, le ministre kazakh des Affaires étrangères,Kairat Abdrakhmanov, a rencontré, ce lundi 23 janvier, les représentants du gouvernement et de l’opposition syriens. Il a souligné que son pays faisait tout son possible pour faciliter le dialogue entre les représentants du gouvernement et de l’opposition syriens.

L’émissaire spécial de l’ONU pour la Syrie, Stephan de Mistura, se trouve actuellement à Astana. Hier soir, il a rencontré le chef de la délégation iranienne, Hossein Jaberi Ansari.

Et selon la télévision nationale syrienne, Stephan de Mistura a rencontré, ce lundi, le chef de la délégation syrienne Bachar al-Jaafari. 

Abdoul Karim Kidvai, écrivain et professeur de l’université islamique d’Aligarh en Inde, dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique, a déclaré que la définition et le respect du mode de vie coranique étaient des nécessités.
« Nous avons beaucoup de versets coraniques qui insistent sur la foi et les bonnes actions, comme le verset 256 de la sourate Baghara :
«فَمَنْ يَكْفُرْ بِالطَّاغُوتِ وَيُؤْمِنْ بِاللَّهِ فَقَدِ اسْتَمْسَكَ بِالْعُرْوَةِ الْوُثْقَى لَا انْفِصَامَ لَهَا وَاللَّهُ سَمِيعٌ عَلِيمٌ
Quiconque mécroit au Rebelle tandis qu'il croit en Dieu, saisit alors l'anse la plus solide sans brisure. Et Dieu entend, Il sait.
et le verset 177 de la même sourate :
 
«لَيْسَ الْبِرَّ أَنْ تُوَلُّوا وُجُوهَكُمْ قِبَلَ الْمَشْرِقِ وَالْمَغْرِبِ وَلَكِنَّ الْبِرَّ مَنْ آمَنَ بِاللَّهِ وَالْيَوْمِ الْآخِرِ وَالْمَلَائِكَةِ وَالْكِتَابِ وَالنَّبِيِّينَ وَآتَى الْمَالَ عَلَى حُبِّهِ ذَوِي الْقُرْبَى وَالْيَتَامَى وَالْمَسَاكِينَ وَابْنَ السَّبِيلِ وَالسَّائِلِينَ وَفِي الرِّقَابِ وَأَقَامَ الصَّلَاةَ وَآتَى الزَّكَاةَ وَالْمُوفُونَ بِعَهْدِهِمْ إِذَا عَاهَدُوا وَالصَّابِرِينَ فِي الْبَأْسَاءِ وَالضَّرَّاءِ وَحِينَ الْبَأْسِ أُولَئِكَ الَّذِينَ صَدَقُوا وَأُولَئِكَ هُمُ الْمُتَّقُونَ
Ce n'est pas charité que de tourner vos visages vers l'Orient et l'Occident. Mais c'est charité, oui, que de croire en Dieu et au Jour dernier et aux anges et au Livre et aux prophètes, de donner de son avoir, pour l'amour de Dieu, aux proches et aux orphelins et aux pauvres et à l'enfant de la route et aux mendiants et à délier les jougs et d'établir l'Office et d'acquitter l'impôt. Et ceux qui remplissent leurs engagements lorsqu'ils se sont engagés, et ceux qui endurent dans l'adversité et la détresse et lors de la guerre. Les voilà les véridiques! Et les voilà les pieux!
 
Dans le mode de vie islamique, la famille joue un rôle capital et le Coran présente des prophètes qui avaient les meilleures relations possibles avec les membres de leur famille comme Abraham, Moise, Jésus, Noé et Mohammad (as). Le Coran insiste aussi sur les relations dans le couple et le respect des droits mutuels. Il est nécessaire de présenter ces enseignements dans le domaine virtuel et les grandes personnalités de l’islam », a déclaré Abdoul Karim Kidvay qui est l’auteur d’un agenda islamique de 365 pages pour chaque jour de l’année, qui présente des enseignements islamiques et coraniques, d’un agenda des paroles du prophète (as), d’un agenda de prières et d’un agenda de versets coraniques. Il est aussi l’auteur d’un livre sur les messages du Coran en anglais.
lundi, 23 janvier 2017 11:10

UE: Le Pen menace d'un Frexit

Marine Le Pen, l'unique candidate de l'extrême droite (FN) à la présidentielle française 2017, a menacé l’Union européenne d'un Frexit (Sortie de la France de l’UE).

« L’Union européenne est révolue », a-t-elle lancé, dans une interview avec le journal allemand Bild am Sonntag

Galvanisée par l’élection de Trump mais aussi par le Brexit, Marine Le Pen a affiché sa volonté d'organiser un référendum sur la sortie de la France de l’UE, une fois élue. Elle a menacé Bruxelles d'un Frexit au cas où aucune réponse ne serait donnée aux revendications de Paris.

« L’Europe s’est délité mais il ne l’a pas encore saisi », a-t-elle prévenu, tout en insistant sur le fait que l’UE « a échoué sur tous les plans, économique, social et sécuritaire ».

Les revendications dont parle la candidate du FN comptent parmi les axes principaux de sa campagne électorale. En cas d'une victoire le 7 mai, elle lancera sans tarder des négociations avec l'UE sur le rétablissement des quatre principes fondamentaux de souveraineté: territoriale, économique, monétaire et législative. "Soit j'obtiendrai le retour de ces quatre souverainetés et je conseillerai aux Français de rester dans une nouvelle Europe des nations, soit je ne le ferai pas, et je leur conseillerai de quitter l'UE", a-t-elle promis.

L’accord nucléaire ne détrône pas des préoccupations des États-Unis et d'Israël dont le Premier ministre est attendu à Washington en février prochain. En effet, l'entretien téléphonique entre Benyamin Netanyahou et le président américain Donald Trump, fraîchement investi, a principalement porté sur l’Iran et son accord nucléaire.

Netanyahou qui attendait impatiemment l’entrée en fonction de Trump, a discuté au téléphone, dimanche soir, avec son principal allié. 

Selon Fars News, le bureau du Premier ministre israélien a précisé dans un communiqué que lors de cet entretien, « Netanyahou a plaidé pour une coopération encore plus étroite entre Israël et les États-Unis et pour une approche commune en faveur de la paix et de la sécurité » comme ils les souhaitent, dans la région.

Les deux parties ont échangé leurs visions sur plusieurs questions dont et notamment l’accord nucléaire et le processus de paix israélo-palestinien. Le communiqué ajoute que Trump a invité Netanyahou à se rendre à Washington en février. La date finale de cette visite devrait être fixée dans les prochains jours.

Le nouveau locataire de la Maison Blanche a qualifié son entretien téléphonique de « très bon ». Il a insisté sur le fait qu’ " une paix israélo-palestinienne ne pouvait être réalisable que par des négociations directes ".

Ces échanges ont eu lieu le jour même où Israël a officiellement donné son feu vert pour un vaste projet de colonisation à Qods-est, projet jugé illégal par la communauté internationale.

Dans des propos étranges et ridicules, le président nigérian a prétendu qu’il n’appliquerait pas la sentence du tribunal sur la libération du Cheikh Zakzaky, pour le bien du peuple.

« L'intérêt public exige que le verdict du tribunal sur la libération du leader du Mouvement islamique du Nigeria (MIN) ne soit pas appliqué », a prétendu Muhammadu Buhari.

Il n’a pas manqué de dire que l’épouse du Cheikh Zakzaky était pourtant libre et qu’elle pouvait sortir de son lieu de détention.

Ces déclarations surprenantes du président nigérian interviennent alors qu’un tribunal a ordonné la libération sans condition du leader chiite Ibrahim Zakzaky et de son épouse. Et cela fait quelques jours que le délai légal de l’application de la libération de ces deux personnes a expiré et que le Cheikh Zakzaky se trouve en détention.

Pour rappel, la répression des chiites du Nigeria a commencé en décembre 2015 après que les soldats nigérians ont pris d’assaut un hosseiniyeh de Zaria, dans l’État de Kaduna.

Les disciples d'Ibrahim Zakzaky se cachent dans sa maison alors que l'armée nigériane entoure le complexe, en décembre 2015. ©Whoishussain.org

 

Les militaires nigérians ont attaqué la maison d’Ibrahim Zakzaky à Zaria, l’ont violemment blessé et arrêté.

Dans cette incursion, des centaines de personnes dont trois enfants du Cheikh Zakzaky ont été tués.

Des organisations de défense des droits de l’homme ont condamné le massacre des chiites au Nigeria.

Par la voix du porte-parole du ministère des Affaires étrangères,  l'Iran a félicité le transfert pacifique du pouvoir en Gambie.

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Bahram Qassemi. (Photo d'archives)

" La République islamique d'Iran accorde toujours beaucoup d'intérêt à la République de Gambie qui est un important pays musulman de l'Afrique de l'Ouest ", a affirmé Bahram Qassemi.

" Téhéran salue les efforts entrepris et le rôle joué par les organisations régionales dont la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CÉDÉAO) qui ont conduit à la consolidation des bases de la démocratie dans la région et à la réinstauration de la paix et de la stabilité en Gambie ", a-t-il ajouté.

Les pressions internationales ont eu raison du président sortant gambien, Yahya Jammeh. Ce dernier a finalement déclaré, lors d'une allocution télévisée samedi 21 janvier, qu'il acceptait de quitter le pouvoir pour " préserver la vie de ses concitoyens ", assurant que sa décision " n'a pas été dictée par quoi que ce soit d'autre que l'intérêt suprême du peuple gambien et de notre cher pays ".

Au pouvoir depuis 1994, Yahya Jammeh refusait de confier le pouvoir au président élu Adama Barrow. La CÉDÉAO avait donc mobilisé ses troupes pour lancer une intervention militaire en Gambie. Une décision suspendue le vendredi 20 janvier, dans le but de donner une autre chance au président sortant.